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Infrastructure serveur
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(06/10/2006 17:20:12)
IBM dope sa gamme Tivoli avec ses récentes acquisitions
IBM vient d'annoncer une nouvelle série de logiciels et de services basés sur des technologies rachetées au cours des derniers mois. La plupart viennent doper l'offre existante de Tivoli. Les nouveaux outils intègrent des technologies provenant des rachats de MRO Software, Micromuse, Rembo Technology, Isogon, Collation et CIMS Labs, et ils ont pour objectif de simplifier la gestion de leurs actifs par les entreprises. Ce mois-ci, IBM devrait lancer une nouvelle mouture de Tivoli Change and Configuration Management Database (CMDB) qui intégrera les technologies de Collation, mais aussi certaines des technologies de visualisation héritées de MicroMuse. Cet outil de CMDB permet de suivre les modifications apportées aux différents éléments du SI (serveurs, stockage, réseaux, middleware et applications). Big Blue devrait aussi lancer IBM Service Management Self-Assessment Toolkit, un service en ligne gratuit destiné à aider les entreprises dans leur transition vers les architectures orientées services (SOA). Enfin, la firme va lancer IBM Tivoli Unified Process Composer, un outil destiné à simplifier le démarrage d'une approche de service management. Big Blue lancera enfin au dernier trimestre 2006 une nouvelle mouture d'IBM Tivoli Capacity Process Manager, son outil de gestion des capacités et de suivi de performances. L'outil devrait capitaliser sur le savoir faire de MRO software. (...)
(05/10/2006 17:42:02)Un cluster Opteron de plus de 400 Tflops pour l'Université du Texas
L'université du Texas à Austin va se doter d'une grappe de serveurs Sun Fire d'une puissance de calcul de plus de 400 Tflops. La grappe devrait regrouper quelques 13 000 processeurs Opteron quadri-c?urs épaulés par 100 To de mémoire vive et 1,7 Po - 1700 To - de stockage, sur des équipements Sun StorageTek. La grappe devrait être achevée courant 2007 pour être pleinement opérationnelle en 2008. Elle sera utilisée pour des travaux de recherche variés, de l'étude de l'univers à la biologie. Dans un communiqué, l'Université du Texas indique de cette grappe pourrait « aider les scientifiques à améliorer leurs prédictions de la météo, des ouragans, des tremblements de terre de même qu'à essayer de comprendre les supernovaes, les trous noirs et les structures des protéines. » La grappe sera hébergée et exploitée par le centre d'informatique avancée du Texas (Texas Advanced Computing Center, TACC). Le projet va coûter 59 M$. Il est intégralement financé par la Fondation américaine pour la Science (National Science Foundation, NSF). L'Université de Cornell et l'Institut d'informatique de haute performance de l'Arizona sont également associés au projet. (...)
(04/10/2006 17:54:12)IBM va dépenser 100 M$ sur cinq ans pour rendre ses mainframes plus simples
IBM a annoncé un plan quinquennal pour simplifier l'utilisation de ses grands systèmes. Big Blue va investir 100 M$ au cours des cinq prochaines années pour développer de nouveaux outils logiciels destinés à simplifier l'administration de ses serveurs series Z mais aussi à simplifier leur programmation et la maintenance des applications. L'un des objectifs d'IBM est de fournir des outils plus intuitifs avec ses machines, des outils à base d'assistant ou d'automate similaires à ceux que proposent les environnements distribués depuis des années. Ces outils pourraient permettre de réduire de cinq ans à trois ans, le temps nécessaire à la formation d'un administrateur système mainframe qualifié. (...)
