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(18/01/2010 14:15:59)

OVH va lancer des offres cloud à 2 euros par mois

Un hébergeur comme OVH ne pouvait rester longtemps à l'écart de la folie du cloud. Fidèle à sa tactique de proposer des offres avec des entrées de gamme à prix plancher, OVH compte facturer 1,99 € HT par mois pour une machine virtuelle (VM), apprend-on à la lecture d'une annonce sur le forum faite par le fondateur de l'hébergeur, Octave Klaba. Avec 1,5 million de noms de domaine gérés, 380 000 clients et 7,6 millions de sites répartis sur 3 datacenters (soit 65 000 machines), OVH estime être le premier hébergeur de France. A ce titre, lit-on dans l'annonce d'Octave Klaba, il maîtrise déjà les technologies du cloud, et tout un chacun peut s'en emparer pour mettre un cloud en place. En revanche, OVH ne le proposait pas en tant que solution packagée. Ce qui apparemment lui demanderait peu d'effort, pour un résultat intéressant en termes de visibilité sur le marché : « Ca ne nous coûte pas cher en temps [de développement] de vous proposer ces offres qui en plus sont à la mode... et au niveau du marketing le mot "Cloud" a une certaine puissance. » Deux types d'offres sont envisagés : des classiques (miniCloud et coreCloud) avec facturation à l'usage pour des VM supportant jusqu'à 48 coeurs, et un mode personnel ('myCloud'), où le client sera maître de son cloud. L'offre de base comporte toutefois quelques spécificités, la tarification étant dégressive dans le temps, mais exponentielle au fur et à mesure des ressources consommées. Octave Klaba explique que le marché visé devrait se situer aux alentours des 2 à 20 euros HT par mois. Des tests privés devraient démarrer sous peu. (...)

(15/01/2010 17:10:28)

Pour 2010, Atos Origin mise sur le cloud et l'informatique verte

« Certains de nos clients pensent déjà à l'après crise et nous interrogent sur les solutions qui leur permettront d'assurer la croissance de demain » a expliqué Thierry Breton, le PDG d'Atos Origin. « Et pour faire face aux indispensables ruptures auxquels nos clients devront faire face cette année, nous allons leur proposer une série de quatre nouvelles offres en 2010 » poursuit l'ex-ministre des Finances. Premières annonces hier, jeudi 14 janvier, avec Atos Sphere, une plate-forme cloud reposant sur le savoir- faire et les ressources internes (45 datacenters répartis dans le monde dont 8 globaux notamment à Aubervilliers ou Hong Kong), et Ambition Zéro Carbone, combinant conseil en développement durable et services pour optimiser les infrastructures. Suivront dans l'année la présentation des offres applicatives packagées (Smart Utilities), de l'ECM et de la Collaboration, puis du Context aware Computing (les applications mobiles tenant compte du contexte, à savoir la localisation, les ressources et les personnes disponibles), et enfin du Social Computing (le développement des réseaux sociaux dans et en dehors des entreprises). Réduire le coût de son système d'information avec un cloud Dans le domaine du cloud computing, Atos Origin exploite le savoir-faire issu de l'acquisition de Wordline pour proposer des services à la demande facturés à l'usage. « Les technologies mises en place dans le domaine du cloud vont nous permettre de proposer de nouvelles approches à nos clients avec à la clef des économies substantielles puisque l'investissement sera beaucoup moins lourd qu'avec une infrastructure classique » a précisé Thierry Breton. « Évolutivité, paiement à l'usage, expertise technologique, souplesse de mise en oeuvre... le cloud n'est pas une vague comme les autres. Nous changeons de modèles économique et technologique ». Une bibliothèque avec une centaine de modules applicatifs accompagne l'offre Sphere qui ambitionne de fournir des plates-formes fonctionnelles dans des environnements hétérogènes. Et ce, dans un domaine privé ou public. « Bien souvent nos clients commencent par nous demander un cloud privé avant d'accepter de mutualiser certaines ressources pour réduire les coûts » poursuit le PDG d'Atos Origin. Parallèlement, Atos étudie également la mise en place de services spécifiques à destination des grosses PME comme la gestion de postes clients, la migration de données ou encore des tests de non-régression (par exemple avec SAP). « Des services hier inaccessibles financièrement aux PME en raison des investissements qu'ils impliquent » a précisé Thierry Breton. [[page]] Interrogé lors de cette conférence de presse sur la récente union sacrée de Microsoft et de HP autour du cloud, le PDG d'Atos Origin a élégamment botté en touche en expliquant que « cette annonce de Microsoft et de HP pour simplifier la mise en place de cloud reste une offre propriétaire. Nous sommes partenaires de Microsoft et nous proposons aujourd'hui notre propre cloud (...) avec des services de gestion et de migration reposant sur VMware. Nous sommes bien placés pour offrir la solution la plus riche à nos clients ». Arnaud Ruffat, président d'Atos Origin France précise encore que « la multiplication des solutions est une bonne chose, mais que la question de l'interopérabilité reste très importante. Attention aux solutions verrouillées. Si un client nous le demande pourquoi pas, mais nous nous efforçons toujours de bien évaluer les besoins pour proposer la meilleure solution». Face aux solutions d'Amazon, de Google ou de Microsoft, Atos Origin met en avant son expertise en terme d'intégration pour assurer la sécurité, la qualité de service, la conformité et la gestion des incidents. Et pour répondre aux contraintes géographiques concernant l'hébergement de données sensibles, Atos peut compter sur ses datacenters régionaux disséminés à travers le monde. Enfin comme avec ses contrats d'infogérance, Atos s'engage à compenser les émissions carbones liées aux prestations green cloud fournies à ses clients. Pour une informatique plus verte La compensation de l'empreinte carbone informatique est d'ailleurs le deuxième cheval de bataille d'Atos Origin avec le programme Ambition Zéro Carbone. Une cinquantaine d'experts, relayés par des consultants généralistes suivront la quinzaine de projets Green IT en cours. Plusieurs outils sont proposés aux entreprises : mesure de la consommation énergétique, amélioration des infrastructures, diagnostic carbone et enfin réduction et compensation de ce maudit CO2. Partenaire infrastructures des Jeux Olympiques de Vancouver, Atos Origin développe par exemple une architecture pauvre en carbone et s'engage à compenser les émissions de CO2 avec des projets environnementaux (plantations d'arbres, éoliennes...). Une démarche pro-active qui peut être appliquée à tous les nouveaux projets informatiques ou simplement adaptée à des infrastructures existantes. (...)

