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(25/06/2010 10:19:00)

Développement : Oracle livre APEX en version 4

Oracle vient de mettre à jour Application Express, l'outil de développement rapide d'applications web associé à sa base de données 11g. La version 4 est l'une des évolutions les plus significatives du produit jusque là, selon Mike Hichwa, l'un des vice-président d'Oracle pour le développement logiciel. Parmi les outils supplémentaires, Dynamic Actions se présente comme une bibliothèque de fonctionnalités Ajax. Elle permet d'ajouter de l'interactivité aux pages web, par exemple en masquant ou en faisant apparaître certains éléments de l'interface.

Solution alternative au protocole de Web Services SOAP, un assistant permet maintenant de communiquer avec des ressources REST depuis une application. « C'est intéressant pour créer des portails et des tableaux de bord », explique Mike Hichwa. La version 4 apporte aussi une vingtaine de nouveaux thèmes pour diversifier l'apparence des applications. Ceux-ci ont été conçus par Oracle en XHTML (extensible HTML), en s'appuyant sur des feuilles de style CSS, ce qui devrait leur conserver une certaine uniformité sur les différents navigateurs. Quant au moteur de génération de graphiques, il est passé à AnyChart 5.1, plus rapide. Des attributs supplémentaires améliorent les capacités de personnalisation.

Adapté aux familiers de SQL

Egalement connu sous le nom d'APEX, Application Express est sorti en 2006, à l'origine destiné aux administrateurs de bases de données qui voulaient construire des applications web départementales. « La cible est constituée de tous ceux qui maîtrisent le langage SQL, mais qui sont moins à l'aise dès lors qu'il faut aborder les environnements .Net ou Java », rappelle Mike Hichwa.

Les équipes commerciales d'Oracle, ont souvent poussé APEX comme la solution de remplacement de la base Access de Microsoft. L'outil est par ailleurs fréquemment utilisé à la place de Forms, plateforme de développement client/serveur d'Oracle, un peu datée.

La version 4.0 d'APEX est téléchargeable sur Oracle Technology Network.

(...)

(23/06/2010 09:37:34)

Très haut débit : l'Australie donne l'exemple

(Source EuroTMT) C'est fait. Après neuf mois de bras de fer entre le gouvernement australien et Telstra, l'opérateur historique, ce dernier a fini par jeter l'éponge et a accepté les demandes des pouvoirs publics. En jeu, l'accès aux infrastructures de génie civil de l'opérateur télécoms pour permettre un développement plus rapide du projet de réseau public à très haut débit. Il y a un an, le gouvernement australien créait en effet la surprise en annonçant le lancement d'un réseau national financé uniquement sur fonds public. Une décision qui intervenait après des mois de négociations entre les opérateurs télécoms nationaux et les pouvoirs publics qui souhaitaient se contenter de soutenir leurs projets. 
Mais l'incapacité des opérateurs à se mettre d'accord pour déployer un réseau national et les obstructions mises par Telstra, qui faisait bande à part, obligeaient l'Etat australien à changer ses plans.

Une agence publique pour porter le projet très haut débit

Au passage, le gouvernement, qui détient encore plus de 16% du capital de l'opérateur historique, se débarrassait de Sol Trujillo, le directeur général de l'opérateur (et ancien PDG de Orange SA)  considéré comme le principal responsable de l'échec des premières négociations. Et dans la foulée, l'Australie annonçait donc la création d'une agence publique, NBN Co, en charge du développement du projet national estimé alors à 42 milliards de dollars australiens, soit 29,9 milliards d'euros, permettant de couvrir 90% de la population.

Depuis, le gouvernement australien négociait avec l'opérateur pour obtenir deux choses : l'accès de NBN Co au génie civil de Telstra et l'arrêt progressif du réseau historique en cuivre de l'opérateur au fur et à mesure du déploiement du nouveau réseau à très haut débit. Une négociation qui a donc duré neuf mois durant lesquels les successeurs de Sol Trujillo ont tout fait pour résister, amenant le gouvernement à les menacer de sanctions, comme l'interdiction de participer à l'attribution des futures fréquences réservées à l'Internet mobile à haut débit. 



