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5069 documents trouvés, affichage des résultats 2011 à 2020.

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(17/08/2009 11:51:47)

L'offre de rachat de Google contestée par les actionnaires d'On2

Les actionnaires d'On2 Technologies ne sont pas satisfaits de l'offre de 106,5 M$ faite par Google pour racheter cet éditeur new-yorkais spécialisé dans la compression vidéo. Ils ont engagé séparément des procédures judiciaires dans les états du Delaware et de New-York, estimant que rien n'attestait que les dirigeants d'On2 aient tenté d'obtenir le meilleur prix de cession possible, ni recherché d'autres acheteurs mieux-disant. L'offre faite par Google valorise l'action d'On2 à 60 cents, ce qui représentait un bonus de 57% par rapport à la dernière clôture. Or, les actionnaires considèrent que l'opération a été précipitée afin d'être bouclée avant la publication par On2 des résultats financiers de son deuxième trimestre, susceptibles de faire monter le cours de l'action. Sur cette période, l'éditeur new-yorkais a en effet vu son chiffre d'affaires progresser de 53% à 5 M$ et, surtout, réduit sa perte nette à 224 000 dollars, contre 7,2 M$ au deuxième trimestre 2008. L'acquisition par Google doit de toute façon être soumise à l'approbation des actionnaires de On2. (...)

(11/08/2009 16:21:17)

Facebook s'offre l'agrégateur de réseaux sociaux Friendfeed

Facebook a annoncé lundi son intention de racheter Friendfeed. Créée fin 2007, cette entreprise propose aux internautes d'agréger le contenu que leurs « amis » publient en ligne. Ils retrouvent ainsi des liens, des images, des vidéos ou encore des articles signalés directement par leurs contacts sur Friendfeed. Mais ils peuvent aussi y lire les publications Facebook, Twitter, YouTube, Flickr ou autres de leurs amis, sans être contraints de passer de l'un à l'autre. Les termes financiers de l'opération n'ont pas encore été dévoilés même si la presse américaine évoque un montant de 50 M$. Les quatre créateurs de FriendFeed sont tous des anciens de Google (l'équipe compte 12 personnes au total). L'un des fondateurs, Paul Buchheit, est tout simplement l'un des ingénieurs à l'origine de Gmail et d'un des premiers outils de publicité en ligne du moteur de recherche. Bret Taylor, lui, était l'un des directeurs produits de Google Maps. Interrogés par nos confrères d'IDGNews, Paul Buchheit et le vice-président de l'ingénierie de Facebook, Mike Schroepfer, ont expliqué que, contrairement à ce que pouvaient penser les observateurs du marché, les recouvrements entre leurs deux environnements étaient une des explications du rapprochement. « Il s'agit de travailler ensemble sur notre vision commune visant à aider les gens à échanger et communiquer sur le Web, et à partager leur identité personnelle et celle de leur communauté à travers le monde », complète Mike Schroepfer. Une façon pour Facebook d'éloigner la menace Twitter ? Mais le vice-président de l'engineering Facebook a tenu à préciser que son entreprise avait aussi un très grand respect pour l'équipe de FriendFeed et souhaitait l'intégrer. Selon lui, les employés des deux firmes sont à la fois des « amis et des admirateurs les uns des autres depuis longtemps, qui se sont empruntés des fonctions les uns aux autres. « Apporter à la communauté Facebook tout ce que nous avons appris dans l'aventure Friendfeed » est aussi une formidable opportunité, estime de son côté le co-fondateur Paul Buchheit. A noter que Friendfeed était aussi en passe de devenir le meilleur endroit pour les internautes qui souhaitaient suivre à la fois leurs flux Twitter et Facebook sans forcément passer de l'un à l'autre. Or, Twitter commence, au moins en termes de notoriété, à chatouiller Facebook. Si ce dernier est sans nul doute intéressé au plus haut point par les têtes bien faites de Friendfeed, la possibilité d'empêcher la progression du petit oiseau bleu qui monte ne lui est sans doute pas indifférente. (...)

