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(31/03/2010 10:46:45)

Un moteur de recherche multimédia pour la v2 du site de l'Elysée

La Présidence de la République Française a récemment refondu le site web Elysee.fr. Celui-ci comporte des contenus textuels mais également en vidéo. Il a semblé nécessaire d'indexer également les contenus multimédias en plus des textes. Pour cela, l'Elysée a choisi la solution proposée par l'éditeur français Exalead et notamment sa nouvelle technologie Voxalead, issu d'une recherche en collaboration public-privé entre Exalead, Vecsys Research et le CNRS.

Voxalead permet une reconnaissance de termes au sein de vidéos avec un moment où ce mot est prononcé. Du coup, en cas de recherche de ce mot, le moteur de recherche est capable de retrouver les textes le comprenant mais aussi les moments où il est prononcé au sein des vidéos du site. Sur le site web (voir illustration), les vidéos trouvées avec un terme cherché sont accompagnées d'une liste des moments où ce terme est prononcé. L'internaute peut accéder directement au bon moment en cliquant dans la liste. Cette implémentation de Voxalead est une première mondiale en production sur un site destiné au grand public. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

(30/03/2010 16:51:19)

Office mobile : Microsoft choisit la prudence

Office Web Apps, la suite bureautique pour Internet de Microsoft, intégrée à la dernière suite bureautique Office 2010 -  annoncée pour le 12 mai en version entreprise et courant juin pour le grand public - comprend des versions web gratuites de Word, d'Excel et de PowerPoint. Telle est la parade de Microsoft à l'arrivée massive sur le marché d'outils de productivité signés Google et autres. « Nous devons être les leaders. Nous devons être ceux qui prennent les décisions difficiles, diriger le jeu et amener le marché vers nos produits,» a déclaré Stephen Elop, président de la division Business de Microsoft dans une interview. Car pour l'instant, en matière d'outils de productivité en ligne, Microsoft est plutôt suiveur que meneur.

Une étude datant de 2009, réalisée par le cabinet IDC, fait état d'une utilisation croissante de Google Docs. Elle précise aussi que 20 % des personnes interrogées affirment que la suite de Google est largement utilisée au sein de leur entreprise. Une étude similaire remontant à 2007, montre que Google Docs était à l'époque largement utilisée par 6% des entreprises. Mais Google, arrivé parmi les derniers sur le marché, de plus avec une suite de productivité en ligne maison, n'avait pas fait de tort à Microsoft. Deux ans plus tard, l'étude IDC 2009 montre que l'utilisation croissante de Google Docs dans les entreprises n'a pas eu d'effet négatif sur les parts de marché de Microsoft Office, suggérant que les applications de bureautique sur Internet sont des compléments plutôt que des substituts des suites de productivité classique, du moins pour l'instant.

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Mais le rôle des applications de productivité en ligne pourrait changer à mesure que les entreprises se familiarisent avec leur usage et être utilisées en lieu et place des logiciels de bureau. Décrivant les effets du «cloud computing» - un terme fourre-tout employé pour désigner des services de calcul hébergés et offerts via Internet - sur le marché de l'informatique d'entreprise, Stephen Elop les qualifie de modèle de «rupture constructive. » Selon lui, Microsoft a une marge de manoeuvre étroite quand elle réfléchit à la manière dont les applications sont déployées et utilisées. «Quand je pense à ces transformations, je dois le faire d'une façon qui tienne compte et qui permette aux 500 millions de clients de Microsoft Office de nous suivre. Il faut s'interroger sur le nombre de personnes, leur lieu de travail, comment elles utilisent ce produit quotidiennement et avec quelle fréquence,» a expliqué Stephen Elop.

La large base d'utilisateurs d'Office représente incontestablement une source essentielle de revenus pour Microsoft. En 2009, les ventes d'Office ont dépassé 17 milliards de dollars, soit près de 30 pour cent des recettes globales de l'entreprise. Par conséquent, Microsoft veut être sûr que les nouvelles versions de Microsoft Office disponibles en ligne ou pouvant être utilisées depuis des téléphones portables ne remettent pas en cause ces bénéfices. «La nécessité d'une telle expérience, doit, sans aucun doute, être au moins, du même niveau que tout ce que les gens connaissent déjà, » a déclaré Stephen Elop. Dans la manière dont Microsoft voit évoluer les applications de productivité, les utilisateurs pourront modifier et déplacer des documents entre leurs ordinateurs personnels, Internet et des dispositifs mobiles, sans rien perdre de la mise en forme ou de la structure des documents.

