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(08/03/2006 17:44:04)
IDF 2006 : Intel lève le voile sur sa nouvelle architecture processeur
Intel a officiellement levé le voile sur sa nouvelle architecture de puces bi-coeurs x86 64bit attendues pour le second semestre. Cette architecture devrait être déclinée en trois versions, Merom pour les PC portatifs, Conroe pour les PC de bureau et WoodCrest pour les serveurs a expliqué Justin Ratner, le CTO d'Intel. Les trois puces ont en commun une nouvelle microarchitecture baptisée Intel Core Microarchitecture (ex NGMA) qui promet des performances en hausse et une bien meilleure efficacité énergétique que l'actuelle génération de puces Intel. Par exemple, Merom devrait offrir des performances en hausse de 20% par rapport à l'actuelle Core Duo pour une consommation équivalente. Conroe, de son côté, devrait afficher des performances 40% meilleures que celle d'un Pentium D 950 avec une consommation réduite de 40%. WoodCrest, enfin, devrait afficher des performances supérieures de 80% à celles d'un Xeon bi-c?ur tout en réduisant la consommation de 35%. Ces résultats devraient permettre à Intel de revenir dans la course au rapport performances/prix avec AMD qui jusqu'alors le dominait dans la quasi totalité des compartiments du marché. Intel a également confirmé qu'il lancera des puces à quatre coeurs en 2007, des puces pour l'instant connues sous les noms de code Clovertown et Kentsfield. La firme devrait aussi proposer une version améliorée de sa technologie de virtualisation VT. VT-d devrait permettre d'étendre la virtualisation à la gestion des entrées/sorties, à la manière de ce que prévoit AMD avec sa technologie Pacifica. (...)
(06/03/2006 17:39:06)Intel riposte à l'Opteron d'AMD en lançant de nouveaux Xeon
Intel devrait profiter de son forum développeurs, qui s'ouvre demain à San Francisco, pour lancer une nouvelle famille de puces Xeon bi-coeur, nom de code Dempsey, destinée à remplacer l'actuel Xeon "Paxville", lancé en catastrophe à la fin 2005 pour contrer la progression des puces bi-coeurs Opteron. Les puces Xeon "Dempsey" sont des puces double-coeurs pour serveurs bi-processeurs (DP). Elles sont gravées en technologie 65 nm, embarque 4 Mo de cache (2 Mo par coeur) . Par rapport aux Xeon existants les puces Dempsey on l'avantage de supporter des fréquences pouvant atteindre 3,8 GHz et d'utiliser un bus système 1066 Mhz. Ces nouvelles puces devraient être couplées à un nouveau chipset (nom de code Blackford) supportant la mémoire FBD-DDR2 (Fully Buffered Dimm DDR2) pour une bande passante mémoire élargie et une latence réduite. Blackford devrait aussi supporter la technologie de virtualisation matérielle VT d'Intel. D'après les premiers tests de la puce, les Xeon Dempsey devraient permettre à Intel de revenir dans la course aux performances face aux derniers Opteron. En revanche, ils ne devraient guère améliorer la situation d'Intel en terme de consommation. Les Xeon Dempsey devraient ainsi afficher une consommation moyenne (TDP) d'environ 130 W et une consommation maximale de 150 W TDP, à comparer aux 95 W d'un Opteron 285 à 2,6 GHz. Des versions basses consommation de Dempsey, cadencées à 95 W devraient aussi être proposées par Intel mais elle utiliseront un bus dont la fréquence sera abaissée à 533 MHz, ce qui devrait notablement dégrader leurs performances. Dans la réalité, un serveur Xeon Dempsey typique devrait donc consommer entre 40 et 80% d'énergie en plus qu'un serveur Opteron équivalent selon la charge. En fait pour voir Intel redevenir vraiment compétitif avec les Opteron bi-coeur d'un point de vue ratio performance/consommation, il faudra attendre la prochaine génération de Xeon "WoodCrest" attendue au second semestre. WoodCrest utilisera la nouvelle architecture NGMA (Next Generation Micro-Architecture) développée par Intel sur la base de ses puces mobiles Pentium-M. WoodCrest devrait consommer environ 80 W si l'on en croit les premières données publiées par Intel. Entretemps AMD devrait avoir donné plus de précision sur l'évolution de ses puces Opteron et notamment leur passage en gravure 65 nm... (...)
