Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 1691 à 1700.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(29/01/2010 16:26:19)

La Loppsi pourrait paradoxalement profiter aux réseaux pédophiles

Et si les barrages que les lois Hadopi et Loppsi voulaient ériger sur les autoroutes de l'information n'aboutissaient qu'à renforcer les réseaux criminels, à l'instar de ce qui s'est passé pour la prohibition ? Tel est le point de vue que défend Fabrice Epelboin, entrepreneur, blogueur et désormais voix française de ReadWriteWeb, dans une étude d'une trentaine de pages. Rédigé dans un langage très compréhensible, bien qu'abordant des sujets techniques, le document s'appuie sur la confession d'un technicien ayant oeuvré dans et pour les réseaux pédophiles. En effet, après Hadopi censé défendre le droit d'auteur, mais qui est en retard d'un métro sur les technologies, Loppsi est censée mettre un frein, sinon un terme, à la pédopornographie sur Internet. Or, Fabrice Epelboin décrit minutieusement comment les distributeurs de contenu pédophile se sont déjà organisés pour échapper à toute menace de ce type. Les moins compétents techniquement se feront sans doute prendre, ce qui pourrait légitimer la loi aux yeux des politiques et des médias, mais le noeud du problème restera. Car le véritable problème, soutient l'auteur, est celui de l'argent. Ceux qui distribuent ce contenu illégal ne le font pas par idéologie (nauséabonde), mais parce que cela rapporte de l'argent, et que des banques acceptent de fermer les yeux sur les transactions en ligne effectuées dans ce cadre. S'attaquer au circuit financier serait dès lors plus profitable. Et cela éviterait peut-être que des adolescents cherchant à contourner Hadopi ne se retrouvent sur des serveurs mafieux tenus par des réseaux pédophiles... (...)

(28/01/2010 17:51:36)

Google active la fonction recherche sociale

Google a annoncé que son service de recherche sociale allait, dans les prochains jours, être intégré à son célèbre moteur, les liens afficheront donc les publications des utilisateurs de réseaux sociaux, directement dans les résultats. Persuadé des possibilités d'améliorations du système, Google a cependant notifié qu'il ne s'agirait que d'une version bêta. « Nous pensons être encore loin d'explorer tout le potentiel de la recherche sociale, nous ne faisons pour l'instant qu'en gratter la surface ». affirme Maureen Heymans, responsable technique en charge de la recherche sociale. Les utilisateurs, pour en bénéficier, devront obligatoirement posséder un compte Gmail, et seront encouragés à remplir leur page de profil avec les liens de leurs sites web, blogs, photos, pages de réseaux sociaux etc. En recoupant toutes ces informations et en y ajoutant celles de leurs contacts, le moteur de recherche fournira des liens « proches » de l'utilisateur qui lui paraîtront donc, plus pertinents. Google affichera également les publications présentes dans les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Myspace, etc) qualifiés comme étant très prolifiques en terme d'informations « tant leurs utilisateurs y passent du temps une fois connectés». Ces sites ont en effet prouvé leur utilité pour répandre rapidement des informations sur les évènements majeurs de l'actualité. Cette arrivée de la recherche sociale s'inscrit dans la volonté qu'a la firme de Mountain View de toujours améliorer son moteur de recherche, notamment pour rester compétitif vis à vis de Bing, l'outil de Microsoft. Les deux sociétés qui avaient signés un accord avec Twitter en octobre 2009 sont également en train de développer une autre évolution pour la recherche sur Internet: la recherche sémantique (...)

