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(12/11/2010 11:45:01)
Les liaisons 100G Ethernet se construisent
La connexion 100G Ethernet entre les routeurs de Juniper Networks s'appuiera sur le réseau fibre déjà en place sur le réseau de Verizon. Le lien utilisera un composant de transport optique de Ciena.
La norme pour le 100G Ethernet, IEEE 802.3ba a été ratifiée au début de cette année. Il marque une vitesse dix fois plus rapide que la norme précédente, 10 Gigabit Ethernet, qui est largement déployée dans les réseaux fédérateurs et commence à être intégrée aux interfaces serveurs. Comme le volume du trafic issu d'applications vidéo et autres augmente rapidement, les opérateurs et les entreprises spécialisées ont souhaité mettre en place un système plus rapide pour les backbones. Verizon Business dispose déjà d'un lien 100 gigabit optique, qui n'utilisait pas Ethernet, sur l'axe Paris-Francfort de la dorsale européenne. Ces deux liens sont conçus pour transporter le trafic combiné de plusieurs clients de Verizon Business, mais comme la capacité de trafic augmente fortement, les fournisseurs de services pourrait offrir un lien dédié 100G Ethernet à de grandes entreprises.
Un déploiement américain aussi
Au même moment, l'organisation Internet2 a annoncé qu'il allait ajouter une dorsale Ethernet 100G à son réseau qui relie les universités et autres établissements de recherche à travers les États-Unis. En renforçant son backbone, Internet2 devrait élargir son réseau avec les écoles, les bibliothèques, les centres de santé publique... Internet2 va commencer le déploiement de 100G Ethernet dans les prochaines semaines et les travaux se termineront en 2013. Comme Verizon, Internet2 utilisera des routeurs Juniper de la série T, mais Internet2 n'a pas encore annoncé le nom du fournisseur de composants optiques.
D'autres grands fabricants de routeur, y compris Brocade Communications et Alcatel-Lucent, ont également annoncé ou commercialisé des interfaces Ethernet 100G. Cisco Systems propose du 100G Ethernet sur son routeur CRS-3, mais n'a pas annoncé de clients qui utilisent son produit. (...)
2 ans après le Thalys, Internet arrive dans les TGV
Le 26 novembre prochain, la SNCF dévoilera une offre multimédia et Internet. Baptisée Box TGV, cette nouvelle offre devrait permettre aux voyageurs de rester connectés au Web durant leur trajet dès la fin novembre. Une expérimentation sera menée dans un premier temps sur la ligne TGV Est européenne, notamment entre Paris et Nancy. Les TGV circulant sur la ligne proposeront l'offre progressivement. Les Box TGV devraient être proposés par la suite à l'ensemble du réseau, en fonction du succès.
Après des petits déboires dus à l'antenne, le Thalys propose déjà un service de ce type depuis avril 2008 ! Et, début février, 500 000 personnes avaient utilisé cette connexion Internet dans les trains bordeaux.
Antenne cloche qui équipe le Thalys pour diffuser dans le train en WiFi une connexion Internet par satellite. (...)(09/11/2010 17:33:01)
20 000 clients ont adopté Chatter pour collaborer sur Salesforce
Depuis son lancement en juin, Chatter, l'outil de collaboration de Salesforce.com a été activé par 20 000 clients. « C'est le plus grand lancement dans le domaine collaboratif en moins de six mois, a estimé ce matin, en marge de la journée Cloud Force, Alexandre Dayon, vice président exécutif pour les solutions de CRM chez Salesforce.com. Parmi les derniers convertis en date, Dell vient de mettre à la disposition de 50 000 employés cette solution de type réseau social d'entreprise dont l'interface emprunte à Facebook et à Twitter (une adoption dont pâtit Yammer, la plateforme de collaboration que le constructeur texan utilisait jusque-là). Et Michael Dell aurait même affirmé avoir, dans la foulée, gagné une affaire grâce à Chatter.