(03/03/2006 18:03:47)Microsoft étend son programme de test d'Exchange 12
Pour respecter sa feuille de route, Microsoft a décidé de renforcer les équipes de son programme de test de la beta 1 d'Exchange 12. Et de recruter ainsi plus de 200 000 nouveaux testeurs sur son réseau de développeurs MSDN et TechNet, pour l'occasion. Microsoft avait en effet limité la première vague de test à seulement 1400 utilisateurs et partenaires. Selon sa feuille de route, l'éditeur de Redmond prévoit de sortir une beta 2 publique mi-2006, intégrant les principales améliorations d'Exchange 12. Avant la version finale, début 2007. La béta 1 propose les prochaines fonctionnalités prévu dans Exchange 12 en terme d'administration, de mise en conformité ainsi que de d'accès simultané à l'Inbox. (...)
(03/03/2006 17:59:29)HP et Intel s'emploient à rassurer sur Itanium
Tout va bien pour le monde Itanium. La croissance est là, les clients sont heureux, les processeurs sont remarquables et IDC prédit un futur radieux. Alors pourquoi ne pas rejoindre l'alliance des vainqueurs et acheter des serveurs d'entreprises standards HP, comme tout le monde le fait. Ceux qui ont suivi la conférence commune que tenaient hier sur le Web les patrons d'HP, Intel et Oracle, seront sans doute reparti avec une petite impression de surréalisme. Certes, si l'on en croit Mark Hurd, les ventes de systèmes à base d'Itanium ont bondi de 90% l'an passé dépassant très largement la croissance des ventes de systèmes à base de puces Power ou Sparc. Mais Hurd se garde bien d'expliquer que cette croissance a deux explications essentielles qui n'ont pas grand chose à voir avec un attrait soudain des clients pour la plate-forme. Tout d'abord, les ventes de systèmes Itanium partent de très bas, les taux de croissance ne veulent donc pas dire grand chose. Ensuite, HP a abandonné le développement de ses systèmes PA-Risc et orchestre la bascule de ses clients vers l'Itanium. Itanium prend donc progressivement la place des systèmes PA-Risc, ce qui est bien un minimum pour HP. Hurd s'est d'ailleurs bien garder de citer les chiffres IDC qui fâchent, notamment le fait que près d'un tiers des clients HP se refuseraient à basculer vers Itanium. Sur ce tiers, près de 36% migreraient vers le Xeon, 25 %, vers l'Opteron, 25% sur Sparc et 11% sur Power (au total HP ne conserverait comme clients que 22% des clients refusant de migrer vers Itanium)... Le discours d'Intel sur le sujet reste quant à lui toujours aussi surréaliste. Itanium est un standard du marché se plait à répéter Paul Otellini, le patron de la firme. Comment prendre une telle déclaration au sérieux lorsque l'on sait que les ventes de puces Sparc sont par exemple dix fois supérieures à celle de l'Itanium. En fait, l'exercice d'hier visait surtout à rassurer la base installée HP. "je veux que vous dormiez sur vos deux oreilles en sachant qu'il y a une énorme énergie et de considérables sommes d'argent investies dans [Itanium]" a ainsi expliqué Hurd. HP s'est engagé à dépenser 1 Md$ par an dans Itanium pendant cinq ans. Les autres acteurs de l'écosystème EPIC devraient quant à eux apporter la même somme pendant cinq ans. Ce qui permet à Intel de s'engager sur une roadmap de quatre générations de puces d'ici l'horizon 2010. En attendant les prochains développements, HP se retrouve contraint de lancer sa nouvelle génération de serveurs Integrity avec l'actuelle puce Itanium Madison. Intel a en effet pris près de neuf mois de retard sur la livraison de Montecito, le premier Itanium bi-coeur qui devait à l'origine motoriser la 3e génération de serveurs Itanium HP. Du fait de leurs performances, ces nouveaux serveurs devraient permettre à HP de séduire une large partie de sa base installée PA-Risc. De là à les rassurer sur les capacités d'Intel à tenir ses promesses en matière de roadmap Itanium... (...)
(02/03/2006 17:40:58)McNealy à Hurd : Marrions HP-UX et Solaris !
