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(02/02/2010 15:18:26)

Facebook, Twitter : trois fois plus d'attaques en 2009

Alors que de plus en plus d'entreprises autorisent l'utilisation de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter au travail, les attaques de cybercriminels contre ces réseaux ont explosé. C'est ce que révèle une enquête publiée par l'éditeur de logiciels de sécurité Sophos, qui constate que le nombre de logiciels malveillants et de spams a augmenté de 70% sur ces réseaux au cours des 12 derniers mois. 57% des utilisateurs ont été 'spammés' et 36% se plaignent d'avoir reçu des logiciels malveillants via les sites de réseautage social. La manière la plus courante de se faire piéger est détaillée dans le chapitre « Cinq arnaques et plus à éviter sur Facebook et Twitter ». Selon Graham Cluley, consultant senior chez Sophos, « les utilisateurs passent plus de temps sur les réseaux sociaux, partageant des informations personnelles sensibles et précieuses, et les pirates ont flairé où se faire de l'argent. » Pour lui, la hausse spectaculaire des attaques constatée cette année est une alerte. « Les réseaux sociaux et leurs millions d'utilisateurs doivent mieux se protéger contre la cybercriminalité organisée, au risque de devenir la proie de voleurs d'identité, d'être victimes d'escroqueries, et de servir de cible pour les logiciels malveillants. » Facebook en première ligne Sur les 500 entreprises interrogées par Sophos, 72% se disent préoccupées par le comportement de leurs salariés sur les réseaux sociaux, et se demandent même s'ils ne mettent pas leur activité en péril. Parmi elles, près de la moitié (49 %) autorisent à tout leur personnel un accès sans contrôle à Facebook et aux autres sites de réseautage social. «Alors que les entreprises sont plus tolérantes quant à l'accès de leurs salariés aux réseaux sociaux, la menace des logiciels malveillants, le spaming, le phishing et le vol d'identité ne cessent d'augmenter sur Facebook », déclare Graham Cluley. Paradoxalement, à la question « selon vous, quel est le réseau social qui présente le plus de risques ? », 60% des personnes interrogées ont cité Facebook. « Nous ne devons pas oublier que Facebook est de loin le plus grand réseau social - et on trouve des pommes pourries dans le plus grand des vergers», explique Graham Cluley. « La vérité est que l'équipe de sécurité de Facebook travaille dur pour contrer les menaces sur leur site. Il faut juste reconnaître que surveiller 350 millions d'utilisateurs n'est pas une tâche facile. Mais il n'y a pas de doute non plus que de simples changements de comportement pourraient renforcer la sécurité des utilisateurs. Par exemple, l'an dernier, les recommandations publiées par Facebook sur la manière de configurer les paramètres de vie privée pour mieux se protéger a eu un effet inverse, puisque cela a encouragé de nombreux utilisateurs à partager leurs informations avec tout le monde », rappelle-t-il. Linkedln, moins menacé mais pas à l'abri Le rapport souligne également les problèmes de sécurité inhérents à LinkedIn, un réseau social ciblé vers les professionnels, qui permet de créer entre eux, entre autres choses, un réseau de compétences et de recherche d'emplois. Bien que LinkedIn soit considéré de loin comme le moins menacé des réseaux, Sophos estime qu'il peut tout de même offrir aux pirates une source importante d'informations. « Les attaques ciblées contre certaines entreprises font beaucoup l'actualité en ce moment, et plus le cybercriminel dispose d'informations sur la structure de l'entreprise, plus il lui sera facile de cibler l'ordinateur de la personne à laquelle il veut précisément envoyer une pièce jointe infectée », explique Graham Cluley. « Des sites comme LinkedIn fournissent aux pirates un annuaire d'entreprise complet, listant les noms du personnel et leurs fonctions. Remonter jusqu'aux victimes potentielles à partir de leurs adresses électroniques est ensuite un jeu d'enfant ! » (...)

(02/02/2010 10:55:08)

