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5069 documents trouvés, affichage des résultats 2001 à 2010.
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(19/08/2009 17:29:25)
La RC d'Exchange Server 2010 disponible
Conformément à son programme, Microsoft vient de rendre disponible en téléchargement la version Release Candidate (RC) d'Exchange Server 2010. L'éditeur avait déjà précisé que l'architecture de son serveur de messagerie serait spécifiquement conçue pour la haute-disponibilité et l'intégration entre plusieurs domaines. Cette version devrait faciliter la tâche des responsables informatiques en autorisant la réplication continue avec deux serveurs seulement ou en déléguant à des utilisateurs une partie des tâches liées aux comptes (création de compte ou de groupe de discussion par exemple). Si en théorie, la RC peut s'installer en environnement mixte (avec des versions 2003 et 2007 d'Exchange), il est recommandé d'attendre le deuxième service pack d'Exchange 2007, disponible dans quelques jours, avant d'installer les deux ensemble. Exchange Server 2010 gérera par ailleurs à la fois des utilisateurs sur des systèmes internes aux entreprises et d'autres sur des boîtes mail hébergées. Il fournira des outils comme Powershell pour administrer ces deux familles d'utilisateurs mais aussi l'infrastructure pour faire le lien entre les deux. Pour ce faire, il s'appuiera sur le clustering nouveau de Windows Server 2008 et sur la fédération des Active Directory. A noter que selon les bêta-testeurs de la première heure, la fonction d'archivage automatique des mails ne devrait quant à elle pas être suffisamment mûre lors de la sortie de la version finale d'Exchange Server 2010 mais seulement avec le premier Service Pack qui suivra. La RC est accompagnée d'une dernière bêta pour l'environnement de sécurité Forefront for Exchange Server 2010. La version finale d'Exchange Server 2010 devrait être commercialisée avant la fin de l'année 2009. Aucun ordre de prix n'est encore disponible. (...)
(19/08/2009 12:29:57)En hausse de 46%, Gmail talonne Hotmail qui ne progresse que de 3%
Aux Etats-Unis, Gmail, le webmail de Google, supplante celui d'AOL à la troisième place. Selon ComScore, Gmail a totalisé 36,9 millions de visiteurs uniques en juillet dernier, soit une progression de 46% par rapport à juillet 2008. Entre septembre 2007 et septembre 2008, le webmail avait cru « seulement » de 39%. Cette mesure de la fréquentation permet de se faire une meilleure idée du succès d'un webmail que celui du nombre d'inscrits puisqu'il prend en compte son activité. Hotmail de Microsoft se place toujours deuxième avec 47,1 millions de visiteurs mensuels. Mais sa fréquentation n'a crû que de 3% sur un an. Selon ComScore, si Gmail continue au rythme actuel, il devrait le dépasser d'ici le mois de février prochain. Dans le même temps, AOL a vu sa fréquentation fondre de 19% à 36,4 millions. Loin devant tous les autres avec 106,1 millions de visiteurs, Yahoo Mail enregistre aussi un taux de croissance de 22% qui lui permet de se tenir à distance de ses concurrents. ComScore explique la croissance record de Google par l'ajout régulier de fonctions qui gravitent autour de son webmail (Calendar, Docs...) (...)
