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Infrastructure serveur

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(24/10/2007 15:58:21)

IForum 07 : Citrix affiche ses ambitions en matière de virtualisation

C'est un Mark Templeton souriant qui a ouvert hier la conférence iForum de Las Vegas devant près de 4000 personnes. Dopé par des ventes en forte progression (près de 350 M$ au dernier trimestre), mais aussi par l'acquisition récente de XenSource, Citrix servirait désormais près de 70 millions d'utilisateurs en entreprise avec ses outils de livraison d'applications, notamment Presentation Server (ex-Metaframe). Le PDG de la firme estime que près de 800 000 serveurs s'appuient désormais sur ses solutions d'infrastructures (chiffre incluant les serveurs virtualisés avec XenServer), une base sur laquelle elle entend s'appuyer pour poursuivre sa marche en avant. Mark Templeton a largement profité de son discours d'ouverture d'iForum pour afficher les ambitions de Citrix sur le marché de la virtualisation. Après avoir annoncé la finalisation du rachat de XenSource, il a présenté une stratégie ambitieuse couvrant à la fois les besoins de virtualisation côté serveur et côté client ainsi que la chaîne complète de distribution d'applications Windows. Citrix a déjà un pied dans le secteur avec ses technologies de "livraison" de bureau virtuel (Citrix Desktop Server peut ainsi délivrer un bureau Windows tournant sur une ferme de serveurs virtualisés, un serveur Presentation Server ou un PC en lame à n'importe quel PC ou terminal au travers d'un client ICA) et avec ses solutions de streaming applicatif et de streaming OS (issues du rachat d'Ardence fin 2006). Mais jusqu'alors il ne disposait pas des technologies nécessaires pour s'attaquer à la virtualisation d'infrastructures. Choc frontal avec VMWare Le rachat de XenSource change la donne et devrait amener Citrix à engager une bataille frontale avec VMWare. Mark Templeton compte notamment s'appuyer sur des tarifs biens inférieurs à ceux de son concurrent (les solutions de Citrix seront grosso modo 40% moins chères que celles de VMWare). Il parie aussi sur les avantages intrinsèques de XenServer, notamment son modèle de développement Open Source et des performances qui seraient supérieures, du fait de l'architecture paravirtualisée de l'hyperviseur. Citrix entend aussi utiliser son crédit auprès des grands constructeurs de serveurs et des grands éditeurs pour améliorer le support de XenServer par ces fabricants. HP a ainsi profité d'iForum pour annoncer qu'il certifierait désormais XenServer sur l'ensemble de ses serveurs Proliant et de ses serveurs lames. Un représentant de la firme présent sur le salon nous a expliqué que jusqu'à l'acquisition par Citrix, XenSource était vu comme un partenaire de second rang et que le rachat a considérablement amélioré le support par HP avec l'allocation de ressources d'ingénierie dédiées au support du produit. Dell a également annoncé un support similaire de Xen Server sur ses gammes de serveurs x86 PowerEdge, un support qui s'ajoute aux partenariats déjà noués aec Citrix, notamment autour de Provisionning Server. Dans la bataille qui s'engage, Citrix mise aussi sur son partenariat avec Microsoft. XenServer sera compatible avec les technologies de virtualisation de Microsoft, et les "Hypercalls" de l'hyperviseur Windows et de XenServer seront identiques. Microsoft supportera aussi ses solutions sur la plate-forme XenServer, ce qui est toujours loin d'être le cas sur VMWare. Au delà de l'hyperviseur, Citrix entend aussi soigner ses outils d'administration à commencer par XenCenter. Avec le lancement en août de Xen Entreprise v4, l'éditeur a aussi livré des outils de déplacement dynamique de machines virtuelles (XenMotion) et il prépare le lancement pour les mois à venir d'outils d'automatisation du datacenter et de Disaster Recovery. Ces derniers s'appuieront sur la couche de gestion du stockage de Symantec, Veritas Storage Foundation, intégrée depuis la v4 dans XenServer. Il est à noter qu'à terme Citrix indique que ses outils d'administration supporteront aussi bien l'hyperviseur XenServer que Viridian, l'hyperviseur de Windows Server 2008. (...)

