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(14/04/2009 16:26:19)

Microsoft et Yahoo à nouveau en pourparlers

Microsoft et Yahoo ont à nouveau entamé des discussions à propos d'un partenariat autour de la recherche et de la publicité en ligne, rapporte le Wall Street Journal. Malgré le fiasco de la tentative de rachat de Yahoo par Microsoft, Steve Ballmer n'a jamais caché qu'un rapprochement entre les deux sociétés était quasiment inévitable, et ce pour le bien des deux parties. En février dernier il indiquait devant un parterre d'analystes de Wall Streetque les deux rivaux devraient enterrer la hache de guerre et s'associer pour créer un géant capable de donner le change au tout-puissant Google (65% des parts de marché de la recherche en ligne). Il en avait profité pour lancer une énième perche à la direction de Yahoo, remaniée en janvier dernier avec l'arrivée de Carol Bartz à sa tête. Le souhait de Steve Ballmer semble être exaucé puisque les deux dirigeants se sont rencontrés afin d'en discuter. Pas question pour autant de remettre sur le tapis l'éventualité d'une acquisition. Si elle est plus souple que son prédécesseur, Jerry Yang, qui a toujours obstinément refusé l'idée d'une simple alliance avec le géant de Redmond, Carol Bartz n'entend pas céder Yahoo dans son intégralité. L'accord porterait uniquement sur les activités de recherche des deux groupes. Microsoft travaille actuellement au développement de Kumo, son futur outil de recherche censé concurrencer Google. Mais le géant de Redmond, qui compte débourser 100 M$ pour la promotion de cet instrument, est conscient de son retard : il ne possède que 8% des parts de marché de la recherche. Il est donc contraint de s'adosser à un autre acteur, en l'occurrence Yahoo (21% du marché). Ces derniers mois, Microsoft a d'ailleurs recruté une dizaine de personnes...chez Yahoo (Qi Lu par exemple, qui a rejoint sa division Services en ligne en décembre 2008). (...)

(14/04/2009 16:21:00)

Hadopi : la majorité trime pour relancer le texte

Après le rejet du projet de loi Création et Internet par les députés, le 9 avril, la majorité présidentielle peine à relancer le texte. Les signes d'affolement abondent en effet sur l'aile droite de l'échiquier politique. Depuis les députés, coupables d'absentéisme lors du vote et dénonçant, pour mieux se dédouaner la fourberie des élus socialistes, jusqu'aux hautes sphères de l'exécutif. Le chef de l'Etat aurait ainsi admonesté Jean-François Copé, le président du groupe UMP à l'Assemblée, et Roger Karoutchi, le secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, pour l'amateurisme avec lequel il ont conduit ce dossier. Contrit, ce dernier n'a pas tardé à offrir sa démission à Nicolas Sarkozy, lui assurant dans les colonnes du monde qu'elle « lui était acquise ». Même son de cloche pour Christine Albanel, la ministre de la Culture et rédactrice du projet de loi, qui assure à nos confrères du Figaro : « je représenterai ce texte le 28 avril. Et si je ne devais pas le faire, évidemment je partirai. » Hadopi avant l'inceste Si la date du 28 avril semble acquise pour le réexamen de la loi qui passionne désormais la France entière, c'est sans compter sur le fait que l'ordre du jour de l'Assemblée nationale est déjà bouclé. Qu'à cela ne tienne, répond en substance Roger Karoutchi, « Jean-François Copé a proposé de renoncer au texte sur l'inceste qui était prévu dans la semaine d'initiative parlementaire. On pourrait donc y inscrire le texte Internet pour une nouvelle lecture. » Chacun appréciera la hiérarchie des priorités de l'UMP. Soucieux de désamorcer une éventuelle nouvelle polémique, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer se veut plus nuancé et, surtout, respectueux des règles de fonctionnement de la chambre basse. Le titulaire du perchoir indique ainsi qu'il a convoqué la Conférence des présidents, qui réunit les patrons des groupes parlementaires et des commissions, le 15 avril. L'objectif étant, selon Bernard Accoyer, de dissiper la « confusion [qui] règne sur l'organisation des travaux parlementaires dont la reprise est fixée au mardi 28 avril ». C'est cette Conférence, et non le seul Jean-François Copé, qui pourra modifier l'ordre du jour déjà établi et, si cela devait être le cas, il faudra encore que les députés valident le nouveau calendrier lors de leur rentré post-pascale. (...)

