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(15/10/2010 16:50:12)

Trimestriels Google : Les marchés émergents dynamisent les résultats

Google a affiché un chiffre d'affaires de 7,29 milliards de dollars au troisième trimestre, clôt le 30 septembre 2010, soit une progression de 23% sur un an. En soustrayant les commissions et honoraires que l'éditeur verse au réseau de publicité et à ses partenaires, le chiffre d'affaires s'élève à 5,48 milliards de dollars, au-dessus du consensus attendu par les analystes interrogés par Thomson Financial. Le bénéfice net a augmenté de 32% à 2,17 milliards de dollars contre 1,64 milliard, il y a un an, tandis que le bénéfice par action a augmenté de 31 % de 5,13 $à 6,72 $. Sur une base pro forma, qui exclut certains éléments, le bénéfice net était de 2,46 milliards de dollars, ou 7,64 $ par action, dépassant le consensus des analystes de 6,67 $ par action.

« Nous sommes très satisfaits de nos résultats du troisième trimestre. Il est clair que l'économie numérique continue de croître rapidement » a déclaré le directeur financier de Google Patrick Pichette lors d'une conférence téléphonique. La firme de Moutain View a progressé non seulement sur son coeur de métier de la recherche et de la publicité, mais aussi sur des marchés émergents comme l'activité entreprise, la publicité sur mobile et les applications hébergées.

Une activité mobile en pleine croissance

La demande sur les services de recherche et publicitaires continue d'augmenter avec la croissance constante de l'Internet, a déclaré Jonathan Rosenberg, vice-président senior de la gestion des produits. « La recherche est toujours au coeur du web » précise-t-il.  Sur les marchés à fort potentiel, Google a indiqué un revenu annuel de 2,5 milliards de dollars pour les bannières publicitaires sur YouTube, souligne le responsable. Sur ce site, l'éditeur recense 2 milliards de pages vues par semaine. Pour l'activité mobile, le chiffre d'affaires est évalué à 1 milliard de dollars sur un an. Le dirigeant a indiqué dans une conférence téléphonique que « sur le mobile, les recherches ont été multipliées par cinq ces deux dernières années ». Les sites appartenant à Google ont généré 67% des recettes totales, tandis que les sites partenaires ont généré 30%. 52% des revenus sont issus de ses activités internationales. En septembre, la société disposait d'une trésorerie de 33,4 milliards de dollars. Au cours du troisième trimestre, le nombre de salariés à cru de 7% à 23 331 employés contre 21 805 au deuxième trimestre.

Google prévoit d'embaucher plus, en particulier dans l'ingénierie et la vente. « La croissance explosive dans l'économie numérique que nous vivons a créé une guerre des talents dans notre industrie», a dit Patrick Pichette. Continuer à recruter des employés talentueux sera la clé du succès. « Nous avons intensifié notre politique d'embauche et nous analysons la façon d'attirer et de retenir les meilleures personnes dans cet environnement exceptionnellement compétitif » conclut-il.

(...)

(15/10/2010 13:46:59)

Mozilla trouve son PDG chez SAP

Gary Kovacs, qui entrera en fonction en novembre, vient de SAP où il était vice-président senior des marchés, des solutions et produits de SAP, après l'acquisition de Sybase. Il a occupé auparavant le poste de directeur général et vice-président des produits de téléphonie mobile chez Adobe. Il a  également travaillé chez Macromedia et IBM. Il succède à John Lilly qui, plus tôt cette année, a annoncé son intention de prendre du recul pour se concentrer sur ses activités de capital-risqueur. L'ancien dirigeant de Mozilla a expliqué sur son blog : « il a une profonde expérience pour mener la bataille de ce qui définira l'avenir de l'Open Web : les mobiles et le rich media » et d'ajouter que la mobilité est «une zone extrêmement importante où nous avons beaucoup à prouver dans les prochaines années ». (...)

(15/10/2010 11:09:58)

Coup de filet dans les sites illégaux de ventes de médicaments

Orchestrée du 5 au 12 octobre derniers, cette opération d'envergure, mise en place pour lutter contre la vente illicite de médicaments sur la toile, a été coordonnée dans plus de 40 pays. Elle a permis d'intercepter des milliers de médicaments " potentiellement dangereux". Principalement axée sur les fournisseurs d'accès à Internet, les systèmes de paiement en ligne et les services de messagerie, l'opération "PANGEA III" a permis l'identification de 19 sites Internet illégaux rattachés à la France et la fermeture de 11 plateformes illicites.

Les produits découverts en France sont essentiellement des médicaments destinés à traiter les troubles de l'érection, des anxiolytiques, des hypnotiques, des antiulcéreux, des antidiabétiques, des diurétiques, des antispasmodiques, ou encore des produits censés améliorer les performances comme les anabolisants, les stéroïdiens, les hormones de croissance et l'éphédrine.

