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(14/10/2010 17:30:57)
Microsoft fixe un tarif accrocheur pour son CRM Online
Face à un concurrent comme Salesforce.com, qui s'est forgé une incontestable notoriété sur les offres de CRM en ligne, Microsoft dégaine la carte du tarif promotionnel pour attirer l'attention sur sa propre solution dans le cloud, Dynamics CRM Online. Hébergée par Microsoft lui-même et déjà accessible depuis deux ans aux Etats-Unis, cette solution est actuellement en version bêta sur 40 autres pays dont la France. Elle sera disponible au cours du premier trimestre de l'année prochaine dans sa version commerciale basée sur Dynamics CRM 2011.
A son lancement, il sera donc possible de souscrire un contrat de service de douze mois pour exploiter ce logiciel de gestion de la relation client au prix de 31 euros par mois et par utilisateur (34 dollars aux Etats-Unis), soit une réduction de 25% par rapport au prix normal (44 dollars). Cela représente la moitié du prix demandé par Salesforce.com pour la « Professional Edition » de son offre, tarifée 65 dollars. Pour bénéficier de ce tarif pendant un an, il faudra souscrire son abonnement avant le 30 juin 2011 inclus. Au-delà de cette date, Microsoft appliquera le tarif normal.
Vif succès pour le programme bêta
Cette annonce a été faite ce matin à Twickenham par Kirill Tatarinov, vice-président de la division Business de Microsoft, à l'occasion de la première d'une série européenne de trois conférences utilisateurs « Convergence » consacrées aux logiciels de gestion Dynamics. Les deux autres conférences auront lieu à Prague (18-19 octobre) et La Haye (20-21 octobre).
Depuis son ouverture, le programme bêta de Dynamics CRM Online a rencontré un vif succès qui a amené Microsoft à étendre ses capacités d'accueil pour pouvoir répondre à cette demande, a indiqué ce matin Benoît de la Tour, vice-président de Microsoft Business Solutions pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique. Avant de rejoindre Microsoft cet été, Benoît de la Tour a occupé des fonctions équivalentes chez l'éditeur Infor. Il a acquis une expérience de dix-sept ans au sein d'entreprises éditant des logiciels applicatifs.
Lefebvre Software se dote d'un monsieur cloud et SaaS
Christophe Richer devient directeur des activités « Saas et cloud » de l'éditeur Lefebvre Software. Depuis plusieurs mois, cet acteur du marché développe une stratégie Saas. Le diriegant ne sera pas tout à fait en terre inconnue. Il vient d'Ares, où il occupait le poste de directeur des opérations. Or, Lefebvre Software vient de reprendre l'offre Arcole d'Ares.
Christophe Richer, 37 ans, avait débuté chez R2i Santé, puis créé un logiciel pour l'analyse des dialyses, avant de rejoindre Ares en 2000. (...)
Trimestriels Intel : Le marché des entreprises tire les revenus
Intel a fait état, en annonçant les résultats financiers de son troisième trimestre 2010 clos le 25 septembre, d'une performance et de perspectives rassurantes. Le fondeur a en effet dégagé un bénéfice net de 3 milliards de dollars, contre 1,86 milliard un an plus tôt sur la même période. Son chiffre d'affaires dépasse pour la première fois les 11 milliards de dollars, atteignant 11,1 Md$ contre 9,39 Md$ au troisième trimestre 2009. En août pourtant, la firme de Santa Clara avait revu à la baisse ses prévisions de résultats, évoquant une demande faible pour les PC grand public sur les marchés matures. De fait, les revenus de ce trimestre sont principalement tirés par une forte demande émanant des entreprises.
" Si l'on se projette en avant, on voit que la demande pour les équipements informatiques de tout type reste soutenue ", a déclaré le patron d'Intel, Paul Otellini, dans un communiqué. Sur le troisième trimestre, le chiffre d'affaires généré par les ventes de microprocesseurs a atteint 6,3 milliards de dollars, contre 5,2 Md$ l'année passée. Intel a par ailleurs indiqué que les revenus provenant des ventes de processeurs de sa division Data Center, branche qui commercialise des puces pour serveurs, s'étaient élevés à 1,85 milliard cette année, contre 1,38 Md$ un an plus tôt.
Conquérir le marché des tablettes et des téléviseurs
Le fabricant de processeurs devrait annoncer la sortie, au premier trimestre 2011, de puces plus rapides et moins gourmandes en énergie pour portables et ordinateurs de bureau, reposant sur la dernière microarchitecture Sandy Bridge. Intel compte également se développer sur de nouveaux marchés, notamment sur celui des tablettes et des téléviseurs. Logitech et Sony ont annoncé la semaine dernière la sortie de leur Google TV, produit qui utilise des puces Intel Atom adaptées aux téléviseurs et boîtiers décodeurs. Certains fabricants de terminaux ont également conçu des tablettes architecturées autour des puces Atom d'Intel.
Pour son quatrième trimestre, Intel prévoit que son chiffre d'affaires devrait s'élever à 11,4 milliards de dollars, une évaluation à plus ou moins 400 millions de dollars.
