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(18/02/2009 17:46:14)

Facebook plie face à l'ire de ses membres

Machine arrière toute. Face aux nombreuses réactions des internautes choqués par les modifications apportées aux conditions générales d'utilisation, Facebook joue la carte de l'apaisement. « Nous avons décidé de revenir à nos conditions d'utilisation précédentes », indique ainsi Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, sur son blog. Comme nous l'indiquions hier, le site communautaire avait discrètement supprimé, le 4 février, une clause qui prévoyait l'effacement des données publiées par les utilisateurs désirant se désinscrire de Facebook. En revanche, le réseau social avait conservé l'article rappelant son « droit irrévocable, perpétuel, non-exclusif (...) » d'utiliser tout contenu à sa guise. Mark Zuckerberg avait beau jeu de rappeler que ces dispositions n'avaient pour autre but que de s'offrir une protection légale, pêchaient uniquement par excès de formalisme, et ne remettaient aucunement en cause la propriété des utilisateurs sur leur contenu, cela ne suffisait pas à calmer les ardeurs des internautes, effrayés par une telle atteinte aux données personnelles. Promis, affirme le jeune patron de Facebook, la prochaine version des conditions d'utilisation ne soulèvera pas une telle polémique. Surtout, « elle sera écrite clairement, dans un langage que tout le monde peut comprendre ». Et pour prouver sa bonne foi, il invite les membres du réseau social à suggérer ce que devrait contenir la future charte. (...)

(18/02/2009 15:40:16)

Hadopi : Christine Albanel, piètre avocate de son projet de loi

A quelques jours de l'examen, par les députés, du projet de loi Création et Internet, la ministre de la Culture est venue, hier, défendre son texte devant les commissions parlementaires des lois et des affaires culturelles. En un peu plus d'une heure et demi de questions/réponses, Christine Albanel n'aura guère convaincu du bien fondé du projet, qui vise à endiguer le téléchargement illicite par une batterie de sanctions allant jusqu'à la suspension de l'abonnement à Internet et qui interviendront après que des agents privés financés par les industries culturelles auront repéré des échanges de fichiers soumis au droit d'auteur. Un millier de suspensions par jour Selon Christine Albanel, la loi Création et Internet est la meilleure réponse à apporter au piratage en ce qu'elle est « pédagogique et adaptée ». Les débats à l'Assemblée devraient commencer le 4 mars et aboutir, si le calendrier est respecté, à la mise en place de l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet) avant l'été. Laquelle devrait être en mesure, estime la ministre, de prononcer un millier de suspensions d'abonnement par jour. Et peu importent les nombreuses objections soulevées sur les moyens de parvenir à cet objectif : Christine Albanel les balaye d'un revers de manche, à l'image de celui soulignant la difficulté de couper l'accès au Web sans affecter la téléphonie dans le cadre des offres triple play. « Ce n'est pas une question de faisabilité, assure la locataire de la rue de Valois, mais de délai. » L'Association des fournisseurs d'accès et de services Internet nous expliquait pourtant à l'automne dernier que certains FAI « ne sont pas sûrs du tout de pouvoir mettre en oeuvre cette distinction » et que les problèmes techniques posés sont de nature à créer des traitements différents selon les internautes : « Au sein d'un même parc d'abonnés, ceux habitant dans une zone pourront être suspendus alors que d'autres, résidant ailleurs, resteront à l'abri. » Le CGTI lui-même (Conseil général des technologies de l'information), un organisme étatique, affirme que « les modalités techniques envisageables pour cette suspension ne permettent pas d'isoler l'accès à Internet des autres services. » Une négation des droits fondamentaux Cet argument a été repris, hier, par le député socialiste Patrick Bloche. A l'image de ses collègues de l'opposition, l'édile n'a pas fait montre de tendresse à l'égard du texte soutenu par la ministre. Selon lui, le projet de loi crée un régime d'exception en instaurant une rupture d'égalité devant la loi. Il nie, en outre, les droits fondamentaux des citoyens en imposant aux internautes sanctionnés de prouver leur bonne foi et en refusant de prendre en compte la présomption d'innocence, donc en bafouant les droits de la défense. En d'autres termes, la charge de la preuve est inversée : il n'incombe plus au demandeur de prouver l'existence d'une infraction, mais c'est la personne mise en cause qui devra démontrer l'absence de comportement illégal. Une gageure. Christian Paul, qui siège lui aussi sur les bancs de l'opposition, qualifie le projet « d'illusion sécuritaire », et rappelle ainsi que la loi n'est justifiée que par le constat d'une diminution du chiffre d'affaires des industries culturelles. Ce même argument avait été avancé l'an passé par la Cnil, qui regrettait que la loi en gestation « ne comporte pas les garanties nécessaires pour assurer un juste équilibre entre le respect de la vie privée et des droits d'auteur ». Le principe du droit d'auteur détourné [[page]] Du reste, reprend Christian Paul à l'adresse de la ministre, la loi Création et Internet se méprend dans son approche de la notion de droit d'auteur. Celui-ci « a toujours été, depuis deux siècles, la défense des petits contre les gros, ce n'est pas la défense des créateurs contre leur public. Or, votre projet de loi oppose systématiquement les créateurs contre les internautes. A aucun moment, il n'aide à l'émergence d'un modèle économique nouveau, qui soit rémunérateur pour la création. En cela, il n'est qu'une illusion. » Peu convaincante, Christine Albanel a assuré que les mesures « pédagogiques » de sa loi ne seront pas attentatoires à une liberté fondamentale « car on peut avoir accès à Internet ailleurs que chez soi ». Elle a également reconnu que le système qu'elle défend ne sera pas infaillible et que certains internautes pourront contourner la surveillance exercée par les industries culturelles en cryptant les échanges ou en masquant leur IP. « Le but n'est pas de parvenir à 100% de résultats, a argumenté Christine Albanel, c'est de faire baisser le piratage très sensiblement. » Certaines mesures visant à limiter les contournements de la loi sont d'ores et déjà évoquées. « Un texte furieusement ringard » Ainsi, face aux échanges illicites sur des réseaux WiFi publics, la ministre préconise de ne pas suspendre l'accès à Internet mais de mettre en place un aberrant système de liste blanche. En clair, les personnes morales mettant à disposition du public une connexion à Internet pourraient n'autoriser l'accès qu'à une batterie de sites Web préalablement recensés et vérifiés. Ces « mesures préventives » étant justifiées par la volonté de ne pas faire des accès publics « des bases de lancement du piratage ». La Quadrature du Net résume cette volonté de filtrage par une formule fort à propos : « Il semblerait que la ministre veuille renvoyer les internautes à l'âge du Minitel. » Des propos semblables à ceux de Christian Paul, pour qui la future loi n'est rien d'autre qu'un « texte furieusement ringard ». (...)