Illustration : Navire pour la pose de fibre optique entre les villes côtières australiennes, crédit photo Telstras

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Et finalement, c'est ce que Telstra a accepté ce week-end, mais au prix d'un gros chèque, de 11 milliards de dollars australiens, soit 6,17 milliards d'euros. Si cette somme rondelette va grossir le trésor de guerre de l'opérateur, car à la fin de son dernier exercice fiscal, son free cash-flow excédait les 4 milliards, cet accord va toutefois aboutir à une modification en profondeur du jeu concurrentiel dans les télécoms australiennes.
Pour de nombreux spécialistes, la détention par les opérateurs historiques du réseau local constitue en effet un atout décisif pour protéger leurs parts de marché et continuer à exercer une domination sur le marché du fixe. Pour Telstra, en perdant ce précieux actif, tout doit maintenant être reconstruit.

Ouverture à la concurrence

S'il a quelques années devant lui avant que le nouveau réseau national ne soit pleinement opérationnel, lui permettant de s'adapter à la nouvelle donne, l'opérateur historique va devenir un opérateur comme un autre. C'est donc sa capacité à offrir les bons services et contenus, au meilleur tarif, qui sera décisive. Un bouleversement qui permet aussi à ses concurrents d'avoir l'occasion de remettre en cause les positions de Telstra. La concurrence dans les télécoms australiennes devient ainsi une réalité.
(...)

(22/06/2010 18:33:56)

Vente de musique et d'articles de presse chez Google

Google poursuit le développement de ses services web avec une plate-forme de commercialisation d'articles de presse et de chansons. Plusieurs formules seraient proposées : achat individuel ou abonnement, selon les différentes sources. Le système de monétisation des articles est baptisé Newspass. Un seul login et un compte de paiement permettraient d'accéder à de multiples publications, selon les informations publiées par le quotidien italien La Repubblica. Soit un système beaucoup plus simple que les offres qui se multiplient actuellement, notamment sur iPad. Si depuis plusieurs années, Google est accusé de piller sans grande contrepartie les informations rédigées par des journaux en ligne avec son service "Actualités", le géant de Mountain View fait ici un pas en direction des éditeurs de presse

Simultanément, le Wall Street Journal rapporte ce mardi que Google va également lancer un service de vente de musique un peu plus tard cette année. Cette plate-forme musicale serait liée au moteur de recherche maison, renforçant ainsi les synergies avec d'un coté, l'exploitation des requêtes des utilisateurs et, de l'autre, les ayant droits. Signalons que Google proposait un service de ce type en Chine avant de se replier sur Hong Kong. L'offre de Google serait également conçu pour fonctionner avec les smartphones Android, selon le journal américain.

(...)

(22/06/2010 17:24:15)

La recherche d'un emploi ne passe pas encore par les réseaux sociaux

Regionsjob.com vient de livrer les résultats d'une enquête sur l'utilisation réelle des réseaux sociaux dans le cadre du recrutement. 2 208 candidats et 157 recruteurs ont donné leur avis et partagé leurs pratiques. Côté candidats, l'étude montre que 36% d'entre eux s appuient sur les sites communautaires pour chercher un emploi, ce qui n'est pas négligeable en soi. Toutefois, cette pratique reste loin derrière les sites d'emploi ou jobboards (97%), les candidatures spontanées (77%), le Pôle emploi (66%), et le réseau personnel (44%). En outre, les utilisateurs de sites communautaires sont beaucoup plus actifs que les autres pour décrocher un job (utilisation de 4,8 outils contre 3,3). Plus de la moitié des personnes interrogées estiment également que les réseaux sociaux vont gagner en importance dans le futur (57%), celles qui les utilisent déjà restant les plus convaincues (78%). Les hommes (40%) sont, en outre, plus nombreux que les femmes (33%) à s'appuyer sur ce type d'outils. Ceux-ci semblent également être un bon moyen de se placer en veille active de recherche d'emploi, puisqu'ils sont surtout utilisés par des personnes en poste. S'agissant de l'âge, il semblerait que les profils de 25-34 ans soient plus enclins à s'y inscrire (40%), même si la barrière de l'âge tend à diminuer. La durée des études joue également un rôle déterminant, les Bac+5 étant plus de 56% à y recourir.

