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(14/04/2010 15:34:12)

Vision croisée sur l'adoption du e-commerce

Le e-commerce est en pleine croissance. Le FEVAD (Fédération des Entreprises de Vente à Distance) avec l'appui du Secrétariat d'Etat chargé du commerce a à ce titre annoncé dans une étude publiée en février dernier qu'en France, les ventes en ligne ont progressé de 26% en 2009. En réponse à cet engouement, nombre d'entreprises qui ne sont pas des pure player se lancent de plus en plus dans la commercialisation de leurs produits sur la toile. Face à ce nouveau modèle économique, des équipes se créent, spécialisées dans le web et travaillent en étroite collaboration avec la direction générale, les directeurs produits et les services marketing. « On fait attention à notre métier, car il est de plus en plus important » précise Sylvain Caubel, Directeur e-commerce chez Lafuma. Bien que le e-commerce soit traité à part de la vente traditionnelle, le dialogue est indispensable entre les managers. Comme le précise le responsable, « notre activité e-commerce est directement rattaché à la direction générale et deux fois par an nous travaillons ensemble pour regarder les budgets. En complément, nous réalisons un point mensuel sur les contrôles de gestion de chaque ligne produits ».

Mathieu Parisot, Directeur e-commerce pour la société Philips France, ajoute à ce titre « mon combat quotidien est de convaincre l'équipe commerciale ». Parfois des conflits peuvent émerger car les directions en charge des produits estiment parfois qu'ils sont en concurrence avec l'activité du e-commerce. Mathieu Parisot a trouvé un remède « il ne faut pas mettre exactement les mêmes produits sur le web et dans les points de vente ». De son côté, le cadre de Lafuma affirme qu' « après comparaison des bases de données, il s'avère que nous n'avons que très peu de clients en commun ».

Complémentarité financière et diversité stratégique


En dépit de l'indépendance de la filière e-commerce, la gestion des coûts est étroitement liée à celle des directions en charge des produits, car les frais engendrés sur le web leur sont directement imputés. Au total, six types de coûts sont distingués : les ressources humaines, les achats, la logistique, la technologie, la publicité ainsi que le service client avant la vente associé à la constitution de base de données. Le groupe Lafuma a réalisé des développements importants pour assurer un service conséquent à ses clients. Il précise à ce titre que : « nous avons permis aux magasins d'approvisionner des commandes web».

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Un tel projet web nécessite une organisation exemplaire. « En mars nous élaborons des prévisions pour les six mois à venir et en avril, mai et juin nous projetons les années futures ». En plus, il faut réfléchir régulièrement à des stratégies à mener pour attirer davantage de client sur le site Internet de commercialisation, mais pas uniquement. Sylvain Caubel annonce « nous avons un pôle appel qui constitue environ 20% de nos commandes ». Le but est de capter une clientèle qui cherche la mobilité, la facilité d'accès, sans pour autant passer par Internet. C'est notamment le cas des personnes âgées.

Philips se lance, lui, dans une toute autre activité annexe et mise sur les réseaux sociaux. Mathieu Parisot insiste « j'ai exploré les réseaux sociaux et j'ai remarqué que la marque a sa place ». Le e-commerce s'attaque donc désormais aux sites communautaires. « Sur le web il faut aller où sont les clients. Nous avons donc décidé de nous en remettre de plus en plus aux blogueurs dont nous nous servons comme relais » explique Mathieu Parisot. Selon lui, les systèmes d'information doivent être utilisés au mieux. Il prévoit donc d'une part de faire intervenir les internautes sur leur site de vente en ligne et d'autre part de conquérir les téléphones mobiles.

(...)

(14/04/2010 09:20:34)

Le Net entre neutralité et équité tarifaire

(Source EuroTMT) Un peu plus d'un mois après avoir constitué un groupe d'experts chargé de définir ce qu'est la neutralité du net, Nathalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire d'État en charge de l'économie numérique, a annoncé le 9 avril le lancement d'une consultation publique sur le sujet. Initiative bienvenue mais certainement un peu tardive, alors que l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes) vient d'organiser un colloque sur ce sujet. Cet évènement était à ce titre clôturé par l'intervention de la secrétaire d'État.

Une manifestation déjà réussie : débordée par son succès, l'autorité en a limité l'accès et a diffusé les débats en direct sur son site. Depuis deux semaines, l'Arcep a publié aussi les vidéos d'une vingtaine d'intervenants qui répondent à deux questions : qu'est-ce que la net neutralité, et qu'attendre des pouvoirs publics ?