(11/08/2009 16:22:16)

Seedcamp Week : une formation accélérée à Londres à gagner pour 20 start-up

Du 21 au 25 septembre prochain, à l'University College de Londres, le programme Seedcamp Week offrira à vingt start-up IT présélectionnées l'opportunité de se frotter à des professionnels expérimentés du marché des nouvelles technologies. Quelque 400 investisseurs, 'serial entrepreneurs', développeurs, concepteurs de produits et spécialistes du marketing, mais aussi recruteurs, juristes et gestionnaires, dispenseront leurs conseils à ces porteurs de projets, principalement basés sur le modèle Internet. Au programme se succèderont cours magistraux et débats, entrecoupés de sessions individuelles plus personnalisées. A la fin de la semaine, les cinq start-up ayant présenté les projets les plus convaincants pourront recevoir jusqu'à 50 000 euros correspondant à une entrée de 5 à 10% dans leur capital. Leurs équipes accéderont ensuite à la deuxième phase du programme, un parcours de formation de trois mois à Londres pour poursuivre les échanges avec les professionnels rencontrés lors de la Seedcamp Week. L'objectif est de glaner le maximum de conseils pratiques pour concrétiser son projet de façon viable. Ce « suivi continu », ponctué de dîners, déjeuners thématiques et conférences, comportera deux colloques, Demo Day et Investor Day. Sans oublier le traditionnel déplacement dans la Silicon Valley californienne, promettent les organisateurs, Reshma Sohono, la PDG de Seedcamp, et Saul Klein, ancien vice-président de Skype, associé de l'investisseur Index Venture et co-fondateur du programme. Dépôt des dossiers jusqu'au 23 août L'édition 2008 de la Seedcamp Week avait distingué une start-up française, Stupeflix, dont le fondateur, Nicolas Steegmann, a bénéficié de ce parcours. Depuis le début de l'année, plusieurs Seedcamp d'une journée se sont déjà tenus à Paris, Tel Aviv, Varsovie, Londres, Helsingborg, Lubiana et Berlin, apportant une visibilité à quelque 150 start-up européennes. En février dernier, le mini Seedcamp parisien avait distingué : cinq projets Internet parmi lesquels une plateforme de gestion vidéo (Brainient), des services de gestion des courriels (Kwaga et MxM) et de favoris dynamiques (Wozaik). Les équipes souhaitant tenter l'aventure de Londres peuvent déposer un dossier de candidature sur le site de Seedcamp jusqu'au 23 août prochain. (...)

(11/08/2009 12:02:41)

Google invite à tester sa nouvelle infrastructure de recherche

« Depuis plusieurs mois, un grand nombre de collaborateurs Google travaille sur un projet secret : une architecture de nouvelle génération pour le moteur de recherches. » Matt Cups et Sitaram Iyer, responsables du développement, ont maintenant décidé de dévoiler l'existence de ce projet, et ils invitent les utilisateurs à donner leur avis. Sans donner aucun détail technique, les deux ingénieurs expliquent que le nouveau système indexera davantage de pages, plus rapidement, et donnera des résultats plus pertinents. Toutefois, précisent-ils, dans la mesure où l'interface ne change pas, les utilisateurs lambda ne verront aucune différence. Seuls les développeurs et utilisateurs intensifs devraient être capables de remarquer des changements dans le classement des réponses. Google reste archidominant dans le classement des moteurs de recherche. Selon Comscore, Google a ainsi totalisé en juin 2009 65% des requêtes aux Etats-Unis, un chiffre stable, voire en légère augmentation par rapport à juin 2008. Cela le positionne loin devant Yahoo (19,6%) et Microsoft (8,4%). Toutefois, les concurrents évoluent. Microsoft a présenté Bing, qui devient le moteur utilisé par Yahoo, et de nouveaux entrants originaux arrivent, comme Wolfram Alpha. (...)