(19/08/2009 12:15:05)Fracture numérique : les élus locaux se mobilisent autour du haut débit
Les élus locaux connaissent bien la fracture numérique. Ils la retrouvent dans la téléphonie mobile, la télévision numérique terrestre (TNT), le haut débit par ADSL et bientôt par fibre optique. Elle représente pour eux un danger en éloignant de certaines zones géographiques les entreprises, les touristes, les propriétaires de résidences secondaires, ou plus simplement les autochtones et surtout les plus jeunes d'entre eux. Le plan numérique 2012 du gouvernement, qui prévoit pourtant le haut débit universel en 2010, n'a pas convaincu. Si l'ambition est louable, l'absence de financement laisse les élus locaux sur leur faim. Le lancement d'un projet d'emprunt national a réveillé leurs ardeurs. Impatients de voir leurs territoires désenclavés, ils souhaitent voir cet argent également utilisé pour le très haut débit. Quatre associations sont donc montées au créneau : l'AMF (Association des maires de France, qui représentent tous les maires, surtout ceux des petites communes), l'ADF (Association des départements de France), l'ARF (Association des régions de France) et l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel). Les adhérents de l'ADF et de l'ARF sont à l'origine de la plupart des RIP, réseaux d'initiative publique (voir encadré). L'Avicca regroupait initialement les collectivités locales développant des réseaux câblés. Elle rassemble aujourd'hui toutes celles lancées dans les réseaux à haut débit (à base de câble ou pas) et, surtout, elle organise une veille juridique et économique sur ces sujets. Bref, ces quatre associations regroupent bien le pouvoir local en matière de haut débit. Une proposition de loi du sénateur Xavier Pintat Le 10 juillet dernier, ces associations ont signé une plateforme commune. Elles avancent quatre propositions : la création d'un fonds de péréquation en faveur des collectivités locales moins favorisées, la création de schémas directeurs nationaux et régionaux, l'utilisation du dividende numérique pour les territoires qui ne seraient pas fibrés rapidement et, enfin, des mesures financières pour abaisser les taux d'emprunt. Les quatre insistent beaucoup sur l'aspect financier du sujet. Un précédent fonds d'investissement pour le haut débit avait vu le jour en 2003, avant que l'argent affecté lui soit en grande partie retiré un an après. Elus échaudés craignent l'Etat froid ! Une deuxième initiative a conduit le sénateur Xavier Pintat à déposer une proposition de loi reprenant les suggestions de cette plateforme. Proposition adoptée au Sénat. Si l'Assemblée nationale et le Gouvernement le décident, cette proposition, en étant adoptée, pourrait donner le vrai coup d'envoi d'un développement équitable du haut débit en France. Plusieurs collectivités locales ont également lancé des schémas directeurs régionaux pour le haut débit. C'est le cas du département du Loiret et des régions Auvergne et Aquitaine. Le poids du haut débit en France Fin 2008, 76 collectivités locales avaient déployé des réseaux par elle-même (en exploitation totale ou partielle), 20 avaient attribué leur marché, 15 en attendaient l'attribution. 50% de ces réseaux concernent des villes, 43% des départements et 7% des régions. Ils représentent 3 670 zones d'activité raccordées, 9 377 établissements publics raccordés, 3 062 NRA (noeuds de raccordement d'abonnés) dégroupables, 32 000 kilomètres de câbles optiques. En terme financier, ces réseaux représentent 2 613 milliards d'euros, 48% provenant de financement public (source Avicca). (...)
(18/08/2009 15:31:38)La BNF s'en remettrait finalement à Google pour numériser ses livres
Fontaine, je ne boirai pas de ton eau... La Bibliothèque Nationale de France (BNF) l'avait juré : elle n'aurait jamais recours à Google pour numériser ses ouvrages. Aujourd'hui pourtant, selon nos confrères de la Tribune, c'est bien ce qu'elle s'apprête à faire. Denis Bruckmann, directeur général adjoint et directeur des collections de la BNF, a confié au quotidien qu'il était en négociation avec le numéro un mondial des moteurs de recherche. En 2005, la BNF avait pourtant mis en branle le projet de bibliothèque numérique Europeana, finalement ouverte, non sans difficulté, fin 2008. Mais les coûts de la numérisation de livres souvent rares, précieux et difficiles à manipuler, auront sans doute raison de cette initiative d'irréductibles gaulois. Le budget annuel de 5 millions d'euros de la BNF ne suffira pas, loin de là, à une opération qui devrait représenter plusieurs dizaines, voire centaines de millions d'euros. Mais ce n'est pas tout. Dans le monde, 29 grandes bibliothèques ont déjà fait appel à Google. Et la polémique règne dans nombre de pays où le géant américain est intervenu pour transformer les livres en patrimoine numérique. Pour commencer, l'Américain a bel et bien l'intention de commercialiser les ouvrages une fois numérisés et non de les laisser en accès libre dans le seul but d'offrir la culture à tous. Aux Etats-Unis, des actions collectives en justice (class actions) ont déjà été menées contre Google qui se passe régulièrement de l'autorisation des auteurs (et du versement de droits, par la même occasion) avant de mettre en ligne leurs publications. Depuis, les différentes parties ont trouvé un accord. L'an dernier, la ville de Lyon avait, elle aussi, signé avec Google qui doit numériser le patrimoine de la bibliothèque municipale et verser quelque 60 millions d'euros en échange d'une autorisation de l'exploitation de la copie numérique des ouvrages. (...)
