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(02/12/2009 13:53:42)

Google conseille aux développeurs de privilégier HTML 5 à Gears

Avec la prise en compte du mode hors ligne dans HTML 5, un plug-in comme Gears devient superfétatoire. C'est le message qu'a fait passer un responsable de Google aux développeurs, sur une liste de discussion, l'été dernier, et qui apparaît aujourd'hui au grand jour avec un article du Los Angeles Times, citant un porte-parole de Google sur le sujet : « Nous sommes heureux de voir que tant de technologies de Gears, dont le support du mode déconnecté et les API de géolocalisation, sont incorporées dans les spécifications de HTML 5 en tant que standard ouvert, supporté par tous les navigateurs. Nous considérons cela logique que les développeurs cherchent désormais à inclure ces fonctionnalités dans leurs sites Web. » Lancé en mai 2007, Gears fournissait un moyen de rendre les applications de Google persistantes sur le poste de travail. Les applications bureautiques en ligne (Google Docs) et le webmail (Gmail) en ont rapidement bénéficié, permettant aux utilisateurs de profiter d'un certain nombre des fonctions en mode déconnecté. Les premiers éléments sur la nouvelle version de HTML n'ont filtré, de leur côté, que début 2008, et le langage ne devrait pas être finalisé avant le courant de l'année prochaine. Une approche standard ouvrant tous les mobiles aux services Google En juillet dernier, Mike Pinkerton, un responsable technique de Chromium (projet Open Source de Google à la base de Chrome OS), répondait à un développeur souhaitant utiliser Gears sur MacOS que cela n'était pas possible, et ne le serait pas : « Nous ne supportons pas Gears sur Mac, au profit des extensions HTML5. » Toutefois, même si Google et Mozilla ont commencé à supporter des éléments de la nouvelle version de HTML dans leurs navigateurs, s'appuyer dessus aujourd'hui pour une application grand public est impensable (Google y recourt en revanche pour Google Wave, sa plateforme de communication en bêta). Le porte-parole de Google a donc pris soin de préciser au LA Times : « Nous continuerons de supporter Gears de façon à ne pas casser les sites l'utilisant. Mais nous nous attendons à ce que, à l'avenir, les développeurs recourent à HTML5 pour ces fonctions, dans la mesure où il s'agira d'une approche standardisée, disponible dans tous les navigateurs. » Google n'aura plus ainsi à supporter différentes plateformes pour son plug-in, et cela lui permet de faire pression sur Microsoft (qui tarde à prendre en compte les nouvelles spécifications dans Internet Explorer). De même, si les navigateurs pour mobiles respectent HTML5 et permettent de faire ce que seul Gears permettait, Google sera ainsi en bien meilleure posture pour proposer ses services en ligne sur tous les smartphones - notamment les iPhone - et pas seulement sur les mobiles Android. (...)

(02/12/2009 11:49:04)

L'Assemblée vote le très haut débit pour tous « à tarif raisonnable »

