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(06/04/2010 16:39:17)

Google acquiert une plateforme de diffusion de vidéos

Pour sa cinquième acquisition de l'année, Google absorbe la start-up californienne Episodic qui a développé une plateforme de diffusion de vidéos en direct ou à la demande sur le web. Destinée à des fournisseurs de contenus ou à des agences de marketing, notamment, cette suite logicielle fournit l'ensemble des fonctions pour gérer des vidéos en ligne, les monétiser en recourant à un paiement par carte de crédit, ou encore y insérer des séquences de publicité. Elle inclut un outil d'analyse des consultations des internautes. La visualisation des contenus peut notamment s'effectuer à partir d'un terminal mobile comme l'iPhone.
Basée à San Francisco, Episodic a été co-fondée par Noam Lovinsky et Matias Cudich.

Depuis le début de l'année, la société de Larry Page et Sergey Brin a déjà mis la main sur DocVerse (composant de synchronisation entre des documents en ligne et MS Word), Picnik (retouche photo en ligne), reMail (client de messagerie pour l'iPhone) et Aardvark (outil de recherche pour réseaux sociaux).

(...)

(06/04/2010 09:22:33)

300 000 iPad vendus le 1er jour

Le lundi 5 avril, Apple a annoncé avoir vendu plus de 300.000 iPad le premier jour de commercialisation, soit le samedi 3 avril. Rappelons que les ventes de l'iPhone 3G avaient été d'un million d'exemplaire le premier jour et que l'iPhone premier du nom avait demandé 74 jours pour passer la barre du million ! Un succès relatif puisque les chiffres de l'iPad comprennent les précommandes, les ventes dans les Apple Store et chez les revendeurs agréés. Depuis plusieurs mois , et avec l'aide complaisante des médias, Apple a habilement orchestré le lancement de sa tablette internet.
Les premiers possesseurs d'iPad ont téléchargé dès le premier jour, plus d'un million d'applications sur l'App Store et plus de 250.000 livres numériques sur iBookstore.

Illustration IDG NS, D.R. (...)

(02/04/2010 10:31:50)

SAP lance son outil collaboratif StreamWork

Comme prévu, SAP vient d'annoncer la disponibilité générale de son outil de collaboration en ligne, désormais baptisé StreamWork. Le logiciel a été accessible pendant plusieurs mois en version bêta, d'abord privée, puis publique, début février. Il y a presque un an maintenant que SAP a mentionné pour la première fois, sous le nom de Constellation, cette application de prise de décision en groupe, alors en gestation. Livrée en bêta publique sous l'appellation « 12Sprints », faisant référence à la méthode de développement agile Scrum, le logiciel vient donc de se voir définitivement nommé. « StreamWork » veut évoquer la fluidité. Le nom souligne la vocation de l'outil à fournir à une équipe géographiquement dispersée un espace en ligne pour avancer sans à-coup et sans entrave sur des sujets de toute nature, exigeant une prise de décision documentée et argumentée. 

« Ce peut-être la sélection d'un packaging pour un produit, donne en exemple David Meyer (photo), vice-président senior, responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, basé en Californie, dans la Silicon Valley. Ou encore, le choix d'une date et d'un lieu pour un événement. On travaille avec l'outil comme on le ferait autour d'un tableau blanc », nous a-t-il expliqué le mois dernier, à l'occasion d'un déplacement en Europe, au Cebit de Hanovre. Différentes méthodes et matrices (Swot*, notamment) sont proposées aux personnes participant à la réflexion, afin de peser le pour et le contre des solutions suggérées, en fonction de leurs inconvénients et avantages respectifs. Chacun donne son avis, en direct, et l'historique des conversations et des échanges est conservé.
« Ce logiciel n'est pas concurrent de Google Wave, mais complémentaire, considère David Meyer. Ce que nous voulons avant tout, c'est respecter la façon dont les gens travaillent. Nous ne voulons pas contrôler mais faciliter les choses, les rendre possible ».

StreamWork capture

La version payante offre plusieurs niveaux de sécurité

Librement utilisable dans sa version bêta, StreamWork va se maintenir dans une version gratuite, la Basic Edition. Celle-ci est limitée à cinq activités ouvertes (auxquelles on pourra inviter tout participant), à 250 Mo de données stockées par utilisateur et à un historique d'un an sur les dossiers fermés. Ce produit d'appel permet en revanche de collaborer sans limite aux activités ouvertes par d'autres groupes. Il autorise aussi l'ajout de méthodes supplémentaires, de commentaires et de fichiers.

Quant à l'édition dite professionnelle, on peut s'y abonner pour un an, en France, au prix de 96 euros (110,4 euros TTC) par utilisateur. Elle permet d'ouvrir jusqu'à cent activités personnelles, de disposer d'un espace de stockage de 5 Go et de conserver jusqu'à deux années d'activités déjà bouclées. Cette version dispose surtout de fonctions de sécurité à appliquer à différents niveaux (par utilisateurs et par groupes).

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David Meyer, qui a supervisé le projet 12Sprints, a rejoint SAP/BusinessObjects il y a un peu moins de deux ans, après être passé chez Plumtree, acquis par BEA Systems, qu'il a quitté après son rachat par Oracle. « Marge Breya [vice-présidente exécutive et directeur général de SAP/BO pour la plateforme décisionnelle] m'a convaincu que je pourrais diriger un projet à la manière d'une start-up en intégrant SAP », confie-t-il. 12Sprints a démarré en s'appuyant sur le code des applications BusinessObjects On Demand, outils décisionnels en ligne [récemment livrés dans une nouvelle version]. « J'ai demandé à pouvoir développer en utilisant les méthodes agiles, on ne pouvait pas faire autrement. Mais Business Objects travaillait de toutes façons sur ce mode depuis des années ».