(19/10/2007 17:15:28)

Bull se renforce sur le calcul haute performance avec Serviware

Le groupe français Bull profite de l'annonce de ses résultats trimestriels pour confirmer l'acquisition de Serviware, un spécialiste hexagonal de l'intégration de solutions de calcul de haute performance (HPC). Bull indique renforcer ainsi un axe stratégique pour lui, avec une offre qui complète la sienne dans les centres de recherche dit « intermédiaires » (centres faisant partie d'un réseau de calcul mais souhaitant par ailleurs disposer de ressources HPC locales). Ce rachat s'inscrit dans le programme 7i lancé par Bull en mars dernier. Un programme qui inclut la volonté de démocratiser le HPC en permettant aux entreprises d'accéder à des solutions de simulation dans le cadre de leur processus d'innovation. Le groupe entend associer ses propres offres de HPC (basées sur sa gamme Novascale, allant du serveur départemental de calcul intensif au supercalculateur) à celles de Serviware pour simplifier aux moyennes et grandes entreprises le déploiement de ce type de solutions. Serviware garde son indépendance opérationnelle Serviware a développé un centre de compétences pour la mise en production (avec engagement de résultat) de systèmes d'information dans le cadre de projet d'informatique scientifique (stockage, sauvegarde, calcul et visualisation graphique). Il est très impliqué sur la revente de solutions de clustering sous Linux et propose également des services de développement spécialisé, de calcul à la demande, d'hébergement et de location d'équipements préconfigurés (allant de la station de travail à la ferme de serveurs). L'intégrateur, qui intervient principalement dans les environnements HP, IBM et Sun, disposera maintenant du soutien technologique et commercial de Bull. Il est néanmoins prévu qu'il garde son indépendance opérationnelle, ses propres structures et ses dirigeants. +2,5 % sur le chiffre d'affaires au 3e trimestre Bull a réalisé sur le troisième trimestre un chiffre d'affaires de 243,3 M€, en progression de 2,5 % à périmètre retraité, c'est-à-dire en tenant compte des cessions des activités italiennes et portugaises (le fournisseur avait réalisé un chiffre d'affaires de 250 M€ au 3ème trimestre 2006). Le groupe indique une augmentation de 18,4 % de ses activités de services et solutions sur le trimestre. Son résultat net n'est pas communiqué, ses résultats trimestriels n'étant pas encore audités. (...)

(18/10/2007 17:44:26)

Virtual Iron se met à portée des PME américaines

On se bouscule au portillon des solutions de virtualisation préinstallées sur les serveurs. Aux Etats-Unis, la division Advanced Infrastructure Solutions (AIS) du grossiste TechData et son réseau de revendeurs ont décidé de soutenir la suite logicielle de Virtual Iron au point de le préinstaller sur deux serveurs, l'un de chez HP, l'autre de chez IBM. Fondé sur l'hyperviseur Xen, Virtual Iron v4 Extended Enterprise Edition pourra être livré pré-installé sur les serveurs HP ProLiant DL380 G5, DL385 G5 ainsi que les lames qui viennent s'enficher dans le boitier BladeSystem c3000 dédié aux PME. Chez IBM, le préchargement se fera sur les System x 3500, 3550 et 3655. L'annonce de TechData et de Virtual Iron vise le réseau des VAR (Value added resellers) qui s'adresse aux PME. La précision du ciblage s'inscrit dans la stratégie de Virtual Iron qui vise en priorité les PME. Cette annonce tombe quelques jours après celle de VMWare qui se prend à regarder le marché des PME avec les yeux de Chimène. Pour réduire les prix de son offre, VMWare propose des packages baptisés "acceleration kits". Au nombre de trois, ce sont des versions d'Infrastructure 3 plus ou moins bridées. Le premier kit inclut des licences pour trois serveurs bi-processeurs. L'ensemble est annoncé à 3000 $. Chez TechData France, on n'envisage pas pour l'instant d'importer cette offre. (...)