(28/01/2010 17:29:45)

Selon une étude Markess, le collaboratif atteindrait 7,8% de croissance en 2010

En France le marché du collaboratif en entreprises se montait à 860 millions d'euros en 2009, il atteindra le milliard en 2011. Le taux de croissance annuel moyen est de 7,8%. Ce marché est aux mains de multiples acteurs, principalement des éditeurs et des intégrateurs. Ce sont eux qui vont profiter de la croissance de ce marché. Les 200 responsables d'entreprises interrogés par Markess ont cité, dans 54% des cas, les éditeurs et, à 40%, les intégrateurs et les SSII. Ont également droit à plusieurs mentions : les cabinets conseil (32%), les hébergeurs (15%), les infogéreurs (8%), les opérateurs de télécoms (8%). Ces responsables ont également répondu à 80% qu'ils recourraient, pour les solutions de collaboration, à un prestataire externe. Ces prestataires viennent d'horizons et de métiers très différents. C'est la caractéristique de ce marché. On retrouve aussi bien « les poids lourds du marché » venus de l'office productivity » comme Microsoft et IBM que des éditeurs spécialisés. Parmi ces derniers, certains viennent de la gestion de contenu comme Alfresco, Jalios, Nuxeo. D'autres de la conférence à distance tels que Cisco, Genesys, Skype. La gestion de projets est présente avec des acteurs comme Augeo Software. Le monde de l'applaication sociale pointe le nez avec Bluekiwi. Le partage de fichiers est un autre grand acteur avec Oodrive. Sans oublier « les telcos » comme Orange business services. Ou des acteurs tels que EMC, Open Text présents à d'autres titres. « C'est une typologie d'acteurs qui devrait bouger dans les années à venir » note Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée du cabinet Markess en charge de la recherche. Quatre axes principaux sur ce marché L'autre changement à venir tient aux nouveaux besoins clients détectés ou à détecter. Markess classe le collaboratif selon quatre axes principaux : les échanges, les plannings projets, la présentation, les contenus. Pour chacun d'eux, le cabinet identifie les besoins actuels et ceux à venir. Pour les échanges, sont connus : la messagerie et les communications vocales, vont entrer en jeu : les fameux réseaux sociaux, la messagerie instantanée, la gestion de présence. Pour le deuxième axe, le planning des projets, l'agenda partagé est connu, la gestion proprement dite de projet va se mettre en place. Quant au troisième point, la présentation, il fait déjà intervenir : la présentation en ligne et la conférence à distance, vont prendre du poids : la conférence à distance et la conférence web. Enfin, sur le quatrième point, les contenus, si le partage de fichiers et de contenus est connu, les espaces collaboratifs, la création de contenus à plusieurs vont se mettre en place. Voilà pour l'aspect usages qui constitue autant d'argumentaires pour les intégrateurs. Markess note aussi des changements techniques à prendre en compte, en terme d'intégration évidemment, de sécurité, d'archivage, d'accès distant, de recherche avancée ou d'interactivité. Le collaboratif implique aussi d'autres modifications, situées moins dans l'informatique que dans l'organisation de l'entreprise. (...)

(28/01/2010 16:56:15)

Adobe cherche des idées d'applications développées en Flash pour iPad

La technique de compilation d'applications développées en Flash pour les iPhone peut tout à fait convenir aux iPad, explique Michael Chou, chef produit chez Adobe, sur le blog Adobe Flash Platform. Sourd aux demandes d'Adobe concernant les iPhone, Apple n'a en effet pas davantage ouvert sa tablette présentée hier, l'iPad, au format Flash. Comme le regrette le responsable marketing Adrian Ludwig dans un autre billet sur le même blog... On se souvient que Steve Jobs expliquait ses réticences par le fait que Flash consommait trop de ressources ; or, la tablette est beaucoup plus puissante que les iPod Touch et iPhone. En outre, le projet Open Screen a fait évoluer les choses, et la dernière version du client Flash a drastiquement réduit ses exigences. Il s'agit donc bien d'une volonté délibérée d'Apple de ménager ses propres options pour la diffusion du contenu. En effet, si les applications Web en Flash devenaient librement accessibles, cela remettrait en cause la raison d'être de l'App Store. Néanmoins, pour ne pas couper ses utilisateurs du marché de l'iPhone, Adobe a prévu dans la prochaine version de sa suite pour créatifs CS5 un outil, Packager for iPhone, capable de compiler un projet Flash afin qu'il puisse tourner sur iPhone. Il pourra donc servir aussi pour l'iPad mais, prévient Michael Chou, il ne pourra pas tirer parti, dans un premier temps, de sa définition plus importante (1024x768, contre 480x320 pour les iPhone et iPod Touch). Michael Chou invite néanmoins les développeurs ayant des idées d'applications à le contacter, dans le but « de les soumettre à l'iTunes App Store au cours des deux prochains mois ». Soit juste avant que ne soit commercialisé l'iPad. (...)