(14/01/2010 13:44:38)

Cloud : Microsoft et HP annoncent des offres packagées

Lors d'une conférence téléphonique, les dirigeants des deux sociétés, qui ont à plusieurs reprises insisté sur la nature très substantielle de l'accord, ont laissé entendre que la combinaison de services va beaucoup plus loin qu'un partenariat classique. Cet accord consiste en fait à proposer des offres packagées combinant des solutions serveurs, du stockage, le réseau ainsi que l'apport logiciel. L'ensemble sous forme de forfaits clés en main qui facilitent le déploiement. Mark Hurd, le PDG de HP a ainsi déclaré que, « l'accord supposait un haut degré de collaboration et des stratégies d'intégration, y compris dans la mise en oeuvre technique. Et ce à un niveau impliquant les acteurs de manière très conséquente. » Quant à Steve Ballmer, PDG de Microsoft, il a parlé d'une percée pour l'entreprise qu'il représente, ajoutant : « Je ne suis pas ici pour faire un simple communiqué de presse concernant HP et Microsoft. Il s'agit de bien plus que cela. » Mark Hurd a précisé que l'accord doit être considérée comme une évolution de la relation entre HP et Microsoft, sans rapport avec les événements du marché, notamment le rachat possible de Sun Microsystems par Oracle, en attente de l'accord des autorités anti-trust européennes. " Je suis ici pour parler de Microsoft», a déclaré Hurd. "Mais Oracle continuera à être un partenaire très important pour HP," a t-il indiqué.   Le Cloud au coeur de l'annonce des deux sociétés Dans la passé, HP et Microsoft avaient déjà réalisé des partenariats en proposant des bundles de produits à leurs clients, mais, comme l'a précisé Mark Hurd, «il y a une différence entre offrir un package et apporter un service global d'intégration et d'ingénierie aussi avancé,» dont la force motrice repose sur le Cloud Computing. « Certaines compagnies accepteront de déployer leurs applications au sein du service Azure de Microsoft, mais d'autres préfèreront disposer de leur propre infrastructure, » a déclaré Steve Ballmer. «L'intégration consistera à superposer la couche matérielle et les fonctions d'administration en fonction du modèle applicatif choisi, » a t-il expliqué. "Notre projet consiste à proposer aux entreprises d'installer et de diffuser le même modèle applicatif, que se soit pour l'accueillir ensuite dans le Cloud ou pour monter un site particulier. » Microsoft va utiliser du matériel HP pour soutenir le déploiement d'Azure, et HP fournira les services nécessaire à la plate-forme Cloud du géant de Redmond. « Plus tard dans l'année, le partenariat consistera à déployer des produits autour de Microsoft Exchange et des solutions d'hébergement de données pour Serveur SQL, » a déclaré Bob Muglia, président du département serveur et business tools chez Microsoft.   [[page]] L'accord fait également de Microsoft "le fournisseur privilégié" de la technologie de virtualisation de HP. Les deux partenaires prévoient aussi de distribuer une série de "Smart Bundles" destinés aux petites et moyennes entreprises. Ces packages comporteront des solutions serveurs HP, des solutions de stockage et la technologie réseaux, le tout combiné à la plateforme de virtualisation Hyper-V de Microsoft et au support logiciel Insight de HP. Enfin, HP va également proposer le System Center de Microsoft sur ses plateformes matérielles et améliorer l'intégration d'Insight avec le System Center. Suite à cette annonce, les réactions commencent à arriver. Certaines SSII réagissent déjà à l'annonce du partenariat HP/Microsoft. Atos Origin qui présentait ce matin sa propre plate-forme Cloud baptisée Atos Sphere, explique, par la voix de son président, Thierry Breton que « l'annonce de Microsoft et de HP pour simplifier la mise en place de Cloud reste une offre propriétaire. Nous sommes partenaires de Microsoft et nous proposons aujourd'hui notre propre Cloud (...) avec des services de gestion et de migration reposant sur VMware. Nous sommes bien placés pour offrir la solution la plus riche à nos clients ». Arnaud Ruffat, président d'Atos Origin France précise encore que « la multiplication des solutions est une bonne chose mais que la question de l'interopérabilité reste très importante. Attention aux solutions verrouillées. Si un client nous le demande pourquoi pas mais nous nous efforçons toujours de bien évaluer les besoins pour proposer la meilleure solution». (...)

