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Infrastructure serveur

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(09/10/2007 16:48:40)

Premiers serveurs UltraSparc T2 chez Sun

Annoncé au mois d'août, le processeur UltraSparc « Niagara » T2 de Sun a désormais ses serveurs. La société vient en effet d'annoncer trois nouveaux serveurs pour encadrer ce processeur : les serveurs rack T5120 d'une taille 1U et T5220 d'une taille 2U et le serveur lame SunBlade T6320 qui s'intègre dans le châssis Sun Blade 6000. A la différence des serveurs équipés de processeurs T1, ceux-ci ne seront pas réservés aux marchés du front-office et des serveurs Web. « Avec les capacités de « Server on the Chip du T2 », ils pourront servir pour des applications commerciales comme du calcul scientifique », affirme Jean-Yves Migeon, responsable marketing de Sun France. Les serveurs T5120 et T5220 seront vendus respectivement à partir de 11 500 € et 12 300 €. Aucun prix n'a été livré pour le lame T6320. (...)

(08/10/2007 18:08:39)

Du Web 2.0 pour gérer des salles de serveurs chez IBM

« L'administration des salles de serveurs est le sujet le plus brûlant pour nos clients qui veulent maîtriser leurs coûts opérationnels », affirme Steven A Mills directeur de l'activité Logiciel d'IBM. Fort de ce constat, Big Blue propose QEDWiki Mashup Maker qui, par le biais de techniques issues du Web 2.0, permet au personnel alloué au salle de serveur de perdre moins de temps en procédure d'administration. Ce logiciel est capable de mélanger dans une même interface des fonctions issues de différents logiciels d'administration de systèmes Tivoli. Pour cela, les chercheurs d'IBM ont inséré des architectures orientées services (SOA) au sein des produits Tivoli, puis créer les « widgets » correspondants. A travers IBM Director, la plateforme principale de Tivoli, les utilisateurs peuvent accéder à la bibliothèque entière de widgets. Et les assembler simplement pour avoir l'interface qui correspond à leurs besoins, même si les outils proviennent à l'origine de logiciels Tivoli différents. Puisqu'il ne s'agit que d'un panneau de configuration - et non d'un logiciel à part entière -, chaque administrateur peut créer son propre ensemble et le faire évoluer au fil du temps et de ses besoins. Si aucune date pour la version finale de QEDWiki Mashup Maker n'a été indiquée, les personnes intéressées peuvent déjà en tester une version bêta sur le site d'IBM. (...)

(08/10/2007 16:38:01)

Google et IBM forment les étudiants US aux environnements clusters

IBM et Google veulent accélérer les formations liées aux centres de calcul. Les deux groupes qui, chacun, ont de vastes intérêts dans les architectures en cluster des data centers, ont inauguré un programme d'enseignement autour du « cloud computing ». Leurs objectifs : d'abord étendre les recherches dans le domaine, mais également permettre à des étudiants de mieux apprendre la programmation réalisée dans le cadre d'environnements en cluster. Six universités sont associées au programme : Carnegie Mellon, le MIT (Massachusetts institute of technology), les universités de Californie, Berkeley, du Maryland, de Standford et enfin de Washington. Selon les termes du partenariat, Google et IBM se sont engagés à bâtir deux centres de calcul. Le moteur de recherche mettra également à disposition une partie de son logiciel d'administration en Open Source et construira un centre renfermant plus de 1 600 processeurs d'ici à la fin de l'année, a indiqué le New York Times. Au total, les deux groupes financeraient le projet à hauteur de 30 M$, répartis sur deux ans. (...)

(04/10/2007 18:11:25)

La virtualisation est indissociable du stockage

Dans les centres serveurs, l'heure est à la virtualisation. Vue comme la panacée au niveau de l'optimisation des ressources systèmes, elle est aussi à l'ordre du jour du côté du stockage des données. Voire, dans certains cas, c'est par là que commence la désolidarisation du "soft", de l'information et du matériel. Le SAN, qui peut aussi conserver les images des machines virtuelles exploitées au-dessus d'un hyperviseur, présente aussi l'avantage, pour ses promoteurs, d'un débit d'entrée-sortie suffisamment important pour répondre aux sollicitations non plus d'un serveur, mais bien de plusieurs d'entre eux hébergés virtuellement sur la même machine. Toutefois, il reste encore des adhérences et des conflits. Côté conflit, cela se déroule entre VMware et les spécialistes du stockage. Chacun voyant midi à sa porte, la vision du réseau diffère. Les fournisseurs d'outils de stockage voulant plus de contrôle pour contrôler la gestion de charge et la sécurisation des données. Pour l'heure, on ignore encore qui, des logiciels de virtualisation ou des switches, hériteront de ces missions. Quant à l'adhérence, à l'adressage physique en l'occurrence, elle est en passe de disparaître grâce à NPIV (N-Port ID Virtualization), qui permettra de partager un port physique entre différents ports virtuels. Cette évolution vers des configurations plus importantes n'empêche pas pour autant la fibre optique (Fiber Channel) d'être toujours concurrencée par l'iSCSI sur réseau TCP/IP. Là, il est question de rapport performances/prix. (...)