(17/10/2007 12:15:52)

Google dépose un brevet sur les salles de serveurs mobiles

Google se lancerait-il dans l'infrastructure ? C'est ce que pourrait laisser supposer le brevet n° 2 278 273 obtenu par le groupe la semaine dernière. Sous ce numéro se cache un brevet pour construire des salles de serveurs modulaires et mobiles. C'est à dire des solutions ressemblant trait pour trait aux offres que proposent déjà Sun (projet Black Box), IBM (Scalable Modular Data Center) et Rackable Systems (ICE Cube). Au-delà de la légalité de ce brevet, les spéculations vont bon train sur la raison pour laquelle Google l'a déposé. De la simple course aux droits intellectuels en prévision de futurs procès, à la volonté pour Google de se transformer en fournisseur de services Internet, en passant par l'installation de centres de calcul mobiles pour couvrir ses propres besoins, tout est possible. Pour Mike Davis, analyste senior chez Ovum, la réponse finale nous surprendra : adepte de la diversification à outrance, « Google fait toujours quelque chose de différent. Il est peut être inquiet que quelqu'un d'autre fasse le premier pas vers sa prochaine bonne idée. » (...)

(16/10/2007 15:20:40)

Les salles de serveurs responsables de 23 % des émissions de gaz carbonique

Si les PC et les écrans génèrent 40 % des émissions de gaz carbonique de l'industrie high-tech, les salles de serveurs en génèrent 23 % à elles seules. Le cabinet d'analystes Gartner confirme bien aujourd'hui que le secteur, en étant globalement responsable de 2% des émissions de gaz carbonique, n'est pas plus écologiquement propre que le transport aérien. Et ce chiffre risque d'être en constante augmentation. Rakesh Kumar, vice-président du Gartner, précise même : « Il y a trois principales raisons à ces fortes émissions : l'absence d'espace au sol, l'incapacité à héberger des serveurs haute-densité, une consommation électrique et une génération de chaleur accrue. Ces trois problèmes agissent sur le coût d'exploitation des salles de serveurs. Ainsi, nous prédisons que l'énergie de consommation des processeurs seuls augmentera dans les dix prochaines années. » Et s'il est difficile de supprimer PC et moniteurs sur le bureau des salariés, les entreprises peuvent réaménager leurs salles de serveur pour contrôler les émissions de CO2. (...)

(12/10/2007 16:46:30)

Cinq mesures pour freiner la consommation des salles de serveurs

« Ce sont des changements simples que tout le monde peut faire pour réduire sa consommation d'énergie de 10 à 15 % dès la première semaine. » Jim Smith, vice-président d'une société spécialisée dans le design de salles de serveurs, livre en cinq recommandations pour freiner la consommation des salles de serveurs. Alterner espaces chauds / espaces froids Le plus souvent dans les appareils informatiques, l'air frais entre en façade et la chaleur se dissipe vers l'arrière. Et une répartition classique consiste donc à mettre côte à côte les serveurs pour obtenir des espaces d'air frais et des espaces plus chauds. Mais certains appareils exhalent l'air chaud par le haut ou les côtés, ceux ci doivent donc être placés en tenant compte de ces particularités - dans une section à part ou en les disposant sur la tranche - pour ne pas casser l'ordonnancement allées chaudes/allées froides. Un réglage de la chaleur et de l'humidité « La plupart des gens croit qu'une salle de serveurs doit être fraîche. En réalité, elle doit être légèrement chaude et humide. » Idéalement à une température de 23° C et 50 % d'humidité. En augmentant la température de la salle d'un degré, il serait possible d'économiser jusqu'à 4 % d'énergie selon Sun. La récupération de l'air Dans un environnement contrôlé, chaque mouvement d'air coûte de l'énergie. Assurez vous de placer les arrivées d'air frais le plus près possible des endroits à refroidir. Et vérifiez régulièrement l'état de votre installation pour éviter les fuites. Des grilles intelligentes Dans les allées froides, des perforations au plafond permettent de récupérer l'air frais pour l'amener aux zones plus chaudes. Attention à ce que de telles perforations ne soit pas situées au dessus des allées chaudes, sinon la circulation de l'air serait inversée. Pensez à vérifier ces perforations à chaque changement dans la configuration de la salle. Des parois mobiles Une autre façon de mieux contrôler la circulation de l'air est de mettre des parois entre les zones chaudes et les zones froides, afin d'éviter les fuites. Si possible des parois mobiles pour s'adapter aux modifications. « Dans nos salles de serveurs, nous utilisons des plaques de plexiglas maintenus par du velcros, » explique John Smith. (...)

