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Infrastructure serveur

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(06/02/2008 16:30:42)

Datacenters : Google montre la voie d'investissements massifs

En 2007, Google a investi la bagatelle de 2,4 Md$ dans ses datacenters. Soit 26% de plus qu'en 2006. Le rythme d'investissement de Google dans ses capacités de traitement est donc loin de se ralentir. L'an dernier, la société a annoncé la construction d'au moins quatre centres aux Etats-Unis. 2008 s'ouvre avec des perspectives similaires : Google aurait lancé des recherches pour un site en Europe de l'Est (en Lituanie) et d'autres en Asie. Alors que le CA hors Etats-Unis se rapproche de celui généré par eux (48%), Larry Page confirme que la société ne cesse d'investir dans son infrastructure pour améliorer la qualité de ses services. De services qui pourraient aussi inclure un conséquent volet de logiciels en ligne (SaaS). Google vient ainsi d'annoncer la finalisation de l'intégration des outils de sécurisation de Postini à son offre de courriel en ligne pour les entreprises. Google n'est pas le seul à investir massivement dans des datacenters. Sun, Yahoo, Amazon (avec EC2), IBM et aussi Microsoft marchent dans ses traces. Parallèlement, on voit aussi apparaître des offres de stockage en ligne (IBM, Amazon avec S3....). La fiabilité, la capillarité et les débits atteints par Internet ouvrent de grandes perspectives pour des systèmes d'information qui reposeraient pour tout ou partie sur des ressources accessibles en ligne, qu'il s'agisse de capacité de stockage et de traitement pur ou encore d'applications en ligne. Selon DatacenterDynamics, qui se spécialise dans l'étude des centres serveur, l'Europe continentale serait en retrait en terme d'investissement dans ce domaine par rapport à ce que s'investit à Londres, New York ou San Francisco. En mai 2007, cet organisme prédisait pourtant une augmentation de 34% des investissements sur la région parisienne en 2008. (...)

(05/02/2008 18:02:28)

Datacenter : l'utilisation du courant continu permet une économie de 40%

La façon dont les ordinateurs dans un datacenter sont alimentés génère un gâchis colossal. Pour obtenir les 12 volts en courant continu réclamés par les ordinateurs, on passe par une succession d'étapes à parti d'une fourniture d'électricité en courant alternatif à plusieurs centaines, voire milliers de volts. Chacune d'entre elles génère une perte. Tout particulièrement, les opérations de transformation électriques génèrent de la chaleur qu'il faut éliminer, ce qui crée une autre source de consommation. Selon Validus DC Systems, il n'est pas rare de dénombrer cinq étapes différentes entre l'alimentation électrique entrante et celle que requiert un ordinateur. Fondée en 2002, cette société affirme pouvoir faire économiser jusqu'à 40% de la consommation en mettant en place un "environnement électrique" en courant continu. En fonction de la configuration installée, on obtient un rendement entre 80% et 86%. Rudy Kraus, fondateur de la société, a beau jeu d'annoncer que, sans son système, le rendement ne peut dépasser 72% et peut descendre à 40%. Si la solution de Validus est efficace, elle n'est pas pour autant futuriste. Elle s'inspire beaucoup de ce qui se pratique dans le monde des télécoms où le courant de références est le 48 volts en continu. En plus de la modification du bloc d'alimentation en entrée, il faut aussi modifier les blocs d'alimentation des serveurs pour que ces machines admettent du 48 volts en entrée. Mais au final, on économise sur tous les tableaux. Le surcoût des blocs d'alimentation est marginal, la consommation est moindre et, la dissipation de chaleur l'étant aussi, on peut densifier les serveurs sans risque de surchauffe d'où un gain de place. Fin 2007, des venture capitalistes ont injecté 10 M$ dans la société Validus DC Systems. (...)

(05/02/2008 15:58:45)

Le MIT présente des puces mobiles dix fois moins gourmandes en énergie

Une consommation énergétique dix fois moindre : la puce destinée aux téléphones portables, les PDA et autres périphériques mobiles, mise au point par les chercheurs du MIT (Massachusetts institute of technology) se démarque sensiblement des actuels processeurs mobiles. L'architecture sur laquelle repose la puce sera dévoilée dans le courant de la semaine à l'occasion de l'ISSCC (International solid states circuits conference), à San Francisco. Pour permettre à la puce de consommer moins d'énergie, le MIT s'est attaché à concevoir des composants fonctionnant à une tension inférieure. Alors que la plupart des processeurs mobiles actuels consomment environ 1 volt, celui développé par le département d'ingénierie électrique du MIT ne requiert que 0,3 volt. « Le voltage est une donnée critique, explique Jim McGregor, analyste pour In-Stat. Tous les appareils portables doivent faire toujours plus. En réduisant leur tension, on peut leur demander d'effectuer davantage de fonctions tout en augmentant la durée de vie de leur batterie. » Ce que confirme Dean McCarron, le président de Mercury Research : « la diminution de la tension de fonctionnement des puces est la piste communément suivie pour réduire la puissance énergétique qu'elles nécessitent. Le défi à relever est qu'au-delà d'un certain niveau, généralement 0,8 ou 0,9 volt, il devient délicat de faire fonctionner ces puces. 0,9 volt était considéré comme une limite et [les chercheurs du MIT] viennent de la faire tomber. » Pour l'heure, les travaux présentés à l'occasion de l'ISSCC se contentent d'illustrer la possibilité d'un fonctionnement à très basse tension. Pour les applications concrètes, il conviendra d'être patient : Joyce Kwong, l'un des étudiants ayant participé au projet, évoque une demi-dizaine d'années avant de voir l'architecture mise au point débarquer dans le champ de l'électronique grand public. (...)