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Sans grande surprise, la plupart des intervenant se classent en deux camps : ceux qui veulent taxer les acteurs d'internet, et ceux qui veulent limiter la capacité de gestion des flux par les FAI. Principal argument des premiers : rentabiliser les investissements que les opérateurs doivent supporter pour faire face à la croissance des trafics. Principal argument des seconds : inscrire dans le marbre la liberté, fondement d'internet. Évidemment, la réalité est un peu plus complexe. Pour les uns comme pour les autres, l'enjeu est en fait autre : comment atteindre l'abonné-internaute et en garder le contrôle. Pour tous les acteurs du jeu, la réponse est la même : développer les services et les contenus que demande l'internaute pour le convaincre de ne pas aller voir ailleurs.

La fin du paradigme du tarif unique

Pour cela, il faudrait évidemment sortir du dogme tarifaire institué avec le passage au haut débit au début des années 2000 : celui du forfait illimité. La formule, notamment en France, a eu un succès éclatant en permettant un décollage rapide du haut débit et en permettant aux abonnés de faire tout ce qu'ils voulaient en ligne. Avec les dérives que l'on connaît : comme celui du téléchargement illégal.

Mais cette formule tarifaire recèle aussi ses limites, liées au débit réel obtenu par l'abonné. Or, par exemple, un abonné à 29,90 € qui dispose d'un débit réel de 1 ou 2 Mbit/s, ne peut évidemment pas faire tout ce que peut faire l'abonné qui dispose d'une connexion à 20 Mbit/s, et qui aura accès demain à 50 ou 100 Mbit/s.

Est-il donc normal dans ce cas de faire payer à tout le monde le même tarif ? C'est comme si un théâtre faisait payer la place au poulailler au tarif du fauteuil d'orchestre ! Une fois que ce paradigme sera tombé, ce qui se produira au plus tard quand le très haut débit arrivera, le débat pourra alors se recentrer sur la question de fond : quelle réglementation doit être mise en place dans un environnement où les télécoms et l'audiovisuel ne font plus qu'un ? Et dans ce cadre, pourront alors être examinées, sans arrière-pensées, les règles qui doivent s'appliquer aux acteurs d'internet.


Si l'abonné-internaute est donc au centre du jeu, bizarrement personne n'en parle. Et pourtant, c'est bien lui qui consomme les services et les contenus proposés par les uns et les autres. Ce qui pourrait se traduire par une question simple voire simpliste : la net neutralité ne constitue-t-elle pas un faux débat dans la mesure où les opérateurs peuvent établir des grilles tarifaires en fonction des services et des contenus que souhaite obtenir l'abonné ?

(...)

(14/04/2010 09:27:30)

Facebook renforce sa communication sur la sécurité

Le réseau social annonce l'arrivée d'un espace de sécurité pour ses 400 millions d'utilisateurs. Elaboré par Facebook et son Comité consultatif de sécurité, fondé fin 2009 pour répondre aux attentes de ses membres en matière de sécurité, cette page apporte de nouvelles ressources pour informer aussi bien parents, autorités, éducateurs, qu'adolescents sur les outils de sécurité fournis par le site. Il comporte notamment un portail interactif proposant du contenu multimédia créé par Facebook et des organisations indépendantes spécialisées dans la sensibilisation des personnes à la sécurité en ligne. (...)

(14/04/2010 09:27:34)

Bing dépasse péniblement les 3% en France

Bing.com, le moteur de recherche de Microsoft lancé à l'été dernier, a franchi en France la barre des 3% de parts de visites (3,3% en mars 2010 contre 2,5% en septembre 2009), selon les données publiées mardi par Médiamétrie-eStat. Bing arrive en deuxième position, derrière Google, qui récolte 90,6% de parts (contre 90,8% six mois plus tôt), et devant Yahoo! (1,6%), Orange (1,1%) et Conduit (0,8%, contre 0,3% en septembre 2009).
(...)

(13/04/2010 17:07:45)

La pub arrive sur Twitter

Twitter a dévoilé sa stratégie de monétisation avec l'introduction de pubs sur ses pages. Le site de micro-blogging va proposer un système de "Promoted Tweets" (ou "tweets sponsorisés") grâce auquel les annonceurs peuvent acheter des mots clés et envoyer de courts messages promotionnels. Concrètement, les utilisateurs verront ces tweets en tête de certaines pages de résultats de recherche.

