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(04/02/2010 15:41:25)

750 M d'euros pour le fonds d'aménagement numérique des territoires

La loi du 17 décembre 2009 relative à la lutte contre la fracture numérique avait entériné la proposition du Sénateur Pintat de créer un fonds d'aménagement numérique des territoires. Il restait à doter ce fonds, ce qui devrait être bientôt chose faite. Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'aménagement du territoire, a confié à « La Gazette des communes » que ce fonds recevrait une partie des deux milliards d'euros prévus dans l'Emprunt national pour accélérer le déploiement des infrastructures à très haut débit. Le ministre évoque un montant de 750 millions d'euros. La loi précise que les aides de ce fonds « ne peuvent être attribuées qu'à la réalisation d'infrastructures et de réseaux accessibles et ouverts » dans des conditions précisées par l'Arcep (autorité de régulation des communications électroniques et des postes), « après avis des associations représentant les collectivités territoriales et de l'Autorité de la concurrence et consultation des opérateurs de communications électroniques ». La gestion comptable et financière de ce fonds est assurée par la Caisse des dépôts et consignations. (...)

(04/02/2010 15:16:18)

Google a basculé ses serveurs YouTube sur IPv6

Google vient d'activer dans la plus grande discrétion le support d'IPv6 sur Youtube, son service de streaming vidéo. C'est Hurricane Electric, un FAI californien très impliqué dans le déploiement de ce protocole, qui en a fait le constat la semaine dernière. « Le trafic IPv6 en provenance des datacenters de Google a brusquement été multiplié par 30, le 28 janvier dernier », affirme Martin Levy, directeur de la stratégie IPv6 chez ce FAI. Il ne s'agissait apparemment pas d'un simple test mais d'un véritable passage en production puisque depuis cette date, le trafic s'est maintenu au même niveau. Une migration nécessaire et annoncée dès novembre 2009 Cette montée en charge est d'autant plus spectaculaire que Google prenait déjà en charge IPv6 pour la plupart de ses services : recherche, finances, Gmail, iGoogle, Picasa, Maps ou Wave. Pour autant, il ne s'agit pas d'une surprise puisque dès novembre 2009, des ingénieurs Google avaient annoncé que l'implémentation d'IPv6 sur Youtube était une priorité et qu'elle était moins difficile et moins coûteuse qu'on pourrait le penser. Même si de nombreux FAI et opérateurs à travers le monde en restent encore à IPv4, d'aucuns déduisent que cette mise à niveau d'un des services Internet les plus consultés au monde doit être interprétée comme une preuve de la dynamique croissante d'IPv6. (...)

(03/02/2010 11:22:34)

Le marché des télécoms en 10 chiffres clefs

L'Arcep, le régulateur des télécoms a publié mardi son Observatoire sur le marché des communications électroniques en France au troisième trimestre 2009. Retour, en dix chiffres clés, sur la consommation des Français en matière de téléphonie mobile, téléphonie fixe et Internet. - 59,7 millions : c'est le nombre de cartes SIM pour mobile en service en France à la fin du 3ème trimestre 2009 (+5,8% par rapport à 2008), - 49,6 milliards de minutes : c'est le volume des appels fixe et mobile au 3ème trimestre 2009 (+1%), - 87 : c'est la moyenne de SMS envoyés par mois et par client de la téléphonie mobile. En tout cela donne 15,5 milliards de SMS envoyés rien que sur 3ème trimestre 2009, - 25 millions : ce sont les appels émis à destination des services de renseignements (-15,6%, décidément cette ouverture à la concurrence est un fiasco, couteux et générant la confusion chez le consommateur), - 15,4 millions : c'est le nombre des abonnés des réseaux mobiles 3G (+64,8% sur un an), - 1,8 million : ce sont les cartes SIM en circulation qui servent exclusivement à se connecter sur les réseaux 3G/3G+ depuis un terminal mobile de type netbook ou PC portable, l'internet mobile gagne du terrain, - 428 000 : c'est le nombre de numéros mobiles conservés lors d'une opération de portabilité lors du changement d'opérateur au 3ème trimestre 2009 (+120.000 en un an), la concurrence devient une réalité à petits pas, - 18,9 millions : c'est le nombre d'abonnements à l'Internet haut débit fixe en France(+10,2%), - 252 000 : c'est le nombre d'abonnés en France à l'Internet très haut débit (fibre optique et câble), - 8,1 millions : c'est le nombre d'abonnés à l'Internet par ADSL qui ont également la possibilité d'accéder à la télévision via leur ligne ADSL. (...)