 

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« La meilleure combinaison possible sera celle qui permet une expérience transparente entre le PC, le téléphone portable, et le navigateur internet, » a déclaré Stephen Elop.  « Les versions mobiles de Microsoft Office pour téléphones tournant sous Windows seront disponibles un peu plus tard cette année, ainsi que pour les smartphones Nokia tournant sous Symbian, » a t-il indiqué. Il a même prédit que, dans les années à venir, 200 à 300 millions de mobiles Nokia seront livrés avec une version d'Office mobile.

Pour l'instant, Microsoft n'a pas de plans pour proposer des versions mobiles de Microsoft Office pour les BlackBerry de Rim ou pour l'iPhone d'Apple. Microsoft n'a pas non plus l'intention de développer une version d'Office pour le système d'exploitation MeeGo, une combinaison des systèmes d'exploitation Maemo de Nokia et Moblin d'Intel. « Nous réfléchissons sérieusement à la stratégie à mener en fonction des appareils, et à quel moment la mettre en oeuvre, parce que nos options sont limitées, » a déclaré Stephen Elop. «A mesure que nous avançons, nous considérerons aussi d'autres environnements. Mais nous savons, sans ambiguïté, que nous devons examiner chaque plate-forme. Nos clients nous l'indiquent et l'attendent de nous, » a t-il conclu.

(...)

(30/03/2010 10:28:42)

Free, isolé dans la hausse du prix du triple play

A l'époque, le haut débit était plutôt relatif avec un débit de 512 kbit/s. Depuis, la situation a nettement évolué, grâce à l'amélioration technique du DSL qui autorise des débits théoriques de 28 Mbit/s. Free a fait de son tarif de 29,99 € son meilleur atout marketing pour gagner des parts de marché, et a imposé la téléphonie sur IP avec plus d'une centaine de destinations gratuites et le triple-play avec un bouquet de base gratuit de 150 chaînes de télévision. Ce développement a été rendu possible par la baisse du tarif de dégroupage organisé par l'Autorité de régulation télécoms, l'Arcep, permettant aux opérateurs alternatifs de rentabiliser leurs investissements. Grâce à son modèle économique « low cost » qui réunit une structure légère, un recrutement en ligne, des dépenses publicitaires réduites au minimum, Free est devenu très rentable.

Un ARPU bénéficiaire

Fin 2009, l'Ebitda (le chiffre d'affaires avant le paiement des taxes, des intérêts, les dépréciations et les amortissements) de Free représentait 39,4 % de ses revenus. C'est-à-dire un taux comparable au niveau de marge brute enregistré durant les belles années par les opérateurs mobiles tricolores, quand de nombreux spécialistes, à commencer par les dirigeants d'Iliad, trouvaient le marché mobile trop cher et peu concurrentiel. On pourrait donc considérer que le prix du triple-play pourrait baisser, d'autant que l'Arpu (revenu moyen par abonné) des clients de Free est bien supérieur au tarif facial de l'offre. Il atteint 36,3 € grâce aux revenus générés par les services payants tels que les bouquets de télévision, la VOD, etc. De plus, le tarif du dégroupage a baissé en 2009.

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Une demande isolée

Manifestement, le prix ne va pas baisser, Xavier Niel, le patron d'Iliad - la maison mère de Free -, ayant affirmé, lors de la présentation de ses comptes annuels 2009 que le tarif du DSL pourrait enregistrer une hausse d'environ 5 € cette année. Cette hausse serait provoquée, selon lui, par les contentieux engagés par l'UFC Que Choisir. Une explication qui fait sourire chez les concurrents, mais qui reconnaissent que le coût de la gratuité de la hotline obtenue à l'issue d'une longue bataille par les associations de consommateurs, induit un coût financier de plusieurs dizaines de millions d'euros par an. Pour autant, une hausse des tarifs ne semble pas d'actualité et les concurrents de Free ne semblent pas se sentir concernés par les déclarations de Xavier Niel. Pourtant, SFR, comme Bouygues Telecom pourraient avoir un intérêt dans une hausse du prix du DSL. SFR supporte des coûts plus élevés que Free avec ses réseaux de boutiques, des frais publicitaires importants, des coûts de rétention pour baisser le churn et la migration des parcs acquis. Dès lors, sa marge d'Ebitda dans le fixe ressort ainsi à 17,5 %.