(04/10/2007 11:37:32)

Des forêts de nanotubes pour rafraîchir les puces

Les ingénieurs du Brick Nanotechnologie Center du Purdue's Discovery Park ont démontré qu'ils pouvaient faire pousser de façon cohérente des nanotubes de carbone à la surface de puces informatiques. Ces faisceaux de nanotubes se révéleraient être de bien meilleurs « réservoirs de chaleur » que des matériaux d'interface comme la graisse, la cire ou les feuilles d'indium, que l'on utilise traditionnellement pour dissiper l'énergie thermique des composants informatiques. En outre « ils n'auraient pas les inconvénients de ces derniers. Les graisses et les cires employées durent moins longtemps qu'un tapis de nanotubes, tandis que les feuilles d'indium n'ont pas un contact optimal avec la puce », à en croire Placibus B.Amama, un postdoctorant coauteur des travaux. Pour faire pousser leurs mini-tubes, les scientifiques ont fabriqué des tuteurs à partir de molécules appelées les dendrimers, dont la forme évoque celle des branches d'arbres. Ces dendrimers sont fixés sur la surface de silicium et forment un chapelet en imbriquant leurs ramifications les unes dans les autres. Des catalyseurs métalliques vont ensuite se fixer dans les interstices laissés entre les ramifications des dendrimers. Ce sont ces catalyseurs qui vont attacher les atomes de carbone les uns aux autres. L'ensemble est par la suite chauffé à une température qui brûle les dendrimers, ne laissant derrière eux que les longs filaments de catalyseurs métalliques. La dernière étape consiste à placer le tout dans un bain de méthane, et de soumettre l'ensemble à des micro ondes qui vont briser les molécules de méthane. Les atomes de carbone, ainsi libérés, n'ont plus qu'à être captés par les catalyseurs accrochés à la puce pour former des tubes. Selon Placibus B.Amama, « il est possible de contrôler la taille des dendrimers, donc en bout de chaîne il est possible de moduler le diamètre des nanotubes de carbone. Nous pouvons aussi régler le nombre et la densité des nanotubes de carbone, ce qui est très important pour la capacité de notre forêt à dissiper la chaleur». (...)

(04/10/2007 10:06:43)

Puppy Linux sort dans une version 3.0 compatible Slackware

Le tout petit « Puppy Linux » sort dans une version 3.0 dont la principale nouveauté est sa compatibilité avec Slackware, l'une des plus anciennes distributions de Linux et aussi l'une des plus proches d'Unix. Ce qui distingue Puppy Linux des autres distributions du système d'exploitation, c'est qu'il peut s'exécuter directement à partir d'un CD. Avec ses 97,6 Mo, il ne requiert aucune installation sur disque dur pour être utilisé. Système d'exploitation et applications : tout fonctionne entièrement en mémoire vive. Puppy Linux est proposé avec des applications comme SeaMonkey/Mozilla Application Suite, AbiWord, Sodipodi, Gnumeric et Gxine/xine. Si l'on en croit le développeur Barry Kauler, la version 3.0 est une mise à jour majeure. Il est maintenant possible d'utiliser des packages Slackware sur Puppy. « La plupart des bibliothèques dans Puppy viennent désormais de Slackware », commente Barry Kauler en se hâtant de préciser : « Cela n'en fait pas un clone de Slackware pour autant. Puppy est unique en son genre. » Barry Kauler dit avoir totalement réécrit les scripts qui contrôle le démarage de Puppy, sa configuration et sa fermeture. (...)