(28/01/2010 15:21:39)

SharePoint 2010, surdimensionné pour certains utilisateurs, selon Forrester

Les améliorations apportées par Microsoft à SharePoint 2010, la nouvelle version de sa plateforme collaborative (attendue pour juin), pourraient bien être surdimensionnées pour les utilisateurs ayant des besoins ponctuels et spécifiques, selon une récente analyse de Forrester Research. Globalement, cette étude attribue des notes élevées aux fonctions dont bénéficie désormais le serveur -qui est rapidement devenu l'une des meilleures ventes de l'éditeur. Mais le cabinet estime que seuls les utilisateurs de SharePoint 2007 en attente d'avancées sur les outils de réseaux sociaux devraient envisager de passer à la version 2010. Pour Rob Koplowitz, l'analyste de Forrester auteur du rapport, SharePoint 2010 devrait être plutôt considéré comme un choix stratégique important pour les clients qui n'ont pas encore adopté la plate-forme. Selon lui, ces utilisateurs devraient toutefois considérer l'ensemble des fonctionnalités du logiciel et s'assurer qu'il n'est pas surdimensionné par rapport à leurs besoins. Ajoutant que « SharePoint 2010 peut être un marteau, mais qu'il n'y a pas que des clous à enfoncer. » Le rapport conclut que SharePoint 2010 n'est peut-être pas adapté aux utilisateurs ayant des besoins basiques, indiquant que ceux-ci pourraient être mieux remplis par des outils comme ceux proposés par Socialtext ou Jive. En outre, les conditions de licence proposées devraient calmer ceux qui cherchent à construire des communautés sociales entre les entreprises, ou encore ceux qui ont besoin d'outils de gestion de contenus Web performants et capables de gérer d'importants flux de contenus. Les entreprises ayant des exigences avancées en matière de 'nettoyage' et de transformation de données risquent au contraire de ne pas trouver SharePoint 2010 à leur mesure. Une plateforme ouverte aux développeurs Microsoft a fait évoluer SharePoint au-delà de son rôle de serveur d'application pour le transformer en plateforme à part entière, capable de gérer des applications qui vont de l'intranet jusqu'au cloud, et qui s'ouvre aux développements externes. L'éditeur a poussé les capacités de SharePoint pour le transformer en serveur Web, y intégrer des outils de développement (Visual Studio) et de conception d'interfaces (SharePoint Designer). S'y ajoute encore un ensemble de fonctionnalités pour réseaux sociaux, un environnement plus sécurisé et un ensemble d'API pour faciliter l'intégration à un cloud, positionnant ainsi SharePoint comme une des technologies les plus avancées sur le marché. Pour Rob Koplowitz, « SharePoint 2010 répare les lacunes et les problèmes détectés dans les versions antérieures. » L'analyste souligne également que les outils destinés à constituer des réseaux sociaux sont aujourd'hui « de première classe », bien adaptés aux usages des consommateurs, et que les fonctionnalités de profilage sont bien meilleures, notamment dans le support des blogs, des wikis, des tags et des fils d'information (feeds). Le rapport détaille enfin d'autres améliorations importantes, comme l'arrivée d'un client offline, SharePoint Workspace, basé sur la technologie Groove acquise par Microsoft en 2005, de nouvelles fonctionnalités destinées aux développeurs, l'intégration avec la gamme d'applications business et des améliorations dans la recherche et la gestion documentaire. (...)

