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(04/12/2009 15:34:01)
Constellation, le projet de BI collaborative de SAP
Sous le nom de Constellation, SAP prépare une application collaborative d'aide à la décision, qui se présenterait comme une « salle d'opérations » virtuelle ('war room'), cellule de veille où l'on partage des informations pour engager des actions dans la foulée. Cette application associera un outil accessible dans le cloud, depuis un navigateur Internet, et des composants installés en interne dans l'entreprise. C'est ce qu'a récemment expliqué David Meyer, vice président responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, lors d'une présentation sur le Web à certains membres très impliqués de la communauté SAP. L'outil qui doit fonctionner dans le cloud est actuellement en test bêta privé sous le nom de code 12Sprints. On peut s'enregistrer sur le site qui lui est consacré pour le découvrir.
En mai dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs Sapphire d'Orlando, le PDG de SAP, Léo Apotheker, avait lui-même évoqué, le développement de Constellation, en décrivant une application combinant des fonctions de business intelligence et des outils de type Web 2.0. On en sait maintenant un peu plus. David Meyer a montré comment des utilisateurs pouvaient collaborer en temps réel autour d'un problème donné en s'appuyant sur différents outils d'aide à la décision et de gestion de projets. « Il ne s'agit pas seulement d'un espace de discussion, explique-t-on sur le site 12Sprints.com. On rassemble les personnes concernées par un dossier, on leur présente les données correspondantes et l'on choisit les actions à mener avec l'aide d'outils interactifs intégrés. »
Lors de sa présentation, David Meyer a par exemple déroulé un scénario utilisant la méthodologie Swot (strengths, weaknesses, opportunities, threats) consistant à définir une stratégie en analysant conjointement les forces, faiblesses, opportunités et menaces associées à une situation.
Idéalement, de 5 à 30 personnes peuvent intervenir dans l'un de ces groupes de travail. Mais l'éditeur allemand a prévu de fournir les moyens de publier des activités vers des wikis, ou vers d'autres plateformes comme SharePoint afin de toucher une audience plus large, a précisé David Meyer. Quant aux composants de Constellation situés hors du cloud, qui en sont à un stade de développement moins avancé, ils permettront aux utilisateurs de puiser de façon sécurisée et à partir d'un seul point, dans les différents entrepôts de données et contenus non structurés de l'entreprise.
Une ouverture prévue vers Google Wave [[page]]
Un cadre ouvert mais contrôlé
Parmi les applications possibles, David Meyer a cité notamment les processus de décisions d'achat qui se règlent aujourd'hui par téléphone, avec une déperdition d'informations et de connaissance. Sur le plan de la sécurité, Constellation offre un cadre ouvert mais contrôlé. Les utilisateurs pourront travailler comme ils l'entendent, mais un contrôle sera opéré sur la façon dont les choses se passent pour corriger certains points, un risque de fuite de données par exemple. « On pourra empêcher certaines actions », a précisé David Meyer. La tarification de Constellation est toujours à l'étude. Néanmoins, on sait déjà que l'offre devrait comporter trois volets. Il y aura une option gratuite, qui donnera accès à un nombre limité d'activités, et deux versions payantes. Des portions de code seront fournies pour connecter les logiciels BI de BusinessObjects à Constellation. En complément, les utilisateurs de SAP ERP depuis la version 4.6c pourront afficher des contenus vers Constellation dans le cadre de réunions virtuelles.
Une boutique d'applications et une intégration avec Google Wave
David Meyer a également indiqué que SAP prévoyait de créer pour cette plateforme une boutique d'applications sur laquelle les développeurs pourront mettre en vente les méthodes ou les intégrations spécifiques qu'ils auront mises au point. Constellation peut s'adapter à de nombreuses technologies. « Vous pouvez développer dans n'importe quel langage, a affirmé David Meyer. Un peu comme pour un Facebook. » SAP planche aussi sur l'intégration de Constellation à des plateformes de collaboration comme Google Wave. « Il est évident que nous avons besoin de travailler ensemble, a confirmé David Meyer. Il sera possible de partager des contenus entre nos plateformes. » En octobre dernier, SAP Research avait déjà montré une application exploitant Google Wave, baptisée Gravity. Créée avec l'équipe de développement de SAP Netweaver, celle-ci permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises. Dès janvier prochain, SAP en dira davantage sur Constellation. L'outil destiné au cloud sera disponible au cours du premier semestre. La partie hors cloud devrait entrer en version bêta en avril et être livrée courant 2010. (...)
