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(27/11/2006 17:44:31)
L'UE étudie l'extension des fréquences allouées à la 3G
La Commissaire européenne à la société de l'information, Viviane Reeding, poursuit son combat pour une libéralisation accrue des marchés et ressources télécoms à travers l'Union. Après s'être attaquée aux charges de Roaming, elle vise désormais la gestion du spectre des fréquences radio. L'un des enjeux de la bataille est la façon dont les différents Etats membres entendent redistribuer les fréquences libérées par la migration vers la TV numérique terrestre (TNT). L'autre est de savoir comment allouer plus de ressources aux fournisseurs de services de télécommunications mobiles et notamment les opérateurs 3G. Alors que les opérateurs militent dans de nombreux pays pour la réutilisation des fréquences GSM en 900 MHz pour la fourniture de services 3G (une voie dans laquelle l'Arcep vient de s'engager), la Commission s'intéresse aussi à la question des fréquences entre 2,5 et 2,69 GHz. Cette bande est notamment utilisable par les services 3G mais la commission souhaiterait éventuellement l'ouvrir à d'autres services, tels que des services Wi-Max. Pour la Commission la bande de fréquences des 2,5GHz a le mérite de ne pas introduire de distorsion de concurrence entre opérateurs 2G et opérateurs 3G et la commission pousse donc pour un régime d'allocation unifié à l'échelle de l'union dans cette bande. Cet effort s'effectue dans un cadre plus général d'affrontement entre la commission et les régulateurs nationaux pour le contrôle de l'allocation des fréquences. Afin de créer un marché européen cohérent et unifié, la commission aimerait bien, à terme, contrôler l'allocation de certaines fréquences. Elle se heurte bien sûr aux régulateurs nationaux, soucieux de préserver leurs prérogatives. La France a déjà fait connaître son opposition à toute décision communautaire imposant la neutralité technologique dans la bande 2500-2690 MHz, en indiquant sa préférence pour une réservation de ce spectre aux seuls opérateurs de services IMT-2000 (UMTS ou 3G). Elle milite pour que des fréquences soient réservées aux applications WiMax, iBurst ou Flash-OFDM dans des bandes inférieures à 6 GHz (vraisemblablement autour des 3,5 GHz). (...)
(27/11/2006 17:47:08)L'action Google passe le cap des 500 $
L'action et les revenus de Google, c'est un peu la loi de Moore - en mieux - appliquée à la finance. Le titre du pharaonique moteur vient en effet, à peine plus de deux ans après son introduction en bourse, de franchir le cap des 500 $. L'action Google a rejoint la liste des cotations en août 2004. Elle valait alors 85 $ : elle a donc bondi de plus de 488%. Une croissance qui déjoue tous les modèles économiques et s'avère maintes fois plus rapide que celle des principaux concurrents. A titre de comparaison, le titre Microsoft est resté proche des 30 $ au cours des trois dernières années. Certes, le géant de Redmond dispose d'une capitalisation largement supérieure à celle de Google - 290 Md$ pour Microsoft - mais le moteur de recherche est parvenu à peser plus de 150 Md$ en moins de deux ans et demi, se hissant ainsi à la troisième place des valeurs technologiques, derrière le groupe de Redmond et Cisco. Notons que si l'action Google a dépassé les 500 $, sa valeur, à l'heure où nous écrivons ces lignes, est redescendue sous ce cap symbolique. En fin de journée, le titre Google se négociait ainsi à 493 $ à New-York. (...)
