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(30/11/2009 11:50:48)

En Chine, Google est obligé de jouer la carte partenariat

( Source EuroTMT ) Partout dans le monde, le nom de Google est devenu synonyme de recherche sur internet. Mais en Chine, le nom du portail internet a du mal à s'imposer. En 2005, les autorités avaient organisé un test d'orthographe demandant aux participants d'épeler le nom de Google dans le cadre d'une enquête sur les pratiques en matière de recherche sur internet. 60 % des personnes interrogées ont accepté de faire le test et, sur ce total, 20 % se sont trompés. Quatre ans plus tard, la visibilité de la société américaine ne s'est guère améliorée en Chine, où le marché de la recherche sur internet est largement dominé par « Baidu », concurrent local de Google. Certes, Google a réussi à damer le pion à tous ses pairs internationaux en Chine, notamment à Yahoo. Google représente, selon Analysys International, 31 % du marché de la recherche sur internet en Chine au troisième trimestre 2009. Un rôle de challenger pour Google Mais la progression de Google ne s'est pas faite au détriment de Baidu, qui pèse toujours à hauteur de deux tiers de ce marché en Chine. Une part de marché d'au moins 65 %, c'est typiquement celle dont Google jouit dans la plupart des pays. Les revenus tirés de la Chine ne représentent qu'une portion infime de 22 milliards de dollars de chiffre d'affaires réalisés par an dans le monde par Google. Or, dans la recherche sur internet, comme dans la plupart des domaines d'activité économique, la Chine est un marché clef pour tout acteur prétendant à jouer ou à continuer à jouer un rôle de premier plan dans son secteur, au vu de sa croissance rapide et de sa population massive. Bien sûr, le cas de la Chine, par rapport à un pays capitaliste « normal », est très particulier. Google commence d'ailleurs également à jouer la carte des partenariats pour mieux se faire connaître : en mars, le groupe a conclu un accord avec le site de musique en ligne Top100.cn qui lui permet de proposer 1,1 million de chansons via son moteur de recherche. Les analystes financiers soulignent d'ailleurs que le groupe a intérêt à laisser davantage d'initiatives à des acteurs de terrain. Un groupe toujours très centralisé Le groupe se plait à dire que Larry Page et Serge Brin, les deux fondateurs, ont encore leur mot à dire sur chaque nouvelle embauche. D'après les experts, ce poids hiérarchique peut, par le manque d'autonomie induit, être source de blocages dans des marchés présentant des particularités très fortes. Sans que l'on sache si c'était en réaction à ces observations, Google a nommé en septembre un nouveau directeur commercial en Chine, John Liu (voir illustration). Dans un entretien accordé dans la foulée dans un journal chinois, il a dit avoir l'intention de doubler son équipe marketing sur les six prochains mois en Chine. Si ces efforts commerciaux ne suffisent pas, la clé permettant à Google de déverrouiller le marché chinois sera peut-être fournie par « Baidu ». Il y a un mois, le chinois a en effet prévenu qu'il risquait de perdre des clients et du chiffre d'affaires au cours des prochains trimestres en raison du passage à un nouveau système publicitaire nommé Phoenix Nest. Après l'annonce de Baidu, les experts ont tous estimé que Google avait une carte à jouer. Mais encore faut-il, travailler à la pertinence du moteur de recherche lui-même. Ils ont ainsi cité l'exemple de « power station » (centrale électrique). En tapant cette expression sur Google China, les résultats de la recherche ne comptent que des descriptions d'une centrale. Alors que, avec Baidu, on trouve en haut de la liste des liens et des informations sur le groupe de musique taïwanais Power Station. (...)

(27/11/2009 17:04:26)

La Fevad dévoile son palmarès : Amazon.fr élu meilleur site de l'année par les internautes

Le site d'e-commerce Amazon.fr a été élu "meilleur site de l'année" par les internautes, lors de la troisième édition de la Nuit des Favor'i, organisée par la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance), qui s'est tenue le 26 novembre au soir. Le site reçoit deux autres récompenses : meilleur site "Produits culturels" et meilleure "Plateforme de commerce entre internautes" (cf. encadré ci-dessous). Avec trois récompenses sur neuf, le large plébiscite d'Amazon.fr par les internautes est indiscutable. L'an passé, c'est Voyages-sncf.com qui avait été récompensé du titre de "meilleur site de l'année" et ce dernier n'apparaît même pas dans le choix des internautes. Est à noter que le site Yves-rocher.fr conserve son titre de meilleur site "Beauté". 1 976 cyberacheteurs ont participé à ce vote. Le jury de professionnels, composé de personnalités du monde de l'internet, des médias, de la communication et du commerce en ligne, et présidé cette année encore par Jacques-Antoine Granjon, président de Vente-privee.com, récompense notamment Consogloble.com, en tant que Favor'i "Ethique". Le Favor'i de la Performance "Ernst & Young" revient une nouvelle fois au site Fnac.com. Pour ce prix, "chaque site est évalué sur 140 critères regroupés en 5 grandes catégories: le référencement, la convivialité, le net marketing, l'ergonomie et les fonctionnalités de commerce en ligne". (...)

