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(10/02/2009 11:05:45)

Forrester prévoit un report de la publicité vers le Web grâce à la crise

Récession oblige, la publicité en ligne n'aura pas la croissance attendue sur le marché européen, mais elle devrait tout de même représenter une part de plus en plus importante des dépenses publicitaires, prévient Forrester : elle dépassera les 15% en 2013 (contre 11% environ en 2008), un chiffre plus élevé que ce que le cabinet prévoyait jusqu'à présent. La crise devrait en effet pousser les annonceurs à reporter leurs budgets vers le Web et les outils publicitaires plus ciblés. Pour le reste, le cabinet d'études a globalement revu ses prévisions à la baisse. Alors que fin 2007, il tablait sur un taux de croissance annuel moyen pour la publicité en ligne de 13% d'ici à 2012, il annonce maintenant du 9% par an d'ici à 2013. Cette année, Forrester estime que le taux de croissance devrait être de 10% - à comparer au taux de 30% enregistré en 2007. Comme lors de la précédente récession, écrit Forrester, c'est le marché du 'display' (la bannière publicitaire) qui trinquera le plus. Pour le cabinet, les annonceurs chercheront à toucher une audience plus ciblée, grâce aux liens sponsorisés - « qui comptaient pour 49% des dépenses publicitaires en ligne en Europe en 2008, note Forrester, et qui continueront de croître plus rapidement que tout autre format pendant les cinq prochaines années ». La France 3e marché publicitaire européen Un autre format va toutefois émerger : la vidéo, censée retenir davantage l'attention des internautes. « Près de la moitié des agences disent qu'elles achèteront des bannières vidéo l'année prochaine », indique l'étude. Forrester prévoit, par conséquent, que le marché de la publicité vidéo quadruplera d'ici à 2013, pour atteindre 986 M€. Forrester ne propose pas de prédiction en ce qui concerne la répartition géographique des revenus, mais note tout de même le niveau de dépenses en 2008. Il apparaît que la France bénéficie - de façon atténuée par rapport à la Grande-Bretagne et à l'Allemagne - d'une prime aux grands marchés. La France aurait totalisé 1,158 Md€ de dépenses publicitaires en ligne en 2008. Elle se situe devant l'Italie (506 M€) et derrière l'Allemagne (2,138 Md€) et la Grande-Bretagne (3,099 Md€). Les trois premiers pays représentent donc à eux seuls 66% du marché total. Mais la France a un atout en plus pour 2009, signale Forrester: « Les nouvelles réglementations limitant la publicité sur les télévisions publiques vont pousser à plus de dépenses publicitaires sur Internet. » (...)

(09/02/2009 16:59:49)

Antitrust : Mozilla rejoint Opera contre Internet Explorer

L'action antitrust intentée par la Commission européenne contre Microsoft compte un nouvel acteur. Mozilla, l'éditeur du navigateur Open source Firefox, vient en effet d'être autorisé par Bruxelles à intervenir dans l'enquête ouverte en début d'année. La procédure, intentée par Opera, à l'origine d'un autre navigateur concurrent d'Internet Explorer, vise à faire la lumière sur les conséquences de l'inclusion d'IE dans Windows : la vente liée du navigateur et du système d'exploitation serait de nature à nuire à la concurrence et à freiner l'innovation. Toutefois, à la différence d'Opera, Mozilla ne prendra pas place sur le banc des demandeurs mais se contentera d'apporter son expertise à l'exécutif européen. Mitchell Baker, la CEO de Mozilla, explique sur son blog sa volonté d'épauler Bruxelles. Elle indique notamment qu'elle n'a « pas le plus petit iota de doute » sur la nuisance du couple IE/Windows. « On peut se demander s'il existe une solution, et quelle devrait être la nature de ce remède, écrit-elle. Mais ces questions ne changent rien à l'essentiel. Les pratiques de Microsoft ont fondamentalement affecté (en fait, presque jusqu'à les anéantir) la concurrence, le choix et l'innovation dans la façon dont les gens accèdent à Internet. » La prise de position de Mozilla aux côtés d'Opera donnera peut-être des idées aux éditeurs des autres navigateurs. Google et Apple, les éditeurs de Chrome et Safari, deux produits à des années-lumière d'IE en termes de parts de marché, trouveraient certainement un intérêt à voir Microsoft condamné. La sanction pourrait en effet consister à l'obliger à proposer plusieurs navigateurs dans ses OS, comme Microsoft l'a expliqué à la SEC, il y a quelques jours, et comme le réclament Opera et Mozilla. (...)

