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(30/10/2009 12:44:32)
33,6 millions d'internautes en septembre 2009 en France, selon Médiamétrie
En septembre 2009, la France comptait 33,6 millions d'internautes parmi les personnes âgées de 11 ans et plus, selon Médiamétrie/NetRatings et l'Observatoire des usages Internet. Ce nombre a progressé de 5% par rapport à septembre 2008. Dans leur très grande majorité (95,3%), les internautes se connectent via une connexion haut débit, comme le câble ou l'ADSL. Le Top 5 des sites les plus consultés de France se compose, dans l'ordre, de Google (31,07 millions de visiteurs uniques en septembre), Microsoft (29,96 millions), France Telecom (23,05 millions), Facebook (18,57 millions) et PagesJaunes (18,48 millions). En 8e position, on trouve Yahoo (17,16 millions), à la 12e la Wikimedia Foundation (...)
(29/10/2009 12:51:35)L'accord Microsoft/Yahoo ne devrait aboutir que début 2010
Yahoo et Microsoft ont besoin de davantage de temps pour formaliser l'accord de partenariat qu'ils ont décidé de nouer, en juillet dernier, autour de leurs activités de recherche et de publicité en ligne. C'est ce qu'a révélé l'éditeur californien, pionnier des moteurs de recherche, dans un document transmis hier mercredi 18 octobre à la SEC (Securities & exchange commission), l'organisme américain de contrôle des marchés financiers. En raison de la nature complexe de l'opération, certains détails de l'accord doivent encore être précisés, y indique Yahoo en assurant que « les parties travaillent diligemment à la finalisation des accords », qu'elles « ont bien progressé à ce jour, et se sont entendues pour mettre en oeuvre ces accords aussi rapidement que possible ». Microsoft a fait de son côté une communication similaire. En juillet, lorsque la société dirigée par Steve Ballmer et celle que pilote Carol Bartz ont annoncé que Bing, le moteur de Microsoft, serait utilisé par Yahoo pour son service de recherche en ligne, elles avaient prévu de parvenir à un accord abouti quelque trois mois plus tard, au 27 octobre 2009. Dans le cas contraire, il était même question de recourir à l'arbitrage d'une commission. Le document fourni mercredi à la SEC ne fournit pas de nouvelle échéance pour finaliser l'engagement de partenariat, mais les deux sociétés pensent qu'elles devraient y parvenir d'ici le début de l'année prochaine. Vendredi dernier, le milliardaire Carl Icahn, actionnaire activiste de Yahoo, a annoncé qu'il quittait le conseil d'administration de la société, expliquant que la présence d'un 'activiste' au 'board' de Yahoo n'était plus nécessaire. Il a au passage salué le travail de Carol Bartz. (...)
(28/10/2009 17:22:07)Des URL avec des caractères arabes et chinois
L'ICANN, organisme en charge de la gestion des noms de domaines sur Internet, a annoncé lors de son congrès international à Séoul que les adresses Internet pourraient bientôt être ouvertes aux caractères issus d'alphabets non occidentaux, tels que l'arabe, le coréen ou le chinois. Jusque-là, l'ICANN n'acceptait que les caractères non-occidentaux que pour la première partie des adresses des sites. La dernière partie de l'URL, devait quant à elle être rédigée obligatoirement en typographie latine : ".com" pour les sites commerciaux, ou par exemple ".ru" pour les sites russes et ".cn" pour les sites chinois. Cette petite révolution sur la Toile intervient à l'issue d'une phase de tests entamée en 2007 par l'ICANN, et qui a permis à des centaines de millions d'internautes de créer des noms de domaine et des extensions régionales en onze langues : arabe, perse, russe, hindi, grec, coréen, hébreu, tamil, japonais, chinois traditionnel et chinois simplifié. Cette réforme, qui doit être validée d'ici quelques jours, permettra dès l'année prochaine de simplifier l'accès à Internet pour certaines populations peu familières avec l'anglais ou les lettres des alphabets occidentaux. (...)
(27/10/2009 17:04:31)Le réseau de recherche Digiteo a co-financé 50 projets depuis sa création en 2006
Ce matin, à Paris, le directeur de Digiteo, Maurice Robin, a dressé un bilan des activités du réseau qui regroupe 1 300 chercheurs permanents et 500 doctorants. En 2008, le réseau a totalisé 2 400 publications, vu 170 projets acceptés dans des appels d'offres nationaux ou internationaux, créé trois start-up, déposé 83 brevets et logiciels et concédé 43 licences de brevets et logiciels. A noter qu'il a participé à 80% des projets du pôle de compétitivité System@tic.
Au bilan des actions communes menées au sein de Digiteo depuis sa création figurent 50 projets de recherche coopératifs. Le but du réseau étant de favoriser la collaboration entre ses partenaires, les appels à projets qu'il cofinance avec la Région Ile-de-France doivent inclure au moins deux de ses laboratoires, rappelle Maurice Robin. « L'effet réseau permet à des équipes de répondre de manière plus efficace aux appels à projet », souligne le directeur en insistant par ailleurs sur l'importance du soutien apporté à Digiteo par les collectivités locales - la Région, le Conseil général de l'Essonne et la Communauté d'agglomération du plateau de Saclay - et par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche.
