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(16/02/2009 16:06:17)

Facebook ne vaudrait pas 15 Md$ mais quatre fois moins

Facebook, habituellement loué pour la célérité de son développement économique, aurait été surévalué. En octobre 2007, Microsoft s'était offert 1,6% du capital du réseau social. L'éditeur de Windows avait déboursé pour cela 240 M$, contribuant ainsi à valoriser Facebook à 15 Md$. Il apparaîtrait cependant que cette somme est largement supérieure à la réalité : Facebook ne vaudrait que 3,7 Md$. L'histoire commence en 2004, lorsque les trois fondateurs de ConnectU, un autre réseau social, accusent Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook et leur ancien camarade de classe, d'avoir exploité leur propre idée de site communautaire. Les protagonistes en appellent à la justice américaine puis, en avril 2008, parviennent à un accord amiable avec le jeune milliardaire. Si les termes de cet arrangement devaient rester confidentiels, on sait aujourd'hui qu'ils portaient sur un règlement de 20 M$ en numéraire plus un lot de 1,25 million d'actions Facebook estimé entre 11 M$ et 45 M$, selon la valeur du titre : 9 $ (l'estimation de Facebook) ou 36 $ (le prix payé par Microsoft en 2007). Après avoir vainement tenté d'obtenir un dédommagement plus important, les plaignants estiment que l'affaire mérite d'être close. Le cabinet d'avocats qui avait défendu leurs intérêts se fend alors d'un article, dans une brochure, clamant fièrement la victoire face à Facebook. Le texte relate notamment que les juristes sont parvenus à soutirer quelque 65 M$ au réseau social. Le secret liant les parties au procès est déjà légèrement éventé. Il va alors perdre tout mystère avec la découverte d'un journaliste d'Associated Press. Quand celui-ci met la main sur un document au format PDF rédigé par le tribunal californien ayant instruit l'affaire, il réalise qu'un simple copier/coller dans un éditeur de texte permet de faire apparaître certaines mentions dissimulées dans le papier d'origine. En particulier, la somme versée par Facebook aux plaignants y est détaillée. C'est là que l'on réalise que les 1,25 million d'actions ne valent que 11 M$, soit 8,8 $ par titre. Une valeur très inférieure au prix payé par Microsoft en 2007 et qui ramène la valeur du site à 3,7 Md$. Bien loin des 15 Md$ annoncés à la surprise générale quand le géant de Redmond avait pris sa participation. Alors que Facebook vient de fêter ses cinq ans d'existence, sa valeur vient donc d'être divisée par quatre. (...)

(13/02/2009 15:36:02)

Techdays'09 : Microsoft convoque des sociologues pour explorer les nouveaux usages des NTIC au travail