(13/01/2010 18:09:59)

VMware rachète Zimbra pour étoffer son offre cloud

Reposant sur un serveur d'applications Java (Apache Tomcat) et empruntant un grand nombre de composant au monde libre (OpenLDAP, MySQL, Postfix, ClamAV, SpamAssassin ou encore Lucene) Zimbra, racheté par Yahoo en 2007 pour 350 millions de dollars, est une plate-forme Open Source très populaire dans les environnements Linux et MacOS, et auprès des universités et des FAI. En France, Free a choisi ce service pour ses abonnés tout comme certaines collectivités locales comme la ville de Dieppe ou le Conseil Général d'Aquitaine. Si les détails financiers de cette acquisition n'ont pas été dévoilés, Kara Swisher, qui anime le blog Boom Town, estime que VMware paiera 100 millions de dollars pour Zimbra et qu'un grand nombre des salariés de la société trouveront à faire chez VMware. Christ Wolf, analyste au Burton Group, affirme pour sa part que ce rachat est logique pour VMware, qui a réalisé qu'il lui était nécessaire d'enrichir son offre pour contenir l'appétit d'acteurs comme Microsoft. Rompre la dépendance à Microsoft En avril 2009, VMware, aujourd'hui dirigé par un ex-dirigeant de Microsoft, Paul Maritz, a racheté SpringSource pour enrichir son portefeuille applicatif Java. La compagnie avait à l'époque précisé que l'acquisition de SpringSource permettrait de conduire plus facilement de nouveaux projets au sein d'un cloud interne ou externe. Paul Maritz indiquait à cette occasion que VMware proposerait non seulement une infrastructure cloud avec ses solutions de virtualisation, mais poussait également l'idée d'une nuée de nouvelles applications et de leur fusion dans une plate-forme cloud globale. « L'acquisition de Zimbra reste une démarche fort judicieuse de la part de WMware » explique encore Christ Wolf. Elle fait partie d'une réflexion stratégique pour redéfinir l'application traditionnelle et ce que les entreprises attendent. «VMware a bien compris que si elle reste sur sa trajectoire actuelle, en tant que simple plate-forme de service pour les applications Windows, Microsoft finira par devenir l'acteur numéro 1 dans le domaine de la virtualisation . « Le rachat de Zimbra présente des risques, mais c'est un pari que VMware prend à long terme parce que des personnalités comme Paul Maritz et Tood Nielsen (le directeur des opérations de la firme) savent très bien quelles forces s'agrègent devant eux », poursuit Chris Wolf. «Ce n'est un secret pour personne que beaucoup d'entreprises cherchent à développer des plates-formes de services, pour l'e-mail et le travail collaboratif en particulier. Cette acquisition est donc une opportunité pour WMware. Si Zimbra leur donne une pièce essentielle dans ce meccano complexe, cette solution leur permet également d'accompagner les entreprises qui désirent rompre la dépendance qui les lie à Microsoft. Un attachement qui démarre bien souvent avec Exchange » précise-t-il encore. Chris Wolf souligne toutefois que Zimbra n'est qu'une pierre dans l'édifice que doit encore construire VMware. La société arrive sur un marché particulièrement encombré avec des acteurs comme Microsoft, mais également IBM/Lotus, Cisco et Google. «Ce rachat n'est toutefois pas une action limitée à 2010, c'est une brique essentielle pour la mise en place du VMware des années 2015/2020," conclut-il. (...)