Microsoft rénove Bing Maps grâce à Silverlight
En mettant en ligne une version améliorée de son outil de cartographie, Microsoft continue à s'attaquer à l'un des services les plus populaires de Google, Maps. Le service, en version beta, déploie sa technologie Silverlight pour des zooms plus souple, dévoile Streetside, un équivalent au Street View de Google et une fonction de placement d'évènements. On y trouve notamment un élément de géolocalisation tout juste ajouté à Twitter, qui permet d'afficher en temps réel le lieu d'où les tweets sont émis, ou l'information liée à un événement. Un outil similaire de synchronisation avec les éléments d'un compte Facebook est en cours de développement. Autre application, Local Lens, qui scanne le texte des posts dans les blogs locaux, repère des mots-clefs et situe certains évènements automatiquement sur une carte. La fonction de recherche de base a également été améliorée afin de faciliter la navigation. Revenir en force sur le marché des moteurs Toutes ces modifications vont dans le sens de la stratégie de Microsoft qui vise à attirer toujours plus d'utilisateurs vers son moteur de recherche. Et cela semble payant, puisque, depuis son lancement en juin dernier, la part de marché de l'outil de Microsoft est passé, selon ComScore, de 8 à 9,9 %. C'est encore loin des 65 % de Google Maps ou des 18% de Yahoo! Ce que ne manque pas de souligner Satya Nadella, vice-président senior de la division des services en ligne de Microsoft : "les résultats sont encourageants, mais pas de doute que nous avons encore un long chemin à parcourir." [[page]] Déjà, dans certains domaines, Microsoft a mis le paquet. Ainsi, selon Aguera y Arcas Blaise, architecte partenaire du projet, en quelques mois les développeurs ont chargé un stock de 300 téraoctets d'images et autres données. De même, grâce au logiciel d'assemblage Photosynth, Maps peut restituer une vue 3D assez réaliste. Enfin, Silverlight permet de zoomer de la vue satellite à une vue au niveau de la rue d'une manière beaucoup plus fine que dans la version précédente. Par contre, Streetside ne couvre encore que les 100 plus importantes villes américaines, quand Google Street View a déjà un oeil au dessus de la plupart des grandes villes du monde. Des informations plus pertinentes Mais l'ambition de Microsoft est aussi d'apporter des informations de complément à l'utilisateur, à la place de simples liens sponsorisés ou non. Nadella indique notamment que Bing Maps va chercher à développer des cartes d'identités, sortes de mémos pratiques, qui afficheront en même temps que la recherche proprement dite, des informations pertinentes en fonction du lieu, comme l'état d'un vol dans l'aéroport de la ville, ou les horaires de concert pour un spectacle. Des options déjà en cours chez ses concurrents Google et Yahoo. La base de données de Bings se veut très ambitieuse et Microsoft ne se prononce pas sur les délais de mise en application de ces futures améliorations. http://www.bing.com/maps/explore/ (...)
(03/12/2009 11:45:57)Facebook compte 350 millions de membres
Facebook compte désormais 350 millions de membres, a annoncé mercredi 2 décembre son fondateur Mark Zuckerberg sur le blog officiel du site. Fondé en février 2004 pour mettre en relation les étudiants des campus américains, le réseau social avait passé la barre des 100 millions d'utilisateurs en août 2008, des 200 millions en avril 2009, et des 300 millions en septembre dernier. Par ailleurs, le réseau social profite de l'occasion pour annoncer la suppression des réseaux régionaux et un meilleur système de contrôle de la vie privée. (...)