Le marché des entreprises continuera à progresser avec d'importantes ventes de serveurs, mais les livraisons d'ordinateurs portables sur les marchés matures, moins fortes qu'espérées, pourrait affecter les revenus de la société, a averti Stacy Smith, directeur financier d'Intel. Les ventes de PC grand public ont été importantes sur les marchés émergents, particulièrement en Chine, a precise Paul Otellini, grâce aux petits intégrateurs de PC indépendants qui assemblent des machines à la demande.
Les Sandy Bridge pourraient relancer les ventes
Sur le marché professionnel, les ventes ont été en partie tirées par le remplacement des postes clients et par la hausse de la demande en serveurs cloud, a expliqué le PDG d'Intel. Les livraisons de puces pour serveurs cloud ont progressé de 20% par rapport au 3e trimester 2009 et elles ont augmenté de 50% comparé au second trimestre 2010. Le patron d'Intel a indiqué que les DSI continuaient, doucement, d'effectuer la migration de leurs postes clients vers Windows 7. Selon lui, les processeurs Sandy Bridge pourraient apporter l'étincelle qui relancer le cycle sur le premier trimestre 2011. "Hautement intégrées, ces puces améliorent le fonctionnement des applications et les perfomances graphiques des PC, tout en garantissant une meilleure sécurité", a précisé Paul Otellini en ajoutant que le marché global des PC devrait toutefois continuer de croître l'année prochaine, avec des taux qui devraient se situer entre 12 à 18%.
La demande en netbooks s'est de son côté ralentie, mais Intel compte se rattraper en misant sur de nouveaux secteurs, comme celui des tablettes. En fait, les ventes de tablettes commencent déjà à rogner le marché des PC, avec quelque millions d'unités vendues chaque trimestre, a souligné le PDG. Selon IDC, cette année, les ventes de PC atteindront 355 millions d'unités. Les utilisateurs devraient découvrir davantage de tablettes à base de puces Intel sous Windows, Meego et également Android dans les trimestres à venir.
"Nous pensons que les tablettes sont des équipements très intéressants et nous attendons leur arrivée sans reserves, s'est réjoui Paul Otellini qui estime qu'Apple a réinventé le segment avec brio.
Infineon pour insérer la 3G et 4G dans les puces Atom
Intel développe en ce moment pour les tablettes des puces Atom à faible consommation d'énergie. Parmi celles-ci figurent le processeur Oak Trail, qui avait été annoncé en juin. Outre ses robustes performances, Oak Trail offrira une entière compatibilité avec Windows, ce qui est important pour les entreprises, rappelle le dirigeant d'Intel. Des fournisseurs comme HP ou Cisco ont déjà annoncé des tablettes à base d'Atom.
La firme de Santa Clara a également indiqué qu'elle souhaitait intégrer des composants 3G et 4G dans ses puces Atom pour affirmer sa présence sur le marché des smartphones. La technologie viendra d'Infineon, lequel a passé un accord avec Intel pour commercialiser des terminaux sans fil au cours de ce trimestre.
IBM met ses intégrateurs au régime cloud
Big Blue déploie toute son énergie pour entraîner son écosystème dans le cloud. Les éditeurs sont sollicités à travers le «club alliances » organisé par IBM pour les regrouper. Les partenaires intégrateurs ne sont pas en reste. « Ils vont par exemple pouvoir faire le lien entre l'existant et les solutions clouds » explique Eric Taillard, vice-président, division PME et partenaires d'IBM France. Le constructeur a acheté la société Cast Iron, spécialiste de cette intégration, dont les solutions sont désormais disponibles en France.
Le but est d'aider les partenaires intégrateurs dans toutes les briques nécessaires au cloud computing, par exemple en matière de facturation (le « billing ») ou d'allocation de ressources (« provisionning »). IBM va également miser sur la dimension métier, une conférence est ainsi organisée début décembre sur la banque et la finance. Il a par ailleurs mis sur pied une certification, pour son offre « cloudburst », pour le cloud privé. Mais la démarche certifiante n'est pas au coeur de l'accompagnement des partenaires, le cloud donnant une perspective beaucoup plus large que les offres habituelles.
Plus original, IBM va mobiliser sa filiale de financement, IBM global financing, IFG, pour aider les intégrateurs, qui veulent financer leur propre datacenter.
IBM et son club alliances (qui comprend ses partenaires éditeurs) se réunissaient hier, pour une journée entière au siège d'IBM France. 280 partenaires étaient attendus, un peu moins étaient au rendez-vous compte tenu des problèmes de transport. Une dizaine d'exposants présentaient également leurs solutions.
Informaquitaine 2010 arrive pour sa 14e edition
L'Adeiso (Association pour le Développement de l'Electronique et de l'informatique dans le sud-ouest) organise son rendez-vous annuel, Informaquitaine, le 25 novembre prochain. L'Association ne manque pas de souffle et lance comme thèmes : le cloud computing et les méthodes agile. Mais avec quelques nuances et un peu d'ironie, se demandant par exemple quelle est la part de la « mode marketing » et de la vraie évolution » ou encore le concept est-il « nuageux » ou bien la solution réelle ?