(10/08/2009 12:12:40)

Microsoft devient actionnaire de Publicis en lui vendant Razorfish

Si Microsoft a bien compris qu'il lui faudrait être fort dans le marché de la publicité en ligne, il sait aussi que son métier n'est pas d'être une agence de communication. L'éditeur est parvenu à concilier ce souci de positionnement en concluant un accord multifacettes avec Publicis. Premier étage de la fusée, Microsoft revend au groupe de publicité français Razorfish, pour un montant global évalué à 530 M$. Agence spécialisée dans le numérique, Razorfish est tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat du groupe de marketing et de communication aQuantive, en mai 2007, pour 6 Md$. Deuxième étage de la fusée, dans la mesure où Publicis règle une partie de cette acquisition avec 6,5 millions d'actions, Microsoft devient actionnaire du groupe à hauteur de 3,3% (un montant qui lui permet de figurer parmi les actionnaires importants, même si les trois premiers actionnaires totalisent plus de 30% des parts). Enfin, cette vente met en orbite « un accord d'alliance stratégique » d'une durée de 5 ans, pendant laquelle Microsoft s'engage à recourir aux services de Razorfish et Publicis à acheter des espaces publicitaires sur ses sites : « Publicis Groupe sera en mesure d'acheter auprès de Microsoft des publicités en ligne (display) et des liens sponsorisés (search) pendant cinq ans selon les modalités de l'accord et selon des termes favorables pour nos clients, en échange de certains niveaux d'achats minimum garantis par le Groupe Publicis. L'accord stipule aussi que Razorfish continuera d'être le fournisseur préférentiel pour Microsoft en matière de stratégie digitale et de services marketing créatifs ainsi que d'expertise sur l'expérience en ligne et il contient un engagement de la part de Microsoft d'investir un montant minimum pour de tels services chaque année pendant la durée de l'accord (cinq ans). » Après l'accord pour 10 ans conclu avec Yahoo, voilà une stratégie qui, si elle ne redresse pas d'emblée un chiffre d'affaires fortement ébranlé, devrait au minimum rassurer les investisseurs. (...)

(07/08/2009 16:54:04)

Les attaques contre Twitter révèlent la fragilité de son infrastructure

La rançon du succès sur le Web est sans nul doute l'intérêt porté par les pirates. Twitter, et dans une moindre mesure Facebook et Google, en ont fait les frais hier, jeudi 6 août. Les stars du web 2.0 ont subi, chacune leur tour, des attaques en déni de service (envoi en masse de demandes d'informations à un site afin d'en saturer les serveurs) qui les ont paralysées une partie de l'après-midi. Twitter est resté silencieux une très grande partie de la journée alors que Facebook et Google n'ont vu leurs services interrompus que très peu de temps. « Nous avons rendu un accès total à la plupart des internautes », explique Facebook sur son site. L'entreprise précise qu'elle continue néanmoins de surveiller de près la situation. Elle ne donne pas de précisions détaillées sur le type d'attaque qu'elle a subie, se contentant de renvoyer sur l'article de Wikipedia sur le déni de service. Personne ne sait aujourd'hui si les attaques qui ont concerné le réseau social sont liées à celles qui ont mis Twitter à genoux. Même constat pour le déni de service qui a atteint une partie du service qui redirige des URL de partenaires Google vers les sites ou les blogs Google. La coïncidence des événements conduit néanmoins les trois entreprises à enquêter ensemble sur le sujet. La source de l'attaque encore inconnue Sur son site, Facebook estime que les attaques auraient été dirigées contre un seul individu plutôt que contre les sites proprement dit. La victime serait un blogueur géorgien appelé Cyxymu avec des comptes sur Facebook, mais aussi Twitter, LiveJournal, Blogger et YouTube. La méthode du rouleau compresseur pour écraser un puceron, en quelque sorte. Certains observateurs invoquent d'autres explications. « Si on scrute les forums de hackers, il est clair que Twitter les énerve au plus haut point », indique ainsi Richard Stiennon, fondateur du cabinet d'étude sur la sécurité IT-Harvest. « Twitter est venu de nulle part. Les hackers détestent ça. Ils ont toujours utilisé les forums et l'IRC pour communiquer, et tout à coup, le reste du monde a son propre outil avec Twitter. » [[page]] Pour lui, la montée en puissance de Twitter - et la réaction violente contre lui - rappellent ce qui s'est passé dans les années 90 quand AOL est devenu prédominant et que les utilisateurs experts ne le considéraient comme rien d'autre qu'un BBS (Bulletin board system) amélioré. Cette fois encore, il s'agirait de montrer que Twitter est insignifiant. Autre interprétation encore, celle de Roger Thompson, directeur de la recherche chez AVG Technologies, éditeur de logiciels de sécurité, qui estime que ces attaques auraient un rôle éducatif : il s'agirait de montrer le danger des botnets (réseaux de PC sous contrôle d'un pirate) et la fragilité des sites du Web 2.0. Twitter, le plus affecté, doit absolument renforcer son infrastructure Quelle que soit l'explication de ce qui s'est passé hier, tous les observateurs du monde de la sécurité s'accordent à dire que Twitter, le plus touché, doit renforcer son infrastructure s'il souhaite continuer à croître sans subir de nouvelles attaques (il compte déjà près de 30 millions d'utilisateurs uniques). Pour Richard Stiennon, 10 M$ devraient suffire à doubler la capacité transactionnelle du site, avant d'ajouter qu'à la place de Twitter, il quadruplerait directement cette capacité. Pour Barrett Lyon, l'ancien CTO (directeur technique) et co-fondateur de BitGravity, spécialiste des attaques en déni de service, « Twitter a besoin de son propre réseau autonome, de plusieurs sources différentes de bande passante et de plusieurs couches de sécurité ». Il rappelle que Twitter s'appuie sur un seul fournisseur pour se connecter au backbone Internet et qu'il s'agit de NTT Communications, à Tokyo. « J'imagine qu'au niveau de la répartition de charge dans leur ferme de serveurs, rien n'avait été configuré pour faire face à ce type d'attaque, continue-t-il, sans quoi cela ne se serait même pas vu. » L'expert rappelle que Facebook, qui a une infrastructure bien plus robuste, n'a quasiment pas subi de dommages. Et pour Roger Thompson, Twitter doit se dépêcher de s'améliorer, car de nouvelles attaques pourraient bien le cibler dès la rentrée de septembre. (...)

(05/08/2009 16:07:56)

Face à l'incompréhension du marché, Yahoo précise son accord avec Microsoft

Afin, entre autre, d'éclairer la lanterne des analystes du marché, Yahoo a dévoilé hier dans un document déposé à la SEC (Securities and change commission, le gendarme de la Bourse américaine) quelques informations complémentaires concernant l'accord qu'il a signé la semaine dernière avec Microsoft sur la recherche en ligne. Durant 10 ans, d'une part, Microsoft sera le fournisseur exclusif de technologie de Yahoo pour le moteur de recherche et la publicité en ligne ; d'autre part, Yahoo deviendra la force de vente mondiale exclusive pour Microsoft et lui-même en ce qui concerne les annonceurs 'premium' en ligne. Durant les cinq premières années, Yahoo recevra 88% des revenus de vente de publicité générées sur ses sites par Microsoft. Après cette période, le géant pourra revenir sur l'exclusivité donnée à Yahoo sur les annonceurs premium. Dans ce cas, sa rémunération passera à 93%, sauf si il souhaite absolument conserver cette exclusivité, auquel cas sa part des ventes tombera à 83%. Si Microsoft décide de conserver l'exclusivité de Yahoo, le pourcentage de revenu de ce dernier sera de 90%. Microsoft versera aussi 50 M$ par an sur trois ans à son partenaire afin de couvrir d'éventuels frais de transition et d'implémentation (le site de recherche de Yahoo passera désormais par le moteur Bing de Microsoft). L'éditeur de Redmond devrait par ailleurs embaucher 400 employés de son partenaire. Carol Bartz, PDG de Yahoo avait de son côté annoncé des suppressions d'emploi consécutives à l'accord, sans donner davantage de détails. L'entreprise a déjà procédé à un plan de 700 suppressions au printemps 2009 et s'était séparé de 2400 employés en 2008. Ses effectifs représentent aujourd'hui un peu moins de 13 000 personnes. L'accord devrait être définitivement signé entre les deux parties le 27 octobre prochain et sa concrétisation devrait intervenir dans deux ans. (...)

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