Un mur d'images de 131 millions de pixels
Ce matin, Michel Beaudoin-Lafon, professeur d'informatique et représentant de l'université Paris-Sud au comité de pilotage du réseau, a présenté deux de ces projets communs. Le premier, Wild, rassemble trois laboratoires de Digiteo autour d'une plateforme de visualisation interactive, « pour l'instant unique au monde », selon Michel Beaudoin-Lafon. Elle se présente sous la forme d'un mur d'images constitué de 32 écrans LCD de 30 pouces dont la surface globale (5,5 x 1,8 mètres) offre une résolution de 131 millions de pixels. Cet affichage se complète d'une table interactive tactile et d'un système de capture de mouvement qui permet de suivre les objets. Ce dernier enregistre la position des personnes ou des objets au demi-millimètre près, à l'aide de caméras infrarouges placées autour du mur d'images. A cela s'ajoute des assistants numériques pour transférer les données, contrôler leur affichage et les manipuler. « Les chercheurs ont besoin d'afficher des données complexes dans de nombreux domaines », rappelle Michel Beaudoin-Lafon. « L'objectif du projet Wild est de permettre à plusieurs personnes de travailler simultanément sur un même sujet, en manipulant des données hétérogènes et en visualisant, à l'aide des différents équipements -mur, table, PDA- des objets numériques complexes de façon intuitive ».
L'autre projet mis en avant ce matin, WebContent / WebDAM, porte sur les outils de recherche du Web sémantique. Il doit déboucher sur la distribution de logiciels en Open Source et implique 18 partenaires, dont 5 au sein de Digiteo et 7 industriels. A noter que parmi les chercheurs de Digiteo distingués en 2008 figure Serge Abiteboul, lauréat de l'European Research Council (ERC) pour le projet WebDAM.
L'OMTE, un dispositif et un financement pour accélérer le transfert des projets scientifiques
Présidente du Comité de valorisation de Digiteo, Françoise Fabre a de son côté présenté deux projets de transfert dans le cadre d'OMTE (opérations de maturation technico-économique) dont l'objectif est la création de valeur. « Les chercheurs ont souvent une vue très théorique du monde industriel, rappelle la scientifique qui préside aussi l'incubateur d'Ile-de-France Incuballiance. Il nous fallait trouver une structure pour accélérer le transfert des projets scientifiques. »
L'OMTE, dont le montant s'élève environ à 100 000 euros, inclut l'intervention d'un ingénieur développeur qui réalise un 'démonstrateur' pour démontrer la valeur du concept technologique. Le dispositif prévoit aussi une étude de marché par un ingénieur marketing. Enfin, il se complète d'un coaching en propriété intellectuelle avec un cabinet spécialisé. « Il y a souvent dans les projets une zone qui n'est pas financée. Nous avions besoin d'un dispositif pour soutenir cet accélérateur de transfert vers le monde économique, résume Françoise Fabre. Jusqu'à présent, nous avons fait neuf opérations ». La plupart sont encore en cours. Parmi les plus abouties, la présidente du comité de valorisation a présenté Fluctuat, portant sur les systèmes critiques pour la sécurité, et ICI-TV, chaîne de télévision interactive pour les personnes âgées. A la clef, pour chacune d'elles, une création de start-up : mise en incubation en 2009 pour Fluctuat, prévue pour 2010 pour ICI-TV. (...)
Geocities a définitivement fermé son service de pages Web personnelles
Geocities n'est plus. Le célèbre service gratuit de création de pages personnelles sur Internet a fermé lundi 26 octobre, entraînant la disparition de plusieurs milliers de pages Web. Racheté par Yahoo! en 1999, Geocities avait permis à toute une génération d'internautes de créer leur propre site, avant d'être dépassé puis enterré par les réseaux sociaux. Depuis lundi, la page d'accueil Geocities indique aux internautes que les comptes ne seront plus disponibles. Ceux qui souhaitent toutefois conserver leur site devront le transférer sur un service d'hébergement payant de Yahoo! et facturé 4,99 dollars par mois pendant un an, puis 9,95 dollars par mois par la suite. La fin d'un pionnier de l'Internet grand public Fondé en 1994, à l'aube de la démocratisation d'Internet, Geocities proposait un service d'hébergement gratuit de pages personnelles. Les internautes disposaient d'outils d'édition pour créer en quelques minutes leurs pages, en y intégrant texte et photos. Des applications, qui aujourd'hui, font figurent de précurseur pour les actuels Facebook ou MySpace. La particularité de Geocities était de classer les sites personnels par noms de ville. Ainsi, les internautes qui dédiaient leur site à l'art résidaient virtuellement à Paris, ceux qui parlaient de cinéma à Hollywood, ceux qui faisaient de la politique à Athènes, etc. Racheté en 1999 par Yahoo! au prix de 2,9 milliards de dollars, Geocities n'a pas pu résister à la déferlante des blogs puis à celle des réseaux sociaux. La fermeture de ce service pourrait faire disparaître les témoignages des grands débuts de l'Internet grand public. L'organisation Internet Archive Project, qui se donne pour mission de sauvegarder la mémoire du Web, a lancé une opération spéciale pour archiver les pages Geocities avant qu'elles ne s'effacent à jamais des serveurs. (...)