WinGineer 2010 : gagner ses frais de scolarité à l'Esiea ou In'Tech Info

Comme l'an dernier, le groupe Esiea (Ecole supérieure d'informatique électronique automatique) a lancé son concours WINgineer, une épreuve de programmation en langage Netlogo. Le premier prix, pour celui ou celle qui l'emportera, couvre entièrement les frais de scolarité dans l'une des deux écoles du groupe : l'Esiea ou In'Tech Info (Ecole supérieure d'ingénierie informatique). Selon la catégorie dans laquelle le candidat est inscrit, cela correspond à trois ou cinq années d'études. WINgineer est en effet ouvert à deux groupes d'étudiants. Il s'adresse d'une part, aux lycéens en Terminale, futurs bacheliers scientifiques et technologiques, éligibles au processus d'admission de l'école d'ingénieurs en 1ère année /1A (en 2009, WINgineer a été gagné par un élève de terminale STI Electronique). L'épreuve concerne d'autre part les étudiants ayant déjà deux années d'études supérieures post-bac, éligibles au processus d'admission parallèle de l'Esiea en 3e année /3A). Les gagnants des 2e et 3e prix se verront offrir une bourse couvrant respectivement 50% et 25% des frais de scolarité. Bataille de tanks par groupes de vingt candidats Aux participants, il est demandé de « programmer un code permettant d'agir sur des éléments d'un jeu vidéo ». Le langage utilisé, Netlogo, « présente le double avantage d'être simple pour ceux qui n'ont jamais programmé et peu connu pour les initiés », selon Hubert Wassnet, enseignant chercheur à l'Esiea et concepteur du jeu. Cette année, le scénario choisi est une bataille de tanks. Les programmes des candidats sont placés dans une arène et s'affrontent, par groupes de vingt ; des scores sont attribués à la fin de chaque partie. Le concours comprend une épreuve de présélection, qui se déroule sur le site Web de l'organisateur. Ouverte depuis le 5 décembre 2009, celle-ci s'achève le 5 mars 2010 à midi. Pour y participer, il faut s'inscrire avant le 1er mars 2010. La deuxième partie de l'épreuve aura lieu à l'Esiea (Ivry-sur-Seine), le samedi 13 mars 2010, avec deux groupes de vingt candidats finalistes. Le règlement précise qu'il s'agit d'un concours individuel et déconseille de ce fait aux participants de partager leur code. (...)

(02/02/2010 13:32:58)

25 milliards d'euros dépensés en ligne en 2009

Dans un contexte économique délicat, les Français ont donc été plus nombreux à se tourner vers la Toile pour commander leurs produits. Au total, le secteur français du e-commerce a enregistré un chiffre d'affaires de 25 milliards d'euros en 2009, contre 20 milliards l'année précédente. Un chiffre qui a été multiplié par 35 depuis 2000, et qui devrait, selon la Fevad, dépasser le seuil des 30 milliards cette année. Cette croissance fulgurante tient d'une part dans le nombre de cyberacheteurs (ils étaient 24,4 millions en 2009, soit 2,1 millions de cyberacheteurs supplémentaires en un an), dont la croissance est portée par les internautes de 50 à 64 ans (+13% d'acheteurs sur cette tranche d'âge), et, d'autre part, à l'explosion du nombre de sites marchands. En 2009, le nombre de e-commerçants a augmenté de 35% à 64.100 cybermarchands. Au total, 17.000 nouveaux sites marchands actifs ont vu le jour l'année dernière (contre 11.800 en 2008). Il se crée en moyenne près de 2 nouveaux sites marchands toutes les heures en France. Le nombre de transactions par cartes bancaires enregistré par les plateformes de paiement a augmenté de 31% en 2009 à 277,8 millions. En revanche, le bilan montre un recul du montant moyen des dépenses en ligne. En 2009, le panier moyen s'élevait à 90 euros, soit 2% de moins qu'en 2008. C'est la deuxième fois que cette tendance est observée en France. Le secteur des produits high-tech a progressé de 8%, celui des produits textile/mode de 13% (contre -3,4% pour l'ensemble de ce marché), tandis que les sites e-tourisme poursuivent leur progression avec un chiffre d'affaires en hausse de 7% (sur un marché en recul de 7%). Le bilan e-commerce 2009 a été réalisé à partir du panel iCE 30 composé de 37 sites (3 Suisses, Alapage, Decathlon, Fnac, Pixmania, Rue du Commerce, Surcouf, Voyages-sncf.com, etc.) et du panel des plateformes de paiement totalisant 64.100 sites (Atos Worldline, SP-Plus, Crédit Mutuel-CIC, Monext, Ogone, Pay Box et PayPal). (...)

(02/02/2010 15:01:03)

La Cour de Cassation limite singulièrement l'exonération de responsabilité des hébergeurs