(09/02/2009 15:33:46)

Le client riche vu par Oracle

Oracle a mis en ligne un site d'information sur les REA (applications d'entreprise riches) démontrant son savoir-faire en matière d'interfaces riches pour le Web. S'il n'édite pas lui-même de technologie de type RIA (applications Internet riches) comme Microsoft ou Adobe, Oracle veut montrer qu'il n'est pas à la traîne dans ce domaine. Son site, rea.oracle.com, illustre - notamment avec une vidéo et plusieurs exemples - ce qu'il est possible de réaliser avec les outils actuels de l'éditeur, en premier lieu le portail Webcenter, l'outil de développement Jdeveloper et les composants du cadre applicatif ADF (Application development framework). Vues par Oracle, les applications d'entreprise riches recourent aux composants Ajax, à du Flash ou au besoin à un mélange des deux. Le but est tout autant de proposer une interface Web plus attractive et plus interactive au grand public que de proposer une interface plus productive (plus proche de l'interface des outils de gestion) aux utilisateurs internes. Oracle montre par ailleurs comment utiliser ces technologies pour permettre aux utilisateurs de réaliser leurs propres combinaisons de services applicatifs (mash-up). (...)

(09/02/2009 14:06:54)

Le président et deux vice-présidents quittent Salesforce.com

Alors que Salesforce.com vient de clore son exercice fiscal, fin janvier, on apprend la démission, effective depuis le 1er février, de Steve Cakebread, président de la société. Ce dernier avait rejoint l'éditeur de CRM (gestion de la relation client) en ligne en 2002, et en a été le directeur financier jusqu'en 2008. Selon Salesforce.com, il part afin de poursuivre d'autres opportunités professionnelles et nullement en raison d'un désaccord. En revanche, dans le même temps, plusieurs sources concordantes, dont Reuters et le Wall Street Journal, signalent le licenciement de deux vice-présidents, responsables des ventes, Garry Hanna et Dave Orrico. En fin de semaine, Salesforce.com ne souhaitait pas commenter l'information. Des départs qui laissent entrevoir un ralentissement de l'activité Les résultats annuels de Salesforce.com ne seront pas communiqués avant la fin du mois. Mais ces départs de cadres dirigeants laissent supposer un ralentissement de l'activité sur le quatrième trimestre et sur les mois à venir. Or, l'éditeur est vu par de nombreux analystes comme un indicateur sur le marché des logiciels fournis en ligne en mode SaaS (software as a service), et facturés sur la base d'un abonnement. Beaucoup pensent que les derniers contrats signés par Salesforce.com l'ont été sur des délais plus courts, sur un nombre d'utilisateurs réduits, par rapport au premier semestre 2008. Par ailleurs, à la suite des vagues de licenciements intervenus ces dernières semaines, il est probable que certains clients de Salesforce.com vont demander une révision de leur contrat d'abonnement en raison de la baisse du nombre d'utilisateurs. En temps de crise, le mode SaaS peut être vu, à juste titre, comme une solution plus flexible et moins coûteuse par rapport à la mise en place de logiciels dans l'entreprise. Et beaucoup d'éditeurs ayant diversifié leurs approches comptent sur l'adoption de ce modèle par les entreprises pour compenser une baisse sur leurs ventes classiques. Fin 2008, Gartner prévoyait notamment que près de 90% des entreprises comptaient maintenir ou accroître leur utilisation du mode SaaS en 2009. Ce qui ne met pas pour autant les spécialistes du SaaS à l'abri. Salesforce.com a réalisé ces dernières années une progression assez spectaculaire et prévoyait d'atteindre le milliard de dollars sur l'exercice fiscal clos fin janvier 2009. Sur son troisième trimestre, clos fin octobre, l'éditeur a réalisé 277 M$ (+ 43%). Et il s'attendait, sur son dernier trimestre fiscal, à une progression d'au moins 31%, qui lui devait lui permettre d'atteindre un chiffre d'affaires situé entre 284 et 285 M$. (...)