Poids de la télévision oblige, le débat entourant le vote de la loi visant à réduire la fracture numérique a surtout été monopolisé par le passage de la diffusion analogique à la diffusion numérique. Toutefois, le texte adopté par les députés dans la nuit de lundi à mardi derniers comporte aussi un volet essentiel pour les millions de Français qui ne peuvent accéder à Internet en haut débit faute d'équipement ou d'une couverture adéquate. Après le Sénat cet été, l'Assemblée nationale a en effet approuvé la proposition du sénateur Pintat, appuyée par les représentants des collectivités locales, de créer un fonds d'aménagement numérique des territoires. Le but de ce fonds, dont la gestion sera assurée par la Caisse des dépôts et consignations, sera d'aider les opérateurs à déployer les infrastructures nécessaires au très haut débit dans des zones où ce ne serait pas économiquement rentable de le faire seul (ou même dans le cadre d'efforts mutualisés). Un point qui avait été souligné par ces opérateurs, lors d'une discussion organisée par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, visant à convaincre les arbitres du Grand emprunt d'accorder une attention toute particulière à ce point, important à la fois du point de vue de l'aménagement du territoire, mais aussi du point de vue économique et social pour les personnes concernées. Le fonds d'aménagement numérique des territoires financera certains travaux de réalisation des infrastructures et réseau Le texte de loi adopté par les députés stipule : « Le fonds d'aménagement numérique des territoires a pour objet de contribuer au financement de certains travaux de réalisation des infrastructures et réseaux envisagés par les schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique [...]. Le comité national de gestion du fonds est constitué à parts égales de représentants de l'État, de représentants des opérateurs [...], de représentants des associations représentatives des collectivités territoriales et de représentants des collectivités ou syndicats mixtes ayant participé à l'élaboration de schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique. Ses membres sont nommés par décret. Le fonds d'aménagement numérique des territoires peut attribuer, sur demande, des aides aux maîtres d'ouvrage des travaux de réalisation des infrastructures et réseaux envisagés par les schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique lorsque les maîtres d'ouvrage établissent, suivant des critères précisés par décret, que le seul effort, y compris mutualisé, des opérateurs [...] ne suffira pas à déployer un réseau d'infrastructures de communications électroniques à très haut débit. Les aides doivent permettre à l'ensemble de la population de la zone concernée par le projet d'accéder, à un tarif raisonnable, aux communications électroniques en très haut débit. » Vers un abonnement à Internet « à tarif social » ? [[page]] Vers un abonnement à Internet « à tarif social » ? Les députés ont par ailleurs ajouté plusieurs articles demandant au gouvernement un bilan complet dans les six mois après la promulgation de la loi, sur Internet, ses usages, la génération Y (ou 'digital native'... « Dans les six mois suivant la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur le fossé numérique, afin d'apporter des précisions quant aux différentes catégories de la population n'ayant ni équipement informatique, ni accès à internet dans leur foyer. Ce document étudie également le rapport qu'entretiennent les « natifs du numérique » avec internet dans le but d'améliorer les connaissances quant aux conséquences, sur le travail scolaire notamment, de l'usage d'internet. Il dégage aussi les pistes de réflexion pour les actions de formation à destination de ces publics et veille également à identifier les acteurs associatifs oeuvrant pour la réduction du fossé numérique. » Un rapport mi-2010 sur la neutralité des réseaux et la conservation des données personnelles L'Assemblée aimerait aussi apparemment se pencher sur les tarifs de l'accès à Internet, et envisage un abonnement spécifique pour les plus démunis : le rapport que le gouvernement doit lui remettre devra en effet établir « les conditions de mise en service d'abonnements internet à tarif social ». De même, le texte indique que « avant le 30 juin 2010, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la possibilité de mettre en place une tarification de l'accès à internet en fonction du débit réel dont bénéficient les abonnés ». Enfin, les députés demandent au gouvernement que ce fameux rapport aborde « la question de la neutralité des réseaux de communications électroniques, notamment lorsque ceux-ci bénéficient d'aides publiques », ainsi que « la conservation et l'utilisation par les personnes visées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, des données à caractère personnel des utilisateurs de tels services, et les engagements susceptibles d'être pris par ces personnes permettant une protection accrue de ces données ». (...)