Plusieurs éditeurs ont déjà intégré l'outil de collaboration à leur offre. Le Français Caméleon fut l'un des premiers à l'associer à sa solution de configuration de produits. Sur Cloud Force, Loïc Le Meur, fondateur de Seesmic, a annoncé avoir ajouté Chatter à son outil d'intégration de réseaux sociaux.
Dans la prochaine mise à jour d'hiver de Salesforce (Winter '11), Chatter présente une page d'accueil où l'on retrouve le fil de messages, les filtres, les recommandations et, à l'attention des nouveaux utilisateurs, la liste des fonctions offertes. L'outil propose de créer des rapports sur l'activité générée par ses utilisateurs et ceux qui les suivent, de voir qui contribue, etc. L'accès à Chatter coûte 15 euros par mois et par utilisateur.
Chatter Central
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Cisco déploie un logiciel de surveillance des réseaux sociaux
Grâce à lui, il leur est possible de surveiller les mises à jour de statut, d'être informés des messages postés sur les forums et les blogs des clients, et d'avoir des alertes quand ils concernent un de leur produit. « Le logiciel ne sert pas seulement à surveiller les messages des clients, mais aussi à communiquer avec ceux qui seraient à la recherche d'un service, » explique Cisco.
S'appuyant sur des statistiques fournies par Nielsen, Cisco indique qu'au moins 34% des Américains ont utilisé Facebook, Twitter ou d'autres médias sociaux pour s'informer sur un produit, une entreprise ou une marque. « L'augmentation des conversations en ligne menées notamment sur ces plates-formes sociales, montre qu'il est aujourd'hui plus important que jamais pour les entreprises, de savoir ce que leurs clients ont à dire à leur sujet et de leur permettre de répondre aux demandes de renseignements généraux ou de rattraper des problèmes de service à la clientèle, de façon à améliorer et à protéger la réputation de la marque », précise Cisco dans son communiqué de presse. L'équipementier affirme avoir utilisé SocialMiner en interne depuis le printemps pour gérer les demandes clients relatives à ses produits grand public, comme la caméra vidéo Flip. « Le logiciel repère les conversations dans lesquelles il est fait mention du Flip et un commercial de l'entreprise se joint à la discussion, » dit John Hernandez, vice-président et directeur général du département Customer Collaboration Business Unit. « Dans le cas où les échanges nécessitent d'aborder des questions sensibles ou privées, ils pourraient alors être traités hors ligne, » ajoute John Hernandez. SocialMiner est inclus dans Cisco Contact Center, système de service à la clientèle. Mais il peut aussi être acheté pour être utilisé avec un outil de CRM proposé par un autre fournisseur, comme l'indiquent les responsables de l'entreprise. Dans tous les cas, SocialMiner coûte 1 000 dollars par serveur, plus 1 500 dollars de licence par agent.
Des outils de compilations et de captures
En plus de SocialMiner, Cisco a également livré Finesse, une application Web 2.0 qui combine les fonctions traditionnelles d'un centre de contact avec Quad, son logiciel de réseau social pour l'entreprise, commercialisé cette année. Cisco Finesse est conçu pour compiler les données clients dans un module unique, de manière à permettre au service client d'améliorer ses actions et de réduire les temps de réponse. Le prix de Finesse a été fixé à 1 500 dollars par agent.
Cisco a également dévoilé un périphérique de stockage et de capture de médias capable d'enregistrer, d'exécuter, et de diffuser de l'audio et de la vidéo en streaming. Il peut notamment conserver ces médias et les utiliser dans les échanges avec les clients. La plate-forme de capture de médias 8.5 permet aux entreprises de prendre en compte certaines questions posées au service clientèle et d'y répondre par la suite afin de remédier à un problème donné. Le prix de la Media Capture Platform 8.5 a été fixé à 250 dollars par session d'enregistrement voix et à 300 dollars par session vidéo. Tous ces produits seront disponibles d'ici la fin de l'année.
La version 7 du CMS Open Source Drupal bientôt finalisée
Evolution majeure du système de gestion de contenus web Drupal, la version 7 du logiciel pourrait atteindre le statut de « release candidate » cette semaine. C'est la dernière étape avant la disponibilité générale du produit. Apparemment, il reste encore quatre bugs critiques à corriger, concernant l'accès du logiciel aux utilisateurs ayant une déficience visuelle, l'interface, ainsi qu'un risque potentiel de sécurité. « Nous cherchons à livrer la release candidate la semaine prochaine, peut-être même dès ce vendredi [5 novembre] », a déclaré Dries Buytaert, créateur du produit et directeur technique d'Acquia, dans une interview donnée sur la conférence PHP ZendCon 2010, à Santa Clara.
Comparée à Drupal 6, la version 7 est plus facile à utiliser et s'adapte mieux aux grands sites qui atteignent 30 à 40 millions de pages vues par mois. En revanche, la mise à jour pourrait s'exécuter plus lentement qu'avec la v.6 si elle est déployée sur un seul serveur. Parmi ses utilisateurs, le système Drupal compte une chaîne de magasins spécialisés comme Best Buy, mais aussi la Maison Blanche, donne en exemple Dries Buytaert.
Version définitive dans deux mois
Il y a eu pas moins de sept versions alpha de Drupal 7 et deux bêtas, la première d'entre elles livrée le 7 octobre dernier. On espère que la version définitive arrivera d'ici deux mois. Il pourrait toutefois y avoir plusieurs releases candidates.
Drupal a été écrit en PHP, même si l'expérience de Dries Buytaert repose plutôt sur le développement Java. « J'ai eu recours à PHP car, à ce moment-là, je voulais apprendre ce langage, mais aussi parce que je pense que Drupal a du succès en raison de PHP qui est tellement accessible. » La barrière à l'entrée pour les développeurs n'est pas trop élevée par rapport à Java, selon lui.
En juillet, Dries Buytaert a accordé une interview à nos confrères d'Infoworld à l'occasion de laquelle il a détaillé les avancées prévues dans Drupal 7.
Construire une communauté prend du temps
Le fondateur du CMS Open Source a par ailleurs énuméré les secrets de l'innovation apportée par une communauté. Il n'existe pas de formule rapide : construire une communauté prend du temps. Il faut s'attendre à des problèmes de croissance, comme lorsque le site web de Drupal a subi une interruption de serveur en 2005. Il convient de bâtir une architecture capable d'évoluer et autoriser les gens à collaborer. Il est nécessaire de fournir les bons outils, tels que forums, mailing lists et wikis. Indispensable, aussi, de construire un écosystème commercial au-delà de celui du réseau des développeurs. Enfin, le « leadership » est plus important que la gestion : il faut laisser ceux qui participent libres de faire ce qu'ils veulent.
8,5 millions de dollars de plus pour Acquia
Sur son site, Dries Buytaert vient par ailleurs d'annoncer que la société Acquia a réalisé ces jours-ci un troisième tour de table qui lui a permis de lever 8,5 millions. Sur trois tours, la start-up aura ainsi levé 23,5 millions de dollars. L'an dernier, son activité a crû de 300%, explique le directeur technique, et son effectif est passé de 30 à 70 personnes à temps plein. La plateforme en ligne Drupal Gardens, sur laquelle le logiciel est accessible sous la forme d'un service, comptabilise déjà 25 000 sites. Pour Dries Buytaert, le logiciel Drupal animerait à ce jour plus de 1% du web.
Illustration : Dries Buytaert, créateur de Drupal et co-fondateur d'Acquia (crédit photo : http://buytaert.net/) (...)
Inquiétudes des entreprises sur la sécurité du cloud et du web 2.0
« Moins d'un tiers des entreprises dans le monde disposent d'un plan de gestion des risques informatiques à même de les prémunir contre les dangers liés à l'utilisation des nouvelles technologies » constate le cabinet Ernst & Young dans sa treizième étude mondiale sur la sécurité informatique, « Global Information Security Survey ». Les principaux problèmes sont liés à la croissance de l'externalisation, notamment via l'informatique en nuage (cloud computing) comme le très courant SaaS, mais aussi par les pratiques collaboratives comme les réseaux sociaux et le web 2.0. Michel Richard, associé chez Ernst & Young responsable du département sécurité des SI, attire également l'attention sur la mobilité croissante des équipes et l'insécurité inhérente aux outils et méthodes de cette mobilité (smartphone, ordinateurs portables, tablettes, connexion au SI par le web, etc.). Pour lui, il ne s'agit pas de remettre en cause l'évolution des pratiques métiers mais plutôt d'être conscient des risques et de prendre les mesures nécessaires pour s'en prémunir.