Début mars, Twitter avait annoncé avoir franchi le cap des 10 milliards de messages (ou "tweets"). Quelques jours plus tôt, le site de micro-blogging, lancé en 2006, avait indiqué que ses membres publiaient un total de 50 millions de messages chaque jour, soit une moyenne de près de 600 messages postés par seconde. (...)

(13/04/2010 14:40:28)

Attention aux fausses pubs sur Facebook

Selon Sandi Hardmeier, une chercheuse spécialisée dans la sécurité Internet, une publicité malveillante a été découverte dans une application pour Facebook qui redirigeait les utilisateurs vers un logiciel antivirus factice. La bannière en question, une publicité pour des cartes de voeux, apparaissait par intermittence dans Farm Town et a attiré, selon les informations publiées par Facebook, plus de 9 millions d'utilisateurs mensuels. « Lorsque la publicité au format Flash Shockwave était affichée, l'utilisateur était redirigé depuis Facebook vers un site web vendant de faux logiciels antivirus, après avoir traversé différents domaines, » a déclaré Sandi Hardmeier, qui s'intéresse aux publicités malveillantes et a rédigé un post sur ce sujet dans un blog.

Une note publiée sur le site Web de SlashKey, le développeur de Farm Town, informe qu'«à l'heure où nous écrivons, nous pensons que cette redirection entrainée par une ou plusieurs annonces sur le site est sans danger pour votre ordinateur, mais vous ne devez en aucun cas suivre les liens dirigeant vers un quelconque logiciel vous proposant de « nettoyer votre système. ». Ajoutant que « la plupart des « bons antivirus et des programmes antimalware sauront repérer ce logiciel malveillant et le neutraliser. » Pour sa part, Sandi Hardmeier ne croit pas que ce malware soit inoffensif. « Je suis déçu de voir que le développeur cherche à minimiser le risque, » dit-elle.

Matt Brummett, un des gérants de Adknowledge, le réseau de publicité en ligne propriétaire de Cubics.com, diffuseur de l'annonce a déclaré que « le faux placard avait été retiré du site. Quant a l'agence hollandaise AdSeven Media qui a relayé l'annonce à Cubics.com, « elle a été bannie de leur réseau, » a ajouté Matt Brummett. Selon lui, Adknowledge utilise différentes techniques pour contrôler et empêcher les fausses annonces et il est rare que ces vérifications soient contournées. « Nous avons identifié le problème sur cet accident, et nous allons le résoudre, » a t-il ajouté.

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Les faux sites d'antivirus prétendent habituellement que les ordinateurs des visiteurs sont infectés et les pressent de télécharger un logiciel souvent totalement inefficace. Les consommateurs piégés payent jusqu'à 70 dollars US pour acheter leur logiciel, par ailleurs difficile à désinstaller de son ordinateur, sans compter qu'ils arrivent rarement à récupérer leur argent. Les experts en sécurité estiment que ce commerce de centaines de faux programmes antivirus représente une industrie de plusieurs millions de dollars. L'an dernier, un rapport de Panda Security avait montré que près de 35 millions d'ordinateurs dans le monde pouvaient être infectés chaque mois par de faux programmes antivirus.

C'est le navigateur Chrome de Google qui a permis de détecter les domaines malveillants utilisés pour rediriger les utilisateurs et déjouer les parades. Google a en effet intégré à son navigateur une technologie  de « navigation sécurisée » qui permet d'éviter aux utilisateurs d'être dirigés vers des sites Web potentiellement dangereux. « Ce qui n'est pas le cas d'Internet Explorer 8, » a déclaré Sandi Hardmeier encore en train de tester Firefox 3.6. On sait que les pirates ont trouvé des astuces pour faire entrer leurs publicités malveillantes dans les réseaux qui fournissent les innombrables placards s'affichant sur les sites Web. Et les sites de réseaux sociaux comme Facebook sont une cible de choix pour les fraudeurs en raison de leur nombre élevé d'utilisateurs et donc des victimes potentielles.

La plupart des régies ont pris des mesures pour faire en sorte que ces annonces nocives ne circulent pas. Mais les façons de contourner ces protections ne manquent pas. «Certains s'adressent directement aux propriétaires des sites pour leur offrir de la publicité, » a indiqué Sandi Hardmeier. «Les réseaux « responsables » surveillent les coups tordus, les bloquent et suspendent immédiatement les fausses campagnes. » La chercheuse qui a adressé une alerte à Cubics.com, l'agence responsable d'avoir relayé l'annonce sur Farm Town, est également sur le point de notifier Facebook, précisant qu'elle n'avait pu joindre ses responsables en urgence.

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(13/04/2010 12:06:34)

Adobe lance Flash Catalyst CS5 (MAJ)

« Adobe s'est engagé à mener une politique innovante en matière d'Internet en fournissant aux concepteurs et aux développeurs les meilleurs outils possibles, » a déclaré John Loiacono, vice-président senior et directeur général du département Creative Solutions chez Adobe. « En associant les runtimes Flash à la puissance des outils Flash intégrés à Creative Suite 5, les concepteurs et les développeurs peuvent collaborer plus efficacement, afin de réduire le temps de réalisation des applications web et de contenus interactifs disponibles sur les postes fixes, mais également sur les appareils mobiles».

L'apport de Flash Catalyst se situe principalement au niveau des composants utilisés pour créer des contenus interactifs de type boutons, barres de défilement, curseurs, champs de texte, cases à cocher, qui permettent aux visiteurs d'une page web d'interagir avec un produit ou un service. Ces éléments utilisent des concepts de pages et d'états, à l'image des projets de mise en page traditionnels ou de design Internet. De plus, l'interface et l'environnement de Catalyst s'apparentent à ceux de Photoshop, d'Illustrator, de Flash Pro, ou de Fireworks. Le logiciel transforme aussi des créations issues de ces différentes solutions, en contenus fonctionnels ou en interfaces utilisateur. Ils serviront de base aux concepteurs pour ajouter du contenu Flash et des applications destinées aux sites Internet. In fine, les projets peuvent être enregistrés au format SWF ou AIR, pour être lus sur l'ordinateur ou en ligne, avec le prochain player Flash 10.1.

Flash Builder 4 conçues pour les RIA


L'autre nouveauté de Creative Suite 5 s'appelle Flash Builder 4 Standard (anciennement Flex Builder). Conçu pour aider les développeurs à créer des Applications Internet riches (RIA), cet outil de développement, basé sur Eclipse, facilite le codage, le débogage et la conception visuelle d'interfaces utilisateur. Ce logiciel apporte également une meilleure coordination des travaux entre concepteurs et développeurs utilisant Catalyst pour construire des applications intégrant des interactions spécifiques. Cela donne aux premiers un contrôle accru sur les aspects créatifs d'un projet, tout en permettant aux seconds de se concentrer sur le coeur de l'application.[[page]]Très utilisés par les concepteurs pour la création d'objets multimédias interactifs, d'animations et autres contenus riches, Flash Professional CS5 offre une manière différente de travailler avec le cadre Texte, apportant des fonctions typographiques professionnelles et un traitement avancé du multilinguisme, en prenant en charge plus de 30 langues. L'autre innovation réside dans la présence  d'un panneau de codes pré-construits, les Snippets, que les créateurs peuvent utiliser directement dans les projets, pour ajouter des fonctions dans la navigation, comme des actions, des animations, des éléments audio et vidéo.

Créer des contenus web pour les terminaux mobiles

Avec Flash Professional CS5, les auteurs peuvent créer, tester et diffuser du contenu web sur de nombreuses plates-formes et d'appareils mobiles de type smartphones, tablettes tactiles, netbooks, SmartBooks et autres produits électroniques grand public. Ces contenus, destinés à s'afficher dans les navigateurs internet, seront compatibles avec la version 10.1 du player Flash ou avec applications autonomes tournant sous AIR 2.  Flash CS5 permet aussi d'accéder aux outils d'analyse Internet Omniture SiteCatalyst et Omniture Test & Target soit directement à partir du programme, soit via la plate-forme de services en ligne Adobe CS Live. L'application comprend également l'outil Packager pour iPhone capable de compiler le code ActionScript en code natif pour iPhone qui devait permettre aux développeurs Flash de créer des applications pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, et d'autres appareils mobiles à venir. Mais le nouveau contrat de licence développeur iPhone 4.0, diffusé le 8 avril, interdit les applications qui n'ont pas été créé en C, C++ et Objective- C. Néanmoins, Adobe a déclaré qu'il continuerait à développer le Packager pour l'OS de l'iPhone et qu'il l'intègrerait à Flash CS5.

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