(27/01/2010 15:15:18)

Pour distinguer Bing, Microsoft mise sur la recherche sémantique

La technologie sémantique donne aux ordinateurs la capacité de mieux comprendre les informations tapées par l'utilisateur, afin de fournir de meilleurs résultats, plus pertinents pour les internautes. C'est Scott Prevost, le directeur de développement de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, qui a qualifié la technologie sémantique comme un outil d'avenir pour mieux répondre aux requêtes des utilisateurs. Il a ensuite affirmé que les recherches dans ce domaine avaient déjà commencé chez Microsoft. Avec la technologie sémantique, les ordinateurs pourront comprendre les sens des mots lorsqu'ils sont placés dans une phrase, et pourront les mettre en relation pour proposer, non pas des pages contenant les mots clefs d'une recherche, mais des réponses directes. « Plus perfectionné, plus rapide, moins cher et allant à l'essentiel ». C'est ainsi que Scott Prevost, également directeur général de Powerest (moteur de recherche axé sur les articles Wikipédia, racheté par Microsoft en 2008), voit l'avenir de Bing. « La recherche sémantique offrira des réponses pertinentes aux utilisateurs et les aidera même pour leurs prises de décisions. Le moteur va devenir plus interactif, avec plus d'options pour aider les utilisateurs à trouver des réponses concrètes». Il a ensuite ajouté que la quantité de pages dîtes « pertinentes » qui sont en fait de vieilles pages web rendait la situation actuelle « critique ». Vendredi dernier, Google, le leader des moteurs de recherche, a fait une annonce similaire en parlant de recherche en « highlighting », c'est à dire « éclairée ». Au lieu de pointer des pages avec des mots-clefs, Google pourrait directement afficher une réponse. Le moteur s'aligne ainsi sur celui de Microsoft qui se différenciait jusque-là par sa volonté de privilégier les pages qui contenaient le plus de connaissance. Quoi qu'il en soit, cette guerre entre les leaders de la recherche sur Internet est l'un des signes majeurs de l'arrivée du web 3.0 placé sous le signe de la sémantique. (...)

(26/01/2010 12:07:07)

Développement durable : Syntec Informatique décline les atouts et défis du télétravail