(14/04/2009 13:01:52)

Pour Pâques, Twitter a récolté des vers

Les réseaux sociaux ne sont plus à l'abri des attaques. Après Facebook affecté par le ver Koobface, c'est le site de microblogging Twitter qui a été victime d'une série d'attaques virales durant le week-end. Entre samedi matin et lundi, le réseau a subi l'assaut de quatre vers différents. Les deux premiers, lancés samedi, ont été créés « par ennui » par Michael Mooney, un New-Yorkais de 17 ans qui a lancé un site rival de Twitter, StalkDaily. Avouant sa faute sur des sites spécialisés, celui-ci affirme qu'il voulait démontrer les failles de Twitter et faire de la publicité pour son propre site. Depuis, deux nouveaux vers ont attaqué Twitter (l'un dimanche et le dernier lundi matin), sous couvert de nettoyer les comptes infectés par les deux premiers virus. À l'heure actuelle, l'équipe de Twitter assure avoir éliminé toute trace des vers en effaçant plus de 10 000 messages et en supprimant quelque 200 comptes. Le fondateur du phénomène de micro-blogging, Biz Stone, promet sur le blog de la société, « qu'aucun mot de passe, numéro de téléphone ou autre information sensible n'a été compromis lors de ces attaques ». Il a également annoncé que le site va réévaluer et renforcer sa politique de sécurité, tout en partageant les informations découvertes avec les autres réseaux sociaux. D'autre part, Biz Stone compte bien poursuivre les créateurs des vers incriminés. Les utilisateurs de comptes infectés sont invités à changer leur mot de passe Twitter et à effacer toutes les données postées durant le week-end. Et à choisir plus sérieusement à l'avenir leur fil de discussion. Si ces attaques n'étaient que des nuisances, d'autres exploitants des failles similaires pourraient être utilisées pour installer des spywares sur les ordinateurs des usagers. (...)

(10/04/2009 12:57:22)

Hadopi : la majorité veut relancer la loi dès le 28 avril

Après le camouflet infligé hier par les députés au projet de loi dit Création et Internet, la majorité présidentielle tente de relancer le texte tout en faisant bonne figure. Cela implique, pour commencer, de désigner les coupables de ce fiasco. Comme nous l'indiquait hier Jean Dionis du Séjour, député du Nouveau Centre qui s'est opposé au projet de loi, « pendant deux ou trois jours les gens vont trépigner et chercher des boucs-émissaires ». Les premiers fautifs désignés par la droite ont immédiatement été les députés de gauche, accusés d'avoir enfreint les bonnes pratiques parlementaires en se cachant dans les couloirs de l'Assemblée pour pénétrer au dernier moment dans l'hémicycle et s'assurer ainsi d'être plus nombreux que les élus de la majorité. Mais des responsables sont également recherchés à droite. En première ligne, puisque placé à la tête des députés UMP, Jean-François Copé a dû faire son mea culpa et reconnaître une part de culpabilité dans l'absentéisme des élus de son groupe. Interrogé ce matin sur Europe 1, le député a confié son « sentiment de regret de s'être fait avoir », tout en soulignant : « J'ai pour habitude d'assumer et pas de me cacher derrière mon petit doigt. » Une réunion sera rapidement organisée entre les membres du bureau du groupe UMP pour qu'une telle déconfiture ne se reproduise pas lorsque le texte sera représenté. Le réexamen devrait, selon Jean-François Copé, être programmé le 28 avril. Les députés procèderont donc à une nouvelle lecture du texte tel qu'il se présentait avant son passage devant la commission mixte paritaire, puis ce sera aux sénateurs d'en faire de même. Du côté de l'Elysée, la communication officielle sur le sujet est réduite à son minimum. Jean-François Copé assure n'avoir pas parlé au chef de l'Etat et seul un communiqué du Château donne le ton présidentiel : « Cette loi résulte d'un accord conclu entre les artistes, les producteurs et les entreprises de télécommunication. Nicolas Sarkozy n'entend pas y renoncer quelles que soient les manoeuvres dérisoires qui n'ont comme seul effet que de nuire à la diversité de la création. » Des propos qui satisferont certainement la Sacem, qui se dit « consternée » par le rejet du texte et réclame « des gestes clairs et des décisions rapides ». (...)