(22/10/2007 10:26:29)

Précisions d'HP France sur HP-UX 11i

A la suite d'un article paru le 5 octobre dernier à propos d'HP-UX, HP nous a communiqué les précisions suivantes : VSE (Virtual Server Environment) n'est pas le nom de l'hyperviseur d'HP-UX, mais un ensemble de technologies et produits. Dans celui-ci, on trouve des outils de partitionnement et virtualisation (dont l'hyperviseur qui porte le nom d'Integrity Virtual Machines), des logiciels de haute disponibilité et cluster, et des produits permettant la variation des coûts de l'informatique avec l'adaptation des ressources en fonction des besoins (Capacité Instantanée iCAP). Par ailleurs, l'hyperviseur Integrity VM supporte les OS invités HP-UX 11iv2 (depuis novembre 2005) et v3 (mars 2007), Windows 2003 (octobre 2006), Linux (juin 2007), et bientôt OpenVMS. Nous avions écrit que le support de Windows 2003 n'arrivait que dans les jours à venir. Enfin, selon IDC, les ventes de serveurs à base d'Itanium, parties de 479 M$ en 2003, sont passées à 1,3 Md$ en 2004 (+188%), à 2,2 Md$ en 2005 (+61%) et à 3,2 Md$ en 2006 (+43%). "On n'est pas sur une exponentielle, mais la progression est soutenue", constate Benoît Maillard, en charge du marketing des serveurs critiques chez HP France qui souligne que les ventes autour du processeur Itanium progressent plus vite que celles autour des processeurs Sparc (Sun) et Power (IBM). Outre HP, les constructeurs suivants proposent des systèmes à base d'Itanium : Unisys, NEC, Fujitsu, Silicon Graphics, Hitachi et Bull (client de NEC). (...)

(11/10/2007 15:22:50)

Dell se lance dans le client centralisé avec Citrix

Dell débarque avec pragmatisme sur le marché du client centralisé. Il propose une solution préconfigurée autour de Citrix sur un serveur avec des PC standards dépourvus de disque dur. On est assez éloigné des approches plus sophistiquées d'IBM ou d'HP, soit à base de clients légers ou fins, soit à base de PC blades hébergés en salle machine avec un terminal déporté. Mais l'offre de Citrix a fait ses preuves. Dell transforme intelligemment une faiblesse, sa quasi-absence de R&D, en une force : pré-packagée, son offre n'utilise que des éléments habituels, à savoir un serveur PowerEdge 2950 bi-Xeon avec un serveur de stockage 2900, un commutateur PowerConnect Gigagit Ethernet et, en guise de postes clients, des PC de bureau Optiplex 745 et 755. Le logiciel est le Provisioning Server de Citrix, technologie de streaming OS/applicatifs acquise lors du rachat d'Ardence fin 2006. Dell affirme que Citric Provisioning Server permet de supporter jusqu'à 100 clients sur un serveur standard. Ce qui constitue un record. De plus, les Optiplex apporteraient un meilleur affichage et permettraient de lancer des applications multimédias. On-Demand Desktop Streaming sera commercialisé à partir du mois prochain aux Etats-Unis au prix de 1100 dollars par poste client. (...)

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