(11/01/2010 16:51:08)

Pour trouver de l'énergie au meilleur prix, Google devient marchand d'électricité

Déjà très impliqué dans le domaine des énergies renouvelables, le Googleplex produit actuellement 1,6 mégawatt d'électricité grâce à 9212 panneaux solaires sur le toit du siége, la firme de Mountain View a crée Google Energy pour assumer, à long terme, la forte hausse de ses dépenses électriques. En effet, cette filiale n'aura a priori qu'un seul client : Google. « Nous avons fait cette demande afin d'avoir plus de flexibilité dans l'acquisition de puissance pour les opérations de Google, y compris pour nos data centers» explique un communiqué de la firme. Actuellement en attente d'une réponse de la Commission américaine de réglementation de l'énergie (FERC), la société devrait prochainement obtenir le statut de « marchand en électricité » et pourra alors acheter et vendre, au meilleur prix. Google Energy permettra au leader internet de jouer sur la flexibilité des tarifs américains en énergie qui sont différents d'un état à l'autre. Il sera alors possible pour Google d'approvisionner son siège californien, où l'électricité est facturé 11 centimes le watt, par du courant à moitié prix provenant de l'Oregon . À titre indicatif, les tarifs professionnels EDF en France atteignent environ 23 centimes par Watt. Pour accompagner sa consommation d'énergie grandissante et limiter ses émissions de CO2, Google s'engage toujours plus dans le domaine des énergies renouvelables. Pour ce faire, elle compte utiliser Google Energy pour acquérir de l'énergie verte à bon prix. Même si la firme communique très peu sur le sujet, un data center Google consomme environ 50 MW. Rappelons que la compagnie de Mountain View en posséderait une trentaine dans le monde. (...)

(29/12/2009 15:51:12)