(27/11/2006 17:43:01)Swift transfère illégalement des données personnelles à Washington
L'Union européenne, par la voix d'un comité chargé du respect des données personnelles, met en cause Swift (Society for Worldwilde Interbank Financial Telecommunication), une société belge spécialisée dans les échanges de données informatisées entre institutions financières internationales. Selon les représentants de Bruxelles, Swift aurait violé les dispositions normatives communautaires - et belges - sur la protection des données personnelles en fournissant confidentiellement certaines informations au Trésor américain. Cette mise en cause met une nouvelle fois en exergue - après les débats sur les transferts des données passagers - les crispations existant entre l'Europe et les Etats-Unis. Là où ces derniers entendent prendre toutes les mesures prétendument nécessaires à la lutte contre le terrorisme, les émissaires européens brandissent en bouclier le respect de la vie privée. C'est précisément cette dichotomie qu'on retrouve dans la bisbille entourant Swift. Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, Washington enjoint la société belge - qui gère plus de onze millions de transactions par jour pour près de 8000 banques dans 200 pays - à lui communiquer secrètement un certain nombre de données relatives à de potentiels terroristes. Une pratique qui soulève l'ire des représentants des 25 : "aucune mesure prise pour lutter contre le crime et le terrorisme ne pourrait et ne doit diminuer les standards de protection et les droits fondamentaux qui caractérisent les sociétés démocratiques", estiment-ils. De fait, en acceptant de fournir des données aux autorités américaines, Swift a violé la réglementation européenne. Celle-ci interdit en effet le transfert d'éléments personnels en dehors des 25 vers des pays offrant un moindre degré de protection des données. "Pas le choix", se défend Swift Swift se défend de toute malice en soulignant, par la voix de son porte-parole, que "les gens ont faussement compris que le gouvernement américain a accès à la totalité de notre trafic". Selon lui, les données communiquées ne concerneraient que quelques cas particuliers et seraient basées sur des requêtes judiciaires. Surtout, l'institution financière se défend d'avoir eu le moindre choix à faire, Washington la menaçant de sanctions pécuniaires en cas de refus. Des arguments qui n'émeuvent pas Bruxelles. Le comité chargé de la protection des données personnelles entend étendre le champ de ses investigations à l'ensemble des institutions financières du Vieux Continent. Il pourrait leur être reproché une responsabilité partagée en tant qu'utilisateurs des services de Swift. Bruxelles veut également faire la lumière sur le rôle joué par la Banque Centrale européenne. Son gouverneur, le français Jean-Claude Trichet, reconnaît ainsi avoir eu connaissance de l'existence des transferts de données. Mais il se défend d'avoir pu intervenir pour les empêcher. Conjointement, la BCE et Swift en appellent à l'ouverture de négociations américano-européennes pour trouver une issue légale au problème. (...)
(27/11/2006 17:43:48)Google fait face à la justice européenne
Google vient de présenter son argumentaire de défense face à la justice belge, dans l'affaire qui l'oppose à l'Association des journaux francophones belges. Les trois avocats du moteur de recherche ont défendu les pratiques d'indexation du service Google News, soulignant notamment que l'indexation ne porte que sur les titres des articles de presse, un extrait de 150 mots, la source de l'article et son auteur. Selon les avocats, cette indexation n'enfreint pas la propriété intellectuelle. Qui plus est, « la liberté de diffusion de l'information n'a pas à être limitée par la propriété intellectuelle. » De leur côté, les avocats représentant l'association se sont élevés en faux contre un argumentaire visant à présenter Google News sous un angle trompeur : selon eux, ce service ne serait pas un moteur de recherche mais « un cocktail de contenu », une publication rivale. Relayée par Copiepresse, qui représente les plus prestigieux titres du Plat pays, l'Association des journaux francophones belges a déjà obtenu la condamnation de Google en première instance, en septembre dernier. Google a alors interjeté appel, arguant d'une « politique claire » qui « respecte les souhaits des propriétaires du contenu [qu'il diffuse]. » Mais Google ne conduit pas sa défense uniquement devant les tribunaux. Le moteur de recherche vient en effet de conclure un accord amiable avec les sociétés de gestion du droit d'auteur belges Sofam et Scam. La première réunit 3 700 photographes belges. La seconde regroupe plus de 20 000 auteurs. La Sofam et la Scam s'étaient jointes à la procédure emmenée par l'Association des journaux francophones belges. Les conditions matérielles de l'accord n'ont pas été dévoilées. Plurinationale, la Scam est également présente en France où elle a d'ailleurs son siège social. Le présent accord ne concerne que les auteurs belges mais prévoit sans calendrier de s'étendre aux autres pays dans lesquels la Scam est présente. Le service Google News fait par ailleurs l'objet d'une procédure engagée en mars 2005 par l'AFP pour l'utilisation de ses dépêches. L'affaire est toujours en attente d'arbitrage. Les services Google Video et Google Books sous également sous le feu d'ayants-droits. (...)