Sun et HP les deux enfants terribles du monde Unix pourraient-ils unifier leurs systèmes d'exploitation. C'est en tout cas ce que propose Scott McNealy, le patron de Sun, à Mark Hurd, celui d'HP, dans un e-mail rendu public par Sun sur son site Internet. La proposition officielle fait suite à une suggestion de Jonathan Schwartz qui avait déjà avancé la même idée à la mi-février lors de l'Open Source Business Conference de San Francisco. "HP et Sun partagent une histoire commune d'innovation. Nous avons tous deux livré des produits formidables au cours des années écoulées" vante McNealy, avant d'aborder les choses qui fâchent : " HP a pris une décision stratégique qui amène ses clients, développeurs et partenaires à évoluer : l'arrêt du développement de serveurs d'entreprises basés sur PA-Risc et la relégation de votre système d'exploitation, HP-UX sur Itanium. Nous proposons une alternative, que Sun et HP s'engagent à faire converger HP-UX avec l'OS Unix de volume de Sun, Solaris 10 (...). En combinant nos ressources et nos investissements, les clients et développeurs d'HP pourraient tirer profit de l'OS, qui connaît la plus forte croissance du marché [Solaris] : des fondamentaux économiques améliorés, une innovation accélérée et une roadmap riche, autant de points dont ne bénéficie pas votre base installée Proliant, dans la mesure ou HP-UX ne tourne pas sur Proliant (...). Solaris 10 sur serveurs HP Xeon et Opteron délivre l'environnement 64 bit adapté aux missions critiques que requièrent dès aujourd'hui les clients, plutôt qu'une transition coûteuse et risquée vers un futur incertain" La diplomatie n'a jamais été le fort de McNealy. Mais pour l'occasion, il n'est pas certain qu'expliquer en public qu'HP-UX est un OS de niche sur une plate-forme moribonde, Itanium, soit la meilleure façon de se faire un ami d'HP, surtout au lendemain du lancement d'une nouvelle gamme de serveurs d'entreprise Itanium par HP. D'ailleurs ce dernier avait répondu plutôt vertement à la première proposition de Schwartz après que ce dernier ait qualifié Itanium de voie vers le passé. Danny Miller un porte-parole de la firme avait alors déclaré "qu'HP-UX est loin d'être enterré, contrairement à l'activité serveurs d'entreprise de Sun qui continue à perdre de l'argent pendant qu'IBM et HP séduisent ses clients et érodent sa part de marché en phase terminale". En fait, si HP a un problème avec HP-UX (ce qui reste à démontrer, même si il est évident qu'Intel n'a pas tenu ses promesses avec Itanium), Sun a de son côté un vrai souci avec Solaris. L'essentiel de la base installée de l'OS tourne sur plates-formes Sparc, une plate-forme dont les ventes n'ont cessé de reculer au cours des trois dernières années, avant de se stabiliser au cours des derniers trimestres.Or, malgré un grand nombre de téléchargement sur Internet (près de 4 millions selon Sun), Solaris reste un OS de niche sur plates-formes x86, avec un catalogue logiciel encore symbolique. Le principal gagnant d'un mariage entre HP-UX et Solaris, pourrait bien ne pas être HP mais Sun, avide de développer les ventes de son OS pour en amortir les coûts de développement, quand HP peut se satisfaire du trio HP-UX, Linux et Windows, et éventuellement venir titiller la base installée de Sun en proposant Solaris x86 sur ses serveurs Proliant. Autant dire qu'il y a peu de chances pour que la proposition de Sun trouve un écho favorable chez HP (...)