7 entreprises qui ont choisi des alternatives aux solutions Microsoft

Au cours des deux dernières années, les alternatives aux solutions de Microsoft se sont multipliées, qu'il s'agisse de Windows, Office ou Exchange. La concurrence avec l'éditeur a atteint un paroxysme en mai dernier, lorsque Red Hat a poursuivi la Suisse en justice (et gagné), invoquant le fait qu'elle avait signé un contrat de trois ans avec Microsoft, sans avoir préalablement lancé d'appel d'offres, alors qu'il existait bien d'autres possibilités. 1 - La ville de Los Angeles a financé ses Google Apps avec l'argent de Microsoft En octobre dernier, la municipalité de Los Angeles a signé avec Google un contrat visant à déployer la messagerie Gmail, ainsi que certaines applications Google Apps. Le coût de ce contrat étalé sur 5 ans est de 7,25 M$. Ironie du sort, une partie de cette somme, soit 1,5 M$, provient d'une amende versée par Microsoft, suite a un procès qui l'avait opposé en 2006 à la ville (qui représentait également six comtés de Californie et d'autres villes), pour abus de position dominante. Microsoft avait alors été condamné à verser un total de 70 M$. 2 - De 100 serveurs Windows à 30 sous Ubuntu chez Equitec En début d'année, le fournisseur de services financiers Equitec exécutait ses applications critiques sur une centaine de serveurs Windows, lorsque des problèmes de performances sont apparus. La société a alors décidé de migrer vers une solution reposant sur Ubuntu Server 8.04 LTS. Dans la foulée, le moteur de base de données Sybase a été remplacé par MySQL, livré avec Ubuntu. Les problèmes de performances ayant disparu, le nombre de serveurs a pu être ramené à 30. 3 - Avago Technologies a migré 4000 utilisateurs d'Exchange vers Google Apps Le CIO d'Avago Technologies a décidé de migrer la totalité des employés de la société, soit 4000 utilisateurs, de Microsoft Exchange vers Google Apps. La principale motivation était financière, l'économie étant estimée à 1,6 M$, essentiellement liée au coût de stockage. Sa décision a été prise lorsque Google a annoncé App Sync, qui permet de connecter Outlook à Gmail. C'était selon lui le dernier point d'achoppement. [[page]] 4 - Serena Software économise 750 000 $ par an en migrant vers Google Apps Serena Software est un autre client emblématique de Google Apps. Le basculement de Microsoft Exchange vers Google Apps a été réalisé brutalement, l'été dernier, en moins de six heures. La principale motivation était la difficulté à administrer les espaces de stockage, à gérer les sauvegardes et à garantir la continuité de fonctionnement. Pour résoudre tous ces problèmes, le service informatique a calculé qu'il était nécessaire d'augmenter de 1,5 Go l'espace disque alloué à chaque boîtes aux lettres, de déployer une solution de disaster recovery et d'installer de nouveaux serveurs Exchange. Le coût aurait augmenté de 1 M$ par an. L'adoption de Gmail et Google Apps permettra d'économiser 750 000 $ par an. 5 - Allianz Insurance Australia délaisse Windows pour un mainframe sous Linux Allianz Insurance Australia, qui emploie 3000 personnes, avait pour objectif de réduire de 20 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2012. Pour y parvenir, le groupe a entamé en 2009 une refonte de son infrastructure, qui reposait sur des machines Intel sous Windows Server. Elles ont été remplacées par un mainframe IBM System z10 sous Red Hat Enterprise Linux. Parallèlement, les serveurs d'applications WebSphere, qui tournaient également sur une plate-forme. Intel, ont migré vers JBoss Enterprise Middleware, installé sur un serveur HP Proliant. La consolidation et la virtualisation ont permis de réduire la consommation électrique tout en réalisant 500 000 € d'économies sur le coût des licences. 6 - La Poste de Nouvelle-Zélande abandonne Microsoft Office Au début de l'été dernier, la Poste de Nouvelle-Zélande a entamé avec Microsoft ce qui devait être de simples renégociations du parc de licences Office. Mais les discussions se sont mal passées et la Poste a finalement décidé d'adopter l'offre de Google, pour ces 2100 employés. Sur les trois prochaines années, l'économie réalisée, essentiellement sur la maintenance des serveurs, devrait atteindre 2 M$. 7 - La ligue de base ball américaine expulse Silverlight La MLB américaine (Major League Baseball), avait dans un premier temps opté pour la technologie Silverlight de Microsoft, afin de diffuser ses matchs sur son site Web. Mais celui-ci a souffert d'importants problèmes, dès le début de la saison 2008. La MLB s'est finalement tournée vers la technologie d'Adobe, éditeur avec lequel elle a signé un contrat de deux ans. (...)

(28/12/2009 16:46:45)

Tribune : la stratégie cloud d'EMC porterait le constructeur vers Cisco et Orange

Invité à la conférence analystes d'EMC le mois dernier, Bernard Dubs, fondateur du BIT Group, livre pour LeMondeInformatique.fr son point de vue sur la stratégie du constructeur. Pour l'analyste, l'avènement du cloud change totalement les perspectives. Alors qu'EMC se rapprochait doucement de HP, estime-t-il, sa stratégie actuelle le porterait plutôt du côté de Cisco. Et pour compléter le trio, la dimension opérateur serait apportée par Orange. A lire sur notre Blog experts. (...)