(27/11/2006 17:49:41)IBM en tête du marché du conseil et de l'intégration de systèmes d'après Gartner
La guerre des chiffres est déclarée. Dans un communiqué, IBM s'appuie sur une étude du cabinet Gartner pour affirmer sa « position de leader des sociétés de consulting et d'intégration de systèmes [...] pour la quatrième année consécutive. » De fait, selon Gartner, IBM disposait en 2005 d'une part de marché de 7,7 % avec un chiffre d'affaires de 18,7 Md$, contre 10,3 Md$ pour Accenture, crédité d'une part de marché de seulement 4,2 %. Globalement, Gartner estime à 6,8 % la croissance du marché du conseil et de l'intégration de systèmes en 2005. Le communiqué d'IBM tonne comme une réponse contradictoire à l'annonce par IDC du passage d'Accenture en tête du marché de l'intégration de systèmes. Sauf qu'il n'y a pas contradiction : Cushing Anderson, directeur de programme chez IDC, précise que son cabinet étudie séparément le marché du conseil SI et celui de l'intégration de systèmes. Du coup, si IBM conserve la première place sur le marché global du conseil et de l'intégration de systèmes, cela ne l'empêche pas de la céder à Accenture sur le segment de l'intégration de systèmes. (...)
(27/11/2006 17:49:07)Vista pourrait trouver son public plus vite que Windows XP
Selon David Mitchell, analyste du cabinet Ovum, jusqu'à 15 % des utilisateurs de PC seraient susceptibles de migrer vers Vista durant sa première année de commercialisation. « Ce serait la migration la plus rapide à ce jour », indique-t-il en précisant que 12 % à 14 % des utilisateurs de PC avaient adopté Windows XP moins d'un an après sa mise sur le marché. David Mitchell étaye son propos en invoquant, d'une part, le programme de licence Software Assurance qui permettra aux entreprises de disposer automatiquement de Vista et, d'autre part, le succès, selon lui, de la bêta publique de Vista auprès des particuliers. L'analyste d'Ovum se montre plus réservé vis-à-vis de l'adoption d'Office 2007. Selon lui, la nouvelle suite bureautique de Microsoft, lancée ce 30 novembre en même temps que Vista, ne devrait pas profiter d'un rythme de migration aussi élevé que Vista, au moins pendant la première année de commercialisation : « il n'y a pas d'effet OEM pour Office 2007; lorsque vous achetez un PC, vous obtenez une licence pour Vista mais pas forcément pour Office. » (...)
