Flux RSS
Internet

5069 documents trouvés, affichage des résultats 1551 à 1560.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(26/03/2010 15:07:18)
940 millions d'internautes sur les réseaux sociaux
Cette étude a été menée sur un panel de près de 3.000 personnes de 14 pays, dont la France et huit pays de l'Union européenne, les Etats-Unis, le Brésil, l'Australie, la Russie et la Chine. 72% des personnes sondées font partie d'au moins un réseau social, ce qui correspond à 940 millions d'utilisateurs dans le monde, souligne InSites Consulting. Cité par 51% des personnes interrogées, Facebook se pose comme le réseau social le plus populaire. Le site américain a récemment revendiqué pas moins de 400 millions de membres à travers le monde. Suivent MySpace (20% des sondés) et Twitter (17%). LinkedIn est quant à lui le réseau social le plus utilisé dans le cadre professionnel (16%).
Autre enseignement de l'étude, les utilisateurs des réseaux sociaux se connectent en moyenne deux fois par jour (9 fois par mois sur les réseaux professionnels). Deux catégories d'utilisateurs se distinguent : ceux qui se connectent beaucoup, mais écrivent rarement et observent davantage les autres (14%), et ceux qui se connectent fréquemment et écrivent très régulièrement (26%). En moyenne, un utilisateur de média social possède 195 amis sur son réseau, mais ce chiffre grimpe à 360 amis pour l'Amérique latine, à 236 au Portugal, et à 200 aux Etats-Unis. 58% des utilisateurs confient également avoir déjà supprimé au moins une fois un ami de sa liste.
Cette enquête a été réalisée en janvier 2010 auprès de 2.884 consommateurs de 18 à 55 ans dans 14 pays : Belgique, Pays-Bas, Royaume-Uni, France, Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Brésil, Etats-Unis, Australie, Roumanie, Russie et Chine. (...)
Selon Symantec, 90% des emails sont des spams
Le taux de spam dans les emails échangés dans le monde a progressé de 1,5 point entre février et mars 2010 pour s'établir au-delà de la barre des 90%, indique la société californienne. La Hongrie arrive en tête des pays les plus concernés par le spam, avec un taux de 95,7%, devant le Danemark (94,9%) et l'Italie (94,7%). A l'inverse, le taux de spam est relativement faible au Japon (87,5%) ou à Singapour (88,3%).
Par ailleurs, 36,6% des emails classés comme spam proviennent des Etats-Unis, 17,8% de Chine, 16,5% de Roumanie, 10,7% du Royaume-Uni, 10% de Taiwan et seulement 0,7% de France. Côté "tendances", le rapport indique qu'1 mail sur 358,3 échangés en mars 2010 contenait un virus. Le ratio de phishing (technique utilisée par les pirates pour obtenir des données personnelles des internautes) est quant à lui d'1 mail sur 513,7.
Enfin, le secteur le plus touché par le spam à l'échelle globale est l'ingénierie (94,7%), devant l'éducation (91,9%).
Illustration : D.R.
(...)
Jean-Pierre Dardayrol présidera l'AFNIC
L'AFNIC (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération) gère les extensions françaises (.fr et .re, les suffixes des autres collectivités d'outre-mer en disposant n'étant pas activés*). Cet organisme était présidé depuis 2004 par Jean-Claude Gorichon. Son mandat de six ans arrivant à expiration, Jean-Pierre Dardayrol vient d'être élu pour lui succéder.
Le nouveau président a déclaré : « L'AFNIC a une activité au croisement des sujets qui me passionnent et sont la trame de ma vie professionnelle : les STIC, la délivrance de services aux entreprises et aux particuliers ainsi que la sécurité. Forte de ses succès, l'AFNIC doit poursuivre la consolidation de son rôle d'acteur du développement de l'Internet, au travers d'actions de recherche et développement, de renforcement continu des infrastructures DNS et de sensibilisation des entreprises, des collectivités et des particuliers aux enjeux liés aux noms de domaine. »
Actuellement membre du CGIET (Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies) et président suppléant de la section sécurité et risques de cet organisme administratif de conseil et d'inspection, Jean-Pierre Dardayrol a été l'un des initiateurs de la e-administration en France, en dirigeant notamment l'Atica et la MTIC, précurseurs de l'actuelle DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Jean-Pierre Dardayrol, ingénieur des Mines, a d'abord travaillé dans le monde de la recherche en logiciels temps réels puis à la planification stratégique. De 1986 à 1997, il a occupé diverses fonctions de direction à La Poste et au ministère de l'Industrie pour le secteur des communications électroniques.