(09/04/2009 17:32:43)

Hadopi : coup de théâtre à l'Assemblée, les députés rejettent le texte de la CMP

Il ne devait s'agir que d'une formalité, une dernière étape formelle avant l'adoption définitive de la loi Création et Internet par le Parlement. Mais les députés en ont décidé autrement et ont joué un tour dont la majorité présidentielle se souviendra certainement longtemps. Les élus du Palais Bourbon ont en effet rejeté, à la mi-journée, le texte de compromis rédigé et approuvé mardi par la Commission mixte paritaire. Sur les 36 élus présents dans l'hémicycle, 21 se sont prononcés - à main levée - contre le projet de loi, chamboulant ainsi la volonté du gouvernement de mettre en place une riposte graduée pour sanctionner le téléchargement illégal. Si la droite a reçu un sérieux coup de massue - c'est, de mémoire de député, la première fois qu'un texte issu d'une CMP est retoqué - elle tient néanmoins à minimiser l'événement. De fait, ce séisme ne serait que la conséquence d'une fourberie des élus de gauche. Joint par LemondeInformatique.fr, Frédéric Lefebvre, absent lors du vote, relate : « J'étais dans l'hémicycle quand les débats ont commencé et je suis intervenu vers 12 heures. Je suis ensuite parti pour présider les ateliers du changement à l'UMP. Mes collègues, joints par téléphone vers 14h45, m'ont raconté que le PS avait fait une manoeuvre d'obstruction en planquant une dizaine de députés dans les couloirs. Le président de la séance étant socialiste, il a pris acte que le dernier orateur prévu - lui aussi socialiste - renonçait à son intervention et a procédé au vote. Les élus PS sont alors entrés dans l'hémicycle, créant ainsi une majorité artificielle. C'est un procédé dilatoire, peu ragoûtant, comme le PS sait le faire. Les Socialistes ont fait un coup, mais ils ne gagneront que quelques semaines car le gouvernement va réinscrire le texte à l'ordre du jour. » « Beaucoup de députés UMP ne veulent pas de cette loi » Contacté par la rédaction, Olivier Henrard, le conseiller technique de Christine Albanel, rapporte la même version. « Les députés socialistes étaient planqués dans les couloirs et sont sortis quand le président a appelé le vote. Ca ne grandit pas le PS. » Comme Frédéric Lefebvre, le juriste retient davantage le retard occasionné par l'incident du jour que l'expression d'un rejet plus profond, sur le contenu même du projet de loi : « Ce n'est qu'une péripétie, une comédie de couloir, qui ne reflète pas la position de fond de l'Assemblée. » Officiellement donc, la majorité ne prend pas ce revers comme une défaite et assure que le texte sera représenté. « L'Assemblée va reprendre le projet tel qu'il était avant son examen par la CMP, puis ce sera au Sénat de le réexaminer, suivant la procédure classique de la navette parlementaire. » Toute la droite n'est cependant pas sur la même ligne. Nicolas Dupont-Aignan est l'un des deux députés de la majorité, avec Jean Dionis du Séjour, à avoir voté contre le projet de loi ce matin. Au MondeInformatique.fr, Nicolas Dupont-Aignan dit être « très heureux d'avoir contribué à la défaite de la loi ». Le député ne mâche pas ses mots pour décrire les laudateurs de la loi Création et Internet, et en particulier ses collègues dans l'hémicycle et le gouvernement : « La droite épouse le corporatisme des majors et le showbiz des artistes. Ce sont des gens qui défendent des intérêts privés et embarquent les artistes dans une mauvaise galère. » Pourtant, tous les députés du groupe majoritaire ne seraient pas favorables au projet concocté par le ministère de la Culture, explique-t-il. « Il n'est pas innocent qu'il y ait eu aussi peu de députés de l'UMP ce matin. Beaucoup ne veulent pas de cette loi. C'est pour cette raison que le gouvernement a instauré une procédure d'urgence, pour éviter le débat public et les voix discordantes. » « Christine Albanel a fait naître le trouble dans ses propres rangs » [[page]]Pour Jean Dionis du Séjour « tout le monde avait le sentiment que la messe était dite. Mais les orateurs ont été contrariés par ce qu'il s'est passé à la CMP. De l'amertume a été ressentie après le rétablissement de la double peine. Cet accident parlementaire n'est donc pas qu'un hasard et reflète un malaise plus profond. Le gouvernement a trop écouté le monde de la culture. » Quant à la manoeuvre dilatoire des députés socialistes dénoncée par Frédéric Lefebvre, Jean Dionis du Séjour ne s'offusque pas : « L'UMP fait systématiquement cela. Où étaient les députés de l'UMP ce midi ? C'est plutôt bien joué de la part des socialistes et si cela permet de corriger, lors du réexamen du texte, deux ou trois positions maladroites, ce sera très bien. » Enfin, à gauche, le rejet du texte est largement apprécié. Martine Billard, députée des Verts, confie au MondeInformatique.fr une version des faits différente de celle présentée par Frédéric Lefebvre, absent de l'hémicycle lors du vote. « Christine Albanel parlait, parlait, comme si elle cherchait à gagner du temps pendant que des assistants essayaient de contacter les députés de droite pour qu'ils rejoignent leur siège. Puis il a bien fallu passer au vote. Des élus de gauche attendaient le débat suivant, ils sont alors entrés dans l'hémicycle et ont pris part au scrutin. L'UMP aurait pu faire pareil mais l'absence des élus de la majorité note en réalité un malaise sur la double peine. Christine Albanel n'a rien voulu entendre, a voulu aller jusqu'au bout et a fait naître un trouble dans ses propres rangs. » (...)