(06/02/2009 17:48:15)

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, la démarche du numérique doit se fonder sur les usages

Le Forum Netexplorateur a convié la toute nouvelle secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, à clore sa première journée. La manifestation, qui s'est tenue les 5 et 6 février au Sénat, propose aux décideurs politiques et économiques de découvrir les nouveaux usages du numérique et de rencontrer ceux qui les développent dans le monde entier. La ministre a tenu à souligner l'importance d'une démarche autour du numérique fondée sur les usages et non sur les seules technologies. Rappelant que l'histoire d'Internet, celle des SMS ou encore celle du mobile en Afrique, s'étaient construites à partir de ce que les utilisateurs ont bien voulu en faire, elle a souligné des initiatives telles que Wizzit. Cette banque mobile à destination des populations défavorisées d'Afrique du Sud a reçu le grand prix Netexplorateur 2009 à l'occasion du forum. La ministre a poursuivi sur le thème des usages en évoquant son prochain voyage en Corée du Sud, où elle compte bien observer justement les usages du numérique dans cette population qui « regarde la télé toute la journée dans le métro ». Ce même pays, elle l'a rappelé, construit aussi non loin de Séoul New Songdo City, la ville du futur. « Les quatre directions les plus porteuses : la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique » [[page]]Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, il faut désormais aller, d'une part, vers un Internet participatif, et d'autre part, vers davantage de liens entre Internet et les communications mobiles. « Les quatre directions les plus porteuses sont la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique, a précisé la ministre. Chacun de ces usages a vocation à se généraliser. Il y a lieu d'être enthousiaste, mais aussi prudent et modeste. » Enthousiaste, parce que la France possède l'infrastructure idoine. Prudent et modeste parce que si le numérique doit sans conteste participer à la croissance, il ne faut pas se complaire dans la « techno béatitude ». « L'innovation industrielle peut jouer un rôle décisif, a ajouté la ministre. L'investissement dans des applications numériques au service des personnes, par exemple, créera des emplois et de la richesse tout en répondant à un besoin social réel. » « Il y a des gisements de croissance incroyables. Mais si nous attendons du développement de l'économie numérique qu'il contribue à la sortie de crise, il faut comprendre que cela doit être au delà d'Internet et des télécoms, mais que cela doit impliquer l'Etat, chaque PME, chaque famille... » Des outils pour accompagner les start-up vers l'international Sur la question particulière des start-up du numérique français qui peinent souvent à se développer, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé les deux problèmes identifiés par le gouvernement. D'une part, la difficulté à trouver des crédits pour grossir, et d'autre part, la difficulté à se tourner vers l'international. La ministre pense que le plan France Numérique 2012 pourrait être étoffé sur le sujet. Elle ajoute qu'il n'existe pas suffisamment de lieux pour proposer des outils idoines à ces jeunes entreprises. Nathalie Kosciusko-Morizet évoque ainsi l'incubateur de Télécom ParisTech qu'elle a visité le 29 janvier dernier. Mais elle estime aussi que le soutien aux nouvelles technologies ne devrait pas être réservé aux écoles d'informatique et télécoms. Le développement du numérique n'est pas forcément technologique. (...)