(27/11/2006 17:28:46)Salesforce propose ApexConnect pour simplifier l'intégration à l'existant
Salesforce cherche à réconcilier le service logiciel hébergé (Saas : software as a service) et l'intégration à l'existant. L'éditeur de l'application hébergée de gestion de la relation client (GRC) annonce ApexConnect, un jeu d'outils et d'interfaces de programmation (API) à utiliser en conjonction avec son langage de programmation Apex afin d'intégrer Salesforce.com à la majorité des progiciels existant au sein des entreprises. Une API de messagerie interapplicative, ConnectOut, permettra ainsi de propager des données de Salesforce à SAP R/3 ou Oracle 11i à la suite d'un événement : la création d'un client dans Salesforce, par exemple, pourra être répercutée dans le logiciel de facturation du client. Il faudra en revanche maîtriser le langage Apex, dont la syntaxe est proche de celle de Java, précise Salesforce. L'éditeur de GRC hébergée (ou « On Demand », pour être plus moderne) explique que les entreprises clientes de son offre commencent à exploiter davantage les possibilités d'intégration offertes par la plate-forme, comparativement à l'exploitation simple du service hébergé. Au troisième trimestre, indique un communiqué de Salesforce, « les transactions API Apex ont surpassé le nombre de pages GRC vues pour la première fois », totalisant plus de 50% des 3,7 milliards de transactions (une transaction correspondant à une page vue ou un appel d'API). Le connecteur natif pour Oracle 11i et l'ensemble ApexConnect devraient être disponibles dans le courant du premier semestre 2006. Le langage Apex sera disponible en même temps (à ne pas confondre avec la plate-forme Apex, déjà disponible, puisqu'il s'agit du nouveau nom d'AppExchange, la place de marché pour partenaires mise sur pied par Salesforce). (...)
(27/11/2006 16:37:17)Au Nord, le e-commerce fait fleurir les cursus spécialisés
Avec le chambardement causé par le marketing numérique et la vente en ligne, la grande distribution du Nord (Auchan) et les champions de la VPC (vente par correspondance) revoient leur stratégie d'embauche et de partenariat avec l'enseignement supérieur. En témoignent les lancements de deux nouveaux cursus de troisième cycle (délocalisés) à l'INT d'Evry et à Reims Management School (avec l'éditeur SAS). La demande en compétences de gestionnaire de projets maîtrisant les technologies et systèmes d'information du commerce en ligne s'annonce en forte progression, si l'on en croit les intentions des entreprises concernées dont 80% prévoient des créations d'emploi sur ce créneau (selon la fédération des entreprises de vente à distance, enquête emploi 2006). Saisissant cette perspective de débouchés, l'IEMD (Institut de marketing direct) et l'IAE de Lille s'associent avec l'INT Management (couplé avec l'institut national des télécommunications) pour ouvrir un cursus spécialisé d'une année (début des enseignements en février 207), ouvert aux bac+5 ou bac+4 avec trois ans d'expérience professionnelle. A Reims, une relance est donnée à la chaire Auchan créée en 2002 au sein de Reims Management School avec l'entrée en jeu de l'éditeur SAS, spécialiste de l'informatique décisionnelle, et l'inauguration le 7 décembre prochain du pôle de recherche baptisé International Retailing Center. Au travers de cette collaboration entre enseignants-chercheurs et professionnels qui contribue à la formation de futurs cadres, les travaux des étudiants en fin de cursus de master dédié au management de la distribution sont à l'origine d'études qui, selon SAS, "sont susceptibles d'ouvrir de nouvelles voies au développement d'outils appliqués au secteur de la grande distribution". Un tiers des activités de l'agence Sopra A Lille, après les 150 embauches enregistrées en 2006, l'agence locale de Sopra Group, qui compte 600 salariés, anticipe le plan d'embauche pour 2007 à ce même rythme en organisant ce jeudi 30 novembre une soirée "Outside In" de rencontre avec les étudiants en écoles d'ingénieurs ou de gestion et en Miage et master d'informatique (recueil de CV et speed dating à l'appui) dans un bistrot branché de la métropole nordiste. Selon Michel Attagnant, responsable ressources humaines de la division Nord de la SSII, cet objectif de 150 embauches se justifie notamment par les grands projets en cours dans la distribution (un tiers de l'activité de l'agence), dans le secteur bancaire (un tiers) et chez les grands industriels de la région. Les postes ouverts aux futures recrues, "notamment sur des chantiers de déploiement d'ERP et d'assistance à la maîtrise d'ouvrage", précise le responsable RH, laissent envisager une évolution ultérieure vers des "métiers proches du client", à orientation fonctionnelle. (...)
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