A noter, des dispositifs médicaux ont également été saisis au cours de l'opération, notamment des lentilles de contact et des solutions de rinçage pour lentilles. Les médicaments "potentiellement falsifiés" interceptés seront prochainement analysés dans les laboratoires de l'Afssaps. Cette dernière invite les consommateurs à la plus grande vigilance quant à l'achat de médicaments sur Internet, estimant que seul le circuit des pharmacies d'officine est fréquemment contrôlé par les autorités sanitaires. L'Afssaps rappelle également que les médicaments achetés sur Internet peuvent être périmés ou de mauvaise qualité.

(...)

(14/10/2010 12:56:40)

AOL lorgnerait sur Yahoo

Les discussions sont encore à un stade très précoce et n'impliquent même pas Yahoo, selon le quotidien économique américain. Deux fonds d'investissement - Silver Lake Partners et Blackstone Group - « ont exprimé leur intérêt de faire équipe avec AOL pour acquérir le portail Internet ou tenter de l'acheter en direct », indique le journal, citant des sources anonymes. Si cette information se concrétise, ce serait la deuxième tentative majeure pour reprendre Yahoo. En 2008, Microsoft a tenté, sans succès, d'acheter la société dirigée par son co-fondateur Jerry Yang, avec une offre évaluée à plus de 40 milliards de dollars.

Depuis, Yahoo a changé de PDG et a vu sa valorisation déclinée. Sa capitalisation boursière atteint maintenant un peu plus de 20 milliards. Yahoo et AOL sont à la recherche de moyens pour rivaliser avec des concurrents Internet à croissance rapide tels que Google et Facebook. Le Wall Street Journal indique qu'il existe plusieurs scénarios pour le rachat. Dans l'un, Yahoo serait vendu par appartement à des sociétés différentes, y compris Alibaba Group en Chine. Dans un autre, AOL et Yahoo fusionneraient, après avoir vendu  la participation de 40% dans Alibaba.

Le blog du journal « All Things D » a indiqué que d'autres prétendants, comme News Corp, s'intéressent également de près à un rachat de Yahoo. Le cours de l'action de ce dernier a fortement progressé (+10%, à 16,63 dollars) à la suite de ces rumeurs.

Yahoo a refusé de commenter, tout comme AOL qui n'a pas pu être joint. (...)

(14/10/2010 11:24:43)

Les français majoritairement 'accros' aux réseaux sociaux

Lors du précédent baromètre, publié en janvier 2010, la part des internautes français membres d'au moins un réseau social était de 77%. Ce taux a donc peu évolué en neuf mois, puisqu'il n'augmente que d'un point (78%), et ce, en dépit d'une offre de sites plus élargie. En revanche, la marge de progression des réseaux sociaux parmi le public déjà conquis est plus importante. En moyenne, un internaute français est aujourd'hui membre de 2,9 réseaux sociaux, contre 1,9 il y a un an.

En matière d'inscriptions, c'est Windows Live de Microsoft (autrefois appelé MSN) qui pointe en tête avec 52% des internautes interrogés qui disent en être membres (+ 6 points). Il devance Copains d'avant, relégué au deuxième rang avec 46% d'inscrits (- 3 points). Facebook est troisième avec 43% d'internautes membres (+ 6 points). Suivent Trombi.com (22%), YouTube (21%), Picasa (16%), Dailymotion (12%), Viadeo (10%), MySpace (9%), Skyrock.com (8%), Twitter (7%), Badoo (6%), Meetic (6%), etc.

Une distinction par classe d'âge


Ce classement varie néanmoins selon la catégorie d'âge étudiée. Ainsi, chez les 18-24 ans, 84% des sondés sont membres de Windows Live, et 77% sont inscrits sur Facebook. Chez les 35-49 ans, c'est Copains d'avant, dont la vocation est de mettre en relation d'anciens camarades de classe, qui est le plus plébiscité (50%), alors que Facebook est troisième avec seulement 39% de membres. Chez les étudiants, Windows Live culmine à 93%, tandis que Facebook réalise son meilleur score avec 85% d'inscrits.

En termes de notoriété, Facebook est le réseau social le plus connu des internautes français. Ainsi, 94% (- 3 points) des sondés connaissent le fameux site aux 500 millions d'amis dans le monde, 92% ont déjà entendu parler de YouTube, et 88% de Copains d'avant (- 5 points). Twitter, dont le taux d'inscription reste relativement marginal (7%), est connu de 80% des internautes français (contre 63% en 2009). Enfin, ce baromètre souligne la préoccupation des internautes en matière de vie privée. 43% des sondés ont déjà essayé d'effacer des données personnelles visibles de tous, une fois (20%), voire plusieurs fois (23%).

Ce sondage Ifop a été réalisé en septembre 2010 auprès d'un échantillon de 2 015 personnes représentatif de la population internaute française âgée de 18 ans et plus.

(...)

(14/10/2010 11:02:43)

Internet et téléphonie, le consommateur européen insatisfait

Selon cette enquête Eurobaromètre, menée auprès de 27 000 ménages à travers l'Union européenne, 61% des utilisateurs de téléphone mobile et 49% des abonnés à une ligne fixe limitent leurs appels téléphoniques pour des raisons de coût. Parmi les ménages souscripteurs à un abonnement Internet haut débit, 30% déclarent que leur vitesse de téléchargement fluctue, 36% disent subir des interruptions de connexion, et 24% affirment que les performances de leur connexion ne correspondent pas aux conditions prévues dans leur contrat.