(03/02/2010 11:22:52)

Google Apps ne fonctionnera bientôt plus avec IE6

Les navigateurs obsolètes, c'est à dire qui ne sont plus maintenus par leurs éditeurs et ne sont pas conformes aux normes actuelles du web, vont progressivement être bannis des services Google. Leurs utilisateurs ne pourront donc plus accéder à ces services. Les services de Google vont en effet progressivement tirer parti de HTML 5 et des formes plus modernes de JavaScript. Google est ainsi le premier service extrêmement populaire à annoncer publiquement une telle migration technique qui va probablement se généraliser à l'ensemble du web (et aux applications en accès web sur les intranets/extranets) dans les années à venir. Google a diffusé auprès de tous les administrateurs américains de services Google Apps un avertissement en ce sens. L'offre de bureautique en mode SaaS Google Apps va en effet être rapidement concernée, avant les autres services. Au 1er mars 2010, le traitement de texte et le tableur en ligne seront ainsi migrées vers des technologies incompatibles avec Internet explorer 6 et d'autres vieux navigateurs. Les utilisateurs de ceux-ci subiront des désagréments et des dysfonctionnements croissants au fil des évolutions fonctionnelles (Google en annonce une centaine par an). Un peu plus tard dans l'année, beaucoup plus d'utilisateurs seront concernées puisque les services de courrier en ligne (Gmail) et de calendrier partagé associé vont à leur tour basculer. Microsoft incite également les utilisateurs à passer sur IE8 Google ne supportera désormais plus que Internet Explorer 7, Firefox 3, Chrome 4, Safari 3 et les versions plus récentes de chacun de ces navigateurs. Opéra, Konqueror, Epiphany, Camino, Maxthon, K-Meleon, Flock, Avant Browser, Sleipnir, Slim Browser et d'autres navigateurs marginaux n'ont pas été cités par Google dans sa communication. Internet Explorer 7 et 8 n'étant pas compatibles avec tous les systèmes d'exploitation de la famille Windows encore en place dans certaines entreprises (Windows 2000 et Windows 98 notamment), une migration vers des navigateurs compatibles avec davantage d'environnements (comme Chrome de Google mais aussi Firefox, compatible Linux et MacOS) peut être envisagée. Internet Explorer 6 a souvent été conservé dans certaines entreprises, capables de migrer leurs postes de travail vers des versions plus récentes de ce navigateur du point de vue du système d'exploitation, à cause d'applications proposées sur l'intranet et adaptées à cette seule version d'Internet Explorer qui ne respecte pas les normes W3C. Microsoft a lui-même incité les utilisateurs d'Internet Explorer 6, qu'il ne maintient plus, à migrer vers des versions plus récentes, notamment pour des raisons de sécurité. (...)

(02/02/2010 14:46:22)

SAP propose la bêta publique de son outil collaboratif 12Sprints

L'objectif de l'éditeur est de proposer une « salle d'opérations » virtuelle ('war room') permettant aux collaborateurs d'une entreprise de résoudre des problèmes en temps réel, en mode collaboratif. Les utilisateurs disposent d'une série d'outils méthodologiques permettant d'établir « le pour et le contre » et de déterminer les options stratégiques les mieux adaptées à la situation. La matrice SWOT, par exemple, sert à lister les éléments positifs et négatifs, en distinguant ceux qui sont internes et ceux qui sont externes à l'entreprise.


« Dans l'entreprise, on peut se sentir frustré d'être obligé d'utiliser certains outils », explique David Meyer, vice-president senior responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects. Selon lui, 12Sprints offre une approche totalement différente. « Nous voulons donner aux gens la possibilité de faire le meilleur travail possible quelle que soit la façon dont ils s'y prennent ». Cela implique qu'il soit possible de récupérer des données venant d'applications SAP, mais aussi de solutions de collaboration concurrentes telles que la plateforme Google Wave ou Microsoft SharePoint, et jusqu'à la feuille de calcul qui se trouve sur le poste de travail de l'utilisateur. SAP parie aussi que les clients vont vouloir intégrer 12Sprints avec ses logiciels décisionnels 'on-demand' [venant de BO], pour effectuer des analyses en ligne.

Les développeurs proposent des clients sous iPhone et Android


La disponibilité générale de 12Sprints, qui sera alors renommé, devrait intervenir peu de temps après le lancement de la bêta publique, selon David Meyer qui précise toutefois que, d'une certaine façon, la phase 'bêta' ne devrait jamais être close. SAP prévoit en effet de livrer des mises à jour mensuelles et certaines fonctions seront toujours en mode bêta, explique le responsable des technologies émergentes. SAP recueille des conseils venant des testeurs et l'outil facilite à ses utilisateurs l'ajout de suggestions en leur permettant aussi de noter les propositions faites par les autres. « L'idée générale, c'est d'apprendre en utilisant », conclut David Meyer. Il rapporte que les premiers pas de l'application ont suscité un vif intérêt. Un récent concours d'idées lancé auprès des développeurs a fait remonter de nombreuses propositions, souvent étonnantes, allant de clients sous iPhone et Android jusqu'à des intégrations poussées avec les ERP.

A l'autre bout de la chaîne, SAP travaille aussi sur des composants classiques, à installer en interne ('on-premise'), de 12Sprints qui permettraient aux utilisateurs d'interroger de façon sécurisée leurs différentes bases ou entrepôts de données au sein de leur entreprise. David Meyer n'a pas souhaité indiquer de date de disponibilité pour ces composants. (...)

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