(06/02/2009 11:08:44)

LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(05/02/2009 16:10:47)

Google News désormais disponible sur tous les sites

Personne ne sait vraiment comment cela fonctionne, mais désormais tout le monde peut l'avoir sur son site : Google News, service du moteur de recherche agrégeant les flux d'information des sites de médias, est disponible pour tout un chacun. Il suffit pour cela de se rendre sur le site de Google, et de suivre les instructions, voire de copier-coller les exemples de code fournis. Un assistant offre même la possibilité aux gestionnaires de sites les moins férus de technique de réaliser la chose en quelques clics. Le service s'affiche alors sur la page Web, avec la mention « powered by Google News ». Google News n'en finit pas de susciter la polémique chez les éditeurs de presse. Ces derniers le voient autant comme une bénédiction - grâce au trafic qu'il génère - que comme une calamité, car il est impossible de savoir à l'avance si telle ou telle information sera reprise par le service, et à plus forte raison si elle sera mise en avant ou pas. L'algorithme utilisé par Google News semble en effet privilégier la masse d'informations identiques sur un même sujet par rapport au scoop, mais nul ne sait comment il tient compte de l'heure de la publication ou d'autres détails sur la rédaction de l'information. En d'autres termes, une grande partie de la popularité des sites de médias tient aux caprices d'un logiciel impénétrable. Il faut noter que Google n'est pas le premier à rendre ce type de service accessible gratuitement à tout le monde : Wikio le fait déjà, par exemple. Mais le service de l'éditeur français est loin d'avoir la même popularité. (...)

(05/02/2009 16:10:29)

La banque mobile sud-africaine Wizzit obtient le grand prix Netexplorateur 2009

C'est le fondateur de la banque mobile Wizzit, Brian Richardson, qui obtient le grand prix Netexplorateur 2009. La récompense lui sera remise lors de la clôture du deuxième forum Netexplorateur qui se tient au Sénat les 5 et 6 février. Cette manifestation entend récompenser les 10 pionniers des « innovations mondiales les plus prometteuses en matière d'usages numériques. » Wizzit a créé une banque 'low cost' uniquement accessible depuis les téléphones mobiles. Objectif : proposer des services bancaires faciles d'accès (transferts, retraits, paiements de factures, communications prépayées, etc.) aux populations de l'Afrique du Sud qui n'y avaient pas encore accès. Les organisateurs de la manifestation et un réseau d'experts internationaux ont choisi cette jeune entreprise sud-africaine parce qu'elle associe technologies mobiles innovantes, business et solidarité. Le système fonctionne depuis n'importe quelle carte SIM et n'importe quel réseau GSM. Il faut rappeler que la téléphonie mobile est un des moyens de communication les plus répandus en Afrique du Sud, comme c'est souvent la cas sur ce continent. Le patron de Wizzit raconte que « dans certaines zones rurales, les mobiles sont plus nombreux que les prises électriques ». Le service s'adresse à une population défavorisée, mais il est aussi voué à « être au plus près de chacune des communautés ethniques et linguistiques d'Afrique du Sud. Le relais commercial et marketing est assuré par des 'Wizzkids', issus eux-mêmes des différentes ethnies, qui prospectent dans leur communauté. » Enfin, les frais d'accès aux services bancaires restent raisonnables puisqu'ils sont calculés en fonction de l'utilisation. Wizzit connaît déjà le succès dans son pays, mais il est aussi soutenu par la Banque Mondiale et sera présenté en octobre à la fondation Clinton. En septembre dernier, il a lancé une entreprise commune avec la Royal Bafokeng Holdings pour créer « un réseau bancaire complet dans une communauté de 300 000 personnes au nord-ouest de l'Afrique du Sud (Royal Bafokeng Nation), quasiment sans accès aux services bancaires jusqu'à présent ». (...)

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