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(18/05/2010 16:41:32)
Google lance une offre d'achat sur le norvégien GIPS
Le géant de Mountain View a annoncé mardi une offre d'achat de 68,2 millions de dollars, en numéraire, sur le norvégien Global IP Solutions (GIPS), qui développe des codecs voix et vidéo sur IP. Il a également conçu une technologie capable d'effacer les perturbations associées à ce type de communication, comme les échos, les pertes de paquets ou encore les bruits de fond. Google a fourni peu de détails sur la façon dont il compte utiliser le savoir-faire du Norvégien et ce qu'il adviendra de ses produits, affirmant simplement que la vidéo en temps réel et la communication audio sur Internet gagnaient en importance et qu'il avait hâte de travailler avec les équipes de GIPS.
Le portefeuille de produits édités par la société norvégienne se compose de logiciels pouvant être intégrés dans des applications voix et vidéo pour téléphones mobiles, PC et tablettes. En avril dernier, la société avait lancé VideoEngine, qui permet aux développeurs d'intégrer la visioconférence dans des applications fonctionnant avec la version mobile de l'OS Android.
Parmi les clients de GIPS figurent notamment Yahoo, IBM, Motorola et WebEx. L'une des raisons qui pourrait expliquer cette acquisition ? Pour Ben Wood, analyste au sein du cabinet du conseil CCS Insight, cela pourrait aider Google à développer une offre de support pour la vidéo intégrée dans HTML 5, qui prend de l'ampleur.
GIPS n'est pas la seule entreprise que Google a acquis récemment pour son savoir-faire en matière de vidéo. En août dernier, la firme avait annoncé le rachat de On2 Technologies, un spécialiste de la compression vidéo
Les détails de cette OPA amicale seront fournies aux actionnaires de GIPS le 20 mai. L'offre devrait courir jusqu'au 4 juin.
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Evolution capitalistique de Neyrial informatique
Entreprise familiale depuis sa création voilà plus de 30 ans, Neyrial Informatique restera donc une entreprise familiale. Concrètement, la société, qui était auparavant détenue par le groupe Neyrial Haute Technologie, présidé par Philippe Neyrial, vient d'être rachetée par son frère, Jean-Michel Neyrial.
S'il ne s'agit pas d'un changement radical au niveau de l'actionnariat, cette évolution entérine le recentrage de l'entreprise. En 2007, Neyrial Informatique avait cédé l'entité Neyrial Grand Est pour se focaliser sur son territoire d'origine (l'Auvergne et les départements limitrophes) et s'était progressivement séparée de ses activités de « niche », comme les applications dédiées aux pharmacies. En trois ans, l'effectif de l'entreprise est ainsi passé de 75 à 42 personnes, pour un chiffre d'affaires de 5,5 millions d'euros.
Durant cette phase de réorganisation, l'entreprise a connu deux exercices déficitaires, en 2007/2008 et 2008/2009 (elle clôture au 30 septembre). « Le plan de relance de l'entreprise commence à porter ses fruits mais l'année 2009 a été marquée par de nombreux reports d'achats chez nos clients, explique Jean-Michel Neyrial, son Président. Nous renouerons avec les bénéfices dès le prochain exercice, c'est-à-dire pour la période 2010/2011. »
Dans ce contexte, Neyrial a fixé deux priorités. La première concerne le développement d'une salle blanche, hébergée dans ses locaux de Clermont-Ferrand. « Nous avons récemment triplé sa capacité, ce qui explique qu'elle ne soit pour l'instant utilisée qu'à 30% de son potentiel », précise Jean-Michel Neyrial. La seconde priorité est son activité très haut débit, notamment en tant qu'opérateur de réseaux fibre optique. (...)
Bouygues Telecom, une exception à la crise
(Source EuroTMT) Alors que les quatre principaux opérateurs français ont maintenant publié leurs chiffres pour le premier trimestre 2010, un constat s'impose, Bouygues Telecom garde la forme. Depuis un an et le lancement de son offre quadruple-play, l'opérateur a retrouvé une nouvelle jeunesse, se traduisant par un gain constant de parts de marché, tant dans le DSL que dans le mobile.
En revanche, la lecture, un peu trop rapide, du communiqué de Vivendi sur les performances de ses filiales au premier trimestre 2010 a pu faire croire que tout allait bien pour SFR. Mais c'était oublier que le groupe de communications ne communique plus sur les chiffres d'abonnés globaux de sa filiale télécoms, mais seulement sur l'évolution du parc d'abonnés au forfait. Corrigé de l'évolution du parc d'abonnés prépayés, le nombre d'abonnés mobile du principal opérateur alternatif s'est inscrit en baisse au premier trimestre. Revue de détails par marché.
Haut débit : essoufflement de la croissance
L'année 2009 a été marquée par une forte progression du marché du haut débit. Les accès DSL ont augmenté de 1,696 million d'abonnés, dont 505 000 durant le premier trimestre de 2009. Comparativement, le début de l'année 2010 enregistre un essoufflement de la croissance. Compte tenu des annonces faites par les quatre principaux opérateurs, on peut évaluer la croissance nette du marché au premier trimestre de 2010 autour de 320 000 abonnés.
La principale surprise est venue de France Télécom. L'opérateur historique affiche un petit gain de 57 000 nouveaux clients, retombés à 4 000 après le nettoyage de sa base d'abonnés. C'est une très faible performance que l'opérateur a expliquée comme la conséquence de l'arrêt de ses offres promotionnelles. Mais France Télécom promet une amélioration de sa situation dès que ces nouvelles offres, notamment quadruple-play, seront lancées. Autre perdant du trimestre, Iliad. Malgré un niveau de prises d'abonnements correct chez Free, la poursuite de désabonnement chez Alice a réduit la performance globale du FAI à 48 000 nouveaux clients.