(05/10/2006 10:17:48)VMWare lance la bêta de Converter 3.0
VMware vient de lancer une version bêta de VMWare Converter 3.0, un nouvel outil gratuit de gestion et de conversion de machines virtuelles. Comme l'actuel outil payant P2V Assistant, VMware Converter 3 assure la migration de serveurs physiques vers des machines virtuelles (physical-to-virtual ou P2V) mais aussi la conversion de machines virtuelles tierces vers des machines virtuelles Vmware (virtual-to-virtual ou V2V) . SelonVMware le nouveau logiciel combine les fonctions de P2V Assistant et VMware Virtual Machine Importer. L'outil permet de créer des machines virtuelles depuis tout environnement physique tournant sous Windows XP, Windows Server 2003 (y compris 64 bit) ainsi que Windows 2000 et Windows NT 4 SP4+. Il ne supporte en revanche toujours pas la conversion de machines virtuelles Linux, ce que certains outils tiers comme PlateSpin PowerConvert commencent à faire. VMware converter sait aussi importer les anciens formats de machines virtuelles VMWare pour les convertir au format le plus récent et il sait aussi convertir les machines virtuelles créées dans Microsoft Virtual Server et Virtual PC. Il peut aussi importer les disques clonés par Symantec Backup Exec System Recovery. VMware converter permet également aux administrateurs de déplacer des machines virtuelles entre différents environnements (test, développement, production) et il permet aussi de cloner d'instancier à la volée des machines virtuelles en grande quantité. L'un des intérêt de l'outil est que la migration du physique vers le virtuel peut désormais s'opérer sans interrompre la production. De même, il est possible de cloner des serveurs à distance sans avoir à recourir à un CD de Boot spécifique et sans avoir à intervenir physiquement sur la machine à cloner. VMware indique aussi que les performances ont été améliorées par rapport aux outils antérieurs et que l'outil supporte désormais un nombre accru de systèmes et de configurations matérielles et logicielles. VMware Converter 3 est actuellement en phase bêta et peut être téléchargé sur le site www.vmware.com/converterbeta. la version finale est attendue au premier trimestre 2007. (...)
(02/10/2006 17:29:44)L'offre d'essai gratuit de serveurs de Sun attire une majorité de nouveaux clients
Essayer avant d'acheter. Le nouveau slogan de Sun (try and buy) semble lui réussir : le constructeur indique que 60% de ses serveurs à base de processeurs Niagara proposés à l'essai pendant 60 jours ont été commandés par de nouveaux clients. Les Niagara, nom de code des processeurs UltraSparc T1, font partie d'un programme Open Source initié par Sun, OpenSparc, pour bâtir un écosystème autour de sa puce. Les spécifications (RTL, Register Transfer Language) sont libres depuis le début de l'année. Sun estime que le RTL a été téléchargé environ 3500 fois, tandis que le code pour concevoir une application devant tourner sur le T1 compte 2600 téléchargements. Pour Nathan Brookwood, analyste senior du cabinet d'études Insight 64, et membre du comité de gouvernance du programme OpenSparc, l'intérêt des nouveaux clients n'est cependant pas motivé par l'aspect Open Source mais plutôt par le rapport performances/émission de chaleur. « Sun n'avait pas vraiment de produits UltraSparc suffisamment séduisant pour convaincre un client n'appartenant pas déjà au camp de Sun », explique-t-il. Mais le T1 changerait la donne : « Si vous avez un centre de données qui a des soucis avec les émissions de chaleur mais doit fournir davantage de puissance, alors c'est comme un don du ciel. » Plus prosaïquement, l'offre tombe à point pour renforcer le constructeur sur un marché des serveurs où il commence justement à reprendre des couleurs. (...)
(02/10/2006 12:30:23)Microsoft assouplit les règles de commercialisation de Windows Server Data Center Edition
Microsoft vient de commencer à commercialiser directement Windows Server 2003 R2 Datacenter Edition aux entreprises désireuses d'acquérir des licences en volume. En outre, l'éditeur donne désormais à ces entreprises le droit d'utiliser son système d'exploitation sur un nombre illimité de serveurs virtuels. Cette disposition n'exonère pas les entreprises concernées de l'obligation d'acquérir une licence pour Microsoft Virtual Server 2005R2. Cette offre concerne les serveurs bi-processeurs et au-delà. Précédemment, les entreprises ne pouvaient accéder à Windows Server 2003 R2 Datacenter Edition que via l'achat de serveurs multi-processeurs pré-configurés par leur constructeur. (...)