La toute première version bêta de l'outil a été livrée en avril 2009. Les premières prises en main se sont faites par un groupe restreint d'entreprises, chaque utilisateur au sein de ce cercle étant en mesure d'inviter qui il souhaitait dans la boucle. « Nous avons eu un profil Facebook sur l'outil 12Sprints avant même que l'identité de ses développeurs soit connue et que l'on sache qu'il s'agissait de SAP », indique David Meyer. Entre mai et novembre 2009, une liste blanche précisait le nom des entreprises autorisées à participer au test. Il suffisait d'en faire partie pour y accéder.

L'utilisateur peut porter son contexte SharePoint dans StreamWork

La bêta privée arriva début décembre. On y accédait sur invitation. « Vous pouvez facilement créer une activité. Que vous utilisiez MS SharePoint ou un outil de wiki, vous pouvez en porter le contexte dans 12Sprints [désormais StreamWork], explique David Meyer. On peut aussi y présenter des PowerPoint et les accompagner immédiatement de commentaires. Il y a eu une adoption rapide du produit pendant sa phase bêta. Les meilleurs jours, nous avons pu avoir entre 500 et 1 000 inscriptions. Bien sûr, les niveaux d'activité sont différents, certains utilisateurs sont très actifs, d'autres se sont juste enregistrés. Fin février, il y avait plusieurs milliers de personnes qui utilisaient l'application. »

Certains éditeurs américains ont déjà développé des fonctionnalités complémentaires au logiciel. Evernote, par exemple, qui propose un outil de prise de notes, permet d'intégrer ces contenus à une activité StreamWork. Scribd, de son côté, utilise sa technologie d'affichage de documents pour offrir la lecture de fichiers Word et Excel directement dans l'environnement StreamWork.

(...)

(01/04/2010 16:43:31)

Google renforce la sécurité de Gmail pour les entreprises

Baptisé 'Google Message Security', ce service est fourni par Postini, la firme de logiciel rachetée par Google en 2007, pour 625 millions de dollars. Cette application payante permet aux entreprises de faciliter la gestion de leur messagerie, et surtout d'en améliorer la sécurité. Ne nécessitant aucune installation, Google Message Security est paramétrable via une interface web, qui permet aux entreprises de régler elles-mêmes, en temps réel, leur niveau de protections anti-spam, en choisissant les expéditeurs, les destinataires, les termes et les types de pièces jointes à bloquer, ou à autoriser. Les messages sont ensuite scannés automatiquement, et répartis dans les différentes boîtes de messageries. De cette manière, les envois à risques n'entrent jamais en contact avec les réseaux des entreprises. Les emails jugés suspects sont placés en quarantaine, une liste détaillée est régulièrement transmise aux utilisateurs pour les informer des risques évités, les courriels filtrés restent consultables. La totalité des messages sont archivés, et un moteur de recherche avancée y est intégré.

Google Message Security fait aujourd'hui partie de la suite Google Apps Premier, les entreprises peuvent y souscrire directement depuis Internet, moyennant la somme de 8 € par utilisateur et par an, pour la version uniquement sécuritaire. La mouture comprenant l'archivage complet des emails est facturée 17,50 € par utilisateur et par an, comptez enfin 31,50 € pour une conservation de 10 ans. Les établissements d'éducation et organisations à but non-lucratif peuvent bénéficier de remises à partir de 250 utilisateurs.

Les informations détaillées de cette solution sont disponibles à cette adresse : http://www.google.fr/postini/

 

(...)

(01/04/2010 14:24:26)

500 000 tweets par jour en France

D'après une étude de géolocalisation des tweets réalisée par la société Semiocast , les membres de Twitter basés en France envoient un total d'un demi-million de messages chaque jour. 44% des tweets émis en France sont en français, et 34% en anglais. La France, est avec l'Italie, le pays où l'on "twitte" le moins dans la langue officielle. A l'inverse, 85% des tweets émis au Brésil sont en portugais, et 95% des tweets du Japon sont en japonais.

Malgré un développement croissant observé ces derniers mois, Twitter connaît une popularité relative dans l'Hexagone. Sur 13,5 millions de tweets pris en compte du 21 au 28 mars, environ 1% provient de France, contre 30% pour les Etats-Unis, 15% pour le Japon, et 12% pour le Brésil. L'Indonésie occupe le quatrième rang sur Twitter, avec 10% des messages publiés, devant la Royaume-Uni (6%). Suivent, avec 1% ou plus des messages, le Canada, le Mexique, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Australie, le Venezuela, la Corée du Sud et la France.

Twitter permet désormais de géo-étiqueter les tweets en leur associant des coordonnées GPS. Toutefois, seuls 0,5% des tweets sont ainsi géo-étiquetés, souligne l'étude. Le logiciel le plus utilisé pour géolocaliser les tweets est ÜberTwitter sur BlackBerry (26% du total). Début mars, Twitter avait annoncé avoir franchi le cap des 10 milliards de messages (ou "tweets"). Quelques jours plus tôt, le site de micro-blogging lancé en 2006 Twitter avait indiqué que ses membres publiaient un total de 50 millions de messages chaque jour, soit une moyenne de près de 600 messages postés par seconde. (...)

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