Précisons que le cabinet ne s'intéresse pas principalement à la sécurité informatique au sens technique du mot mais plus à la sécurité des données transitant dans un SI.
La sécurité parent pauvre des budgets
Les dépenses en sécurité n'augmentent en proportion du budget IT que dans la moitié des cas. Dans 6% des cas, la proportion des budgets informatiques consacrée à la sécurité est même en baisse, le solde étant constitué par des organisations aux dépenses plus ou moins stables en sécurité.
Les priorités des entreprises concernent avant tout la continuité d'activité (28% des répondants la placent en première priorité) et la « compliance » (16%), c'est à dire la conformité avec les règles tant légales que professionnelles (Bâle II, etc.). Viennent ensuite la prévention des pertes de données, la gestion des risques sur la sécurité des données, les problématiques d'identification et de sécurité d'accès...
Les efforts particuliers de cette année ne recoupent pas nécessairement les besoins immédiats. En effet, une priorité peut être déjà largement traitée et ne pas nécessiter de nouveaux investissements. Malgré tout, on constate que dans ces efforts financiers la continuité d'activité mais au même niveau que la prévention des fuites d'informations (50% des répondants vont dépenser davantage que l'année passée). Les problématiques d'identification et de sécurité d'accès sont juste derrière (48%) et suivies de la sécurisation des clouds.
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La perte directe d'efficacité de l'organisation liée à un problème de sécurité est loin d'être la préoccupation majeure des répondants (38% sont principalement préoccupés par la perte de chiffre d'affaires directement induite). Dans 67% des réponses, c'est en effet la perte de crédibilité de l'entreprise et de ses marques qui est jugée comme la conséquence la plus dramatique d'un incident de sécurité, suivi par la perte de confiance des actionnaires (42%) et des clients (41%).
Les fuites de données dans les nuages sont redoutées
Les risques évoluent. Pour 52% des répondants, le danger qui s'accroit le plus concerne les pertes de données, loin devant la perte de visibilité sur la confidentialité et la sécurité des données (39%) et les accès non-autorisés à celles-ci (34%). Seulement 30% des organisations disposent d'un plan de sécurité informatique qui tient effectivement compte de l'évolution des risques.
Or la nature même des SI évolue. Si 55% des répondants n'envisagent pas de recourir au cloud dans les 12 prochains mois, 23% y recourent déjà et 22% travaillent sur le sujet (soit déjà planifié, soit en cours d'évaluation). Les craintes de sécurité expliquent sans doute que le cloud privé reste privilégié (54% des répondants) contre 29% pour le « vrai » cloud public et 45% qui entendent mixer les deux ou recourir à des solutions hybrides. Le SaaS reste le mode d'exploitation le plus populaire (77% des répondants), devant l'IaaS (45%) et le PaaS (34%).
Une vision moyen-terme plutôt myope
Au-delà du SI au sens strict, les nouveaux usages sont des sources d'inquiétudes mal maîtrisées, qu'il s'agisse du cloud, des réseaux sociaux ou de l'introduction des outils personnels comme les smartphones. Seules 28% des entreprises estiment disposer d'une politique de sécurité adaptée et 34% savoir ce qu'il faudrait faire, 35% n'en n'ayant pas vraiment une vision et désirant y réfléchir.
Les répondants sont curieusement fidèles aux référentiels de bonnes pratiques : 52% déclarent pratiquer ITIL, 47% ISO/IEC 27001:2005, 43% Cobit, 35% ISO/IEC 27002:2005... Malgré tout, seules 60% des organisations disposent d'un plan stratégique formel sur l'évolution de leur politique de sécurité du SI et des données dans les trois ans à venir.
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