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(03/08/2009 15:40:06)
Avec Checkout gadget, l'e-commerce est à la portée de tous
L'e-commerce facile pour tous les internautes. C'est ce que promet Google en dévoilant Checkout gadget, un outil de création de boutique en ligne simplifié au maximum, permettant de monter son site marchant en quelques minutes. Pour ce faire, le mastodonte de la recherche en ligne associe son service de paiement - Checkout - et son tableur - Spreadsheet, une brique des Google Apps. Pour créer une boutique, il faut commencer par ouvrir un compte de vendeur sur Google Checkout. L'étape suivante consiste à remplir une feuille de calcul Spreadsheet en y renseignant les produits qui seront mis en vente et en précisant prix, quantités, frais d'expédition, URL de la photo d'illustration et description de l'objet. La suite est aussi simple. Après avoir enregistré la feuille de calcul sur les serveurs de Google via l'interface de Google Apps, Checkout prend l'utilisateur par la main afin de publier sa boutique. Il est possible d'opter pour une mise en ligne sur un blog confectionné avec Blogger, sur iGoogle, sur une page créée avec Google Sites ou sur un site Web traditionnel. Dans tous les cas, il suffit de remplir et cocher des cases pour parvenir à ses fins, tout étant extrêmement clair et simplifié. Il ne sera certes pas possible de bâtir le concurrent d'Amazon ni de faire trembler Cdiscount, mais tout le monde pourra créer son pas de porte sur Internet. Le service est, pour l'heure, estampillé de la mention 'Labs', ce qui signifie qu'il est encore à l'état de prototype et est susceptible de subir d'importantes modifications, d'être temporairement inaccessible, voire de disparaître définitivement. Il est donc prudent de ne pas se jeter sur Checkout gadget afin de créer une boutique et d'y mettre en vente des myriades de produits. D'autant que le statut 'Labs' s'accorde mal avec la gestion de données hautement sensibles inhérentes au e-commerce, comme les coordonnées personnelles des clients. (...)
(29/07/2009 11:49:57)Microsoft et Yahoo trouvent enfin un accord sur la recherche en ligne
Après des mois de palabres, Yahoo et Microsoft sont enfin sur le point de dévoiler le contenu de l'accord qu'ils sont parvenus à conclure. Selon le Wall Street Journal, Yahoo devrait profiter de ce partenariat pour accroître son emprise sur le marché de la publicité en ligne en profitant de l'intégration de l'outil de recherche de Microsoft. Loin d'avaler Yahoo comme il l'avait envisagé dans un premier temps, allant jusqu'à proposer plus de 40 Md$ en début d'année, Microsoft se contentera d'intégrer Bing, son moteur de recherche, sur les pages du portail concurrent. Yahoo, de son côté, continuera à percevoir les revenus des ventes de publicités contextuelles placées à proximité des résultats de recherche, qu'il s'agisse de ceux issus du moteur de Microsoft ou du sien. Les revenus publicitaires seront selon toute vraisemblance partagés entre les deux acteurs, et Microsoft ne devrait pas avoir à verser une prime à son partenaire pour initier cette collaboration. Pour les utilisateurs, cet accord ne devrait finalement pas changer radicalement leur usage de la recherche en ligne. Au mieux, ils profiteront de résultats plus précis grâce à l'indexation de davantage de pages. Les annonceurs, en revanche, pourraient trouver l'initiative intéressante en ce qu'elle pave la voie à une alternative costaude à Google en termes de fréquentation. Il reste aux deux nouveaux amis à convaincre les autorités de régulation que leur accord ne faussera pas le jeu de la saine concurrence. Ils insisteront pour cela sur le service qu'ils rendront aux internautes en se posant comme un rempart à l'hégémonique Google. (...)
(27/07/2009 16:17:17)La Cnil émet des réserves sur le projet de loi Loppsi II
Le projet de loi Loppsi II n'inquiète pas seulement les tenants des libertés individuelles, il pousse également la Cnil à faire part de ses réserves. La loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure devrait être débattue au Parlement à la fin de l'automne et prévoit de compléter le code pénal afin de mieux encadrer la lutte contre la criminalité. Parmi les mesures envisagées pour endiguer la diffusion des contenus pédopornographiques sur le Web et, plus généralement, la cybercriminalité, Loppsi II mise sur le recours à des logiciels espions. Il s'agit, de fait, de mouchards « ayant pour objet, sans le consentement des intéressés, d'accéder à des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent pour l'utilisateur d'un système de traitement automatisé de données ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractères ». Traduite par la Cnil, cette mesure instaure un dispositif visant « à capter en continu des données informatiques utilisées ou saisies sur un ordinateur, que ces données soient ou non destinées à être émises, et qu'elles empruntent ou non un réseau de communications électroniques ». L'autorité administrative indépendante s'inquiète du caractère dérogatoire à la loi de 1978 sur le traitement des données qui entoure ce projet de logiciels espions, évoque une « importante exception », et rappelle qu'en Allemagne leur utilisation n'est autorisée que dans des cas strictement définis et exceptionnels. Des mouchards des PC personnels jusqu'aux cybercafés Le projet examiné par la Cnil semble être d'application plus large et permet aux forces de l'ordre de, notamment, « collecter des données transitant sur des systèmes utilisés par des personnes protégées par le législateur en raison de secrets particuliers liés à l'exercice de leur profession ». La Commission informatique et libertés exhorte donc le gouvernement à revoir sa copie « de façon à ce que les objectifs poursuivis par le dispositif soient mieux définis ». En d'autres termes, qu'il ne soit pas permis de faire n'importe quoi (surveiller les communications des médecins, avocats, journalistes, etc.) sous couvert de lutte contre la criminalité. De même, la Cnil fait part de sa plus grande réserve à propos de la disposition du projet Loppsi permettant, selon l'autorité indépendante, « l'enregistrement pendant une durée d'au plus huit mois de tous les caractères saisis au clavier et de toutes les images affichées sur l'écran de tous les ordinateurs d'un point d'accès public à Internet, et ce à l'insu des utilisateurs ». Cette mesure autoriserait les services de police et de gendarmerie à fliquer les machines installées dans les cybercafés et tous les ordinateurs offrant un accès public au Web. Si ce mécanisme d'investigation a pu prouver son efficacité - l'arrestation de Youssouf Fofana en est un récent exemple - sa mise en place doit rester exceptionnelle tant les abus susceptibles d'en découler sont graves. Cela conduit la Cnil à souligner la nécessité « d'une vigilance particulière, afin de garantir la proportionnalité de la mesure de surveillance aux objectifs poursuivis ». A demi-mot, la Commission rappelle que le risque de censure par le Conseil constitutionnel est proche. (...)
(24/07/2009 13:51:59)Le CA annuel de Microsoft chute pour la première fois en 23 ans
Microsoft a publié hier des résultats annuels fortement ébranlés par la crise économique ainsi que par la chute des ventes de PC (-5% pour le deuxième trimestre selon Gartner) et de serveurs. Le chiffre d'affaires s'établit à 58,44 Md$, en recul de 3% par rapport à 2008, une année où l'éditeur est parvenu à faire croître son CA de 18% (60,42 Md$). Le bénéfice net perd 18 points, pour atteindre 14,57 Md$. Pour le quatrième trimestre, le ralentissement est encore plus brutal : le CA perd 17%, à 13,10 Md$ alors que les analystes tablaient sur 14,37 Md$ et le bénéfice net dégringole de 29% (3,05 Md$). Microsoft explique cette contre-performance par un ensemble de facteurs, en plus de la conjoncture économique ambiante. L'éditeur bataille notamment pour se faire une place sur Internet (lancement de Bing, le moteur de recherche qui veut concurrencer Google, disponibilité en ligne de la suite bureautique Office...). Ses efforts lui ont coûté la bagatelle de 2,2 Md$ sur l'ensemble de l'année. Microsoft a également dû préparer la sortie de Windows 7 (prévue le 22 octobre prochain), faire face à des frais juridiques (193 M$), à des dépréciations d'investissements (108 M$) et à des charge liées aux plans de licenciements (40 M$). En septembre 2008, l'éditeur a pourtant conclu un premier trimestre dans le vert , mais il se déclarait « prudent pour la suite » tout en annonçant un plan de réduction des coûts. Las, cela n'aura pas suffit. Pour la première fois en 23 ans d'existence l'éditeur a publié avril dernier un CA trimestriel dans le rouge, suivi d'un dernier trimestre guère plus reluisant. (...)
(23/07/2009 17:04:11)Xoopit tombe dans l'escarcelle de Yahoo
Yahoo vient de racheter Xoopit, une startup californienne qui développe des outils de gestion de photo et de contenu pour les webmails, et permet également de les publier sur des réseaux communautaires. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé, mais le Wall Street Journal parle de 20 M$. Lors de la publication, hier, des résultats trimestriels - plutôt décevants - du portail, Carol Bartz, PDG du groupe, a indiqué que le groupe souhaitait développer davantage de services pour ses utilisateurs. Et de présenter dans la foulée une nouvelle version du portail, personnalisable par les internautes. Yahoo en remet une couche aujourd'hui en mettant la main sur une jeune pousse qui a conçu des applications pour Gmail, le service de messagerie de Google, grand rival de Yahoo. Sur leur blog, les fondateurs de Xoopit ont indiqué que le service resterait actif pour les utilisateurs de Gmail, du moins pour le moment. (...)
(23/07/2009 14:16:42)Amazon diversifie ses activités en rachetant Zappos pour 847 M$
Historiquement spécialisé dans la vente de livres, de DVD, de jeux vidéo et de produits électroniques, Amazon cherche à diversifier ses activités. Le cybermarchand a annoncé hier le rachat de l'Américain Zappos.com, pour un montant de 847 M$. Créé il y a dix ans, cette société du Nevadas emploie près de 1 300 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires d'un milliards de dollars en 2008. Elle vend par Internet des vêtements et des chaussures. Amazon a déjà essayé d'aborder le secteur du prêt-à-porter, mais sans le succès escompté. Les directions des deux groupes ont indiqué qu'aucun licenciement n'était prévu dans le cadre de cette acquisition. Amazon a réalisé chiffre d'affaire de 19,17 Md$ en 2008, en hausse de 29%. (...)
(22/07/2009 16:08:28)Les actionnaires de Vignette approuvent le rachat par Open Text
Les actionnaires de Vignette ont voté hier en faveur de l'acquisition de la société par Open Text pour un montant de 321 M$. L'acheteur canadien, spécialiste de solutions de gestion de contenu (ECM), continuera à soutenir les logiciels conçus par l'éditeur américain, y compris les anciennes versions de Vignette Content Management, mais n'a pas stipulé s'il souhaitait développer de nouvelles gammes sous ce nom. Même interrogation en ce qui concerne les « produits combinés » qu'Open Text proposera désormais à ses clients. Le groupe n'a pas précisé comment il intégrerait les logiciels Vignette dans sa propre offre, se contentant d'expliquer qu'il offrira de nouvelles fonctionnalités e-business orientées Web, pour « répondre aux nouvelles exigences sociales et aux médias numériques », a explique John Shackleton, PDG d'Open Text. Suite au rachat de Vignette, Open Text prévoit une restructuration du groupe. Les modalités de réorganisation ainsi que d'éventuelles conséquences sur les effectifs seront dévoilées le 27 juillet prochain. (...)
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