Le monde professionnel est à la traîne du grand public en ce qui concerne les usages des NTIC. Chacun le ressent dans son quotidien, mais cette fois, une enquête commanditée par Microsoft France, et dévoilée à l'occasion des Techdays, vient le confirmer. « Avec 63% des foyers équipés d'au moins un ordinateur, la majorité des collaborateurs sont plus et mieux équipés à domicile que sur le lieu de travail : ordinateur plus puissant, équipement technologique plus avancé, logiciels plus récents, plus grande liberté de communication et d'accès à l'information... » L'enquête quantitative a été confiée à l'Ifop, qui dit avoir mené des entretiens en face à face avec quelque 2000 personnes, puis isolé une population d'un millier d'actifs (et actuellement employés) auprès de qui le sondage en ligne a été effectué. Nonobstant les biais (approximations, lacunes...) inhérents à ce genre d'exercice, il en ressort que « près d'un actif sur deux utilise un ordinateur au travail, soit 12 millions de personnes en France ». Prenant ce résultat pas l'autre bout, Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, ajoute que « si 13,8 millions d'actifs n'utilisent pas un ordinateur au travail, 9 millions d'entre eux en utilisent un à la maison ». Ce qui lui fait dire que si les Français ne sont pas en retard dans leur compréhension des bénéfices des nouvelles technologies, le monde de l'entreprise est en retard, qu'il s'agisse des PME, souvent sous-informatisées, ou des grands comptes qui tardent à appréhender le phénomène des 'digital natives'. Les actifs passent 4h30 par jour à utiliser les nouvelles technologies Quant aux actifs équipés au bureau, l'étude indique qu'ils « passent 4h30 par jour à utiliser les technologies de l'information et de la communication dans leur travail ». Un temps réparti entre le travail sur du contenu (2h40), la collaboration (1h20) et la gestion des plannings (30 minutes). A noter une grande révélation de l'étude : les actifs qui communiquent le plus sont des hommes. Explication de texte de Marc Jalabert : « Dans le monde du travail, les hommes ont souvent des postes plus élevés, de management, que les femmes, et la communication fait partie du boulot de management. » La liste des outils technologiques les plus utilisés comporte le courriel (96% des réponses), les moteurs de recherche Internet (93%), les traitements de texte (89%), les tableurs (82%), les logiciels de présentation (66%), mais aussi le fax (82%) et surtout le téléphone fixe (97% des réponses). Un palmarès qui contraste fortement avec celui des usages personnels, où les appareils photo numériques et téléphones mobiles dépassent les 80%, où le recours à la messagerie instantanée atteint les 50% (contre 36% dans l'univers professionnel), et où l'activité sur les réseaux sociaux et les blogs représente en moyenne un quart des réponses, contre une moyenne de 15% dans l'univers professionnel. Deux grands catégories d'utilisateurs, les « faber » et les « ludens » [[page]] A partir de ces données, des consultants de Bearingpoint conduiront des entretiens dans des entreprises, pour approfondir les usages actuels. Il s'agira entre autres de voir si les managers ont bien conscience que « les technologies constituent le deuxième facteur d'attractivité d'une entreprise pour ses futures recrues ». Parmi les « ludens », l'étude distingue quatre profils Outre Bearingpoint, Microsoft s'est entouré des cabinets AddedValue et Eranos pour établir une analyse qualitative et en tirer des profils sociologiques. Dès lors, on entre dans l'univers du concept latinisant et des anglicismes superfétatoires. Analyse d'Eranos : « On peut distinguer deux grands schémas mentaux qui coexistent dans le monde de l'entreprise aujourd'hui qui permettent de rendre les attitudes plus lisibles : d'un côté, on trouve des profils "Faber", orientés sur le 'faire', le travail individuel et de l'autre, des profils plus "Ludens ". Ces derniers se caractérisent par une culture du social et de la collaboration, des relations d'égal à égal, la connectivité. Ils revendiquent facilement un comportement et une psychologie de jeune, plus immédiate et ludique. » AddedValue ajoute de son côté une segmentation des « Ludens » : les « Digital creators » (créateurs de contenu numérique), censés travailler « dans des agences de communication ou à la communication » ; les « Information flow obsessed » (obsédés des flux d'information), dont l'institut explique qu'ils veulent travailler « plus vite et en équipe », et qu'ils « sont cadres et leur métier requiert de l'analyse » ; les « net com workers » (travailleurs en réseau), « très engagés dans les réseaux sociaux », « commerciaux et jeunes cadres » ; enfin les « techno followers », pour qui « il faut que ça marche et que ça soit facile à utiliser », qu'on retrouve « en particulier aux postes d'assistants ». Un site Web regroupera toutes les informations de cette enquête au long cours : www.aucentredesusages.com. (...)

(12/02/2009 17:04:21)

L'arrêt de l'annuaire minitel reporté au-delà de 2011

Invoquant la crainte d'un amalgame entre l'arrêt de l'annuaire 3611 et celui de tous les services minitel, France Télécom et la régie publicitaire PagesJaunes n'arrêteront pas ce service en mars prochain, comme annoncé en juillet dernier, mais vers 2011. Derrière les 19 millions de connexions enregistrées sur le 3611 en 2008 (25% du trafic total), ce qu'il reste de la télématique française continue d'être une PME de taille respectable. En 2007 - les chiffres 2008 ne sont pas encore disponibles - le minitel a généré un CA de 100 M€ au travers de 10 millions de connexions auprès de 4000 services encore actifs, dont 40% à caractère professionnel. Une goutte d'eau par rapport au milliard d'euros annuel de la fin des années 90, mais avec des équipements totalement amortis. A cette époque, la Cour des comptes avait publié un rapport qui stigmatisait le fait que l'argent public avait été dilapidé dans la production de près de 7 millions de terminaux payés par les impôts de Français. La Cour s'interrogeait sur la dimension de service d'intérêt général d'une télématique dont la moitié des revenus provenait de ce que l'on appelait pudiquement à l'époque les messageries roses. Le Minitel a retardé l'adoption d'Internet Dès lors que le terminal minitel a été facturé aux consommateurs, en 1993, le nombre de terminaux et d'heures de connexion a commencé à décroître. Mais, tant France Télécom que tous les prestataires de services tiraient d'impressionnants profits de ce boîtier télématique gratuit. En 2002, 689 millions de connexions (hors 3611) avaient généré un CA de 485 M€, dont 313 reversés aux éditeurs de service. En 1999, un autre rapport de la Cour des comptes montrait comment l'intérêt économique de France Télécom à entretenir la manne Minitel a conduit la France à prendre beaucoup de retard sur Internet. " La Cour a relevé que le choix de développer une offre Internet grand public (Wanadoo) avait été tardif et n'avait pas été sans comporter des incohérences... même si les décisions essentielles ont été prises en 1995, Internet n'a été une véritable priorité pour France Telecom que depuis l'exercice 1998. Cette priorité n'a été clairement affirmée qu'à la fin de 1997". (...)