(28/12/2009 17:55:41)

10 services Google pour les entreprises

Les milliards de dollars de chiffre d'affaires de Google proviennent aujourd'hui essentiellement de la publicité. Mais le géant nourrit désormais l'ambition de proposer une plate-forme de cloud computing universelle. Le système d'exploitation Chrome OS, destiné à équiper des terminaux dédiés à l'accès à Internet, est le dernier pion avancé dans cette direction. Voici un aperçu des services en développement ou déjà proposées aux entreprises et aux développeurs. On remarquera que la collaboration est un thème récurrent. 1- Gmail pour les entreprises Pendant longtemps, Gmail n'était qu'une messagerie en mode webmail, concurrente de Hotmail ou Yahoo Mail. Mais elle est désormais déclinée en version entreprise, ciblant ceux qui ne souhaitent plus consacrer des ressources à gérer un serveur Exchange ou Lotus Notes. Gmail s'intègre en outre dans la suite bureautique en ligne Google Apps. La ville de Los Angeles vient de franchir le pas, après avoir évalué ce service au niveau de la sécurité, du contrôle de la vie privée et de la qualité de service. En France, Total étudie, par exemple, la solution de messagerie du géant américain même si aucune décision n'a encore été prise. 2 - Postini : un service de sécurité multi-messageries En 2007, Google a racheté Postini, un service destiné à sécuriser les messageries existantes, notamment via un antivirus en ligne. Google est actuellement en train de greffer ses fonctions sur ses propres applications - Google Apps et Gmail - afin de lever certaines des réticences des entreprises vis-à-vis du Cloud Computing. 3 - Calendar : partager un agenda avec des partenaires Dans les entreprises, de nombreuses entités utilisent Google Apps, parallèlement aux outils bureautiques officiellement déployés. L'un de ses modules, Google Calendar, est ainsi très souvent mis à profit pour partager rapidement un agenda au sein d'un groupe d'utilisateurs internes ou avec des partenaires et des clients. 4 - Google Docs : une suite bureautique basique orientée collaboration Toujours très basique , la suite Google Docs ne peut certes pas rivaliser avec la richesse de Word, Excel ou PowerPoint. Elle fournit toutefois les fonctions essentielles, dés lors que l'on dispose d'une connexion Internet. De plus, il est bien adapté à la réalisation d'un même document par plusieurs personnes géographiquement dispersées. 5 - Google Sites : un outil de création de site Web Issu du rachat de JotSpot en 2007, Google Sites est un outil de création de sites Web certes basique mais qui pourrait intéresser de nombreuses PME. Il se distingue par la possibilité de partager la gestion du site entre plusieurs personnes. La fonction de Wiki va également dans le sens de cette orientation collaborative. [[page]] 6 - Google Wave pour s'attaquer très bientôt à SharePoint Pour l'instant disponible en version bêta limitée, Google Wave veut concurrencer Microsoft SharePoint. Il fournit, en mode Saas, des fonctions de gestion collaborative de projets comparables mais se démarque par sa messagerie instantanée, omniprésente. 7 - Android, la plateforme mobile associée aux services Google Avec Android, Google est parvenu à proposer une alternative Open Source aux systèmes propriétaires d'Apple, Palm ou Nokia. Comme on pouvait s'y entendre, il est optimisé pour exploiter les services Gmail et Google Apps. Mais cette spécialisation pourrait être mal perçue par certaines entreprises, qui regretteront également la pauvreté des fonctions d'administration. 8 - Chrome OS, un système d'exploitation 100% web Destiné à équiper des terminaux nomades de type netbook qui devraient être commercialisés fin 2010, ChromeOS se présente comme une fine couche système entre le navigateur Chrome et le matériel. Son objectif : offrir un accès universel à toute application Web, éventuellement déployée par l'entreprise. 9 - Google Gears : le cloud computing sans Internet L'un des problèmes majeurs du Cloud Computing et du Saas, c'est que l'accès aux applications requiert une connexion Internet. Apparu en 2007, Google Gears apporte une solution en conférant au navigateur des capacités de traitement en local. Il offre une architecture à base de plug-in ciblant les différents navigateurs. Concrètement, elle donne au développeur le moyen de réaliser un plug-in unique, offrant accès à une application, que l'on soit en mode connecté ou déconnecté. Même si Google Reader et Zoho Office utilisent déjà Gears, cette technologie reste confidentielle. Signalons toutefois qu'avec l'arrivée de HTML 5, Google devrait progressivement abandonné Gears. 10 - Google App Engine : un environnement de développement en ligne Google App Engine est un environnement de développement et de déploiement d'applications construit sur un modèle proche de celui de Saleforce, l'éditeur de suivi de relations commerciales et de fichiers clients. Pour l'instant, on ne peut pas dire qu'il ait provoqué une ruée des développeurs mais Google espère qu'il profitera tôt ou tard du pouvoir d'attraction croissant qu'exercera sur eux, le Cloud Computing en général et ses services en particulier. (...)

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