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(21/09/2006 00:00:00)

Table Ronde CIO - La gouvernance des projets d'infogérance et la sécurité dans le cadre des contrats d'infogérance

Animé par Jean-Benoît Chauveau, associé Tiefree Partners, Expert de cio-online.com (...)

(20/09/2006 18:10:50)

« Je souhaite lancer le débat sur la clause de dédit formation »

Votre politique de formation a évolué depuis deux ans. Quelles sont ses orientations et les nouveautés ? Sylvain Breuzard : La formation peut-être à l'origine d'un cercle vertueux. Pour répondre aux évolutions technologiques et de la demande, il faut se remettre en question et anticiper. Dans ce cadre, si l'on ose voir la formation comme un investissement, on peut espérer un retour sur investissement grâce à des ressources mieux formées et compétentes sur les nouvelles technologies. Nous pourrons donc facturer plus cher des prestations à plus forte valeur ajoutée. C'est dans cette logique que je souhaite inscrire la formation. Parallèlement, nous avons mis en place des nouveautés en se basant sur l'idée qu'il y a d'autres façons d'apprendre que dans ses sessions de formation traditionnelles. Et nous sommes plutôt à l'âge de pierre dans ce domaine. Premièrement, il est par exemple possible d'apprendre par des processus de partage d'expériences et de bonnes pratiques avec une démarche pédagogique qui part de l'entreprise et capitalise sur son savoir-faire. Deuxièmement, on peut travailler sur des problématiques qui se posent à l'échelle d'une société et imaginer des solutions pour y répondre avec ses pairs - les collaborateurs exerçant les mêmes fonctions-, ce qui est très générateur de progression. Troisième voie d'apprentissage, on peut faire des travaux de recherche, de veille, en s'appuyant sur le patrimoine de l'entreprise et en se projetant dans l'avenir pour le faire progresser. Chez Norsys nous avons déjà mis en place certains de ces leviers d'apprentissage dans notre université d'entreprise. Comment cela se concrétise ? Nous avons monté des filières de formation permanentes pour les managers, pour les directeurs de projet -et bientôt pour les consultants- qui incluent des démarches d'apprentissage. L'une de ces démarches consiste à s'interroger sur un cas de gestion difficile rencontré et sur la recherche de solutions. Dans la filière managers, que j'anime, nous avons travaillé pour améliorer la satisfaction des salariés. Fin 2004, ceux-ci sont en effet apparus déçus du management. En nous penchant sur ce constat, nous avons abouti à la création d'un outil dédié à assurer un bon suivi des demandes de nos collaborateurs. Il s'agit d'un baromètre trimestriel qui permet de rappeler les engagements pris pour le salarié lors de l'entretien annuel. Ce baromètre est rempli par le manager, il lui permet d'évaluer le niveau de réalisation de ses engagements et de noter des situations positives (actions remarquables réalisées) ou négatives. Par exemple la démotivation d'un salarié. Le service ressources humaines s'attache à l'analyser et envisager des actions avec le manager selon les situations décrites. Ce baromètre a été construit avec les managers. La démarche a constitué un levier de progression collectif très important pour cette population. Il a aussi permis de progresser avec les salariés qui témoignent aujourd'hui d'un management de proximité. Quelle part de vos salariés suit une formation chaque année ? Comment faites vous pour conjuguer investissement en formation et le risque de voir partir des collaborateurs formés, suite à la reprise du marché. Chaque année, 60 à 70% de nos salariés suivent une formation. En trois ans, il faudrait que tous aient suivi au moins une formation. Cela doit avoir du sens pour l'entreprise. Ce sens s'appuie théoriquement sur trois données avec lesquelles on compose pour bâtir les plans de formation : les souhaits du salarié, notre stratégie d'évolution, notre visibilité sur nos projets. Avec la volatilité des candidats, il est vrai que nous nous sommes un peu remis en question car nous ne souhaitons pas investir en formation sur un collaborateur qui risque de partir juste après à la concurrence. Nous essayons donc d'investir d'abord sur des personnes ayant prouvé leur attachement à l'entreprise. Pour les jeunes qui sont là depuis moins de trois ans, nous préférons prévoir des formations opérationnelles qui permettent un retour sur investissement à moins d'un an. Nous sommes un peu obligés de raisonner comme cela aujourd'hui. Je souhaiterais même que le débat soit relancé sur la clause de dédit formation (clause intégrée au contrat de travail qui incombe une période de fidélité à un salarié en contrepartie des dépenses engagées pour lui en formation par son employeur, NDLR). Vous souhaitez que cette clause puisse être appliquée dans les SSII ? Je voudrais ouvrir la réflexion à ce sujet en vue de protéger nos investissements en formation. Je pense qu'il est intéressant de se poser la question afin de motiver les entreprises qui font des efforts dans ce domaine et qu'elles ne se découragent pas. Car cela rejaillirat aussi sur les salariés qui en pâtiraient. Parallèlement, je voudrais que l'on crée un groupe de travail qui réfléchisse et admette qu'il y a plusieurs types de formation possibles, comme je l'ai mentionné plus haut. Il faudrait pouvoir faire reconnaître ces modes d'apprentissage du point de vue de la loi et des Opca (organismes de collecte et de répartition des budgets formation, NDLR) qui assurent une partie de leur financement car elles ont un coût. J'estime qu'il y a une vraie réflexion à avoir. (...)