VMworld 2010 : Go Pro accompagne les PME dans le cloud
En simplifiant la gestion des TI, la solution Go Pro doit augmenter l'efficacité de l'activité informatique afin que les PME puissent se concentrer sur leur coeur de métier. Elles ne doivent pas se soucier des tâches techniques, tout en garantissant la sécurité de leurs affaires. Ce produit offre ce que VMware appelle un « volet unique » pour gérer les infrastructures physiques et virtuelles.
Il propose aux utilisateurs des modèles de configurations préétablies, des outils de conversion et de vérification de compatibilité pour rendre plus facile pour les entreprises la création à partir de rien des machines virtuelles. Pro Go utilise le VMware Converter PV2 outil pour configurer des serveurs physique existant, créer une nouvelle machine virtuelle ou installer des appliances virtuelles prépackagées
Un partenariat tout en sécurité
« Cette version bêta du service va aider les PME à passer au cloud», a déclaré Rick Jackson, vice-président marketing de VMware et d'ajouter « c'est aussi un moyen utile de gestion des équipements ». Go Pro a été développé conjointement avec la société, Shavlik, spécialiste des solutions dédiées à la sécurité des postes et à la vérification de conformité. Cette dernière dispose de son propre système de gestion de nuages, PatchCloud. « Nous sommes ravis d'étendre notre partenariat avec VMware pour aider les clients à simplifier la gestion de leur service informatique », a déclaré Mark Shavlik, PDG de la société éponyme et d'ajouter « Go Pro s'appuient sur nos solutions SaaS ce qui éliminent les barrières imposées lors de l'adoption des technologies complexes ».
La version bêta de Go Pro est disponible en téléchargement dès maintenant et devrait être commercialisée en version publique plus tard cette année, conclut Rick Jackson.
(...)(12/10/2010 14:55:39)
VMworld 2010 : La virtualisation en route pour les clouds
Pour Paul Maritz, CEO de VMware « nous avons atteint en 2009, un point de retournement où les machines virtuelles sont devenues plus nombreuses que les serveurs physiques (plus de 10 millions en 2009) » et d'ajouter « cela change la façon de concevoir l'IT sur l'ensemble de ces briques, datacenters, plate-forme applicative et portabilité sur les différents terminaux ». Lors de cette édition européenne, l'accent a été mis sur la virtualisation du datacenter et l'accompagnement des entreprises vers les différents types de cloud. Le CTO de VMware, Steve Herrod a résumé la situation en voulant « dompter le géant virtuel ».
Au niveau de l'infrastructure, le spécialiste de la virtualisation monte en puissance, que ce soit Vsphere, dont la plus récente version 4.1 autorise un plus grande nombre de déploiement de VM par cluster, ou Vcenter qui gère lui l'automatisation de cet environnement. On notera aussi que cette virtualisation doit profiter à tous, y compris aux PME, VSphere Essential est disponible au prix de 402 euros soit 13,50 euros par VM. Toujours sur le datacenter, Steve Herrod est revenu sur vCloud Director plus connu sous le nom de projet Redwood, un outil de gestion des clouds privés. Lors de la conférence inaugurale, il a annoncé la disponibilité d'un outil complémentaire vCloud Request Manager. Ce dernier affine les contrôles inclus dans vCloud Director et assure le lien entre le cloud privé et public. Ainsi, il pourra par exemple gérer l'attribution de licences des applications dans les clouds. Le monitoring des applications se fera par Alive VM, un logiciel issu de l'acquisition de la société Integrieren, le 31 août dernier.
Classes de services et sécurité
A l'intérieur du datacenter, VMware veut organiser la virtualisation en intégrant des classes de services. Il distingue ainsi certains blocs de machines virtuelles ou de pool de ressources virtualisées, auxquels on attribue un niveau : or, argent, bronze. L'administrateur peut ainsi cloisonner ou prioriser les ressources. C'est aussi une réponse à la question de la sécurité. Pour Paul Maritz, « c'est un élément essentiel pour que le voyage vers le cloud se déroule bien, la sécurité doit être intégrée de plus en plus au niveau de l'infrastructure ». Les outils comme Vshield et les différents partenariats passés répondent à cette problématique.
Sur la partie services et développement, VMware se repose sur VFabric, sa plateforme applicative cloud. Elle comprend la gestion d'applications, des données, la messagerie, l'attribution dynamique des montées en charge, les serveurs applicatifs. Part ailleurs, il intègre de multiples langages, Java, Ruby on Rails, PHP.
La dernière strate a bénéficié des attentions de VMware est celle du poste de travail et plus particulièrement des terminaux. VMware view 4.5 a déjà été présenté lors de la conférence américaine, mais Paul Maritz a parlé du projet Horizon, qui unifie l'ensemble des applications avec une même signature, un seul mot de passe, une seule authentification que l'on lance salesforce.com ou des Google Apps.
Le voyage vers le cloud entamé par EMC poursuit donc sa route avec VMware qui balise pas à pas la stratégie de médiation entre les différents clouds, publics, privés et hybrides.
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