(26/11/2009 16:13:39)

L'Icann part en guerre contre la redirection des DNS en cas d'URL mal orthographiées

On a beau faire attention, et les navigateurs ont beau simplifier la notation d'URL, il arrive encore fréquemment que l'adresse Web tapée comporte des erreurs, et amène vers un site à vocation publicitaire (ou pire). C'est contre cette pratique de redirection des DNS (Domain name system) que l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers), qui gère le système mondial des noms de domaines sur Internet, part en guerre. L'institution a formellement condamné ces pratiques, et propose de les interdire à l'avenir. Pour l'Icann, une URL mal tapée ou la tentative d'accéder à un domaine qui n'existe pas (renvoyant la propriété NXDOMAIN) devrait être très clairement indiquée à l'internaute. Or, certains opérateurs de DNS en profitent pour substituer à ces fausses adresses IP celles d'autres domaines (pratique appelée NXDOMAIN substitution). L'Icann voit dans cette pratique de captation de trafic plusieurs risques. Pour l'utilisateur, d'abord, dont les temps de réponse peuvent s'allonger (dans le cas d'un courriel envoyé au domaine en question, il pourrait même ne jamais être averti que ce dernier n'existe pas), ou qui peut arriver sur un site mal famé. Ainsi, exemple concret, pour joindre la chaîne de magasins Boulanger, le fait de taper Boulanger.com à la place de Boulanger.fr renvoie vers Searchresultsdirect.com, un site « de mauvaise réputation », à en croire l'alerte générée par le plug-in de Web of Trust (voir l'image). L'Icann pointe aussi les dangers que cela fait courir à l'architecture même. Une telle implémentation, explique l'institution, n'est pas neutre, et dès lors chaque mise en oeuvre devrait faire l'objet de tests poussés. Même alors, d'autres problèmes demeureraient : point de faiblesse unique, risque de fragmentation de l'écosystème DNS, ou de voir des données sensibles transiter par des pays aux législations différentes... (...)

(26/11/2009 13:13:32)

Dématérialisation des factures : un marché en progression de 21% en 2009

La dématérialisation des factures reste marginale sur le volume total de factures échangé en France ou dans le monde. Mais, selon une étude menée par Markess International(*), elle est en forte progression et des ilots d'usages se développent par effet boule de neige à partir de grands donneurs d'ordres comme par exemple Carrefour, dont 80% des factures entrantes sont aujourd'hui dématérialisées avec valeur fiscale. Le cabinet d'étude évalue à 400 millions d'euros en France en 2009 le marché des logiciels et services associés aux projets de dématérialisation de factures, contre 330 M€ en 2008, soit une progression de 21%. La tendance va se poursuivre ; entre 2009 et 2011, le cabinet d'études prévoit une croissance annuelle moyenne de 29% pour ce marché. La crise semble peu impacter ces projets. Il est vrai que la motivation essentielle pour la dématérialisation des factures reste la baisse du coût de leur traitement. Liée à l'automatisation et à l'accélération des processus comptables et financiers (avec les impacts évidents sur la trésorerie), cette baisse est maximale avec la dématérialisation fiscale de bout en bout. L'impact sur l'image d'une entreprise adoptant la facturation électronique n'est pas non plus neutre, cette entreprise pouvant paraître davantage éco-responsable. Plusieurs niveaux de dématérialisation La notion de dématérialisation de factures est appréhendée différemment selon les entreprises, celles-ci mettant en oeuvre des méthodes et des technologies différentes. Le premier niveau est un transfert papier « ordinaire » de la facture, mais le traitement de celle-ci chez le destinataire se fait au travers d'une numérisation du papier qui, seul, conserve une valeur légale. Un peu plus sophistiqué : le couplage d'une facture papier (éventuellement numérisée) et d'un flux EDI qui sera inséré automatiquement dans le système d'information du destinataire. Enfin, la dématérialisation dite "fiscale" se fait en absence totale de papier, par échange de flux signés, horadatés et archivés numériquement. Cet échange peut concerner autant des factures non-structurées (PDF signé retraité manuellement) que des flux structurés (par exemple au format EbXML), avec divers intermédiaires (PDF signé accompagné d'un flux XML de métadonnées traité automatiquement, lecture automatique du PDF pour insérer son contenu dans le SI...). Par rapport à 2008, Markess International dit constater une progression modérée du volume de factures dématérialisées au sens fiscal. Dématérialiser au sein de l'Europe Or aucune procédure n'est réellement normalisée pour la facturation électronique à valeur fiscale propre (sans double papier). Des formats comme EbXML font partie des formats qui peuvent être choisis, parmi d'autres. Des plates-formes de prestataires comme celles d'Accelya ou de B-Process peuvent servir de pivot entre entreprises utilisant nativement des formats différents de factures électroniques. Lorsque les factures doivent, en plus, franchir une frontière, même au sein de l'Europe, il convient de se préoccuper également de la valeur du certificat de signature électronique utilisé dans chaque pays. Là encore, les plates-formes d'intermédiation permettent d'externaliser le problème. Les entreprises ayant répondu à l'enquête Markess International sont surtout intéressées par une dématérialisation des factures avec nos grands partenaires commerciaux habituels : Belgique, Espagne, Grande Bretagne, Allemagne et Italie. Dans plus de la moitié des cas, une dématérialisation des factures impactant plusieurs pays au sein d'un groupe est gérée à partir d'un seul pays, souvent le pilote initial. Les deux autres cas, des projets multiples non-coordonnées ou des projets multiples coordonnés, se répartissent à peu près équitablement. La standardisation des procédures et des technologies est une clé essentielle du succès de ces projets internationaux, à côté de la très forte implication de la direction générale pour l'imposer. (*)Méthodologie de l'étude L'étude « dématérialisation des factures : enjeux français et européens » a été sponsorisée par Accelya, b-Process, Cegedim, Itesoft et StreamServe. Elle a été réalisée d'une part en ligne d'Août à Octobre 2009 auprès de 190 responsables et décisionnaires au sein d'organisations privées comme publiques dont 60% dématérialisent au moins une partie de leurs factures B2B, d'autre part par voie d'entretien auprès de 34 prestataires. L'échantillon des entreprises utilisatrices est constitué de 48% d'industries, 30% du négoce/commerce, 8% du secteur public, 7% de prestataires de services et le solde des autres secteurs. La moitié des structures répondantes ont un effectif inférieur à 500. Les résultats de l'enquête n'ont pas été redressés pour rendre l'échantillon représentatif. (...)

(26/11/2009 12:15:39)

Les noms de domaine .fr toujours en forte croissance

L'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic), qui gère l'extension .fr, a annoncé mardi que le .fr avait bien résisté à la crise économique en affichant une progression annuelle de 25%, contre en moyenne 8% pour les autres extensions au niveau mondial. Cette extension représente désormais 33% de l'ensemble des noms de domaine enregistrés en France. Pour rappel, le 1,5 millionième nom de domaine en .fr a été enregistré le 10 septembre dernier. L'Observatoire 2009 de l'Afnic précise par ailleurs que le tarif médian d'un nom de domaine est de 12 euros hors taxes. Parmi les termes les plus utilisés dans les .fr, "France" arrive largement en tête, devant "immobilier", "Paris", "hôtel", "mairie", et "location". (...)

(25/11/2009 13:52:25)

Google rachète une technologie de personnalisation des publicités en ligne

Après AdMob et Gizmo5, Google annonce le rachat de Teracent, une start-up de la Silicon Valley, spécialisée dans l'affichage personnalisé de publicités en ligne. Le géant des moteurs de recherche compte clore l'acquisition au cours de ce trimestre, mais le montant de la transaction n'a pas été précisé. Il y a deux semaines à peine, Google avait déjà marqué son intérêt pour AdMob, un spécialiste de la publicité sur mobiles, et proposé de l'acquérir pour 750 M$ en actions. Teracent s'appuie sur des algorithmes d'apprentissage pour personnaliser les publicités qu'il diffuse aux internautes en piochant parmi des milliers d'éléments graphiques (images, produits, messages, couleurs...), explique Google. Ces éléments sont combinés à d'autres variables telles que la localisation géographique, la langue, les contenus du site Web, le moment de la journée ou, encore, les résultats précédemment enregistrés sur différentes publicités. « Cette technologie peut aider les annonceurs à obtenir de meilleurs résultats sur leur campagne d'affichage sur le Web », commentent sur un billet de blog Neal Mohan, vice président de la gestion produit, et Joerg Heilig, directeur technique de Google. Ces outils seront proposés aux annonceurs qui affichent des campagnes sur le réseau de contenu Google ainsi qu'aux clients issus du rachat de la régie publicitaire DoubleClick. En mars dernier, Google avait commencé à tester sur Youtube et sur les sites de ses partenaires une technologie permettant de personnaliser les messages publicitaires en fonction des sites visités par les internautes. Teracent a été créé en 2006 par Vikas Jha. Ses collaborateurs, basés à San Mateo, rejoindront les équipes de Google. Il y a quelques mois, Yahoo avait indiqué qu'il travaillait avec Teracent pour offrir à ses clients annonceurs un meilleur rendement sur leurs campagnes. (...)

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