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(09/02/2010 17:49:57)

Loppsi II : premiers débats à l'Assemblée Nationale

Le projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite Loppsi II, est débattu à l'Assemblée Nationale à compter de ce mardi 9 février. Cybercriminalité, délits routiers, terrorisme... Le texte tient à fixer "les grandes orientations stratégiques de la politique de sécurité intérieure pour les années 2009-2013". Le vote doit être effectué le 11 février. Loppsi II dégage les grands axes des moyens devant être mis en place pour lutter contre différentes formes de délinquance, du terrorisme en passant par les délits routiers jusqu'à la cybercriminalité. Ce dernier thème constitue un chapitre important du projet de loi puisqu'il prévoit notamment l'obligation pour les fournisseurs d'accès à Internet de bloquer les contenus pédopornographiques. A ce sujet, le projet de loi prend exemple sur les dispositifs mis en place au Danemark, en Grande-Bretagne, en Norvège, aux Pays-Bas et en Suède. Un arrêté ministériel avec la liste des sites Internet à interdire pourrait être publié. Charge ensuite aux FAI "d'empêcher l'accès des utilisateurs aux contenus illicites". Au sein de ce volet "Internet", précisé dans le Chapitre II, un article sanctionne d'une peine d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende toute personne utilisant l'identité d'autrui, "ou tout autre donnée personnelle en vue de troubler sa tranquillité ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération". Des cybercrimes très agaçants dans la vie quotidienne En octobre dernier, une étude du Credoc révélait que 212.762 personnes sont victimes d'usurpation d'identité chaque année en France. Dans 51,9%, l'usurpateur débite le compte bancaire de sa victime. Autre axe majeur : la lutte contre "l'insécurité routière". Il s'agit de renforcer le dispositif de lutte contre "la conduite sans permis et la conduite malgré une décision judiciaire d'interdiction de conduire". Le texte prévoit une "peine complémentaire obligatoire de confiscation du véhicule lorsque le conducteur en infraction en est le propriétaire". Concernant la conduite en état d'ivresse, les jugements pourraient empêcher aux personnes condamnées de conduire une voiture n'étant pas équipée d'un dispositif homologué d'anti démarrage par éthylotest électronique. Enfin, un volet de ce projet de loi prévoit d'allonger la durée d'interdiction de stade à six mois, au lieu de trois actuellement, pour une personne ayant commis des infractions dans des enceintes sportives. La sanction pourrait passer à douze mois "en cas de réitération intervenue dans les trois années précédentes". Pour être appliqué, le projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure doit être approuvé par le Sénat. Le vote de l'Assemblée Nationale doit intervenir jeudi. (...)

(09/02/2010 12:23:15)

Les familles ne sont pas assez prudentes sur Internet

D'après ce sondage, deux enfants sur trois ont déjà partagé leur adresse email, et la mise en ligne des photos personnelles explose de 382% entre 10 et 16 ans.Publié dans le cadre de la septième Journée pour un Internet plus sûr, une manifestation qui vise à sensibiliser parents et mineurs aux risques de sécurité sur le Web et les réseaux sociaux, ce sondage fait la lumière sur les pratiques des enfants sur le média Internet. Premier enseignement, les plus jeunes n'hésitent pas à partager sur Internet des informations relatives à leur adresse email (67,5%), voire leur adresse postale (23,6%). Ils sont également 43,7% à publier leurs photos, et 34,7% à révéler leur liste d'amis. Et à mesure qu'ils grandissent, ces jeunes internautes ont tendance à communiquer de plus en plus ces informations. Ainsi, la mise en ligne de photos progresse de 382% entre 10 et 16 ans, tandis que le partage d'adresse email grimpe de 173%. La mise à jour de statut en temps réel explose de 514% sur la même période. Des ados trop confiants Si 74,7% des enfants de 10 ans déclarent ne pas mettre en ligne des informations que leurs parents ne souhaiteraient pas voir, ce taux chute à 27% pour les adolescents de 16 ans. En moyenne, les jeunes, et surtout les filles, redoutent que leurs parents accèdent à des informations liées à leur vie sentimentale ou leurs histoires personnelles. Interrogés sur la manière dont ils prennent conseil pour savoir ce qu'il est sûr ou non de mettre en ligne, 67% des enfants se tournent vers leurs parents, et 44% vers leurs amis. En revanche, à partir de 15 ans, ils privilégient avant tout les amis (61,5% des 15 ans), voire le Web (16,2%). Quant aux parents, ils sont 21% à déclarer ne pas savoir où s'informer concernant le partage d'informations personnelles sur Internet. 15% des parents d'enfants de 15 ans en viennent même à demander conseil à leurs propres enfants. Par ailleurs, les parents sont aussi enclins que leurs enfants à révéler des informations personnelles : email (91,8%), date d'anniversaire (85,7%), adresse postale (74,7%), photos (51,3%) ou CV (33,5%). Globalement, 99,2% des enfants se connectent à Internet depuis leur domicile. L'école est un lieu de connexion pour seulement 13,6% des jeunes internautes. A noter 13,5% des adolescents de 16 ans se connectent à Internet via leur téléphone mobile. Cette étude a été menée du 26 janvier au 2 février par l'institut Opinion Matters pour Trend Micro, éditeur de solutions de sécurité sur Internet, auprès de 526 parents d'enfants âgés de 10 à 16 ans, et de 500 enfants de 10 à 16 ans. (...)