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La conséquence directe est que SFR, qui a consolidé sa première place dans la croissance trimestrielle, lui a soufflé la deuxième place des FAI. Enfin, Bouygues Telecom, pas encore touché par le churn (taux de désabonnement), enregistre aussi une très bonne performance avec 117 000 nouveaux clients.
Téléphonie mobile : la purge
La publication par l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) de son observatoire du premier trimestre avait déjà donné le ton. Pour la première fois depuis bien longtemps, le marché avait perdu 5 000 abonnés à fin mars 2010. Un recul qui s'expliquait par la forte contraction du marché des clients prépayés (617 000), malgré la forte progression du parc d'abonnés au forfait (612 000).
Déjà durant toute l'année 2009, les opérateurs mobiles avaient pris l'habitude de purger tous les six mois leur parc d'abonnés prépayés. Un phénomène qui a touché les deux principaux opérateurs mobiles qui voient leur parc global respectif diminuer de 173 000 pour Orange et de 31 000 pour SFR. En revanche, Bouygues Telecom, qui a aussi nettoyé sa base d'abonnés prépayés, affiche un gain net, rendu possible par une forte progression de sa clientèle au forfait. Sa part de marché trimestrielle dans ce segment s'inscrit à 24 %, un niveau supérieur de près de 8 points à sa part de marché globale.
Autre enseignement du trimestre, la confirmation de l'accélération de la croissance des MVNO (Mobile Virtual Network Operator). Globalement, les opérateurs virtuels ont enregistré un gain de 114 700 abonnés, contre 72 100 au premier trimestre 2009, à 3,6 millions de clients et leur part de marché atteint maintenant 6,15 %.
Trimestriels SFR : une croissance inattendue
(Source EuroTMT)Alors que France Télécom a connu, en France, un premier trimestre difficile, SFR, son principal concurrent tricolore, a, en revanche, enregistré d'excellentes performances durant les trois premiers mois de l'année. L'opérateur alternatif, dont les comptes ont été publiés, avec ceux de sa maison-mère Vivendi, affiche ainsi une hausse de 1,9 % de son chiffre d'affaires à un peu plus de 3 milliards d'euros, une croissance inattendue pour de nombreux analystes.
Cheuvreux, filiale de courtage du Crédit Agricole, délivre régulièrement des analyses économiques et boursières. Dans ce cadre, la société tablait sur un recul de 3 % ! Le résultat opérationnel ajusté avant amortissement est lui en hausse de 3,9 % à 634 millions d'euros. Une performance à mettre au compte, essentiellement, de l'activité mobile qui renoue avec la croissance, après plusieurs trimestres de baisse. Les revenus du mobile progressent de 0,2 %. Dans le fixe et le haut débit, le chiffre d'affaires progresse de 0,8 % à 834 millions. Les seules activités haut débit sont en hausse de 14,6 %. Les dirigeants de SFR qui expliquent depuis une bonne année que leurs performances commerciales, tant dans le mobile que les accès DSL, vont finir par payer et se traduire en croissance des revenus, semblent donc voir leur stratégie commerciale agressive être validée. Et l'opérateur pourrait encore accélérer sa croissance, hors impact des baisses des tarifs réglementés, compte tenu de son rythme élevé de prises d'abonnés durant le premier trimestre.
Des effets à concrétiser dans la durée
Si France Télécom a connu un trou d'air en début d'année, SFR en a manifestement profité pour accroître ses parts de marchés. Dans la téléphonie mobile, l'opérateur affiche ainsi un gain net de 225 000 abonnés et précise que ses offres iPhone ont engrangé 227 000 nouveaux clients. Ce qui s'est traduit par une augmentation de quatre points, à 26,5 %, de la part des revenus issus de la data mobile. Dans le haut débit, SFR a gagné 148 000 clients et son parc d'abonnés s'élève maintenant à 4,592 millions de clients. Ce qui permet à l'opérateur de rafler la deuxième place sur le marché français, derrière Orange, mais devant Iliad qui s'élève à 4,504 millions. De plus, cette croissance se révèle rentable, l'Ebitda du pôle fixe-haut débit s'inscrivant en hausse de 13,5 % à 151 millions d'euros.
Tout le problème pour SFR est de montrer maintenant, qu'il est capable de maintenir ce rythme de croissance tout au long de l'année. En 2009, après un très bon premier semestre, l'opérateur avait en effet connu une deuxième partie de l'année plus faible.
John Lilly, PDG de Mozilla, prépare sa sortie
« What's next for me (but not yet !) » C'est le titre du post que l'on peut lire sur le blog de John Lilly. Après 5 ans de services auprès de la société Mozilla Corp, d'abord comme COO, puis comme CEO depuis janvier 2008, il a décidé de tenter une autre aventure auprès du fonds d'investissement Greylock Partners. Il a estimé qu'il était temps pour lui de retrouver ses premiers amours, impulser de nouvelles idées et aider au développement de jeunes sociétés.
Lors de son activité auprès de Mozilla Corp, il a développé plusieurs produits dont Firefox, navigateur Internet concurrent direct de IE, mais également l'outil de messagerie Thunderbird. Il est aussi connu pour ses prises de position, comme sur Apple dans le cadre du téléchargement par défaut de Safari lors de la mise à jour des logiciels de la marque. Du côté de Microsoft, John Lilly était assez critique sur le « ballot screen », donnant la liberté à l'utilisateur de choisir l'installation de son navigateur sous Windows.
Sur son blog, le dirigeant indique qu'il restera au comité exécutif de la fondation Mozilla. Son retrait de la direction de Mozilla Corp ne sera effectif que lorsqu'un remplaçant sera trouvé.
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