(18/02/2009 15:28:06)

Le patron de Witbe répond à Luc Besson à propos du téléchargement illégal de films

Jean-Michel Planche réagit sur notre blog d'experts à la tribune de Luc Besson dénonçant le téléchargement illégal de films, parue dans Le Monde du 14 février. Le fondateur d'Oléane et Witbe, auteur de l'initiative internetforeveryone.fr, dénonce une logique simpliste qui joue sur l'émotion. Un rituel aboutissant à des assertions sans appel : « le piratage, c'est mal », donc « Internet, c'est mal ». Jean-Michel Planche s'étonne que l'industrie du film ne tire pas de leçons de la destruction de valeur qu'a entraînée le « scénario Maginot » joué par le secteur du disque. Il liste ainsi les raisons pour lesquelles, selon lui, tous les acteurs d'Internet sont responsables (mais pas forcément coupables) de la situation actuelle : utilisateurs, 'majors' et studios, sites de commerce en ligne, opérateurs, gouvernement, etc. Mais pas au sens où l'entend Luc Besson. « Espérons que nous aurons des solutions pour nous protéger sans devoir en appeler à un filtrage massif de l'Internet », continue-t-il, avant d'expliquer pourquoi il reste plutôt pessimiste sur le sujet. (...)

(18/02/2009 13:01:37)

Deux nouveaux documents de travail sur HTML 5

Le W3C (World Wide Web Consortium) a publié deux nouveaux documents de travail sur la version 5 d'HTML, en développement depuis 2004. L'un sur HTML 5 proprement dit, l'autre sur les différences entre cette version 5 et la version 4. Compatible avec le code de la version 4 (figée en 1997), la version 5, qui a vocation à réunir les extensions XML d'HTML 4 (XHTML 1) ainsi que les API JavaScript dans un même référentiel, est fortement orientée vers la structuration des documents et l'intégration d'éléments multimédia. Sur ce dernier point, il doit intégrer la fonction Canvas pour l'intégration de graphiques en 2D. (...)