(08/02/2010 17:44:57)

Mardi 9 février, journée européenne de l'Internet

La Journée pour un Internet plus sûr (Safer Internet day), initiée en 2004 par la Commission européenne, a lieu mardi 9 février. A l'heure de l'explosion des réseaux sociaux en ligne, cette manifestation a pour but de sensibiliser les internautes les plus jeunes des dangers qui peuvent exister sur la Toile. Une campagne sera notamment lancée pour encourager les adolescents à "réfléchir avant de publier". Selon la Commission européenne, les sites de socialisation (Facebook, MySpace, etc.) comptent plus de 41,7 millions d'utilisateurs réguliers en Europe, dont une grande partie sont des enfants et des adolescents. A l'horizon 2012, ce chiffre devrait passer à 107 millions. Bruxelles estime que ces jeunes internautes "ne réalisent pas toujours que les informations personnelles qu'ils publient telles que des photos ou des vidéos restent en ligne et sont accessibles à tous, ce qui les expose à des risques tels que le harcèlement en ligne et les sollicitations d'adultes à des fins sexuelles en ligne". D'où le thème de 7ème édition de la Journée pour un Internet plus sûr : "Tu publies ? Réfléchis !". Une campagne, lancée à partir de mardi 9 février dans plus de 60 pays dans le monde, sensibilisera les jeunes internautes sur les possibilités qu'ils ont de contrôler leur identité en ligne en utilisant les options de paramétrage des sites de socialisation. La Commission européenne publiera également un rapport sur la façon dont une vingtaine d'entreprises signataires d'un accord en 2009 ont mis en oeuvre des mesures pour améliorer la sécurité des mineurs qui utilisent des sites de socialisation. Facebook, MySpace, Dailymotion ou encore Skyrock s'étaient notamment engagés par cet accord à mettre place des dispositifs de sécurité pour protéger leurs jeunes utilisateurs. Par ailleurs, un site Internet dédié met avant plusieurs reflexes à adopter par les jeunes utilisateurs de réseaux sociaux, comme ne pas répondre aux messages de harcèlement, dénoncer des contenus choquants aux autorités, ou parler avec une personne de confiance des problèmes rencontrés en ligne. En décembre 2008, l'Union européenne avait adopté un programme couvrant la période 2009-2013 qui consacre la somme de 55 millions d'euros pour le financement d'actions visant à rendre l'Internet plus sûr pour les enfants. Site : www.keepcontrol.eu (...)

(08/02/2010 17:15:38)