(12/02/2009 16:38:26)

Sun sort la version mobile de sa technologie de client riche JavaFX

Ouf, Sun sera prêt pour le Mobile World Congress de Barcelone, qui ouvrira ses portes le 16 février prochain : le constructeur a même devancé l'appel de quelques jours, et présenté la version mobile de JavaFX, sa technologie de client riche (RIA, Rich Internet application). Présenté début décembre, JavaFX n'avait guère soulevé l'enthousiasme, comparé aux technologies de RIA existant déjà, comme celles de Microsoft (Silverlight), Adobe (Flex/AIR) ou Google (GWT). Néanmoins, Sun compte sur l'énorme base installée de Java, tant du point de vue des clients que des développeurs. Du côté des mobiles, par exemple, Sun explique que la plateforme Java Mobile Edition (Java ME) est installée sur 2,6 milliards de mobiles. Et le Californien indique que plusieurs fabricants et opérateurs, comme Sony Ericsson, LG Electronics et Orange, soutiennent son initiative. (...)

(12/02/2009 15:52:23)

Annuels Iliad : Free consolide sa place de deuxième FAI français

Avec l'arrivée de 1,3 million de nouveaux abonnés en 2008, le groupe Iliad, maison mère du FAI Free, fournit désormais un accès Internet à 4,2 millions de foyers français (+44,6%). Il doit 60% de cette hausse à la comptabilisation des 836 000 abonnés d'Alice, acheté en août dernier. 14 000 personnes, soit 1,6% des abonnés d'Alice ont quitté leur FAI lors de son rachat. Quant à la marque Free, elle atteint fin 2008 presque 3,39 millions d'abonnées, soit une hausse de 16,7%. Ce taux est nettement inférieur aux 27,5% enregistrés sur 2007/2008. Chez Free, le taux de dégroupage complet est passé de 81,5% fin 2007 à 85,6%. Chez Alice, il n'était que de 45% lors du rachat et atteint déjà 50,7%. Sur l'exercice, l'activité haut débit d'Iliad a généré un chiffre d'affaires de 1,53 Md€, en hausse de 30%. Le CA de Free (1,4 Md€) progresse de près de 19%. L'augmentation de la part des services optionnels (25% du CA grand public contre 22,4% en 2007) permet à Free de clore son exercice sur un revenu moyen par abonné mensuel (Arpu) de 36,9 € (+1,7%) en décembre. Chez Alice, l'Arpu progresse rapidement depuis le rachat, passant de 27 à 32 €. 25,5% de parts de marché dans l'ADSL Le rachat du FAI Alice à Telecom Italia, première opération de croissance externe d'Iliad, a permis à celui-ci de réaffirmer sa position de premier opérateur alternatif, derrière Orange, avec une part de marché qui est passée de 19,7% fin 2007 à 25,5% fin 2008. Une place menacée un temps par le groupe né du rapprochement de SFR, Neuf Cegetel, Club Internet et AOL France. L'essoufflement du rythme de recrutement de nouveaux abonnés au quatrième trimestre 2008 (100 000, -23% par rapport au quatrième trimestre 2007) semble être considéré par la direction du groupe comme une tendance à long terme. En effet, Iliad vise les 5 millions d'abonnés à la fin 2011, soit une augmentation de 19% sur deux ans. Iliad a aussi confirmé sa candidature pour l'obtention de la quatrième licence de téléphonie mobile. Sur le dossier de la fibre optique, le groupe s'est cantonné à indiquer qu'il confirmait vouloir atteindre un taux de couverture de 4 millions de foyers en 2012. Ce qui ne veut pas dire grand-chose. (...)

(10/02/2009 16:59:39)

Cyberdouane veut endiguer la fraude sur le Web

Protéger les consommateurs et lutter contre la cyberdélinquance. Tels sont les objectifs de la Cyberdouane, un service inauguré le 10 février par Eric Woerth, le ministre du Budget. Placé sous la responsabilité de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, ce service s'inscrit dans le cadre de l'explosion du nombre de transactions commerciales réalisées sur le Web. Cette tendance s'accompagne inévitablement de son lot de margoulins et autres trafiquants, s'adonnant à l'échange de biens illicites (stupéfiants, cigarettes, contrefaçons, etc.). Pour y remédier et « créer un sentiment d'insécurité pour les cyberdélinquants », Cyberdouane s'appuiera sur huit spécialistes du renseignement et sept enquêteurs maîtrisant « les protocoles de communication d'Internet ». Leur mission : « détecter les transactions illicites et déclencher les contrôles douaniers ainsi que des enquêtes approfondies ». Il s'agit là de la première étape d'un plan de lutte plus général contre la délinquance sur le Web, qui comprendra au total neuf volets incluant notamment la coopération avec les fournisseurs d'accès et les sites marchands, le démantèlement des filières et la responsabilisation des consommateurs. Ces derniers, estime le ministre, ne doivent être « ni acteurs, ni complices, ni victimes de la fraude sur Internet ». (...)