(18/08/2009 13:11:07)Google toujours loin devant Yahoo! et Bing, même réunis
Selon Comscore, spécialiste de la mesure Internet, les utilisateurs de Google lui sont très fidèles. C'est ce qui expliquerait que Google s'est accaparé en juin 65% des 14 milliards de requêtes en provenance du territoire américain, ne laissant que 19,6% à Yahoo et 8,4 % au Bing de Microsoft, toujours en bêta. Si l'on compare au mois précédent, l'effort de promotion de l'éditeur de Redmond sur Bing, n'a pas eu d'effet notoire sur sa fréquentation qui reste au même niveau que celle de son prédécesseur. Mais Comscore a signé, début août, un partenariat avec Microsoft. Les deux sociétés travaillent à mettre au point un outil de suivi des campagnes publicitaires en ligne, le Reach and Frequency Planner (RF Planner). La société s'est, depuis, fendue, d'un autre communiqué de presse qui analyse le marché au-delà des seules parts de marché. Si Google a autant de succès, c'est que ses utilisateurs lui soumettent en moyenne 54,5 requêtes par mois. Ceux de Yahoo ne l'interrogent que 24,5 fois et Bing 14,3 fois. Et Comscore de s'intéresser à la "pénétration" des trois principaux moteurs sur le marché. Si celle de Google atteint 84%, elle ne paraît pas si éloignée de celle du tandem que forment Yahoo et Microsoft. Comscore les crédite d'un taux de "pénétration" de 73,3%. Eli Goodman, "Search evangelist" chez Comscore explique d'ailleurs que le tandem a une réelle opportunité à saisir, sachant que 75% des utilisateurs utilisent les trois moteurs sur un mois. Dans son communiqué, la cabinet invite une autre société, Covario, dont le porte-parole explique que l'union Yahoo/Microsoft met environ 30% du marché des moteurs de recherche à portée des annonceurs. Un taux qui correspond justement au seuil critique à partir duquel les annonceurs sont prêts à se lancer dans des campagnes d'envergure nationale. (...)
(17/08/2009 16:58:24)Marc Andreessen aurait investi dans RockMelt et son futur navigateur Web
Marc Andreessen semble faire un discret retour sur le marché des navigateurs Web. Le co-auteur de Mosaïc et co-fondateur de Netscape (avec Jim Clark), aurait investi dans RockMelt, une start up qui développerait un navigateur. C'est un terrain sur lequel la concurrence a effectivement repris des couleurs, avec la large adoption de Firefox et l'arrivée du Chrome de Google. La compétition y avait été verrouillée pendant un certain nombre d'années par Microsoft, vainqueur (avec Internet Explorer) du duel engagé au milieu des années 90 contre Netscape. On sait peu de choses de RockMelt. La société reste discrète. Ses deux fondateurs, Eric Vishria et Tim Howes, ont fait partie des collaborateurs d'Opsware, éditeur créé par Marc Andreessen et racheté par HP en 2007. A l'instar de Chrome, RockMelt optimiserait le navigateur pour l'exploitation des applications Web. Rappelons que Marc Andreessen est par ailleurs membre du conseil d'administration de Facebook. (...)
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