(09/04/2009 15:40:34)

Google insère des liens commerciaux sous les vidéos de Youtube

Google a annoncé aujourd'hui qu'il allait greffer sous les vidéos diffusées sur YouTube un outil permettant de trouver et d'acheter des produits (CD, DVD...) en rapport avec le contenu visionné sur le site. Cette fonctionnalité, baptisée Click-to-Pay, existe déjà aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne. Elle est désormais disponible dans huit pays de plus, dont la France. Click-to-buy se présente sous la forme d'un lien placé sous les clips musicaux et qui redirige l'internaute vers des sites de téléchargement légal (comme iTunes) ou des boutiques en ligne. Comme à son habitude, Google ne manque pas de souligner que cette évolution a pour but de faciliter la vie des internautes. Il s'appuie sur une étude réalisée par Ipsos MediaCT auprès de 1 500 Britanniques âgés de plus de 18 ans en mars dernier. D'après cette étude, une personne sur deux achèterait un titre en ligne après avoir visionné un clip de l'artiste sur YouTube. Il y a un mois, Google a lancé sur YouTube un outil de publicité comportementale (en version bêta) afin de personnaliser les messages publicitaires en fonction des sites visités par l'internaute. Pour le géant de Mountain View, Click-to-pay est en réalité une manière supplémentaire de placer des liens publicitaires sur les pages de Youtube. Sur son blog, Google annonce que trois grands labels de musique sont partenaires de ce nouveau service, sans toutefois préciser lesquels ni de quelle manière les gains générés par Click-to-pay seront répartis. (...)

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