Jean-Pierre Dardayrol a également été membre durant plusieurs années du jury des Trophées Entreprises et Société de l'Information organisés par Le Monde Informatique et CIO.
* Le .nc de la Nouvelle Calédonie est géré par l'Office des Postes et Telecommunications de ce territoire au statut très particulier. (...)
Microsoft OCS évolue pour remplacer le PBX
Le Communication Server 14, nom de code pour l'évolution d'OCS (Office Communication Server), système de communications unifiées de Microsoft a été dévoilé à la conférence VoiceCon à Orlando. Ce logiciel fournit de la messagerie instantanée, la téléphonie IP, la vidéo conférence, la gestion de présence et d'autres outils d'échanges pour les grandes entreprises. Il sera disponible au cours de la deuxième moitié de 2010.
Gurdeep Singh Pall, vice-président de l'activité communications unifiées de Microsoft n'hésite pas à déclarer « OCS peut remplacer un PBX d'entreprise au travers d'une connexion SIP (Sesssion Internet Protocol) ou via le réseau commuté public. Des économies peuvent être réalisées sur les appels longues distances et la téléphonie en général » et d'ajouter « il s'agit d'une solution complète de voix sur IP ». Les analystes restent sceptiques sur l'abandon total des iPBX d'entreprise au profit de solutions purement logicielles. Le vice-président a pourtant réaffirmé la volonté de Microsoft de se positionner comme un acteur majeur de la téléphonie.
[[page]]
« Les gens utilisent de plus en plus de nouvelles formes de communications, mais ces évolutions, au détriment de la voix traditionnelle, ne sont pas aussi rapides que le pense Microsoft. De plus, l'éditeur n'a jamais fait d'argent dans le téléphone » commente Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group.
Parmi les annonces, on citera la fonction appelée « parking », qui donne la possibilité de mettre un appel en attente et de le reprendre sur un autre téléphone ou un ordinateur. Le logiciel client Communicator a été simplifié et apporte une plus grande intégration avec la plateforme SharePoint 2010 et Exchange Server 2010. Les utilisateurs pourront affiner leurs recherches de personnes en interne en utilisant des critères d'expertises et de connaissances. La mise en contact sera réalisée via un micro-casque USB et la conversation retranscrite grâce à la reconnaissance vocale.
La reconnaissance vocale servira également pour l'écriture de messages vocaux directement à l'écran. Enfin, une fonction de géolocalisation, baptisée e911 (le 911 est le numéro d'urgence aux Etats-Unis), sera intégrée pour prendre en charge les appels d'assistance quel que soit le lieu où se situe l'utilisateur. (...)
Le droit à l'oubli numérique adopté au Sénat
Les sénateurs ont adopté à l'unanimité mardi 23 mars un projet de loi sur le droit à la vie privée sur Internet qui prévoit notamment de garantir un droit à l'oubli sur Internet. Le texte vise à faire de l'adresse IP une donnée personnelle et permettre à "toute personne justifiant de son identité de supprimer les données la concernant". Egalement au programme, l'assouplissement du principe de consentement préalable en matière de cookies sur les sites Internet visités, et l'inscription dans les programmes d'instruction civique de la sensibilisation des élèves à la protection des données. Le texte renforce par ailleurs le rôle de la Cnil (Commission nationale informatique et libertés) en instaurant une obligation de notification, auprès de cette organisme, des failles de sécurité rencontrées par les entreprises sur leurs sites.
(...)
Adwords sauvé, mais Google sous surveillance des marques
Une décision de justice où toutes les parties estiment avoir gagné, c'est assez rare. L'affaire Google France Sarl contre Louis Vuitton Malletier auprès de la Cour de Justice de l'Union européenne est de celle-là. Pour mémoire, l'activité maroquinerie de luxe du groupe LVMH, ainsi que d'autres marques (Bourse des Voyages et une agence matrimoniale) ont porté plainte contre le moteur de recherche en estimant que le service d'achat de mots clés « adwords », permettant à des annonceurs d'apparaître lors de requêtes ciblées dans la rubrique « liens commerciaux ». Or les plaignants ont constaté que ces liens menaient à des sites concurrents ou de contrefaçons de leurs propres marques. Après un premier jugement favorable aux marques et un appel, la Cour de Cassation a posé à la CJUE des questions préjudicielles pour éclaircir certains éléments au regard du droit communautaire et plus particulièrement vis-à-vis des directives européennes sur le droit des marques.
Bénéfices pour les deux parties
La justice européenne rappelle au préalable la directive « marque » du 21 décembre 1988 et le règlement « marque communautaire » du 20 décembre 1993 en estimant que les titulaires d'une marque sont habilités à interdire un annonceur de faire de la publicité pour des produits ou des services identiques à ceux pour lesquels ladite marque est enregistrée. La CJUE renvoie donc aux juridictions nationales de statuer sur les plaintes déposées par les propriétaires des marques contre les annonceurs frauduleux afin de retirer leurs liens.