(20/09/2006 18:10:38)

Recrutement : Assystem organise des rencontres Apec et Anpe

C'est une première pour Assystem. Le groupe spécialisé dans le conseil et l'innovation lance une une opération de recrutement en partenariat avec l'Apec et l'Anpe. Il organise des rencontres le 12 octobre prochain dans les antennes de ces organisations, simultanément à Paris, Toulouse et Lyon avec un objectif : rencontrer 3000 candidats, en recruter 50. Cette opération s'inscrit dans le cadre de la campagne d'embauche menée par le groupe depuis le début de l'année et qui vise à recruter 1600 personnes en 2006 - des jeunes diplômés (40%) des profils expérimentés (de un à à cinq ans d'expérience (40%) et des experts (15%)-, un objectif atteint à 75% à la fin du mois d'août. Elle vise à toucher simultanément un grand nombre de personnes avec des profils très diversifiés, sur une période clé pour le recrutement, septembre-octobre. En mariant l'Apec et l'Anpe, le groupe peut en effet cumuler des rencontres avec des ingénieurs cadres mais aussi des techniciens, une population qui représentent 40% de ses objectifs de recrutement. Elle lui permet aussi de travailler son image et sa notoriété par une communication de proximité. Pour séduire les candidats, Assystem a prévu de mobiliser une quarantaine de personnes sur les trois villes cibles. L'objectif est de présenter la société aux candidats présents mais aussi d' avoir un échange individuel de quelques minutes avec chacun. Le groupe de conseil a pris quelques précautions pour s'assurer que les candidatures seraient en phase avec ses besoins. Elle a fait un gros travail de sélection sur « code Rome » (Code du Répertoire opérationnel des métiers et des emplois) avec l'Anpe afin que l'agence cible des candidats ayant un profil en adéquation avec ses besoins. Elle invite par ailleurs les candidats invités par l'Apec à s'inscrire sur son site web s'ils souhaitent participer à la manifestation. Cette proposition lui permettra de contrôler les profils des inscrits et de commencer à recueillir des CV. (...)

(20/09/2006 18:05:05)

Oracle fête un bon premier trimestre sur un air d'arrogance

Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0,16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Un bon trimestre qui rend arrogant Forts de ces bons résultats, les dirigeants d'Oracle n'ont pu se contenter de se taper dans le dos en se félicitant. Ils ont également jugé bon de fanfaronner et de faire preuve de ce que d'aucuns qualifieraient d'arrogance à l'égard de leur principal concurrent, SAP. La première salve est tirée par Charles Philippe, le co-président du groupe, qui précise qu'Oracle a remporté 88 contrats au cours du trimestre pour lesquels il était placé en situation de concurrence frontale avec l'éditeur allemand. Le PDG, Larry Ellison, prend le relai en affirmant que la partie middleware de Fusion - la suite d'applications construite à partir des produits Oracle, Siebel et Peoplesoft - est "à des années [devant]" NetWeaver de SAP, un produit qui reste "relativement nouveau et incomplet". Poursuivant sur le même ton, Larry Ellison s'en prend ensuite à la stratégie de SAP et plus particulièrement à la décision de l'Allemand de ne sortir une nouvelle version de son PGI mySAP ERP qu'en 2010. "Ils auront deux années entières de retard sur la sortie de Fusion", explique Ellison. La réaction de SAP ne s'est pas faite attendre. Par la voix du vice-président Bill Wohl, l'éditeur rappelle que si la partie middleware de Fusion est disponible, le développement de l'ensemble de la suite applicative - nommée Project Fusion - doit théoriquement toucher à son terme en 2008. Et que ces futurs développements n'existent à l'heure actuelle "que sur PowerPoint". Pire encore, l'éditeur d'Outre-rhin accuse à demi-mot son concurrent de tromper son monde sur l'état d'avancement de Fusion. "En janvier, Oracle prétendait qu'il avait développé la moitié de Fusion et, il y a deux semaines, il affirmait qu'il n'en avait pas encore terminé la moitié. Oracle doit se fixer sur une version de la vérité et être honnête sur son état d'avancement". (...)