Comme attendu, Syntec Informatique livre le deuxième volume de son 'Livre Vert' portant cette fois sur le télétravail au service du développement durable, après un premier cahier axé sur les enjeux de la dématérialisation. L'initiative de la chambre syndicale vise à mettre en évidence les retombées positives que peuvent apporter les nouvelles formes d'organisation permises par les TIC, tant sur l'environnement, qu'au sein des entreprises et auprès des salariés. Ainsi, parmi les bénéfices mesurables les plus immédiats du télétravail figure la réduction des émissions de CO2 liées aux trajets domicile/bureau (26 km par jour en moyenne en France par employé). Si les salariés travaillaient en moyenne deux jours par semaine chez eux, le gain direct correspondrait à 10% du bilan carbone annuel d'une personne, donne en exemple le document chapeauté par le Comité Développement Durable de Syntec Informatique (co-présidé par Eric Boustouller, PDG de Microsoft France et Khaled Draz, PDG d'Euriware). Parmi les autres effets induits, la réduction des déplacements contribuerait à améliorer les conditions de transport et à diminuer les espaces de bureaux ainsi que les émissions de CO2 liées à l'éclairage, à la climatisation, etc. Après avoir décrit l'évolution des pratiques de travail, ce deuxième volume du Livre Vert aborde donc les avantages du télétravail, ses défis et ses effets sur l'organisation et le management. Il décline ensuite les moyens technologiques disponibles (cloud computing, convergence fixe-mobile et voix-données, plateformes collaboratives, équipements mobiles, dispositifs de sécurité...). Le document se clôt sur une série de recommandations. Itinérant, à domicile ou en télécentre Les nouveaux usages de travail qui se propagent ont été générés par une combinaison de facteurs sociologiques, économiques, environnementaux et politiques, rappelle le Livre Vert. Sur cette mutation sont venues s'ancrer l'appropriation progressive d'Internet, ainsi que la diffusion des solutions de mobilité au quotidien et dans l'entreprise, puis l'adoption d'outils avancés de collaboration. « Du fait de la mondialisation, le 'travail distribué' est devenu une notion assez familière pour beaucoup de salariés, souligne le document de Syntec Informatique. Une notion qui renvoie aux réaménagements successifs des organisations de travail, à la redistribution géographique des tâches et aux nouveaux modes de relation qui en découlent... ». Les équipements numériques tels que les ordinateurs portables légers et les clés 3G permettent d'accéder à son espace de travail sur un mode entièrement itinérant (dans le métro, à l'hôtel, à l'aéroport...). Le télétravail peut aussi s'effectuer depuis son domicile ou dans un lieu spécialisé, le télécentre. Ce dernier se présente comme un espace de proximité que se partagent des entreprises ou des administrations. Il contribue à réduire les temps de trajets tout en maintenant les repères du lieu de travail classique. En France, précise le Livre Vert, la plupart des télécentres ont été installés selon une logique d'aménagement local du territoire et sont souvent utilisés comme hôtel d'entreprises pour TPE ou auto-entrepreneurs. Une meilleure productivité des collaborateurs Le télétravail s'effectue dans un monde virtuel qui transforme la communication, mais aussi l'autorité, car les échanges reposent davantage sur la pertinence que sur la position hiérarchique, note le document de Syntec Informatique : « Des personnes qui, dans le monde réel, n'auraient pas pris la parole, communiquent davantage (...). » Pour le salarié, le travail à distance contribue à alléger le stress associé à la fatigue des trajets. Il lui apporte une souplesse d'organisation pour gérer ses contraintes personnelles, ainsi qu'une autonomie accrue dans son travail. Quant à l'entreprise, en dehors de l'économie induite par la réduction des locaux et du flux de papier, elle y gagne une meilleure productivité de ses collaborateurs, une réduction de l'absentéisme (en cas de grève des transports ou d'intempéries) et la possibilité de recruter des compétences au-delà de son périmètre géographique immédiat. Le Livre Vert cite l'exemple d'une solution de téléprésence mise en place pour l'organisation de réunions dans une entreprise de 5 000 salariés. Outre une économie de 6 000 h/an et de 125 000 euros en deux mois, elle aurait renforcé la collaboration mondiale et permis de réduire les temps de développement de solutions et de mise sur le marché. Maintenir le lien social au sein de l'équipe répartie [[page]] Maintenir le lien social au sein de l'équipe répartie Attention, la mise en place de nouvelles pratiques de travail n'est pas un but en soi, avertit Syntec Informatique. Identifier les risques potentiels (humains, juridiques, opérationnels ou informatiques) doit conduire à mettre en place des mesures appropriées. Le télétravail modifie le lien social, il faut veiller à le maintenir au sein d'une équipe répartie. Quant à l'infrastructure matérielle nécessaire au système collaboratif, elle peut avoir un impact sur le bilan énergétique et CO2 de l'entreprise et imposer de faire évoluer plus souvent les technologies utilisées. Par ailleurs, la réduction des surfaces de bureaux occupés nécessitera en revanche d'aménager des lieux supplémentaires de rencontre et de visioconférence. Le management, de son côté, devra établir un climat de confiance avec son collaborateur en s'affranchissant du « contrôle visuel » pour privilégier les objectifs à atteindre. Cela « suppose parfois un changement culturel et comportemental assez radical », reconnaît le document de Syntec Informatique. Il suggère aux employeurs réfractaires à un télétravail partiel de leurs salariés d'opter pour une solution de télécentre qui offre « un collectif de travail à proximité du domicile ». Ajuster les moyens aux buts à atteindre Après avoir rappelé le cadre réglementaire du télétravail (régi par l'Accord national interprofessionnel 2005, étendu en 2006) et récapitulé les impacts sociaux et sociétaux pour l'employeur et le salarié, ce deuxième volume du Livre vert énumère quelques recommandations. Syntec Informatique préconise de positionner le projet de télétravail « au bon niveau stratégique » en tenant compte des modifications qu'il entraînera sur les modalités du travail, les pratiques d'encadrement, les outils informatiques et de communication, ainsi que sur les relations interpersonnelles. Il convient avant tout d'identifier les processus clés et de sensibiliser les acteurs impliqués, à la direction générale, à la DSI, à la DRH... « Il ne suffit pas de doter les salariés de moyens d'interaction à distance pour garantir le succès, il faut que ces moyens soient proportionnés aux buts à atteindre. » En novembre dernier, un rapport officiel publié par le Centre d'analyse stratégique (rattaché au Premier ministre), rappelait de son côté que toutes les fonctions ne pouvaient pas être 'télétravaillées'. Très favorable au développement du travail à distance, le document plaidait néanmoins pour un télétravail 'partiel' correspondant à un ou deux jours par semaine. Ses auteurs expliquaient qu'à l'inverse, un temps complet pouvait poser des problèmes d'isolement du salarié et réduire les gains de productivité. (...)