(10/02/2009 15:21:43)

Le Conseil économique et social lance des pistes pour une couverture nationale en fibre optique

Le Conseil économique, social et environnemental (CES) vient de présenter, dans un avis commandé par le Premier ministre, ses pistes pour la couverture numérique du territoire. Si l'ADSL offre un accès à Internet à 98% de la population, il subsiste encore des zones blanches. De plus, le déploiement de la fibre risque de ne concerner qu'une petite partie des ménages. Face à cet état des lieux, le CES veut contribuer « à équiper notre pays pour que la population ait accès aux usages. Nous sommes en plein dans la problématique des tuyaux », a expliqué André Marcon, le rapporteur de l'avis. L'Etat stratège doit donner le top départ du déploiement L'Etat devra « jouer pleinement son rôle de garant de l'intérêt national », notamment en faisant « prévaloir les critères d'aménagement du territoire sur ceux de concurrence », en imposant la mutualisation des réseaux de fibre optique entre opérateurs et en dopant les pouvoirs de l'Arcep pour que l'autorité puisse accompagner le déploiement du très haut débit de façon harmonieuse d'une partie du territoire à l'autre. Les collectivités, qui doivent elles aussi prendre leur part dans ce projet de couverture numérique, devront pouvoir participer à la gouvernance de l'Arcep et intervenir sur les sujets concernant les conditions d'accès aux infrastructures de France Télécom par exemple. Le rôle des collectivités consistera également en la création de syndicats mixtes, conçus sur le même modèle que celui des syndicats départementaux d'électrification. Leur mission - organiser le déploiement de la fibre dans les territoires - passera par une connaissance des réseaux existants, le travail avec les opérateurs et la mise en oeuvre d'une péréquation régionale. Ce dernier point est particulièrement important dans la mesure où il conditionne la réalisation du déploiement sur l'ensemble du territoire, en permettant aux régions les plus reculées de bénéficier des mêmes soins que les dorsales urbaines. Pour cela, les syndicats mixtes pourraient, préconise le Conseil économique et social, prélever les collectivités membres à hauteur de 10 € par an et par habitant. En dix ans, ce système permettrait de dégager quelque 6 Md€. Une somme largement insuffisante pour couvrir les coûts du déploiement généralisé de la fibre, estimé par le CES entre 40 et 50 Md€. Une dizaine de milliards devrait être supportée par les pouvoirs publics, le reste étant pris en charge par les opérateurs. Aux côtés du prélèvement opéré par les syndicats mixtes, le CES propose d'instaurer une taxe de 0,50 € sur les abonnements (Internet, téléphonie mobile et fixe, etc.). Cette autre source de financement serait susceptible, elle aussi, de dégager 6 Md€ en dix ans. Le plan France numérique 2012 trop frileux Le CES regrette que le numérique soit absent - ou à tout le moins fort peu présent - du Grenelle de l'environnement et du plan de relance économique. L'implication de l'Etat est pourtant indispensable à la couverture numérique de l'ensemble des territoires. Le CES note bien les ambitions du plan France numérique 2012 (100% des foyers connectés en 2012) mais déplore que ce 'service minimum' ne prévoit qu'un accès ADSL à 512 Ko/s. Or, « ce dont l'utilisateur a besoin, c'est avoir accès au triple play ». Le CES estime donc nécessaire de porter à 2 Mb/s le débit minimum dont tous les ménages doivent être en droit de profiter avant 2012. Ce plan n'est cependant qu'une vue à court terme. Le véritable enjeu réside dans « la généralisation du très haut débit, avec un choix technologique à faire une fois pour toutes : celui de la fibre optique ». L'objectif du CES -amener ce très haut débit « partout dans dix ans » et faire disparaître la fracture numérique - n'est réalisable que si les pouvoirs publics s'investissent considérablement. « Si on laisse faire, seul le marché décide des implantations » et des pans entiers du territoire seront laissés de côté. Il faut donc « une implication beaucoup plus grande de l'Etat et des collectivités locales » : « si l'Etat stratège ne donne pas le top départ du déploiement de ces installations, on continuera à se regarder le nombril ». (...)

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