Les candidats privilégient les réseaux professionnels

L'enquête montre également que la connaissance des différents réseaux sociaux par les candidats est immense : plus de 50% pour tous (Facebook, Viadéo, LinkedIn, Twitter, les blogs), jusqu'à 92% pour Facebook. Pour l'utilisation, on reste pour le moment cantonné aux plus simples et à ceux dont la portée professionnelle est la plus évidente. Les réseaux pros sont donc en tête, avec  89% de ceux qui utilisent ces outils dans leur recherche d'emploi inscrits sur Viadéo, 51% sur LinkedIn. A l'opposé Twitter et les blogs séduisent moins, avec seulement 15% et 14% d'utilisateurs respectifs. Quant à Facebook, si 92% des personnes interrogées connaissent le service, peu de personnes l'utilisent professionnellement (6% seulement du panel). Ils sont également peu à le considérer comme pertinent (7% du panel, 8% des utilisateurs). Par ailleurs,  seuls, 5% des répondants ont été contactés par ce biais.

Les sites d'emploi majoritairement utilisés par les recruteurs

Et du côté des recruteurs ? Là encore, les jobboards dominent largement (88%) devant les candidatures spontanées (80%). Les réseaux sociaux se placent bien, mieux même que chez les candidats, puisqu'ils rassemblent 47% d'utilisateurs. Niveau importance, les résultats sont plus nuancés. Alors que les sites d'emploi sont jugés importants pour 77% des sondés, les réseaux sociaux ne seraient considérés utiles qu'à hauteur de 19%. Ils restent donc loin des sites RH d'entreprise (50%) et des candidatures spontanées (42%). L'utilisation de ce type de support devrait cependant s'améliorer dans le futur, avec un bond à 44% à  cette question. Reste que les réseaux sociaux ne sont pas prêts de détrôner les autres outils de recrutement, puisque les jobboards voient leur importance bondir à 87% et les sites RH à 66%. Globalement, seules la presse et le Pôle emploi voient leur importance diminuer à l'avenir.

L'âge est une variable plus importante chez les recruteurs que chez les candidats. 63% des 25-34 ans ont recours aux réseaux sociaux pour recruter, alors que la part baisse à 27% chez les 45-54 ans. Les hommes (49%) sont toujours plus utilisateurs que les femmes (44%). Les petites entreprises de 1 à 49 employés (67%) sont fortement représentées. Les dirigeants d'entreprise (67%) également. Enfin, les recruteurs connaissent bien les réseaux sociaux, même mieux que les candidats. Facebook et Viadéo sont les plus connus (97% d'utilisateurs), suivis par Twitter et LinkedIn (80% des personnes interrogées). Encore une fois, ce sont les réseaux professionnels qui tirent le mieux leur épingle du jeu (53% d'utilisateurs sur Viadéo, 28% sur LinkedIn).

Crédit photo:D.R

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(22/06/2010 12:16:55)

Pierre Kosciusko-Morizet précise les chiffres de Price Minister

Piqué au vif par notre article sur PriceMinister, qui affiche des pertes financières et se revend au Japonais Rakuten, mais très courtois, Pierre Kosciusko-Morizet nous a précisé quelques chiffres. D'abord, la progression de son chiffre d'affaires est bien de 25% en 2009, en tenant compte des « amortissements de goodwill liés aux acquisitions réalisées en 2007 ». Elle sera également de 25% sur les 6 premiers mois de 2010.

Ensuite, la comparaison est pour lui impossible avec rueducommerce ; ils ne font pas le même métier. Rueducommerce vend des produits avec des stocks et de la logistique, alors que PriceMinister est un intermédiaire de vente, donc le chiffre d'affaires de PriceMinister est forcément moins élevé que celui de rueducommerce.

Surtout, selon le PDG de PriceMinister, l'entreprise est rentable depuis de nombreuses années,  avec une trésorerie de 25 millions d'euros, et un chiffre d'affaires prévu de 50 M€ pour l'exercice 2010.
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