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(01/12/2011 14:28:14)

L'Afnic observe le .fr sur toutes les coutures

L'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic) a publié la 5ème édition de l'Observatoire des noms de domaines en France. Parmi les grandes tendances, l'organisme constate que l'extension .fr a progressé de 17% avec 2,15 millions de domaines en novembre 2011. Cela place la France en 16ème position dans le classement mondial. Le .com demeure toujours en tête avec 95 millions de noms. L'Afnic constate une chute du .cn (Chine), qui passe de 13 millions à 3,4. Cela est lié aux conditions plus restrictives (uniquement les entreprises, formalités administratives plus longues) pour obtenir cette extension.

Sur la répartition du .fr, le ratio entre les entreprises et les particuliers tend à se stabiliser à 60/40 des dépôts de noms de domaine en .fr. L'Afnic explique ce rattrapage, notamment par des phénomènes comme les particuliers, avec le statut d'auto-entrepreneur, qui déposent des noms de domaine . Avec l'appui de Telecom SudParis, qui a co-réalisé cet observatoire, l'association a montré une forte corrélation entre la création des noms de domaines en.fr et la création d'entreprise en France. C'est la preuve que le réflexe de déposer son nom de domaine pour les entreprises est acquis.

Sur le plan financier, l'étude montre que le tarif médian du .fr s'établit à 12 euros HT/an. Sur le marché secondaire, qui est celui de la revente des noms de domaines. Le domaine qui a rapporté le plus au 1er semestre 2011 a été tada.fr, acquis pour 20 000 euros. On est loin du « social.com » qui s'est échangé à 2,6 millions de dollars. L'Afnic constate que les prix extrêmes ont chuté, mais la valorisation du .fr est en forte hausse. Le prix médian pour l'extension hexagonale s'élève à 1 445 dollars (1000 euros) contre 700 dollars pour le .com, le prix moyen lui s'élève à près de 2000 euros.

IPv6 et perspectives d'ouverture du marché

La compatibilité avec le protocole IPv6 progresse pour les noms de domaines.fr. Ils sont 40% à être standardisés, mais seulement 8% sur les serveurs de messagerie et 2% sur les serveurs web. Cette croissance s'explique par la prise en compte d'IPv6 par des acteurs comme OVH ou Gandi, mais aussi par l'opérateur Free qui réalise de la traduction d'adressage IPv4 vers IPv6 (comptabilisé comme IPv6 par l'Afnic). En sachant que le pool d'adresses disponibles en IPv4 pour l'Europe devrait s'épuiser en juin 2012. Il restait en septembre 2011 un peu plus de 66,6 millions d'adresses disponibles.

Sur les perspectives, l'Afnic pointe deux évènements qui vont impacter le marché des noms de domaines. Le 6 décembre prochain, le.fr et les extensions d'outre-mer vont s'ouvrir à l'Europe. L'association s'interroge sur la possibilité d'enregistrer des noms de domaine en caractères internationalisés (arabe, russe, etc.) sous le.fr. Le second évènement est la création d'autres extensions gTLD lancée par l'ICANN. Plusieurs centaines d'extensions représentant les villes, les régions, les marques ou les entreprises vont voir le jour.

(...)

(30/11/2011 14:49:06)

Désormais sous surveillance, Facebook a reconnu ses tromperies

Facebook a accepté de prendre en compte les accusations de la Federal Trade Commission, qui estime que le réseau social a trompé les utilisateurs « à de nombreuses reprises, » affirmant d'un côté que les informations privées de leurs utilisateurs étaient protégées, alors que, d'un autre, le réseau les a partagé plusieurs fois, comme l'a déclaré la FTC. L'institution américaine a relevé que dans un « certain nombre de situations, » Facebook avait fait, en matière de protection de la vie privée des utilisateurs, des promesses « qu'elle n'avait pas tenu, » a ajouté la FTC dans son communiqué.

Dans sa plainte en huit points, rendue publique mardi, la Commission accuse aussi le site de pratiques commerciales déloyales et trompeuses. « Facebook doit tenir les promesses qu'elle a faites à des centaines de millions d'utilisateurs, en matière de confidentialité des données, » a déclaré Jon Leibowitz, président de la FTC. « Son innovation n'a pas à se faire au détriment de la vie privée de l'utilisateur. La FTC va faire en sorte que cela ne soit pas le cas. »

Une surveillance similaire à Google


En vertu de l'accord proposé, Facebook ne doit plus faire de nouvelles annonces trompeuses en matière de confidentialité, et l'entreprise a obligation d'obtenir l'approbation des utilisateurs avant de modifier la manière dont le réseau partage leurs données. Le règlement proposé par la FTC exige également qu'elle se soumette à l'évaluation régulière de ses pratiques en matière de protection de la vie privée, par des experts indépendants, pendant les 20 prochaines années. « L'accord ne comporte pas de sanctions financières, parce que la Commission n'a pas le pouvoir d'infliger des amendes pour violation du FTC Act, » a précisé son président.

« Cependant, dans le cas où Facebook ne respecterait pas ces nouveaux engagements, le réseau social pourrait être soumis à une amende de 16 000 dollars par jour, » a-t-il ajouté. « L'accord exige que le site de réseau social mette en place un système de protection global, » a aussi expliqué Jon Leibowitz. L'accord proposé est semblable à celui conclu entre la FTC et Google au mois de mars dernier au moment du déploiement du réseau social Buzz.

Un mea culpa de Mark Zuckerberg sur quelques erreurs


Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, a reconnu que son entreprise avait commis « plusieurs erreurs » en matière de protection de la vie privée des utilisateurs. « En particulier, un petit nombre de grosses erreurs, comme Beacon, il y a quatre ans, et les dysfonctionnements survenus lorsque nous avons changé nos modalités de protection de la vie privée il y a deux ans. Celles-ci ont occulté les nombreux efforts que nous avons réalisé en ce domaine, » a-t-il écrit dans un blog. Beacon avait été conçu pour informer les amis d'un utilisateur sur les sites affiliés qu'il avait lui-même visités.

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Dans l'ensemble, Mark Zuckerberg estime que sa société « peut faire valoir un certain nombre de choses positives en matière de transparence et de contrôle et dire qui peut ou non voir les informations des utilisateurs. » Par ailleurs, le patron du réseau social pense que sa société a déjà pris en compte un bon nombre des préoccupations soulevées par le régulateur américain. » Selon lui, « la plainte de la FTC visait notamment le Verified Apps Program, auquel a mis fin le réseau social en décembre 2009. Il y a aussi l'affaire des annonceurs, qui ont reçu par inadvertance le numéro d'identification de certains utilisateurs dans des URL, un problème que Facebook a résolu en mai 2010, » a t-il déclaré. Par ailleurs, le fondateur a annoncé la nomination de deux dirigeants, un responsable de la politique de protection des données privées et un responsable de la politique de protection des produits.

La FTC est revenue dans le détail sur plusieurs cas où elle estimait que le site de réseau social avait adopté des pratiques de confidentialité déloyales à l'égard des utilisateurs. En décembre 2009, lors de la modification de son site, elle avait rendu publiques certaines informations, pourtant estampillées comme privées par les utilisateurs, la liste d'amis notamment. « Le réseau social n'avait pas prévenu les utilisateurs de ce changement à venir, et n'avait pas non plus demandé leur approbation, » comme l'a rappelé la FTC.

Facebook avait également affirmé que les applications tierces installées par les utilisateurs auraient uniquement accès aux informations de l'utilisateur dont elles avaient besoin pour fonctionner. « En fait, les applications pouvaient accéder à la quasi-totalité des données personnelles des utilisateurs, y compris des données dont les applications n'avaient pas besoin pour fonctionner, » a encore expliqué l'agence américaine. Facebook avait aussi indiqué à ses utilisateurs qu'ils pourraient restreindre le partage des données à un public limité, par exemple « les amis seulement. » Mais, le fait de sélectionner les « amis seulement » n'a pas empêché que ces informations soient partagées avec des applications tierces utilisées par leurs amis, » a encore ajouté la FTC.

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(29/11/2011 16:17:07)

Pour rafraîchir ses résultats, Google a revu son algorithme avec Caffeine

« Les résultats de recherche sont meilleurs quand ils sont frais », admettait Google au début du mois sur l'un de ses blogs officiels, insidesearch.blogspot.com, avant d'expliquer qu'il avait modifié l'algorithme de classement des résultats de son moteur de recherche s'appuyant sur Caffeine, son système d'indexation du web.

Même si ce n'est pas spécifié dans leur requête, les internautes s'attendent à obtenir des résultats pertinents se rapportant à des informations récentes. Une recherche sur le mot-clé « Olympics » porte plus probablement sur les prochains JO d'été de Londres plutôt que sur ceux de l'année 1900, indiquait sur le blog Amit Singhal, collaborateur de Google, avant d'expliquer que l'algorithme désormais à l'oeuvre dans Google Search avait été conçu pour donner les résultats les plus à jour. « Ainsi, si je tape simplement 'Olympics', sans spécifier 2012, je trouverai néanmoins ce que je cherche ».

Au rythme auquel les données s'échangent actuellement entre les internautes, l'information la plus récemment publiée, sur un sujet donné, peut dater de la semaine précédente, de la veille ou de la minute écoulée. Sur ce terrain, Google se mesure à des concurrents comme Facebook ou Twitter, en perpétuel mouvement. Suivant les termes de la requête faite sur Google Search, l'algorithme doit donc pouvoir déterminer la fraîcheur d'un résultat, selon la nature du sujet recherché.

Un peu plus d'un tiers des recherches impactées

A l'été 2010, Google avait annoncé la mise en service de Caffeine, un système d'indexation qui permet de parcourir et d'indexer le web pour récupérer du contenu rapidement à très grande échelle. C'est donc l'algorithme de classement des résultats s'appuyant sur Caffeine qui vient de bénéficier d'une amélioration significative. Cette dernière impacte plus d'un tiers des recherches, selon Google, et l'aide à déterminer les situations dans lesquelles les résultats les plus récents sont les plus pertinents.

Pour les sujets les plus discutés du moment sur la toile ou les événements les plus récemment mis à jour, les internautes veulent la toute dernière information et le moteur de Google leur propose davantage de résultats récents. Pour les événements récurrents, comme les conférences annuelles, le moteur retourne les renseignements sur la date la plus proche, sans qu'il soit nécessaire de la mentionner. Ces améliorations concernent aussi les domaines susceptibles d'être fréquemment mis à jour : une recherche sur des produits, par exemple, retournera les données les plus fraîches.

En revanche, certaines données plus anciennes peuvent avoir davantage d'intérêt. Une vieille recette de cuisine, par exemple. En améliorant son algorithme, Google a cherché à mieux comprendre comment faire la distinction entre les différentes catégories de recherche et le niveau de fraîcheur qu'elles impliquaient.

Les professionnels du web s'adaptent

Les acteurs du web et du e-commerce ont commencé à prendre en compte ces modifications. En France, l'agence de marketing web Awe, par exemple, met en avant plusieurs axes à exploiter pour les sites de e-commerce. Selon Alexandre Garnier, fondateur de la société, il faut notamment « créer des contenus 'chauds' actualisés, inédits et optimisés sur les mots-clés stratégiques », « proposer des fiches produit uniques avec des descriptifs spécifiques », « socialiser son site avec le bouton +1 de Google et le Like de Facebook » ou, encore, « obtenir le plus grand nombre de liens vers son site ».

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(29/11/2011 16:22:45)

Yaci : un moteur de recherche Open Source et en mode P2P

La Free Software Foundation Europe (FSFE) a publié  la version 1.0 de son moteur de recherche YaCy qui adopte une approche différente de la recherche. Plutôt que d'utiliser un serveur central, les résultats proviennent d'un réseau de « pairs » indépendant qui sont les utilisateurs qui ont téléchargé le logiciel YaCy. L'objectif est qu'aucune structure ne décide quel sera le positionnement des résultats qui apparaissent. « La plupart de ce que nous faisons sur Internet implique la recherche. Il est le lien vital entre nous et les informations. Pour une fonction aussi essentielle, nous ne pouvons pas compter sur quelques grandes entreprises qui risque de compromettre notre vie privée avec leur processus», a déclaré Michael Christen, chef du projet YaCy. Ce réseau compte actuellement environ 600 « pairs », mais les membres à l'origine de l'idée s'attendent à ce que ce nombre augmente. Ils se réfèrent à d'autres projets de logiciels libres qui visent à remplacer des services centralisés. Par exemple, identi.ca (status.net) offre une alternative à Twitter ou diaspora (joindiaspora.com) à Facebook.

Le projet est soutenu par la Free Software Foundation Europe (FSFE), qui s'inquiète du contrôle et du pouvoir des moteurs de recherche dominants sur les informations trouvées par les internautes. « Ces entreprises peuvent ainsi connaître vos centres d'intérêt et les utiliser », explique Karsten Gerloff, président de la FSFE et d'ajouter « la publicité ciblée est seulement l'utilisation la plus bénigne de ces données». Pour éviter ces risques, le dirigeant propose de « s'éloigner de l'idée que ce type de services doit être centralisé. Il est important d'être indépendant et de créer une infrastructure qui ne dispose pas d'un seul point ».

Un modèle distribué et en P2P

Sur le plan technique, YaCy est un moteur de recherche complet composé d'une interface utilisateur pour la recherche et d'une autre pour l'administration, la configuration et le monitoring. Le "crawler" (l'outil d'analyse) de YaCy récupère les données à partir du web, les analyse et les stocke sous forme de texte dans un index local. Lorsqu'une requête est lancée sur le moteur, la recherche se fait non-seulement sur l'index local, mais aussi sur ceux des autres « pairs » du réseau YaCy. Les pairs s'échangent en permanence des fragments d'index via une table de hachage distribuée en mode P2P.

Tout le monde peut essayer le moteur de recherche en allant sur ce site.  Les utilisateurs peuvent faire partie du réseau YaCy en installant le logiciel sur leurs propres ordinateurs. Comme il s'agit d'un logiciel libre, n'importe qui peut l'utiliser, l'étudier, le partager et l'améliorer. Il est actuellement disponible pour Linux, Windows et MacOS. Le projet cherche également des développeurs et autres contributeurs.

Il y a une semaine, un mathématicien italien a présenté un projet volunia.com qui souhaite concurrencer Google sur le moteur de recherche.

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(29/11/2011 14:34:08)

Facebook introduit en bourse au printemps 2012 ?

Difficile en temps de crise de savoir quand s'introduire en bourse. Facebook a semble-t-il toujours des velléités de vouloir aller dans cette voie-là. Selon le Wall Street Journal, le site de réseau social a sollicité plusieurs avis concernant une possible IPO. La réponse des experts serait entre le mois d'avril et juin 2012. La société de Mark Zuckerberg pourrait lever près de 10 milliards de dollars et ainsi être valorisée à hauteur de 100 milliards de dollars. Facebook et ses 800 millions d'abonnés pourraient alors rejoindre des sites comme Linkedin ou Groupon  qui ont été introduits cette année. Ces derniers ont vu leur cours de bourse baisser avec la crise et les inquiétudes des investisseurs.

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(29/11/2011 12:15:17)

Hadopi va s'attaquer au téléchargement direct et au streaming

Si la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur l'Internet avait depuis le mois de juillet dans ses labs un volet sur le streaming, le Président de la République a un peu accéléré le mouvement en évoquant une loi Hadopi 3 qui serait étendue au streaming. L'autorité s'est donc saisie du dossier streaming étendu au téléchargement direct de contenus illicites. Marie-Françoise Marais, présidente de l'Hadopi, a demandé à Mme Mireille Imbert-Quaretta, présidente de la Commission de protection des droits, de prendre en charge une mission de 3 mois. Elle se penchera sur 3 sujets : une évaluation des phénomènes, un dialogue avec les plateformes et les sites concernés ainsi que tous les intermédiaires « établissements bancaires, intermédiaires de paiement ou de micro-paiement et régies publicitaires, évaluation des limites des outils juridiques existants et proposition d'adaptation de toute nature y compris législative ». Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, devrait proposer au 1er trimestre 2012, son plan de bataille pour lutter contre le streaming.

Quelles méthodes choisir ?


Dans l'arsenal pour lutter contre les sites de streaming ou de téléchargement direct de contenus illicites, il existe plusieurs options. La première est la fermeture des sites incriminés. Cela peut se faire via une décision de justice, mais cette solution prend du temps et de l'argent. Autre moyen envisagé s'en prendre à l'argent collecté par ces sites, comme cela a été le cas avec Wikileaks. Le problème de cette méthode est la probable non-coopération des établissements bancaires ou de micro-paiement sans avoir une décision de justice préalable. On retombe alors dans l'impasse de la fermeture des sites. Il reste donc deux autres solutions techniques, la censure des sites via une liste noire des sites et le filtrage des internautes sur leurs usages. Dans ce dernier cas, c'est l'utilisation de la technologie dite de DPI (Deep Packet Inspection) qui permet de scanner les flux des internautes et ainsi de vérifier quels sites ils consultent. Cette technique se heurte à trois écueils : le premier sur le respect de la vie privée et la liberté d'expression sur le Net. Le second est financier, qui va payer pour installer cette technologie, les FAI craignent déjà qu'on leur demande d'assumer cette intégration. Enfin dernier obstacle, la récente jurisprudence de la Cour de Justice de l'Union européenne interdit l'imposition d'un outil de filtrage généralisé à l'ensemble des internautes d'un FAI. La Hadopi avait fait savoir qu'elle n'était pas favorable au filtrage, mais plutôt à la riposte graduée.

Pour terminer sur cet arsenal, il reste la censure des sites incriminés en les blacklistants. L'arrêt de la juridiction communautaire cité précédemment précise que les sites utilisant des protocoles de type P2P peuvent avoir des contenus légaux et donc ne pas tomber sous le coup du filtrage. Par ailleurs, le bloggeur Korben, rappelle que le développement des sites miroirs ou la création de nouveaux sites pourrait contourner cette censure. Par ailleurs, les sites de streaming s'adapteront en proposant des accès via une connexion sécurisée VPN ou en HTTPS.  

Frédéric Mitterrand a déclaré lors d'une interview sur Canal+,« c'est une question qui est effectivement assez compliquée à résoudre, mais heureusement nous disposons d'un outil qui est assez formidable, Hadopi, qui va faire l'expertise nécessaire pour savoir comment s'y prendre ». Certains observateurs estiment qu'en pleine période présidentielle des mesures législatives seront difficiles à mettre en place. A suivre...

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(29/11/2011 09:15:11)

La page Facebook du labo pharmaceutique Merck KGaA détournée

Le groupe allemand Merck KGaA indique avoir découvert en octobre que le contenu de sa page avait été détourné, et affichait du contenu appartenant à l'entreprise Merck & Co, ce en dépit d'un accord conclu en 2010 entre Merck KGaA et Facebook qui lui donnait des droits exclusifs sur l'adresse www.facebook.com/merck.  « Nous voulons comprendre pourquoi notre page ne nous appartient plus », a déclaré un porte-parole de Merck KGaA.

L'entreprise allemande envisagerait de lancer une action en justice auprès de la Cour suprême de l'Etat de New York. Selon les documents fournis dans le cadre de cette procédure, s'il n'est pas contestable que la page Facebook de Merck a été détournée, la manière dont ce détournement a été effectué n'est pas connue à ce jour. Selon Merck KGaA, Facebook se serait jusqu'à présent refusée à fournir des informations sur le déroulement des événements.

Flou juridique

Cette affaire démontre l'importance du réseau social américain comme outil de marketing, dont se servent désormais toutes les grandes entreprises. Or à ce jour, les règles concernant la propriété d'un nom de page Facebook sont loin d'être aussi clairement établies que la réglementation entourant les noms de domaine. En effet, la décision finale du transfert d'un nom de page qui aurait été usurpé ou détourné appartient uniquement à Facebook.

ICTjournal.ch

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