(03/12/2009 10:20:52)Pour proposer de la fibre optique, Bouygues Telecom passe un accord avec Numericable
Numericable a annoncé un accord avec Bouygues Telecom qui permettra à ce dernier d'utiliser le réseau en fibre optique du câblo-opérateur. Dans le cadre de ce partenariat, Bouygues Telecom a fait savoir qu'il lancera ses premières offres en fibre optique "à l'été 2010". L'opérateur de téléphonie mobile, qui s'est lancé à l'automne 2008 sur le marché ADSL avec son offre Bbox, accède ainsi au réseau de fibre très haut débit de Numericable, qui raccorde quelque 3,3 millions de foyers en France. Bouygues Telecom devrait développer et commercialiser en 2010 ses propres offres par fibre optique, incluant une connexion très haut débit (jusqu'à 100 Mbits/seconde), la télévision en Haute Définition, la téléphonie fixe ou encore un service de vidéo à la demande. Un accord similaire avait permis en octobre 2008 à Darty de lancer ses services DartyBox THD, également en exploitant le réseau de fibre de Numericable. Au premier semestre 2009, l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) recensait 230.000 abonnés en France aux offres en fibre optique. (...)
(03/12/2009 09:25:30)Vie privée : Facebook recloisonne son réseau
Facebook va bientôt apporter des changements majeurs en matière de respect de la vie privée au sein du réseau contributif en permettant aux utilisateurs de gérer plus facilement les renseignements et les photos personnelles qu'ils partagent en ligne. Sur le blog qu'il anime, Mark Zuckerberg, président de la société, a annoncé que "pour commencer, Facebook éliminera les «réseaux régionaux», c'est à dire les groupements de personnes par critère géographique". Les groupes de personnes appartenant à une même école, à un club ou à une entreprise ont vite très bien fonctionné sur Facebook. C'est la raison pour laquelle le site n'a pas empêché les regroupements géographiques, laissant des groupes comme "Londres" ou "Inde" se créer. Ainsi, en étant membre d'un réseau donné, il était possible de voir les informations et les photos correspondant au profil d'un autre membre, avec les mêmes droits d'accès que ceux réservés au «friending", la fréquentation amicale. Sauf que ces données pouvaient être visibles par n'importe quelle personne étrangère au groupe. A moins de modifier les paramètres de confidentialité, ce que de nombreux utilisateurs oubliaient de faire ou ignoraient tout simplement. Adapter Facebook à ses usagers Certes, comme le dit Mark Zuckerberg, le Facebook des débuts était bien adapté à son public, composé essentiellement d'étudiants. Mais aujourd'hui, le site compte pas moins de 350 millions d'utilisateurs enregistrés. «A mesure que Facebook a grandi, certains de ces réseaux régionaux se sont enrichis de millions de membres, et nous considérons que cette affluence ne permet plus aux utilisateurs de contrôler leur vie privée», écrit M. Zuckerberg. "Près de 50 pour cent de tous les utilisateurs de Facebook sont membres de réseaux régionaux. C'est pourquoi la question est pour nous primordiale. Si nous pouvons bâtir un meilleur système, alors ce sont plus de 100 millions de personnes qui seront en mesure d'avoir une meilleure maîtrise des informations qu'ils partagent." Facebook a notamment l'intention de rendre possible le contrôle d'accès pour chaque élément de contenu publié sur le site, "une fonctionnalité réclamée par les utilisateurs", a indiqué Mr. Zuckerberg. Dans les prochaines semaines, les utilisateurs seront invités à mettre à jour leurs paramètres de confidentialité. «Un message expliquera les changements avec un lien menant à une page de mise à jour," écrit M. Zuckerberg. "Un message de confirmation validera les choix et indiquera à chaque utilisateur s'il a effectué les réglages de configuration qui garantissent la protection des données personnelles." Le blog de Mark Zuckerberg (...)
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