(28/09/2006 17:51:07)Refroidissement liquide : IBM va licencier sa technologie
IBM va licencier sa technologie de refroidissement liquide pour racks de serveurs à Panduit, un fabricant américain de systèmes de câblage pour les datacenters. Lancé l'an passé, l'IBM Rear Door Heat eXchanger est un panneau à refroidissement liquide d'environ 15 cm d'épaisseur qui s'installe sur l'arrière d'un rack dans un centre de données et optimise son refroidissement. Selon IBM, le système permettrait de réduire de près de 55% la quantité de chaleur dissipée dans le datacenter, diminuant d'autant les besoins en climatisation. L'échangeur de chaleur de Big Blue fait partie de la famille CoolBlue dont l'objectif est de permettre une meilleure gestion de la dissipation thermique dans les datacenters. Selon IBM, le recours au refroidissement liquide est la conséquence de la densité croissante des serveurs x86, mais aussi un moyen de réduire les coûts de climatisation. Les technologies de refroidissement liquide sont en effet très efficaces par rapport à leur coût. Michael Bell, un analyste de Gartner, souligne toutefois la grande réticence des responsables de datacenter à réintroduire de l'eau dans leurs centres, du fait notamment de leurs craintes de dégâts en cas de fuite. Mais, selon lui, le retour de l'eau dans les datacenters est inévitable du fait de la hausse continue des factures d'électricité pour le refroidissement par air des grands centres informatiques. Bell note ainsi que le refroidissement d'un serveur coûte désormais presque aussi cher que son acquisition. IBM n'est d'ailleurs pas le seul à s'intéresser au refroidissement liquide. HP a lancé son propre système pour ses racks serveurs en janvier et Egenera a dévoilé le même mois sa solution CoolFrame basée sur la technologie de refroidissement X-Treme Density de Liebert, une filiale d'Emerson Electric. (...)
(26/09/2006 17:50:04)Oracle réaffirme son soutien à Itanium
Oracle vient de réaffirmer son soutien à Itanium avec l'annonce du début du processus de certification de son système de gestion de bases de données pour les serveurs animés par Itanium 2 d'Intel. Les membres de l'Itanium Solutions Alliance n'ont pas manqué de se féliciter de cette annonce. Selon eux, ce sont désormais quelque 10 000 applications de 2 000 éditeurs différents qui sont désormais supportées pour la plateforme Itanium 2 « Montecito » lancée cet été. L'Itanium Solutions Alliance, fondée il y a tout juste un an, est notamment portée par Bull, Fujitsu-Siemens, Hitachi, HP, Intel, Nec, SGI et Unisys. Oracle est également membre de cette association, aux côté de BEA, Microsoft, Novell, Red Hat, SAP, SAS et Sybase. Le fait qu'Oracle réaffirme son soutien à Itanium n'est pas une surprise. L'analyste Joe Clabby, président de Clabby Analytics, relève que l'éditeur « y est presque contraint » : Oracle est l'un des principaux partenaires technologiques de HP et HP est l'un des principaux soutiens à Itanium avec une part de marché de 80 % sur le marché des serveurs Itanium. De fait, Oracle était déjà apparu aux côtés de HP en mars dernier lorsque le constructeur avait annoncé son intention d'investir plus de 5 Md$ d'ici à 2011 en recherche, développement, logiciels, équipements et services autour des serveurs Integrity à base de processeurs Itanium. Selon IDC, Itanium commence à convaincre les entreprises. Les ventes de serveurs à base du processeur Intel auraient généré un chiffre d'affaires de 740 M$ au cours du second trimestre 2006, soit 36,4 % de mieux que pour la même période en 2005. Le cabinet estime à 6,6 Md$ le marché des serveurs Itanium en 2009, contre 2,4 Md$ en 2005. (...)
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