La Loi sur la Confiance dans l'Economie Numérique a tracé en France une limite claire entre les simples hébergeurs techniques, irresponsables pénalement des contenus hébergés sous condition de réaction rapide en cas de problème, et les responsables du contenu. Mais il reste parfois, malgré tout, des surprises. Ainsi, les services participatifs de type wikis ou blogs posent de vraies questions sur la nature et donc la responsabilité de tel fournisseur de service. Dans une affaire opposant Dargaud et Tiscali, la Cour de Cassation vient de prendre une décision précisant encore la limite de responsabilité. En l'occurrence, des planches de bandes dessinées avaient été reproduites sur des pages personnelles hébergées par Tiscali. Mais Tiscali proposait un service complet de mise en page, au delà de la seule prestation d'hébergement, et intégrait de son propre chef les bandeaux publicitaires qu'elle gérait totalement. Pour ce motif, la Cour de Cassation a rejeté la qualité de simple hébergeur technique pour Tiscali, faisant basculer du coup celui-ci dans le camp des éditeurs de contenus responsables juridiquement de ce qui est proposé en ligne. Ajoutons que Tiscali était incapable de déterminer et de communiquer l'identité de l'internaute ayant ouvert l'espace en cause, en violation de ses obligations légales, mais ce point n'a pas été jugé par la Cour de Cassation, les tribunaux de rangs inférieurs ayant d'ailleurs tous condamné Tiscali sur ce point. (...)

(01/02/2010 16:40:22)

Cisco souhaite imposer sa technologie TIP comme sésame de la vidéoconférence

A l'époque où Cisco a lancé son premier système de téléprésence haute définition avec la vidéoconférence à 1080p - c'était en 2006 et magistralement mise en scène dans la série 24 Heures - d'autres vendeurs proposaient déjà des plates-formes offrant des caractéristiques immersives très au point. Depuis, les offres du marché - chez Polycom ou plus récemment Vidyo - ont continué à se développer. Reste que, réaliser des systèmes multi-écrans travaillant ensemble peut être compliqué, du fait des nombreuses technologies mises en oeuvre, depuis l'ouverture de session jusqu'à la commutation qui permet d'afficher tour à tour les sites en fonction du conférencier qui prend la parole. Le protocole TIP de Cisco a été conçu pour normaliser ces processus et pour faire travailler ensemble les systèmes des différents fabricants sans besoin d'établir à chaque fois une nouvelle configuration. Cisco a annoncé qu'elle se proposait de céder sa licence TIP sans réclamer de royalties. Pour l'instant, seuls trois fournisseurs ont répondu à l'appel : LifeSize, le fabricant de systèmes de téléprésence et de vidéoconférence grand public; Radvision, un vendeur de solutions de conférences multipoints (MCU), et Tandberg, une société de vidéoconférence norvégienne avec laquelle Cisco a conclu un accord de rachat l'an dernier. Mais les grands rivaux de Cisco, à savoir Hewlett-Packard et Polycom, se tiennent en réserve. Garantir l'interopérabilité ou un meilleur fonctionnement du système ? Ira Weinstein, analyste chez Wainhouse Research, rappelle que, lorsque Cisco a introduit son système de téléprésence, l'entreprise a davantage favorisé ses propres produits réseaux pour garantir la meilleure qualité possible dans les salles de réunion que l'interopérabilité de son système. « Cisco, critiqué pour le manque de compatibilité de ses produits, a finalement changé son fusil d'épaule. » Selon Ira Weinstein, l'entreprise traite aujourd'hui la question de l'interopérabilité « en prenant le problème par les cornes » au lieu de considérer que c'est devenu un besoin du marché. Selon Wainhouse Research, le forcing pour assurer la compatibilité des systèmes arrive à au moment où de nombreuses entreprises ont déjà choisi leur équipements en matière de vidéoconférence. Ainsi, entre 2008 et 2009, le nombre de grands systèmes de téléprésence est passé de 1 150 à 1 475. Et l'analyste estime leur nombre à 4 225 en 2014. Alors que les recettes liées à la téléprésence ont augmenté d'environ 28% en 2009 pour atteindre 325 millions de dollars US, les recettes cumulées du vidéoconférencing ont augmenté d'à peine plus de 5%, atteignant 1,7 milliards de dollars. Cependant, le nombre de systèmes de vidéoconférence installés a augmenté de plus de 30%, dépassantr les 444 000 unités. Radvision, qui réalise des MultiConferencing Units (MCU) capables, dans une certaine mesure, de faire communiquer entre elles les plates-formes de fournisseurs différents, prévoit d'ajouter le TIP à ses plate-formes MCUs. Bob Romano, vice-président du marketing d'entreprise chez Radvision, estime qu'avec le TIP de Cisco, le système multi-écrans d'un fournisseur quelconque pourra être relié à un système de conférence Cisco. Pour lui, comme pour certains fournisseurs de systèmes, le TIP est la clé de l'interopérabilité parce qu'il offre la possibilité d'avoir une image de haute qualité sur trois écrans, « ce qui donne aux utilisateurs le sentiment de se trouver dans la même pièce ». Reste qu'un débit de 6 Mbit/s est toujours indispensable pour garantir un bon fonctionnement du système. [[page]] LifeSize, qui revend déjà, comme Cisco, les MCUs de Radvision sous sa propre marque, prévoit également d'implementer le TIP sur ses propres systèmes de vidéoconférence et de téléprésence « généralement moins chers que ceux de Cisco, » précise Matt Collier, vice-président senior en charge du développement chez LifeSize. Selon lui, le TIP rendra au entreprises le choix plus facile. Elles pourront installer quelques salles Cisco haut de gamme dans leurs principaux bureaux et mettre en place des équipements LifeSize ailleurs, indique t-il. « Aujourd'hui, il existe bien des systèmes permettant l'interopérabilité, mais ils ne permettent pas la participation de chacun à qualité égale, » précise Matt Collier. C'est le cas par exemple de la restitution d'image : souvent, avec un système tiers, la qualité est plutôt moins bonne. « Le TIP permettra d'équilibrer ces disparités, » affirme Matt Collier. Même si du côté de LifeSize, on souhaite voir l'interopérabilité entre tous les fournisseurs, Matt Collier pense que Cisco devra s'asseoir autour d'une table avec ses principaux rivaux pour s'entendre. «Personne n'a l'intention de mettre au panier les propriétés spécifiques de son de système pour adopter celles de l'autre ! » a t-il déclaré. Ainsi de Polycom, qui a rejeté l'offre de Cisco. Joe Sigrist, directeur général des solutions vidéo du groupe Polycom reconnaît qu'il y a encore du travail à faire en matière d'interopérabilité, mais revendique une normalisation par le biais d'organismes tels que l'ITU (International Telecommunication Union). "L'approche de Cisco ne vise pas à fournir un standard à l'industrie. Elle propose aux fournisseurs d'intégrer une technologie propriétaire utilisée pour l'essentiel dans les systèmes de téléprésence de Cisco », fait remarquer Joe Sigrist. Quand à Hewlett-Packard, le constructeur n'a pas pu être contacté pour obtenir son appréciation. Pour Ira Weinstein, de Wainhouse Research, il faudra du temps avant que cette question ne soit tranchée. «Dans l'avenir, il y aura sans doute des accords d'interopérabilité entre certains vendeurs. Il faut aussi s'attendre à ce que certains fournisseurs jouent un rôle majeur pour pousser dans un sens ou dans un autre, » estime t-il. Auparavant, au-delà de l'objectif de rendre compatible les systèmes de téléprésence concurrents, il reste, selon lui, à résoudre le défi de la connectivité des réseaux entre eux, notamment, celui posé par les firewalls, « pas encore très adaptés à ce type de trafic». (...)