[[page]]
Dans sa deuxième réponse, la Cour souligne qu'au regard de la directive, « le prestataire d'un service de référencement sur Internet qui stocke en tant que mot clé un signe identique à une marque et organise l'affichage d'annonces à partir de celui-ci, ne fait pas un usage de ce signe ». Cette phrase exonère le service Adwords de faciliter la contrefaçon. Cette exemption est renforcée par l'interprétation de la directive commerce électronique du 8 juin 2000, « si le prestataire n'a pas joué un rôle actif de nature à lui confier une connaissance ou un contrôle des données stockées. S'il n'a pas joué un tel rôle, ledit prestataire ne peut être tenu responsable pour les données qu'il a stockées à la demande d'un annonceur à moins que, ayant pris connaissance du caractère illicite de ces données ou d'activités de cet annonceur, il n'ait pas promptement retiré ou rendu inaccessibles lesdites données. »
Une obligation de négociations
De prime abord, chaque partie peut crier victoire. Google sauve un service qui lui apporte une ressource financière essentielle à son activité. Les titulaires de marques, eux, vont pouvoir attaquer plus rapidement les annonceurs malveillants, notamment à travers des procédures de référé, obligeant ainsi Google à surveiller ses liens commerciaux. Dans certains cas, la responsabilité civile de Google pourra être analysée par les juges et des dommages et intérêts pourront alors être prononcés. Du côté, des détenteurs de marques, le dépôt de plaintes systématique dans les 27 pays de l'Union européenne peut vite devenir fastidieux et un centre de coût. Il est donc impératif que les protagonistes de cette affaire s'entendent sur la mise en place de bonnes pratiques. Pierre Godé, vice-Président du Groupe LVMH, a déclaré à propos de la décision de la CJUE « nous voulons continuer à travailler avec tous ses acteurs, y compris Google, pour éradiquer les pratiques illicites en ligne et promouvoir la mise en place d'un cadre favorable à une croissance saine et rapide de l'économie digitale. ». De son côté, Google sur son http://googleblog.blogspot.com/2010/03/european-court-of-justice-rules-in.html>blog> affirme disposer d'une politique d'interdiction des publicités de contrefaçon et d'ajouter « nous travaillerons en collaboration avec les propriétaires des marques pour mieux identifier et éliminer les contrefacteurs ».
Au final, après 5 ans de procédure, la justice européenne a permis de clarifier le débat et de remettre les différents acteurs autour de la table pour négocier, plutôt que de s'affronter.
(...)(24/03/2010 16:10:30)iGroups : un réseau social original pour iPhone et iPad
Selon les informations du blog, Patently Apple, spécialisé dans les brevets déposés par Apple Basé sur un système spécifique de cryptage des données permettant de sécuriser les informations privées, iGroups permettrait à Apple de développer un système de réseau social exclusif aux utilisateurs d'iPhone en premier lieu, puis étendu à d'autres terminaux par la suite. Avec ce service, il suffit de créer un groupe et d'y inviter des participants. Les utilisateurs peuvent détecter un groupe lorsqu'ils sont physiquement proches de son créateur. Paramétrés pour être effectifs un certain laps de temps, les iGroups permettent à un membre de communiquer à tous les autres en simultané, par sms ou e-mail. Le scénario mis en avant est celui d'un concert de rock, où les possesseurs d'iphone peuvent constituer pendant l'événement un groupe éphémère et s'échanger des commentaires.
Un service qui va au-delà des produits Apple
Si d'autres options comme le partage de fichiers et de calendriers sont évoquées, la véritable révolution d'iGroup consiste dans la possibilité d'inclure d'autres participants non-détenteurs d'un iPhone, le bluetooth ou le wifi étant suffisant pour les ajouter à la liste des membres et leur envoyer des messages. Plus encore, iGroups permettrait, via un système de mini-routeur, d'agglomérer une multitude d'appareils ne disposant pas d'une balise GPS en utilisant les connexions des autres terminaux. Ainsi, si un téléphone détecte dix autres appareils grâce au bluetooth, l'iPhone qui héberge le groupe pourra également les inclure dans son réseau.
iGroups serait donc un créateur de réseau social ponctuel n'impliquant ni web, ni création de compte. Prévu pour arriver avec iPhone OS 4.0, l'utilisation d'une telle fonctionnalité impliquerait donc une mise à jour du système d'exploitation des précédentes générations de smartphones.
Crédit Photo: Patently Apple
(...)< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |