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(24/11/2009 17:12:15)
Le réseau social professionnel LinkedIn ouvre ses API aux développeurs
Le réseau social professionnel LinkedIn ouvre ses interfaces de programmation (API) et lance une plateforme qui permettra aux développeurs d'intégrer LinkedIn dans des applications et sur des sites Web. Ces annonces succèdent à celles de partenariats avec Microsoft, IBM et RIM. Le réseau social va s'intégrer avec les messageries Outlook et Lotus Notes et une application mobile pour le terminal Blackberry devrait être disponible sous peu. Les développeurs peuvent d'ores et déjà s'enregistrer sur la plateforme developer.linkedin.com pour accéder aux forums de discussion et à des extraits de code (sample code), explique sur son blog l'un des vice-présidents de LinkedIn, Adam Nash. Parmi les personnes ayant aidé à tester la plateforme figurent des développeurs de l'utilitaire TweetDeck qui permet de rester en lien avec ses contacts via Twitter, Facebook, MySpace... Par ailleurs, LinkedIn a lui-même récemment indiqué qu'il pouvait désormais s'intégrer avec le site de micro-blogging Twitter. La semaine dernière, c'est l'éditeur Salesforce.com, fournisseur d'applications de CRM en ligne, qui annonçait sa propre application de réseau social, Chatter Collaboration. (...)
(24/11/2009 11:49:06)Cybermonday dope le e-commerce
La deuxième édition du Cybermonday, qui a débuté lundi 23 novembre, a réuni plus d'un million de visiteurs pour sa première journée. A 16h, le site Internet éphémère qui propose des promotions dans divers domaines jusqu'à la fin de la semaine, a enregistré 1 230 000 visites et jusqu'à 1 800 connexions par seconde au pic de la journée. Cette deuxième édition du Cybermonday se déroule du 23 au 29 novembre via Cybermonday.fr. Pendant une semaine, 250 sites Internet marchands proposent des promotions entre 15 et 50% et jusqu'à 90% sur divers produits, de l'univers high-tech à ceux des jouets et de la mode. Les organisateurs estiment pouvoir réunir 12 millions de visiteurs sur la semaine. En 2008, ils en avaient rassemblé au total 10 millions. Au premier jour, le palmarès des cinq marchands ayant reçu le plus de clics sont Cdiscount, Quelle, Carrefour, 3Suisses et Fnac Eveil et jeux. En termes de produits, c'est la console Wii de Nintendo, vendue à 181 euros (prix coûtant) sur Cdiscount, qui remporte le plus de succès. Le site Internet Cybermonday.fr semble être perçu comme un bon plan pour trouver ses cadeaux de Noël à moindre coût, la catégorie ayant reçu le plus de visites étant celle des "petits budgets" (974 312). (...)
(23/11/2009 16:27:12)Mozilla : CA en hausse de 4,6%, dépenses en hausse de 48,2%
La fondation Mozilla vient de publier ses comptes pour l'année 2008, et elle se révèle moins économe que l'an passé. Si le chiffre d'affaires de la fondation et de ses filiales est sensiblement le même (78,6 M$, en hausse de 4,6%), les dépenses font un bond de 48,2%, passant de 33,3 M$ à 49,4 M$. La majorité de cette somme (58%), explique Mitchell Baker, dirigeante de la fondation, sur son blog, sert à rémunérer les quelque 200 personnes qui travaillent à temps plein ou partiel pour Mozilla - contre 150 l'année dernière. Une croissance qui s'accompagne d'une explosion des frais administratifs et généraux, qui ont presque doublé, à 9,7 M$. Le contexte économique n'a pas impacté le chiffre d'affaires, dans la mesure où celui-ci dépend essentiellement de l'accord noué avec Google jusqu'en 2011. En revanche, la valeur des investissements s'en ressent, puisque la fondation doit inscrire une perte à ce niveau de 7,7 M$. Côté activités, Mitchell Baker rappelle le succès de Firefox : le navigateur serait utilisé par 330 millions de personnes dans le monde, dont un tiers pour un usage quotidien (soit 110 millions, contre 75 millions en 2008, 49 millions en 2007 et 28 millions en 2006). Et Fennec, la version de Firefox pour les smartphones, devrait sortir sous peu. Moins emblématique, le gestionnaire de courriels Thunderbird a eu une vie un peu mouvementée. Etouffé par le navigateur, il bénéficie depuis 2008 d'une filiale pour lui seul, Mozilla Messaging, dirigée par David Ascher. Néanmoins, si on peut noter des projets intéressants comme Raindrop (qui veut mixer plusieurs types de messages, comme Google Wave), le développement est beaucoup plus long que pour Firefox. Ainsi, Mitchell Baker annonce la sortie imminente de Thunderbird 3, dont la bêta a déjà un an. (...)
(23/11/2009 14:48:48)LTU étend les possibilités de la recherche d'images en passant au mode Saas
Spécialiste de la recherche d'images, LTU Technologies souhaite sortir de son pré carré, en misant sur les nouvelles possibilités offertes par les smartphones et leurs forfaits 3G. Alexandre Winter, cofondateur de la société et actuel dirigeant, imagine la possibilité suivante : vous parcourez un magazine, prenez en photo l'image accompagnant un article, et l'application sur votre mobile la transforme en URL, vous donnant accès à la page Web désignée par le magazine. Cela rappelle grandement ce qui est fait aujourd'hui avec les QR Codes (ou Mobile Tags), ces carrés noir et blanc (adoptés par certains sites, journaux ou afficheurs), ce que ne nie pas Alexandre Winter. « Les QR Codes et les codes barres ont sensibilisé le public au fait que ça fonctionne. Mais les gens aimeraient quelque chose de plus simple, plus naturel. » Chaque image de la base est associée à une URL Pour illustrer la chose, LTU a développé une application de démonstration. « Nous avons passé en revue des sites consacrés à la peinture, aux films, aux jeux vidéo, etc. Chaque objet de notre base correspond à une URL. Il vous suffit donc de prendre la photo, et l'application envoie le lien correspondant. Personnellement, je m'en sers pour le vin, on a intégré les deux grands sites de vins aux Etats-Unis. Pour un Français installé en Californie, c'est très compliqué de choisir du vin. Donc, je prends en photo l'étiquette, et je suis automatiquement dirigé vers la page Web. » L'application sera disponible sous peu, gratuitement, pour les iPhone. Une version pour Android est en cours de développement. Pour une entreprise dont l'essentiel de l'activité se situe dans le domaine institutionnel, il s'agit d'une diversification majeure. Mise sur le marché en 1999 par des chercheurs de l'Inria (dont Chahab Nastar, parti ensuite chez Business Objects), la technologie de LTU permet de retrouver des images similaires à une image témoin. Elle a d'abord servi - et sert encore - aux forces de l'ordre, dans le cadre d'enquêtes criminelles (pour détecter des similarités dans les images pédophiles, par exemple), pour retrouver des objets volés (une activité en pleine croissance, selon Alexandre Winter), etc. Une offre hébergée à partir de 500 euros, pour viser même les petits projets Pour séduire le plus grand nombre, LTU a décidé de revenir à la façon dont elle comptait commercialiser sa technologie à ses débuts : en mode hébergé - abandonné ensuite, car « les forces de l'ordre n'en étaient pas friandes ». Baptisée LTU Engine/ON demand, cette offre Saas (Software as a service) donne tout loisir à LTU de viser aussi bien les petits éditeurs d'applications que « des grands projets où le client préfère sous-traiter cette partie ». La tarification se fera en effet en fonction de la volumétrie de la base d'images et du nombre de requêtes, avec un tarif de départ à 500 euros par mois. En cas de succès, rien n'empêchera par ailleurs de rapatrier la technologie chez soi, pour une utilisation sous licence classique. Dans tous les cas, et si on excepte l'application de démonstration, LTU entend rester un fournisseur de technologie. Le public visé est donc bien les intégrateurs et les éditeurs, y compris dans le monde Open Source. LTU Technologies a sorti un premier module Open Source pour le gestionnaire de contenus Drupal, et d'autres sont en cours de développement. A noter que LTU, filiale depuis mars 2005 du groupe japonais Jastec, intervient au sein de Quaero, le projet européen pour mettre au point le moteur de recherche du futur. (...)
(23/11/2009 13:44:44)Microsoft pourrait rétribuer News Corp pour l'indexation exclusive de ses sites
Microsoft a entamé des discussions avec le groupe de presse international News Corp sur l'impulsion de ce dernier. Il serait question que la société de Steve Ballmer rétribue l'éditeur du Wall Street Journal et du Britannique Sun s'il désindexe ses sites Web du moteur de recherche Google afin de les lister dans Bing, le moteur de Microsoft. C'est ce qu'a révélé le Financial Times ce dimanche 22 novembre, en citant une source proche du dossier qui a insisté sur le fait que les discussions démarraient à peine. De son côté, Microsoft a également approché d'autres éditeurs importants de presse en ligne pour leur demander de désindexer leurs sites de Google News. Ce sont les moteurs de recherche qui profitent des contenus en ligne, selon Rupert Murdoch Il y a deux semaines, Rupert Murdoch, le patron et fondateur de News Corp, avait indiqué qu'il envisageait d'empêcher les grands moteurs de recherche, dont Google et Bing, d'indexer les contenus de ses sites Web afin d'amener les lecteurs à payer pour lire ces articles en ligne. Rupert Murdoch considère effectivement que ce sont les moteurs de recherche qui tirent réellement profit des contenus en ligne de News Corp à travers les revenus générés par les publicités qu'ils affichent. Selon le Financial Times, un éditeur de presse en ligne -dont le nom n'est pas cité - a confié qu'il avait également été contacté par Microsoft. Selon les arguments de ce dernier, être payé pour sortir de Google pourrait valoriser les contenus qui seraient alors rémunérés sur la base d'une indexation exclusive. Un accord entre Microsoft et des sites de presse en ligne pourrait mettre Bing dans une meilleure position face à la concurrence de Google. La part de marché du moteur de Microsoft est en effet huit fois plus petite que celle de Google. (...)
(20/11/2009 16:24:29)Twitter propose aux développeurs une API de géolocalisation... et un guide de bonnes pratiques
Plus besoin de préciser d'où on poste des messages dans Twitter, les applications pourront le faire d'elles-mêmes. Le service de micro-blogging a mis officiellement à disposition des développeurs une API de géolocalisation. Cette interface de programmation donne la possibilité de 'géotaguer' les messages (leur accoler une étiquette donnant leur position). La multiplication des clients Twitter pour smartphones dotés de puces GPS (iPhone en tête, mais aussi appareils sous Android) ouvre en effet des perspectives intéressantes, souligne Twitter, comme la possibilité de restreindre une recherche à des utilisateurs de la même région, ou de savoir qui est à proximité. Twitter est toutefois conscient que le principe pourrait ne pas plaire à tout le monde, et ne veut pas être pris pour cible. « Nous ne devrions jamais entendre d'utilisateur se plaindre qu'il ne savait pas que telle application 'géotaguait' automatiquement chaque message », écrit l'éditeur dans un guide des bonnes pratiques réalisé tout exprès. Une donnée personnelle sensible Avec une grande clairvoyance, Twitter explique aux développeurs dans ce guide : « Nous sentons que la plupart des utilisateurs se diviseront très vite en deux camps, ceux qui sont intéressés par la fonction ['geotagging'] et ceux qui ne le sont pas. » (sic) Twitter encourage donc les éditeurs d'applications à bien informer leurs utilisateurs au préalable, et pour plus de sécurité, la fonction sera désactivée par défaut. Les utilisateurs devront aller sur leur compte Twitter pour l'activer. Cela laisse toutefois en suspens une autre question délicate, celle de la conservation des données : chaque éditeur d'un client Twitter pourra en effet, si la fonction est activée, réaliser un historique complet des déplacements de l'utilisateur. Chacun devra adopter une politique spécifique en ce qui concerne cette épineuse question des données personnelles, estime Twitter. (...)
(20/11/2009 15:26:18)eBay finalise la cession de Skype pour 1,9 Md$ en cash
Le service de téléphonie (et visioconférence) sur IP Skype vaut désormais 2,75 Md$, mais n'appartient qu'à 30% à eBay. Le site de vente aux enchères a finalisé la vente de 70% environ de sa filiale à un groupe d'investisseurs mené par Silver Lake. eBay, qui n'a jamais su rentabiliser l'acquisition de cette technologie (le groupe envisageait de faciliter ainsi la prise de contact entre vendeurs et acheteurs), avait acheté Skype en 2005 pour 2,6 Md$, mais le service de ToIP n'avait cessé de peser sur ses comptes. La cession avait été annoncée le 1er septembre dernier. Le processus avait été retardé du fait de problèmes de propriété intellectuelle, les sociétés Jotlid et Joost (fondées par les créateurs de Skype, Niklas Zennström et Janus Friis) détenant des technologies clés pour le fonctionnement de Skype. Ces dernières ont donc été associées au groupe d'investisseurs, à hauteur de 14%. (...)
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