Autre sujet de préoccupation, la protection des données numériques. 84% des ménages souhaiteraient être informés en cas de perte, de vol ou de modification de leurs données à caractère personnel, et 45% redoutent une utilisation abusive de ces données sur les réseaux sociaux en ligne. Dans un communiqué, la Commission européenne rappelle que la stratégie numérique de l'UE doit garantir l'accès de tous les Européens à une connexion Internet de 30 Mbit/s d'ici à 2020, et faire en sorte que, pour la même date, au moins 50% des ménages européens disposent d'une connexion très haut débit (100 Mbits/s ou plus).

Par ailleurs, Bruxelles précise que le "paquet Télécom" de 2009, mis en oeuvre à partir du 26 mai 2011, contient plusieurs dispositions qui obligent les fournisseurs d'accès à Internet à informer soit les autorités réglementaires nationales, soit les abonnés, de toute violation des données à caractère personnel. Autres enseignements de l'enquête, les Européens sont de plus en plus nombreux à opter pour des offres groupées combinant au moins deux services (Internet, télévision numérique ou téléphonie). 38% des ménages interrogés avaient souscrit ce genre d'offre à fin 2009, contre 29% deux ans plus tôt.

Enfin, 43% des ménages européens n'ont toujours pas accès à Internet. Face à ce constat, Bruxelles rappelle que la stratégie numérique pour l'Europe vise à mettre en place des mesures pour renforcer la concurrence, la confiance et la sécurité dans ce secteur.

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(13/10/2010 15:33:22)

Les utilisateurs de mobiles férus de réseaux sociaux

TNS Sofres vient de publier les résultats d'une étude qui décrypte les attitudes et motivations des internautes au niveau mondial. L'enquête, baptisée« Digital Life », analyse les comportements des utilisateurs du Net dans 46 pays, dont la Tanzanie, l' Argentine, les Etats-Unis, la Chine, la Suède et la France. L'un des premiers enseignements du rapport porte sur le développement des réseaux sociaux, alimenté par le transfert de l'usage de l'ordinateur vers le support mobile. Ainsi, les « mobinautes » passent en moyenne un peu plus de 3 heures par semaine sur les réseaux sociaux contre seulement un peu plus de 2 sur les e-mails. D'après TNS, l'utilisation des réseaux sociaux sur mobile répond au besoin grandissant de partages et d'échanges instantanés et est facilité par les fonctionnalités de ces sites particulièrement adaptés à un usage itinérant (format des messages, alertes...).

23% des Français pour l'usage des réseaux sociaux sur mobiles

Les internautes pensent que leur utilisation des réseaux sociaux sur mobile augmentera plus que sur leur PC. Aux États-Unis, par exemple, un quart (26 %) d'entre eux pensent que cet usage augmentera sur ordinateur et 36 % qu'il progressera sur mobile. La France, traditionnellement plus prudente en matière de diffusion d'informations privées, n'anticipe pas un tel développement de cette activité même si elle escompte une évolution plus forte via le mobile (23 %) que via l'ordinateur (19 %).L'enquête de TNS indique aussi que les activités comme les blogs et les réseaux sociaux progressent très vite sur les marchés émergents. Quatre internautes sur cinq en Chine (88 %) et la moitié au Brésil (51 %) ont créé leur propre blog ou écrit sur un forum, pour seulement 32 % aux Etats-Unis ou en France.

Les internautes des marchés matures, fidèles à l'e-mail

Sur les marchés émergents, comme l'Amérique Latine, le Moyen-Orient et la Chine, le temps moyen hebdomadaire passé sur les réseaux sociaux est de plus de 5 heures, contre 4 heures passées à l'envoi et la réception d'emails. Les plus gros utilisateurs de réseaux sociaux sont la Malaisie (9 heures par semaine), la Russie ( plus de 8 heures) et la Turquie (près de 8 heures). Les internautes des marchés matures restent plus fidèles quant à eux à l'e-mail : ils passent environ 4 heures sur les réseaux sociaux et un peu plus de 5 heures sur leur messagerie. Ce comportement se confirme en France, avec une moyenne hebdomadaire de moins de 4 heures sur les réseaux sociaux et près de 5 heures pour les emails.

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(12/10/2010 16:54:00)

Les messages sur Twitter entrainent finalement peu de réactions

Environ sept messages publiés sur dix (71%) sur Twitter ne génèrent aucune réaction, selon une étude menée par la société Sysomos. Celle-ci a analysé 1,2 milliard de tweets sur le site de micro-blogging, et constaté que seulement 29% des messages publiés suscitent une réponse en retour (23% sont des réponses directes, et 6% des "retweets"). La plupart des retweets (92%) interviennent dans l'heure qui suit la publication du message d'origine, et seulement 1,6% dans la deuxième heure. A noter, 85% des tweets ayant généré une réponse n'en obtiennent qu'une seule.

Site : http://sysomos.com

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