Moonlight 3.0, la technologie Silverlight sur Linux, arrive en version alpha

Selon une information publiée sur le site du projet Mono, la version 3.0 de Moonlight, le plugin pour navigateur Internet qui permet de développer des applications web riches dans un moteur de rendu vectoriel, est maintenant disponible en version alpha. Cette mouture permet de porter d'exécuter les applications web développées avec Microsoft Silverlight - un concurrent de Flash, de Flex, de JavaFX et de Quicktime - sur les plateformes Linux et Unix. Selon un communiqué publié par Novell, le sponsor du projet Mono, la version bêta annoncée pour cet été, sera suivie de la version finale à l'automne. « La nouvelle édition comporte des capacités d'infrastructure qui rapprochent Moonlight 3 de Silverlight 3, » a déclaré Novell. Précisons toutefois que Microsoft vient de dévoiler la béta publique de Silverlight 4. Moonlight 3.0 supporte aujourd'hui le démultiplexeur MP4, bien qu'il n'existe pas encore de codecs associés, à moins qu'un développeur ne se charge de les créer à partir du code source et rende le plugin capable d'interpréter les codecs de FFMpeg. Le communiqué signale aussi la présence d'un début de virtualisation de l'interface utilisateur et d'une couche noyau au sein de la plate-forme. « Le coeur de Moonlight est maintenant séparé du moteur qui gère le système de fenêtrage. Cela devrait permettre aux développeurs qui ne sont pas en X11/Gtk+-centric de faire le portage de Moonlight » a déclaré Miguel de Icaza. La version alpha 3.0 supporte également le Binding/BindingExpression (l'interfaçage) et la mise à jour des API. Un outil de développement SVN (Subversion) de Silverlight 3.0 apporte le support du pixel shader, un système qui travaille sur la luminosité individuelle des pixels développé par David Reveman. La page de téléchargement de Moonlight 3.0 insiste sur le fait que le projet n'en est qu'à un stade alpha et appelle les utilisateurs à la prudence. Elle indique notamment qu'il y a « plusieurs nouveaux sous-systèmes dans Silverlight 3 (comme la gestion des pixel shaders, la messagerie locale, la couche client HTTP) qui mettent en oeuvre des vecteurs d'actions qui n'ont pas encore été ni implémentées ni vérifiées et conseille de les faire tourner sur des ordinateurs qui ne sont pas utilisés en production. Selon le texte, cette situation va progressivement évoluer au cours des versions bêta. Les développeurs peuvent d'ailleurs consulter « l'état des dispositifs de sécurité de Moonlight sur la Moonlight Status Page». (...)

(08/02/2010 16:00:43)

Les Européens hyperconnectés deviennent un problème pour les opérateurs

« L'arrivée des smartphones a créé une certaine accoutumance au tout-connecté » explique Jacques Rame, le président de Motorola France. En effet, huit consommateurs européens sur dix (77 %) confirment que les technologies mobiles font partie intégrante de leur vie privée et professionnelle, et les deux tiers (66 %) pensent qu'elles contribuent à trouver un équilibre dans leur vie. 74% des Français affirment qu'être connecté en permanence à Internet est même devenu un besoin émotionnel. Pour preuve, 59 % confient se sentir en paix lorsqu'ils sont connectés alors que 31% d'entre eux se disent frustrés lorsqu'ils n'ont pas accès à un point de connexion. Jacques Rames explique aussi ce sentiment par l'essor des réseaux sociaux : « aujourd'hui, pouvoir être en relation permanente avec ses amis et sa famille est quelque chose d'extrêmement rassurant. ». Il ressort aussi des résultats de l'enquête qu'indépendamment des générations, les consommateurs utilisant les réseaux sociaux aimeraient avoir la possibilité d'utiliser leur poste de télévision pour recommander des programmes à des personnes de même sensibilité. Partager en temps réel ses émotions Cette demande croissante de connectivité a donc montré que même si elles vont de pair, la demande d'offres et de services l'emporte sur celle de l'avancée technique. «Il y a un autre besoin naissant qui se fait sentir, c'est celui de pouvoir partager les mêmes contenus sur différents écrans. » affirme Jacques Rames, « synchroniser les informations de la vie extérieure et celles de la vie à la maison est devenue un enjeu majeur ». Cette possibilité de gérer différents supports à partir de chez soi s'appelle le 'Home Networking' et c'est ce dans quoi Motorola prévoit d'axer ses futurs projets, en proposant des interfaces de TV et VoD (Video on Demand) simplifiés, notamment en collaboration avec la Livebox d'Orange. Un avenir incertain pour les opérateurs télécoms « Aujourd'hui tout ce qui n'est pas monétisable pour les opérateurs explose » annonce Roland Montagne le directeur business du cabinet d'étude Idate en parlant des offres Internet mobiles illimitées. « De plus, le marché des mobiles semble de plus en plus saturé ». En Europe, les ventes de terminaux ont effectivement baissé de 1,5% en 2009 bien qu'il ait connu une hausse d'1% en France avec 23,6 millions de téléphones. Ces problèmes obligent donc les opérateurs à proposer plus de services, mieux personnalisés. En première ligne pour que les opérateurs regagnent des bénéfices : les services de vidéo. Selon l'enquête de Motorola, les Européens sont de plus en plus nombreux à accéder à des contenus vidéo par d'autres moyens que leur TV : 32 % regardent de la vidéo en streaming sur Internet, 5 % utilisent la télévision à la demande et 13 % téléchargent des films sur le Net au moins une fois par semaine. Les consommateurs recherchent en fait la possibilité de consommer des vidéos comme bon leur semble. Les services de télévision mobile et de TV 3D seraient donc des solutions prioritairement étudiées par les opérateurs. Autre champs de bataille pour ces derniers, le développement de la fibre optique et le passage de la 3G à la quatrième génération de réseaux mobiles: la LTE. (...)

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