(20/09/2006 18:08:09)

Internet Explorer sans défense face à une faille critique

Les mauvaises nouvelles s'accumulent sur le front de la sécurité pour Microsoft avec la découverte par SunBelt Software d'une faille critique dans Internet Explorer 6.x déjà exploitée par des malfaisants sur Internet. Selon le FRSIRT, "une vulnérabilité a été identifiée dans Microsoft Internet Explorer, et pourrait être exploitée par des attaquants distants afin de causer un déni de service ou afin de compromettre un système vulnérable. Ce problème résulte d'une erreur de type buffer overflow présente au niveau du traitement d'un document Vector Markup Language (VML) [...] qui pourrait être exploitée par des attaquants afin d'altérer le fonctionnement d'un navigateur vulnérable ou afin d'exécuter des commandes arbitraires en incitant un utilisateur à visiter une page web spécialement conçue". Microsoft a reconnu l'existence de la faille dans un bulletin de sécurité, mais ne dispose à ce jour d'aucun correctif pour cette faille et ne devrait régler le problème qu'aux environs du 10 octobre. En attendant, l'une des solutions pour se protéger est de désactiver la gestion de l'Active Scripting dans Internet Explorer. Une astuce qui apporte elle aussi son lot de problème, notamment des problèmes d'affichage de certains sites. Certains ne manquent pas de faire remarquer qu'il devrait falloir près de trois semaines à l'éditeur pour corriger une faille critique dans ce qui est le navigateur internet le plus utilisé au monde, alors qu'il ne lui a fallu que trois jours pour sortir un correctif à son système de DRM après la découverte d'une faille. Il faut dire que cette fois, ce n'est pas l'intérêt des utilisateurs qui primait, mais celui des multinationales du disque. (...)

(20/09/2006 18:09:29)

Toshiba rappelle 340 000 batteries potentiellement défectueuses

Après Dell et Apple, c'est au tour de Toshiba d'annoncer le rappel de 340 000 batteries potentiellement défectueuses. Et comme pour Apple et Dell, ces batteries sont d'origine Sony. Mais dans le cas de Toshiba, il ne s'agirait pas d'un problème de surchauffe mais de chargement. « Ces batteries n'accomplissent pas correctement leur cycle de charge-décharge, ce qui a des incidences sur leur capacité et leur durée de vie », a indiqué un porte-parole de la société le 19 septembre lors d'une conférence de presse pour présenter les nouveautés produit de la marque. Et d'ajouter que 100 000 batteries seraient potentiellement concernées en Europe. Dans un communiqué publié sur son site le lendemain, la filiale française du constructeur japonais précise que ces batteries potentiellement défectueuses sont susceptibles soit d'avoir été montées sur des PC portables (pour l'essentiel de type Satellite) vendus durant les mois de mars, avril et mai sur le marché français, soit d'avoir été vendues sous forme d'accessoires (batteries optionnelles). Toshiba ajoute qu'un programme d'échange gratuit est mis en place pour les clients qui constateront une défectuosité de leur batterie. Pour cela, un utilitaire de test est à leur disposition en téléchargement sur le site, ainsi que toutes les informations relatives à la procédure d'échange. Dès demain jeudi 21 septembre, le constructeur expédiera un mail à ses clients afin de les informer des procédures à suivre. (...)

(20/09/2006 18:12:14)

Debian va payer ses contributeurs pour respecter ses délais

Debian se prépare à rémunérer ses développeurs clés afin de s'assurer du respect de la date de lancement de la version 4.0 de sa distribution Linux, fixée au 4 décembre prochain. Une démarche originale pour un projet de développement communautaire. Ce qui est présenté comme une « expérimentation » s'inscrit dans une démarche de rupture avec les habitudes de retard du groupe de développement : la seule date de sortie jamais respectée fut celle de Debian 1.3, en juin 1997. Baptisé Dunc-Tank, ce projet expérimental va devoir faire ses preuves en assurant la rémunération à temps plein des développeurs Steve Langasek et Andi Barth en octobre et novembre, respectivement. Imaginé par le chef de projet Anthony Towns, Dunc-Tank a fait l'objet d'âpres discussions pendant près d'un mois : « ce fut assez polémique, avec à la fois des soutiens et des objections très forts », explique Anthony Towns. Néanmoins, le projet aurait déjà reçu de nombreuses promesses de dons. Reste à savoir de combien le projet Dunc-Tank a besoin pour aboutir. Optimiste, Anthony Towns estime que « l'argent pourrait même ne pas être nécessaire. Nous sommes déjà bien placé pour respecter la date de lancement. ». Réponse dans quelques mois. (...)