(17/02/2009 15:19:25)

Flash 10 s'installera sur les téléphones mobiles en 2010

À l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, Adobe a annoncé que la dernière version complète de Flash - Flash 10 - sera compatible avec la majorité des smartphones d'ici à 2010. Les téléphones concernés seront ceux qui utilisent les systèmes d'exploitation Windows Mobile, Android, Symbian S60 et le futur WebOS de Palm. Seul grand absent de cette liste : l'iPhone d'Apple. Contacté par l'agence Reuters, David Wadhwani, responsable plateforme d'Adobe, précise que les deux sociétés travaillent toujours pour une installation complète de Flash sur le smartphone d'Apple, mais rien de concret n'a encore émergé. « Nous n'aurons rien à annoncer durant le congrès à ce sujet. » En 2008, 40% des téléphones portables vendus étaient équipés de la version light de Flash, développée spécialement pour ce type de supports. Adobe compte en distribuer encore 1,5 milliard dans les deux ans à venir, aux côtés de Flash 10. (...)

(17/02/2009 15:11:35)

Facebook change ses conditions d'utilisation et inquiète les internautes

Facebook fascine par son fulgurant succès ; Facebook amuse et rend service à ses 150 millions d'utilisateurs ; mais Facebook inquiète par ses conditions d'utilisation faisant, en apparence, peu de cas du respect de la vie privée. Le réseau social a ainsi modifié en début de mois les termes de la licence utilisateur que les internautes souhaitant utiliser le service sont contraints d'accepter. Y figure notamment une disposition précisant que les inscrits accordent à Facebook « le droit irrévocable, perpétuel, non-exclusif, transférable et mondial d'utiliser, copier, publier, diffuser, stocker, conserver, transmettre, scanner, reformater, modifier, éditer, traduire, extraire, adapter et distribuer à des tiers tout contenu » publié par les utilisateurs. Surtout, le réseau social a supprimé une mention qui permettait aux internautes de supprimer les données liées publiées sur leur profil : « Si vous choisissez de retirer votre contenu utilisateur, la licence ci-dessus expirera automatiquement, mais reconnaissez toutefois que la société peut en conserver une archive ». Ces conditions d'utilisation, qui n'avaient pas soulevé de polémique avant que le blog The Consumerist ne s'en fasse l'écho, n'ont pas tardé à susciter l'émoi des utilisateurs, inquiets de constater que le contenu qu'ils choisissent de partager ne leur appartient plus une fois mis en ligne. Selon le blog, « tout ce que vous publiez peut être utilisé par Facebook de n'importe quelle façon, éternellement, et quelles que soient vos décisions ultérieures ». En clair « vous appartenez à Facebook ». Le fondateur de Facebook se montre rassurant Mark Zuckerberg, le fondateur du site communautaire, a rapidement réagi à ces assertions. Dans un billet de blog publié hier, il assure que « sur Facebook, les utilisateurs détiennent et contrôlent leurs informations. » Soucieux de dégonfler la polémique, le jeune entrepreneur justifie la teneur des conditions d'utilisation par un formalisme nécessairement inhérent à ce genre de document. Autrement dit, Facebook se met à l'abri d'éventuelles poursuites intentées par les utilisateurs en se réfugiant derrière un large paravent juridique. Tout en reconnaissant le besoin de simplifier ces dispositions, Mark Zuckerberg explique la notion de conservation éternelle des données : « Quand une personne partage quelque chose comme un message avec un ami, deux copies de cette information sont créées - l'une dans la partie 'messages envoyés' de l'expéditeur, l'autre dans la boîte de réception du destinataire. Même si la personne désactive son compte, son ami conserve une copie de ce message. Nous pensons que c'est une bonne façon de faire [... et c'est aussi] l'une des raisons pour lesquelles nous avons mis à jour nos conditions d'utilisation ». Au vu des nombreuses réactions irritées des internautes, il n'est pas certain que ces derniers aient été convaincus par les arguments de Mark Zuckerberg. (...)

(16/02/2009 18:18:02)

Disparition officielle du portail Lycos Europe

Le portail Lycos Europe a officiellement cessé d'exister depuis hier, dimanche 15 février. La fermeture de l'un des précurseurs du Web avait été annoncée en avril 2008 et la fin des activités en Europe avait été confirmée en novembre 2008. « Comme nous vous en avons déjà informé au cours des dernières semaines par la presse et nos sites Internet, nous avons arrêté une grande partie de l'activité de notre portail le 15 février 2009 », a indiqué Lycos sur son site à ses clients. Cette décision provient du contrôle plus serré de la stratégie du groupe depuis fin avril 2008. Cette analyse a montré qu'une poursuite de la plupart des services de l'activité de portail n'ouvraient pas de perspectives suffisantes. A l'exception de Lycos IQ qui perdurera jusqu'au 25 février et du service de Webhosting jusqu'au 28 février 2009, tous les autres services ont été arrêtés. Le 'chat' Lycos continuera avec un autre fournisseur de même que la messagerie Caramail qui migrera vers le site GMX.fr, propriété du groupe United-Internet. Seul, le service de recherche sur Lycos restera disponible sans aucune restriction. (...)

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