(04/02/2008 17:16:49)

Intel présente Tukwila à l'ISSCC

Alors que l'ISSCC (International Solid State Cuircuit Conference) s'ouvre aujourd'hui à San Francisco, Intel a déjà dévoilé quelques détails sur Tukwila, la prochaine génération de processeurs Itanium, attendue pour la fin de l'année. Celle-ci sera basée sur des processeurs quadri-coeurs pour des fréquences allant jusqu'à 2 GHz. Des performances qui doublent celles de l'actuel Itanium 9100 bi-coeur, selon Julian Rattner, directeur technique d'Intel, pour seulement 25% de consommation électrique en plus. Annonçant un chiffre record de 2 milliards, ce sera le processeur commercial avec le plus grand nombre de transistors. Une grande partie d'entre eux seront affectés à la gestion de la mémoire. Tukwila comprendra 30 Mo de mémoire cache et deux contrôleurs mémoire intégrés. En effet, comme Nehalem (la future évolution des processeurs x86), Tukwila disposera de l'architecture QuickPAth (qui nécessite au moins un contrôleur mémoire intégré), qui améliore la vitesse de communication entre les différents composants du système, offrant ainsi plus de performances pour une consommation moindre. Tukwila, qui fonctionnera avec Unix, Linux ou Windows, est destiné aux serveurs accueillant des applications métiers et aux entrepôts de données. Il sera l'un des derniers processeurs Intel à être gravé en 65 nanomètres, avant la génération suivante de processeurs Itanium, qui sera directement gravée en 32 nanomètres. (...)

(01/02/2008 17:30:02)

Microsoft prépare un outil pour faciliter ses grandes migrations 2008

D'ici fin février, Microsoft devrait avoir mis à disposition une batterie d'outils pour faciliter la migration vers les dernières versions de ses produits phares : Windows Server 2008, Vista et son Service Pack 1, Office 2007 ainsi que, dans le monde de la virtualisation, pour Virtual Server 2005 R2, Hyper-V (attendu pour l'été prochain) et Microsoft Application Virtualisation (ex-Softgrid). Microsoft Assessment and Planning (MAP) Solution Accelerator devrait être annoncé dans la fenêtre des dates du lancement officiel de Windows Server 2008. Cet outil sert à inventorier le parc de serveurs et de postes clients et à relever les caractéristiques de chacun d'entre eux afin de savoir s'ils disposent des composantes techniques suffisantes pour accueillir ces nouvelles versions. MAP n'a pas besoin d'agent pou réaliser ces opérations. Pour ce qui concerne la virtualisation, MAP serait capable de générer des recommandations en vue de d'installer des hyperviseurs. (...)

(29/01/2008 17:39:13)

Intel mise sur l'énergie verte

Intel investit dans l'énergie verte. Au point de devenir, selon l'EPA (agence américaine de protection de l'environnement), le plus gros acheteur d'énergie verte des Etats-Unis. Le fondeur compte en effet acheter cette année 1,3 milliard de kilowatts/heure en REC (Renewable Energy Coupons ou coupons d'énergie renouvelable), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 130 000 maisons individuelles américaines, ou 46% de la consommation annuelle électrique d'Intel aux Etats-Unis. Ces coupons ne correspondent pas directement à un achat d'énergie propre, il s'agit plus d'investir dans des producteurs d'énergies renouvelables, via un distributeur agréé (en l'occurrence Sterling Planet). Ce procédé permet aux entreprises ne pouvant pas contrôler leurs approvisionnements énergétiques de réduire leur empreinte énergétique en offrant une compensation financière pour l'énergie non-renouvelables qu'elles utilisent. A moins d'en être le producteur direct, il est en effet difficile de savoir si l'électricité alimentant sa salle de serveur provient d'une ferme d'éoliennes ou d'une centrale au charbon. Pour Matt Clouse, directeur du programme de partenariat Green Power au sein de l'EPA, cet achat massif de coupons est aussi une question d'image publique : « la plupart des sociétés qui achètent de l'énergie verte sont orientées vers le grand public et elles dépensent énormément d'argent pour leur image de marque. Cet achat est franchement une méthode « low-cost » pour ajouter une touche environnementale à leur marque. » Même si officiellement aucun prix n'est annoncé, Matt Clouse estime qu'Intel devrait payer entre 2 et 4 dollars le millier de kilowatts/heure, pour un investissement total compris entre 2,6 M$ et 5,2 M$. (...)

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