(27/10/2009 15:15:05)Selon une étude Morse, les réseaux sociaux nuiraient à la productivité en entreprise
Facebook et Twitter néfastes pour les entreprises ? On s'en doutait à titre personnel, des études le prouvent maintenant. Une étude anglaise réalisée par le cabinet d'analyse Morse sur plus de 1 460 employés révèle que 57% d'entre eux utilisent les réseaux sociaux pour des motifs personnels pendant leur temps de travail. Elle estime qu'ils passent en moyenne 40 min/jour sur les différents sites de réseautage. Ces distractions coutent une semaine de travail par employé et par an, soit 1,5 milliard d'euros pour la Grande-Bretagne. « La popularité des réseaux comme Twitter ou Facebook a considérablement grandi ces deux dernières années et ce phénomène s'accompagne de la tentation de visiter ces sites pendant les heures de bureau » indique Philip Wicks, un consultant de Morse. « L'arrivée de ces sites dans l'environnement professionnel est une gangrène pour la productivité ». Les dirigeants ne doivent pas faire l'autruche face à ces comportements déplacés, ils doivent plutôt mettre en place et renforcer leur charte d'usages. Une menace pour la sécurité ? En outre, un tiers des employés anglais disent qu'ils ont vu des informations sensibles sur leurs entreprises publiées sur des réseaux sociaux alors que 76% révèlent que leur patron n'a pas instauré de charte d'usages pour Twitter. Plus de quatre sur cinq ont également déclaré qu'ils étaient inquiets de cliquer sur un lien menant à site malveillant en suivant les liens postés sur les sites de réseautage. Morse explique que sans la mise en place de règles claires, les dirigeants acceptent une réduction de la productivité, ainsi que des risques de sécurité ou de dégradation de la marque. Le cabinet Morse a été commissionné par l'institut de sondage TNS Group pour conduire cette étude. D'autres études arrivent aux mêmes conclusions. En juillet, le cabinet d'analyse Nucleus (basée à Boston) avait publié une étude expliquant que les entreprises qui ne verrouillaient pas l'accès à Facebook perdaient moyenne 1,5% de leur productivité globale. De plus, 77% des employés qui possédaient un compte personnel sur Facebook l'utilisait pendant les heures de travail. Limiter ou interdire les réseaux sociaux ? « Après des années à alerter employés sur les dangers provenant des clics sur des emails ou sites web inconnus, ces derniers peuvent involontairement baisser leur garde en cliquant sur des liens de Twitter ou d'autres réseaux sociaux » ajoute Philip Wicks. « Il est primordial que les entreprises fassent de leur mieux pour se protéger en rappelant les dangers. Toutefois, les réseaux sociaux peuvent faciliter les rapports entre employés et clients, s'ils sont bien intégrés. C'est pourquoi les entreprises doivent trouver le juste équilibre en matière d'usage chez les employés entre l'engagement et la productivité». Certains sont toutefois plus radicaux. Début octobre, une étude commanditée par Robert Half Technology (spécialisée dans le recrutement informatique) montrait que les entreprises commençaient à se préoccuper des réseaux sociaux dans leurs bureaux. L'étude signalait que 54% des sociétés américaines ont purement et simplement interdit l'usage de sites comme Twitter, Facebook, LinkedIn et MySpace au travail. Avant d'en arriver là, il est peut-être préférable de faire preuve de pédagogie et de réfléchir à l'apport des réseaux sociaux (des intranets plus conviviaux en fait) pour améliorer la communication interne de l'entreprise. (...)
(27/10/2009 13:38:48)Les internautes ont préparé une charte verte pour le sommet de Copenhague
Jusqu'au 15 septembre dernier, les internautes pouvaient soumettre leurs idées en faveur de l'environnement sur un site Internet réservé à cet effet. Depuis, les contributions les plus nombreuses ont été recensées par l'IFOP et remises aux experts de la fondation Terra Nova qui ont identifié les 20 tendances les plus porteuses. Devenues recommandations-clés, ces 20 contributions concernent, entre autres, les économies d'énergie, les changements d'habitudes de transport, l'exemplarité des pouvoirs publics, l'investissement dans la coopération internationale. Les thèmes abordés ont été répartis en 10 engagements individuels et en 10 axes d'engagement collectif à faire tenir aux dirigeants politiques. L'initiative, lancée par MSN en partenariat avec la fondation Terra Nova, Le Monde.fr et des experts en écologie, a débouché sur l'élaboration d'une Charte Verte. Afin de récolter un maximum de signatures, ce document est désormais soumis à pétition sur la Chaîne Verte du site MSN. Le texte sera présenté aux acteurs politiques qui se réuniront le 7 décembre prochain au sommet international de Copenhague sur l'environnement. (...)
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