(03/10/2007 17:28:44)

HP et IBM dominent le marché des serveurs X64

Le Gabriel Consulting Group (GCG) a scruté en profondeur près de 300 responsables anglo-saxons de centres serveurs X64 au cours du deuxième trimestre 2007. Une équation maison permet de mesurer le niveau de satisfaction globale de ces utilisateurs. Autant le dire tout de suite, sur les quatre fournisseurs (Dell, IBM, HP et Sun), c'est HP qui se détache du lot et Dell qui se retrouve à la traîne. HP et IBM monopolisent la plupart des premières places sur l'ensemble des critères de l'étude. Le GCG souligne la troisième place de Sun, qui est pourtant un nouveau venu sur le secteur des serveurs X64, largement devant Dell. 55% des décideurs indiquent que leurs choix sont fortement influencés par la consommation électrique des systèmes et leur surface au sol. Plus important encore, 65% affirment que ces deux paramètres auront encore plus d'importance dans le futur. Le poids de la virtualisation est un corollaire de ces positions. 63% des responsables interrogés déclarent soit tester soit utiliser la virtualisation sur tout ou partie de leur parc de serveurs x64. La moitié d'entre eux prévoit que la virtualisation va se généraliser. Du coup, plus de la moitié des 297 personnes interrogées indiquent qu'elles comptent acheter moins de serveurs dans le futur, mais plus puissants. L'indice global du GCG est le résultat de plusieurs questionnaires qui portent sur la technologie (14 critères), d'une part, le support et le service (20 critères), d'autre part. Lorsque l'on compare ces quatre sociétés en terme de technologie, c'est IBM qui arrive en tête, suivi de près par HP. Arrive ensuite Sun tandis que Dell est nettement distancé. Pour le support, les deux derniers placés sont les mêmes, mais, cette fois-ci, HP arrive en tête devant IBM. A noter que 83% des entreprises interrogées déclarent utiliser des serveurs de trois fournisseurs différents, voire plus encore. Près d'un tiers ont un parc avec cinq marques ou plus, y compris des systèmes construits en interne. Seulement 6% des entreprises qui ont répondu sont parvenues à ne faire appel qu'à un seul constructeur. Selon le GCG, 46% des 297 responsables ayant répondu à l'enquête travaillaient dans une PME. Quant aux multinationales, elles représentent 13% des réponses. (...)

(03/10/2007 13:13:25)

Un conteneur spécial pour les vieilles versions de Solaris

Sun disposait déjà d'un partitionnement maison pour les machines virtuelles basées sur ses serveurs, les LDoms (pour Logical Domains), mais ces derniers étaient réservés aux processeurs maison, les Sparc T1 et T2. Pour les serveurs basés sur des processeurs X64 d'Intel ou d'AMD, Sun intégrera les xVM (x pour x64, VM pour virtual machine) à OpenSolaris. Basés sur l'hyperviseur Open Source Xen, ils répondent à la même logique que les LDoms, qui permettent de supporter une instance virtuelle par thread de processeurs. Plus intéressant, ces xVM pourront supporter des instances utilisant de vieilles version de Solaris, au moins jusqu'à Solaris 8 et peut être jusqu'à Solaris 2.1 (lancé en 1993). Pour en avoir l'exacte portée, il faudra attendre mars 2008 et la version finale de Project Indiana. A cette date, les xVM devraient être intégrés à la fois dans Open Solaris et dans Solaris. (...)

(02/10/2007 18:01:52)

Sun (ré)intègre le stockage à la division serveurs

«Je vais radicalement augmenter l'implication de Sun dans le stockage. Comment ? Je vais combiner nos équipes Stockage et Serveurs pour créer un nouveau groupe au sein de Sun connu comme notre équipe Systèmes. » Par cette annonce sur son blog, Jonathan Schwartz, PDG de Sun, annonce encore une réorganisation de la partie stockage de sa société à l'heure où celle-ci supprime de 4 à 5000 postes dont un nombre indéterminé dans les deux divisions. John Fowler, qui dirige pour l'instant la division Serveur prendra la tête de cette nouvelle entité. Pour lui, cette fusion sera source d'innovation : « nous allons consacrer beaucoup d'énergie au point d'intersection entre le lieu où vous stockez vos affaires et celui où vous faites les calculs. Vous nous verrez aussi dépenser beaucoup d'énergie sur notre portefeuille logiciel. Nous voulons avoir une plateforme réellement ouverte autour de Solaris pour permettre l'exploitation du stockage et de ses capacités, ainsi que l'utilisation d'autres matériels, logiciels et technologies en provenance de Sun. » Pour John Webster, analyste au cabinet d'étude Illuminata, avec cette fusion Jonathan Schwartz mise une fois de plus sur la propriété intellectuelle de Sun : « Jonathan essaie de tirer partie des droits de Sun dans le monde de Solaris de toutes les manières possibles et le stockage est l'une d'entre elle. Assembler ces deux organisations fait donc tout à fait sens de ce point de vue ». Plus simplement, c'est aussi une excellente façon de rationaliser ses ventes : « C'est logique d'avoir le stockage et les serveurs dans la même division car ils sont souvent vendus ensemble », explique Charles King du cabinet Pund-IT. « Vous vous adressez aux mêmes clients, il y a de véritables économies d'échelle à faire en centralisant ainsi le marketing et la publicité. » (...)

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