(02/12/2009 11:09:52)

Selon comScore, les Français sont devenus accros aux vidéos en ligne

Le cabinet d'études comScore a traduit en chiffres la passion des internautes pour la lecture de vidéos en ligne. Selon un rapport publié mardi, le nombre de vidéos vues sur Internet en France a atteint les 5,4 milliards en septembre 2009, soit une augmentation de 141% par rapport à septembre 2008. YouTube est le site le plus populaire, devant Dailymotion. En l'espace d'un an, le nombre de vidéos vues sur Internet en France est passé de 2,24 milliards à 5,4 milliards (+141%). Le nombre d'utilisateurs a quant lui progressé de 36% à près de 34,6 millions d'internautes (contre 25,36 millions en septembre 2008). 156 vidéos visionnées par an en moyenne Le temps moyen de visionnage par utilisateur et par mois était de 11,7 heures en septembre dernier, contre 6,2 heures un an plus tôt. En moyenne, le nombre de vidéos visionnées par utilisateur était de 156, contre 88 en septembre 2008. En revanche, le temps moyen passé par vidéo a peu évolué. Aujourd'hui, un internaute français consacre 4,5 minutes par vidéo, contre 4,2 minutes l'année dernière. Les sites de Google, dont la plateforme YouTube, sont les plus plébiscités par les internautes Français pour regarder des vidéos sur Internet avec une part d'audience de 33,5%. Le site français Dailymotion arrive en deuxième position (7,5%), suivi par les sites médias de TF1 (3%), Megavideo.com (3%), et Facebook (2,7%). Ce rapport est issu de l'étude Video Metrix de comScore, conduite auprès d'internautes âgés de 15 ans et plus se connectant à domicile ou sur le lieu de travail. Le visionnage de vidéos depuis un lieu public ou un téléphone portable n'a pas été pris en compte. (...)

(30/11/2009 16:46:02)

Un dirigeant de PME sur cinq recourt aux réseaux sociaux pour promouvoir son activité

Le site Web vitrine reste une valeur sûre pour les patrons de PME. Toutefois, les autres usages commencent à percer, à en croire une étude réalisée par l'Institut Sage (une émanation de l'éditeur aidant les PME à organiser leur développement) auprès de 200 dirigeants d'entreprises petites et moyennes début novembre. Ainsi, l'enquête révèle que « près d'un dirigeant de PME sur 5 (19%) utilise déjà les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Ziki) ou professionnels (Viadeo, LinkedIn) pour promouvoir son activité, de manière régulière ou plus épisodique. Ils sont même 12% à avoir créé un blog pour parler de leur activité. » L'usage des réseaux sociaux par ces patrons de PME n'est pas encore conversationnel, comme le prône Luc Bretones, spécialiste du Web 2.0 professionnel, mais consacré au marketing et à la veille : « Parmi les usages les plus courants : promouvoir son activité (40%) et détecter des innovations intéressantes (47%). D'autres champs d'expérience sont explorés, en particulier suivre l'actualité de ses marchés (38%) et suivre l'actualité de la concurrence (36%). » Parmi les attentes : trouver des prospects, des partenaires et recruter des profils intéressants Néanmoins, l'appétit semble venir en mangeant à ces nouveaux entrants dans les outils du Web 2.0, qui en découvrent au fur et à mesure les diverses possibilités : « D'autres domaines sont toutefois explorés, de manière opportuniste ou expérimentale : trouver des prospects (36%), trouver des partenaires commerciaux ou financiers (36%), mais aussi animation d'une communauté d'utilisateurs ou de clients (23%) et recrutement car 21% des dirigeants de PME cherchent des profils intéressants sur les réseaux professionnels. » L'étude conclut toutefois qu'il n'y a pas encore de répercussions strictement commerciales des médias sociaux : « 93% des dirigeants interrogés déclarent ne pas avoir obtenu de résultats probants dans ce domaine. » D'une manière plus générale, l'étude menée par l'Institut Sage montre que « 92% des dirigeants de PME ne peuvent se passer d'Internet », et que « acheter (57%) et vendre (31%) sur Internet est une réalité pour les dirigeants de PME ». Bien souvent, ce n'est pas l'envie qui manque d'aller au-delà, notent les auteurs de l'étude. « Les raisons pour lesquelles Internet n'est pas encore utilisé dans tout son potentiel sont essentiellement liées à un manque de compétences et de temps en interne pour s'y consacrer. » (...)

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