Financer les projets fibre et mobile

Mais le tarif de 29,90 € semble constituer un plafond, et les opérateurs alternatifs pourraient attendre la commercialisation des accès à très haut débit pour augmenter significativement le revenu par abonné en proposant de nouveaux services payants. En fait, les raisons d'une hausse du DSL seraient purement internes à Iliad, qui devrait augmenter ses moyens financiers pour faire face à tous ses projets.Non seulement Free doit investir dans le mobile et le FTTH (fibre optique jusqu'à l'abonné), mais Free pourrait aussi avoir à réinvestir dans le DSL pour défendre ses parts de marché qui sont en baisse d'un point dans la croissance annuelle du marché en 2009 et améliorer son réseau, tout en poursuivant le dégroupage de nouveaux NRA (noeud de raccordement d'abonnés).

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(29/03/2010 16:13:44)

Google améliore les API de son protocole de données

«Prises ensembles, la réponse partielle et la mise à jour partielle peuvent réduire considérablement les besoins en réseau, en mémoire et en ressources processeur nécessaires pour travailler avec les API de Google, » ont indiqué Kyle Marvin et Zach Maier, deux membres de l'équipe de Google Data Protocol, dans un blog. Pour expliquer comment fonctionnait la réponse partielle, ils citent l'exemple d'un développeur écrivant un widget pour l'agenda d'Android qui afficherait l'heure et le titre d'événements récemment modifiés sur Google Agenda. «Avec l'ancienne API de l'agenda, on sollicitait l'ensemble du flux des événements, ce qui générait en retour une grande quantité d'informations, comme la liste des participants et la description de l'événement, » explique les deux bloggeurs. «Avec la réponse partielle, il est maintenant possible de ne demander que les informations pertinentes en utilisant que les titres des événements et les heures. » De la même manière, en retour « si un développeur veut permettre au widget de changer l'heure des événements de l'agenda, la mise à jour partielle rend cette opération facile par l'édition des données reçues en réponse partielle et par l'utilisation d'un patch http en retour qui envoie les données modifiées sur le serveur, » ont ajouté les membres de l'équipe. « Le serveur interprète ensuite le patch, ne changeant que les champs définis par le développeur » ont-ils détaillé.

En début de semaine, les nouveaux protocoles de réponse et de mise à jour partielle étaient déjà applicables - à des degrés divers - aux API de YouTube , de l'agenda, des albums Picasa, et de Sidewiki. Et le moteur de recherche prévoit d'ajouter rapidement ce support à la plupart des API travaillant avec le Google Data Protocol.

(...)

(26/03/2010 15:15:08)

TIC : la France pointe à la 18ème place dans le monde

Réalisé par l'Insead, l'école de commerce et de management de Fontainebleau, et publié dans le cadre du Forum économique mondial, ce rapport "souligne le rôle clé joué par les TIC dans la perspective d'un monde davantage axé sur le développement durable dans les domaines économique, environnemental et social (...)". Plusieurs critères sont pris en compte, comme la capacité des pays à utiliser efficacement les TIC, ou les projets innovants mis en oeuvre dans le processus de développement de ces pays.

Ce classement, qui fait office de référence internationale, sacre cette année la Suède, qui décroche une note de 5,65. Suivent Singapour, le Danemark, classé premier lors des trois précédentes éditions, la Suisse, et les Etats-Unis. Avec un score de 4,99, la France se classe au 18ème rang, juste derrière la Corée du Sud, l'Australie et le Luxembourg, et devant la Nouvelle-Zélande, l'Autriche et le Japon. La Chine, qui était 59ème en 2008 et 46ème en 2009, progresse cette année au 37ème rang. La Bolivie, le Zimbabwe et le Tchad (133ème), sont les économies les moins "connectées" en termes de TIC.

Site : www.weforum.org (...)

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