(26/01/2010 11:25:42)

Les Français ont réalisé 250 millions de transactions en ligne en 2009

Elaboré avec Pricewaterhouse Coopers, le Baromètre de l'ACSEL s'appuie sur les données fournies par les intermédiaires de paiement en ligne. Selon cette étude, les e-commerçants français ont enregistré un chiffre d'affaires de 6,6 milliards d'euros au quatrième trimestre 2009, en progression de 28% par rapport à la même période en 2008, et un total de 74,2 millions de transactions en ligne (+26%). Sur l'ensemble de l'année 2009, 250 millions de transactions (+33% par rapport à 2008) ont été enregistrées par ce baromètre, pour un chiffre d'affaires de 22,49 milliards d'euros (+31%). Le nombre de paiements par carte bancaire sur les sites d'e-commerce en 2009 s'est élevé à 209,4 millions de transactions en 2009, pour un montant de 16,8 milliards d'euros (+20%). 10% de ce chiffre d'affaires ont été réalisés chez les e-commerçants par des porteurs étrangers, contre 9,3% en 2008. En matière de tendances, les catégories "Vêtements et Accessoires", "Maison, Jardin, Bricolage" et "Informatique" sont celles qui ont généré le plus de chiffre d'affaires en ligne au quatrième trimestre 2009. Les meilleurs taux de vente sur cette période ont été réalisés par la catégorie "Vins, Gastronomie", devant "Jeux vidéos, Consoles" et "Jeux, Jouets". "La croissance accélérée observée au 4ème trimestre par rapport à l'ensemble de l'année est un signe très positif et laisse présager une très bonne année 2010 pour le e-commerce français", a déclaré dans un communiqué Pierre Kosciuko-Morizet, président de l'ACSEL. Le Baromètre de l'ACSEL est réalisé à partir des données issues des intermédiaires financiers (ATOS WorldLine, Credit mutuel, Caisse d'Epargne, Paybox, PayPal, etc.). Il est enrichi par un panel des e-commerçants (Voyages-sncf.com, Price Minister, Aquarelle, Accor Hotels, Meilleur Mobile, etc.), ainsi que différents indicateurs (indicateur TPE-PME Powerboutique, tendances des ventes Neteven-Terapeak, trafic Web Ip-Label, etc.). (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >