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(17/06/2009 12:02:09)

Salesforce.com propose un accès gratuit à sa plateforme de développement en ligne

L'éditeur de logiciels de CRM Salesforce.com espère attirer davantage de développeurs et d'éditeurs vers Force.com, sa plateforme de développement d'applications en ligne, en proposant un accès gratuit. Gratuit, certes, mais limité. Ainsi, Force.com Free Edition donne la possibilité de développer une seule application, à déployer sur un maximum de cent utilisateurs. L'offre inclut toutefois une formation en ligne, des exemples d'applications et un environnement de test. L'accès payant, lui, démarre à 50 dollars par utilisateur et par mois. Selon Salesforce.com, 110 000 applications personnalisées auraient déjà été développées sur la plateforme Force.com. L'un des arguments avancés par l'éditeur en faveur de son environnement est qu'il permettrait aux entreprises de concevoir des applications plus rapidement que les outils traditionnels. Il avance un récent rapport de Nucleus Research qui s'est penché sur 17 projets Force.com. En moyenne, les développeurs interrogés auraient pu créer les applications 4,9 plus vite que dans un environnement Java ou .Net, grâce, explique Nucleus, à la possibilité de configurer rapidement les interfaces utilisateurs, aux composants préconstruits et aux workflows personnalisables. Sans oublier que les applications Force.com sont déployées dans l'environnement de production de Salesforce.com, ce qui évite aux développeurs d'avoir à se préoccuper de choisir la base de données et le serveur d'application et leur permet de passer plus de temps sur le test de l'application. China Martens, analyste au cabinet d'études 451 Group, reconnaît que Salesforce.com aimerait effectivement bien être positionnée comme un choix possible face à Java et .Net. (...)

(16/06/2009 15:31:19)

Dell dope ses ventes grâce à Twitter

Si le service de micro-blogging Twitter peine à trouver un modèle économique viable, ce n'est pas le cas de certains de ses utilisateurs. Ainsi, Dell a réalisé plus de 3 millions de dollars de chiffre d'affaires en vendant ses produits reconditionnés sur Twitter@DellOutlet. Ce fil de discussion - dont les ventes sont réservées au canal américain - a été lancé en juin 2007 et rassemble désormais près de 600 000 suiveurs (cela en fait l'un des cinquante fils de discussion les plus populaires du réseau social). Dell utilise Twitter pour poster des annonces sur son matériel reconditionné, émettre des coupons de réductions, ou lancer des invitations à des ventes privées. Sur les 3 millions de chiffres d'affaires réalisés, 2 millions l'ont été directement via Twitter et 1 million provenait d'autres ventes sur le site général de Dell, où les visiteurs étaient entrés via un lien sur Twitter. Ce modèle économique est si profitable que Dell le décline désormais en versions pour particuliers (@DellHomeOffers) et pour les PME (@DellSmBizOffers), et en versions localisées pour l'Irlande, le Royaume-Uni, l'Australie, le Brésil, la Chine, le Japon ou la Corée. Si ces ventes restent marginales dans le chiffre d'affaires global de Dell, elles intéressent très fortement Twitter qui cherche encore et toujours un moyen de monétiser son audience. Stefanie Nelson, responsable de l'activité Twitter et porte-parole de Dell, a ainsi indiqué que le réseau social s'était rapproché d'elle pour avoir son retour d'expérience. En vue de la création d'outils spécifiques pour les forces de vente des entreprises ? (...)

(15/06/2009 17:36:19)

Les services de collaboration d'Acrobat.com passent du bêta au payant

Acrobat.com, site d'applications et de collaboration en ligne d'Adobe, quitte la phase bêta pour celle du payant. Du moins, aux Etats-Unis et pour la création de plus de cinq fichiers PDF par mois. L'accès à l'embryon de suite bureautique restant ouvert à tous et partout. Outre-Atlantique, Adobe facture 15 dollars la création de 6 à 10 fichiers PDF par mois (150 dollars par an). Pour ce prix, cinq utilisateurs peuvent accéder à Connect Now, outil de conférence en ligne présent sur le site. La création de PDF sans numerus clausus est facturée 39 dollars par mois (400 dollars par an) avec, en prime, le droit de convier dix-neuf participants à des sessions ConnectNow. Pour ce prix, les abonnés ont aussi droit à un support téléphonique. Rappelons qu'il existe aussi sur le marché des outils open source et gratuits, comme PDFCreator, permettent de générer des fichiers PDF à partir de la fonction impression de n'importe quel poste de travail. Tables, tableur collaboratif s'ajoute à Buzzword et Presentations Adobe, qui n'a rien à perdre et tout à gagner à continuer de proposer son projet de suite bureautique en ligne, annonce l'arrivée de Tables, un tableur rudimentaire, mais collaboratif, qui vient épauler le traitement de texte Buzzword et son outil "Presentations". Faute de pouvoir dire que ces logiciels se hissent au niveau des suites bureautiques traditionnelles, voire même de celles en ligne comme Google Docs, Adobe insiste sur leur potentiel dans le domaine collaboratif. L'éditeur d'Acrobat assure aussi que tous ces outils qui utilisent Flash seront disponibles d'ici la fin de l'année avec le même niveau de fonctionnalités sur AIR (Adobe Integrated Runtime), son interface client riche qui permet de travailler en mode déconnecté. Entre temps, Adobe promet que ces logiciels recevront des fonctions supplémentaires et sauront s'interfacer avec les téléphones mobiles, y compris l'iPhone, malgré le fait qu'Apple ne veut pas entendre parler de Flash dans son environnement. Abode revendique 5 millions d'inscrits à son site acrobat.com dont 2% utilisent régulièrement ses ressources gratuites. (...)

(15/06/2009 16:52:49)

Un week-end twitpocalyptique, ou le bug de l'an 2000 appliqué à Twitter

2 147 483 647. C'est le nombre de twitts qui terrorisait, jusqu'au week-end dernier, les inconditionnels de Twitter. Celui au-delà duquel le réseau de micro-blogging devait connaître une Twitpocalypse, c'est-à-dire un 'bug de l'an 2000' appliqué à ce service 2.0. De fait, il y eut des ratés. Mais, comme au 1er janvier 2000, bien moindres que ce que certains avaient prédit. Le moteur de Twitter n'a pas cessé de fonctionner quand le nombre de twitts a dépassé le nombre fatidique. En revanche, un certain nombre de clients pour Twitter, notamment pour iPhone et Mac, ont été inopérables pendant plusieurs heures. Ainsi, Twitteriffic, conçu pour le smartphone d'Apple, ne pouvait plus être utilisé, et Tweetie, développé pour Mac OS, proscrivait la rédaction de nouveaux messages. Ce dysfonctionnement tire son origine dans la façon dont sont archivés les twitts. Chaque message hérite d'un numéro d'identification unique. Et le nombre de 2 147 483 647, qui a été atteint vendredi, correspond au plus grand entier signé qu'un système 32 bit peut manipuler, soit (231)-1. Lorsque le total des twitts émis depuis l'entrée en service de Twitter a atteint cette limite, certains clients ont reçu des micro-messages identifiés par un nombre n'entrant pas dans la plage de ceux que leur code les autorisait à prendre en considération. Ce n'est donc pas Twitter qu'il convient de mettre en cause, mais les développeurs des clients tiers, qui ont conçu leurs applications sur une base de 32 bit et avec des entiers signés. S'ils avaient opté pour des entiers non signés - c'est-à-dire en excluant de fait les nombres négatifs - ils auraient permis à leurs outils d'accepter deux fois plus de twitts avant de planter. La démarche eut été frappée du sceau du bon sens étant donné qu'il était peu probable que le nombre de twitts soit négatif. Les clients déficients fonctionnent de nouveau, leurs développeurs ayant appliqué les corrections nécessaires. Celles-ci consistent à basculer soit vers un adressage construit sur la base d'entiers non signés, soit vers une identification en 64 bit. Dans ce dernier cas, et en considérant que les entiers sont non signés, Twitter pourra enregistrer quelque (264)-1 messages avant qu'une nouvelle Twitpocalypse survienne à nouveau. Soit 18 446 744 073 709 551 615 twitts. (...)

(15/06/2009 12:59:27)

Hadopi : la loi promulguée et en passe d'être complétée

Création et Internet est désormais une loi. Le Journal Officiel daté du 13 juin consacre ainsi la promulgation et la publication de la loi n°2009-669 favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet. Malgré tous les efforts déployés par les membres du gouvernement pour convaincre de l'utilité de ce texte, la version publiée au JO est loin de produire les effets escomptés au sortir de l'examen par le Parlement. Entre temps, le Conseil constitutionnel est en effet passé par là et a censuré les principales dispositions de la loi. Alors que la mouture initiale prévoyait la suspension de l'abonnement à son FAI de l'internaute dont la connexion aurait servi à télécharger des contenus illicites, les Sages ont retiré à l'Hadopi - une autorité administrative - tout pouvoir de sanction. Selon les gardiens de la norme suprême, seul le juge judiciaire est apte à prononcer ce type de sanction, qui vient contrarier une liberté individuelle. Il ne reste donc plus à l'Hadopi qu'un pouvoir d'admonestation. De quoi irriter les plus ardents défenseurs du texte originel, dont le patron des députés UMP, Jean-François Copé. Interrogé, hier, sur RTL, il s'étonne de la décision des Sages : « Je n'avais jamais lu nulle part que l'accès à Internet était un droit fondamental au point que le droit d'auteur, le droit de propriété intellectuelle, doive s'y plier ». Le Parlement européen a pourtant, à plusieurs reprises, adopté des amendements lors de son examen du Paquet télécom pour intégrer l'accès au Web dans le corpus des libertés fondamentales. Pour Henri Guaino, la décision du Conseil constitutionnel semble tellement peu légitime que le conseiller spécial du président de la République ne se prive pas pour la qualifier de « déroutante », voire la moquer : « Je trouve assez curieux que le droit d'accès à Internet soit plus fortement défendu que le droit d'accès à l'eau ou l'électricité », a-t-il indiqué, hier, sur Europe 1, arguant de ce qu'il est possible de couper l'eau et l'électricité « très facilement » mais pas l'accès au Web. La semaine dernière, plusieurs autres membres de la majorité étaient montés au créneau pour minimiser la portée - pourtant très importante - de la censure opérée par les Sages, dont Christine Albanel et Frédéric Lefebvre, selon lesquels la loi promulguée correspondait « à 90% » à celle adoptée par le Parlement. En dépit de cette soi-disant proximité entre les différentes versions de la loi, Jean-François Copé estime qu'il faut « absolument continuer le combat ; la protection des artistes et créateurs, c'est une chose majeure ; le téléchargement illégal, c'est la mort de notre création ». C'est dans cette optique que la loi dite Hadopi devrait être complétée prochainement. Le Parlement devrait ainsi avoir à se pencher, dès le mois de juillet, sur un volet complémentaire, prévoyant l'attribution au juge judiciaire de la partie répressive de la loi. Une mesure rendue certes obligatoire après la censure opérée par le Conseil constitutionnel, mais qui ne viendra au final que compléter un arsenal répressif déjà en place pour sanctionner les internautes en délicatesse avec le droit d'auteur. En imaginant Hadopi, le gouvernement avait rêvé un dispositif capable de sanctionner à la chaîne les contrevenants. Contraint de revoir sa copie, il accouche simplement d'une infraction supplémentaire - le défaut de sécurisation de la connexion - tout juste susceptible d'engorger davantage des tribunaux judiciaires déjà combles. (...)

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