(29/01/2010 17:03:27)

L'Apec ouvre une passerelle vers Viadeo

L'Apec vient d'ouvrir sur son site Web un espace qui établit une passerelle vers les fonctions du réseau social professionnel Viadeo. Les cadres utilisant leur compte Apec pour gérer leur recherche d'emploi vont, depuis cette interface, accéder à l'actualité de leur compte Viadeo et retrouver leurs contacts, directs et potentiels. S'ils souhaitent se renseigner sur une entreprise qui recrute, ils pourront, par exemple, vérifier si l'un de ces contacts y travaille, donne en exemple l'Association pour l'emploi des cadres. Au sein du même espace, le cadre accède aussi à des conseils pour mieux utiliser les réseaux professionnels dans sa recherche. Il y a deux ans, un partenariat similaire avait déjà été signé par l'association avec LinkedIn. L'an dernier, c'est Cadremploi et Keljob qui s'installaient dans Facebook. On imagine bien tout l'intérêt que cette combinaison de fonctions présente pour un demandeur d'emploi. En revanche, l'utilisation parfois abusive, par les recruteurs, des informations personnelles publiées sur les réseaux sociaux, ont conduit les professionnels du secteur à vouloir mettre en place certaines règles du jeu. En France, la « Charte Réseaux sociaux, Internet, Vie Privée et Recrutement » a ainsi été établie, à l'initiative de l'association 'A Compétences Egales', qui regroupe 40 cabinets de recrutement autour de la lutte contre la discrimination à l'embauche. Cette charte a notamment été signée par l'Apec et Viadeo, ainsi que par le Medef et Syntec Informatique et plusieurs autres organisations professionnelles importantes. Elle préconise en particulier de « limiter le recours aux réseaux personnels, du type Facebook ou Copains d'avant [...] à la seule diffusion d'informations, plus particulièrement d'offres d'emplois à des utilisateurs ayant manifesté leur intérêt pour de telles informations ». Elle recommande ensuite de « privilégier l'utilisation des réseaux professionnels, du type Viadeo ou LinkedIn » et, surtout, « de ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outils d'enquête pour collecter des informations d'ordre personnel [...] ». Les cadres ayant ouvert un compte sur le site de l'Apec peuvent maintenant, depuis cet espace, accéder à leurs contacts sur Viadeo. (...)

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