(27/02/2006 00:00:00)Intégration : CGBI Team Partners forme ses jeunes diplômés au Mainframe
La SSII CGBI Team Partners a mis en place un cursus de formation aux technologies Mainframe et Java pour ses jeunes diplômés. Elle prévoit une dizaine de sessions cette année avec environ dix personnes pour chacune. Elle l'ouvre à des ingénieurs non informaticiens issus d'écoles généralistes et présentant d'autres spécialités scientifiques (électronique, physique). La SSII estime en effet qu'il est parfois plus facile d'amener des ingénieurs ayant d'autres cultures que la programmation objet aux environnement Mainframe, que des jeunes qui sont initiés aux nouvelles technologies. Cette démarche lui offre de surcroît davantage de possibilités pour faire connaître ses sessions et les remplir. Pour attirer les jeunes, elle a en effet conçu un parcours complet qui s'étale sur deux à trois mois, au cours desquels les participants sont payés à 100% de leur revenu - soit entre 31 et 33 keuros brut mensuels pour les ingénieurs informaticiens et un peu moins pour ceux ayant une formation généraliste. Celui-ci démarre par des cours généralistes sur les systèmes d'information et le cycle de vie d'un projet (3/4 jours) et par des tests de niveau destinés à affiner les contenus pédagogiques qui suivent. Il se poursuit par des sessions sur les technologies Java ou Mainframe (9 jours) puis sur les bases de données (7 jours). Il s'achève par un mois en immersion sur un projet et une demi-journée pour s'exercer à la présentation en clientèle. Il est ponctué par des points de suivi réguliers des jeunes qui ont trois entretiens pendant la période et un bilan de fin de formation. Cette encadrement permet à la SSII de bien connaître les nouveaux arrivants, d'identifier leurs points forts et de les orienter sur les missions en conséquence. Mainframe ou Java, la spécialité dominante du cursus de formation est définie avant chaque session par CGBI Team Partners en fonction de ses besoins. Lorsqu'elle procède à ses recrutements, la session est déjà planifiée, elle peut donc informer les candidats potentiels. Les futurs recrues pourraient par ailleurs profiter de sessions aux contenus affinés par la SSII, selon les contextes technologiques de clients. L'un des prochains cursus pourraient par exemple intégrer des cours sur les outils d'extraction et de chargement de données ETL. (...)
(24/02/2006 17:48:02)TSMC met la touche finale à sa nouvelle technique de fabrique de puces
Dans un communiqué, le fondeur taïwanais TSMC vient d'indiquer que sa technique de lithographie par immersion est presque prête à entrer en production : ce procédé « a produit des disques semi-conducteurs avec des paramètres acceptables pour une production en volume » avec « des taux de défauts inférieurs à trois par disque ». La lithographie par immersion doit permettre d'obtenir une meilleure résolution que les techniques classiques de gravure de semi-conducteurs. Mais cette méthode présente des difficultés liées aux imperfections potentielles du milieu comme les bulles, par exemple. Le procédé de lithographie par immersion mise au point par TSMC doit être utilisé pour graver des puces en 45 nm. (...)
(24/02/2006 17:41:48)Sun acquiert un spécialiste de la gestion des correctifs, Aduva
Sun vient de conclure un protocole d'accord en vue du rachat d'Aduva, un spécialiste de la gestion des correctifs. Avec cette opération, Sun entend apporter à ses clients les moyens de mieux gérer leur environnement de centre de calcul : "nos clients placent la gestion des correctifs et des configurations en tête de leurs problèmes", explique Mike Harding, vice-président de Sun. L'outil OnStage d'Aduva simplifie le déploiement de correctifs logiciels sur les ordinateurs sous Linux et Solaris. Sun le proposera à la fois comme application pour les entreprises et comme service hébergé. La transaction, dont les modalités financières n'ont pas été communiquées, doit être finalisée dans le courant du second trimestre. (...)
(23/02/2006 17:59:33)Oracle étend ses outils de grid pour supporter Microsoft
Oracle vient de présenter des extensions pour Oracle Enterprise Manager 10g Grid Control destinées à permettre la gestion des logiciels de Middleware de Microsoft. L'éditeur veut ainsi simplifier l'administration d'environnements hétérogènes pour ses utilisateurs. Ces extensions concernent SQL Server 2000, Active Directory, BizTalk Server, Commerce Server, Internet Security and Acceleration Server, IIS et .Net. Une extension pour SQL Server 2005 sera proposée dans le courant du second semestre. Chaque extension peut être téléchargée moyennant 1 500 $ par processeur. Au mois d'août dernier, Oracle a indiqué vouloir multiplier les extensions pour ouvrir Enterprise Manager 10g Grid Control à des éditeurs tiers. Depuis, l'éditeur a lancé des extensions pour DB2, WebSphere mais également le serveur d'applications de BEA. Avec cette démarche, Oracle cherche à revenir dans la course face à des concurrents comme Quest et BMC qui ont également travaillé à l'ouverture de leurs outils d'administration. (...)
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