(20/09/2006 18:11:15)

Avec Connect, Adobe ouvre le PDF à la conférence en ligne

Coup de frais sur le PDF. Adobe rénove sa gamme Acrobat (en version 8), ligne de produits au centre du sacro-saint format PDF (Portable Document Format). Tout à sa stratégie de digérer progressivement les technologies acquises avec le rachat de Macromedia, l'éditeur donne naissance à Connect, service de conférence en ligne intégrée au PDF, dernier né de la famille Acrobat, et nouvelle étiquette de Breeze (solution de conférence en ligne de l'ex-Macromedia). "Connect donne la possibilité d'aller beaucoup loin dans le partage de fichiers", commente Jimmy Barens, directeur technique d'Adobe. En un seul clic depuis Acrobat, l'utilisateur peut lancer une session et ouvrir une conférence en ligne, invitant les participants (en nombre illimité) au partage de fichiers, à l'annotation de PDF et de présentations et de conduite de réunion en ligne, notamment. "Le système connecte rapidement Acrobat à Breeze et sa technologie Flash", explique Jimmy Barens. Et c'est sur ce dernier point qu'Adobe compte faire la différence. En couplant le PDF à la conférence en ligne, Adobe entre en concurrence directe avec Live Communication Server de Microsoft et son client de messagerie instantanée. "Outre les similitudes fonctionnelles évidentes, Connect devrait séduire par son côté multi-plateformes avec le Flash Player [ndlr, dans sa version 6]. Ce qui implique zéro installation sur le poste client et zéro plug-in", assène Jimmy Barens. Un pari d'autant plus risqué que le service sera intégré à l'interface d'Office, via un simple bouton. La gamme Connect se compose de trois solutions: d'abord Connect commercialisé en mode hébergé (800 euros par an et par utilisateur) ou sous forme de licence (de 15 à 20 000 euros). Acrobat Connect Pro qui "créé une passerelle entre Acrobat et Breeze et fonctionne de pair avec Connect ou du temps Connect". Enfin, une troisième déclinaison, Acrobat Connect (un "Connect light"), pour l'heure uniquement lancé aux Etats-Unis, entre 35 ou 40 $, utilisable notamment à l'événement, et limité dans les fonctionnalités. Acrobat 8 se verticalise Dans sa refonte, Adobe a également privilégié les options verticales. L'éditeur s'est d'abord tourné vers les messageries d'entreprises. Outlook se voit alors outillé d'une fonctionnalité d'archivage automatique d'email et de dossiers en PDF. Puis, c'est au tour de Lotus Notes, solution de travail collaboratif d'IBM, de recevoir ses options de conversions PDF. L'éditeur précise que l'outil d'archivage automatique n'y est pas inclus. Toujours tourné vers les entreprises, la gestion des formulaires électroniques a été étendue à la capture des champs de formulaires statiques ainsi qu'à la simplification de leur distribution via un assistant. Ce dernier se connecte à l'annuaire LDAP, y récupère les droits et privilèges liés à chaque compte pour procéder aux envois. A noter également la possibilité depuis le Reader de sauvegarder offline les données d'un formulaire, ainsi que celle d'y apposer une signature numérique. Enfin, Acrobat 8 autorise désormais l'agrégation de documents (ou parties de documents) verrouillés au sein d'un unique PDF, tout en maintenant les capacités de sécurité de chaque fichier. Outre un lifting en profondeur de l'interface utilisateur, désormais orientée "objectifs" (et moins "fonctionnalités") - un peu à l'image du "ruban" du prochain Office 2007- Acrobat 8 inaugure également un nouveau moteur OCR (reconnaissance optique de caractère), issu d'un partenariat avec IRIS . Disponible dès la mi-novembre, Acrobat 8 Pro est commercialisé 559 euros (HT) et 189 euros (HT) pour la mise à jour. Il faudra compter 349 euros (HT) dans sa version Standard et 115 euros (HT) pour sa mise à jour. (...)

(20/09/2006 12:35:13)

EMC rachète Network Intelligence

EMC va dépenser 175 millions de dollars pour acquérir le fournisseur de solutions de sécurité Network Intelligence. Cette société vend des appliances qui permettent de sonder le réseau et d'en faire une analyse de sécurité et de conformité. Ce rachat souligne l'intérêt grandissant qu'EMC accorde aux aspects sécurité du stockage. L'équipementier espère vendre plus de sécurité via son portefeuille de produits grandissant. Selon les analystes, les entreprises spécialisées dans la sécurité vont avoir de plus en plus de mal à évoluer seules sur le marché, face aux géants comme Microsoft, Cisco et IBM. Le mois dernier, IBM a d'ailleurs annoncé qu'il serait prêt à investir 1,3 milliards de dollars pour acquérir Internet Security System (ISS). (...)

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