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(23/02/2009 16:14:00)

Carol Bartz s'apprêterait à réorganiser la direction de Yahoo

Carol Bartz se préparerait à annoncer cette semaine une réorganisation majeure au coeur même du management de Yahoo. La nouvelle CEO nommerait une nouvelle équipe de direction afin de remettre l'entreprise sur pied et reviendrait sur certains changements organisationnels entamés par l'ancien CEO, Jerry Yang et la présidente Sue Decker, selon des informations publiées sur All Things Digital, un blog d'informations affilié au Wall Street Journal. Cette annonce devrait avoir lieu mercredi 25 février bien qu'elle puisse aussi, selon le même site Web, s'étaler sur l'ensemble de la semaine. All Things Digital cite des sources anonymes à l'intérieur et en dehors de Yahoo. Carol Bartz aurait par ailleurs envoyé un mémo à ses employés vendredi dernier en des termes plutôt éloquents : « reposez-vous bien car la semaine prochaine va être d'importance. » Un management semblable à celui qui a redressé Autodesk Les changements annoncés pourraient concerner une équipe de direction de « niveau 3 » revisitée, avec un chef des opérations (chief operating officer, COO), un directeur technique (chief technical officer, CTO) et un nouveau directeur maketing avec davantage de pouvoir qui reporterait directement à Carol Bartz. Une structure semblable à celle que la CEO avait installée pour redresser l'éditeur Autodesk. Le mois dernier, Carol Bartz avait précisé avoir identifié des «sujets fondamentaux » à traiter afin d'aiguiser sa stratégie et d'accélérer la prise de décision. « J'ai l'intention de bouger rapidement pour m'attaquer à ces problèmes essentiels. » Elle a pris les rênes de Yahoo il y a six semaines pour remplacer Jerry Yang qui avait démissionné en novembre. Il avait pris cette décision après les interminables discussions avec Microsoft autour d'un rachat par l'éditeur de Redmond qui n'ont finalement pas abouti ainsi que l'échec du partenariat avec Google concernant les annonces commerciales payantes en ligne. Le mois derner, Yahoo a annoncé une perte nette de 303 M$ pour son quatrième trimestre 2008, alors qu'il avait réalisé 206 M$ de bénéfice en 2007. La chiffre d'affaires a baissé de 1% pour atteindre 1,81 Md$. (...)

(20/02/2009 17:00:16)

Hadopi : La commission des Lois durcit le texte

Avant que ne débute l'examen du projet de loi création et Internet par les députés, la commission des Lois de l'Assemblée s'est penchée sur le texte afin d'en ébaucher les premiers amendements. Les édiles annoncent clairement la couleur : ils n'ont pas l'intention d'adoucir la loi. Ils ont ainsi rejeté quantité d'amendements, pourtant souvent de bon sens, qui auraient contribué à rendre le texte plus respectueux des droits fondamentaux. Il en va ainsi de l'amendement prévoyant le caractère suspensif des décisions prononcées par l'Hadopi ou des recours formés par les internautes contre ces mêmes décisions. A la trappe également les propositions visant à indemniser les internautes dont l'abonnement à Internet aura été injustement suspendu ; idem pour celui permettant à l'internaute de ne pas payer pour un abonnement en cours de suspension. Citons également le refus de la commission des Lois de tirer un trait sur la publication par voie de presse des sanctions de l'Hadopi. Une mesure « d'un archaïsme sidérant », aux yeux du socialiste Patrick Bloche, mais néanmoins conservée. L'accès à Internet n'est pas une liberté fondamentale L'amendement suggérant l'intervention du juge judiciaire pour le prononcé de ces suspensions prend également le chemin de la poubelle, en dépit du principe constitutionnel soulignant que ce même juge est le seul compétent lorsqu'il est question d'une atteinte aux libertés fondamentales. Mais, estime le député Franck Riester, rapporteur du texte, « l'accès à Internet n'est pas à mon sens une liberté fondamentale ». Les eurodéputés avaient dit exactement l'inverse en adoptant à une immense majorité le désormais célèbre amendement 138, qui vilipendait le principe même de riposte graduée à la française. Cet inventaire à la Prévert ne saurait être complet si l'on omettait une des perles du débat. Alors que Jean Dionis du Séjour souhaitait introduire un amendement imposant l'interopérabilité et la gratuité des moyens de protection (c'est-à-dire des parefeu) dont l'installation peut être ordonnée par l'Hadopi, la commission a balayé ce principe. Motif invoqué par le rapporteur : « Il faut laisser au consommateur sa totale liberté de choix en fonction de son système d'exploitation. L'interopérabilité n'est pas nécessaire pour les consommateurs et elle est trop contraignante pour les éditeurs de logiciels. » L'Assemblée nationale n'étant pas fréquentée que par des députés intéressés par les questions relatives à l'IT, l'assertion de Franck Riester n'a guère fait bondir les édiles. Lesquels n'ont pas plus sourcillé quand le même rapporteur a approuvé un amendement prévoyant que l'Hadopi établira une liste labellisant les moyens de sécurisation. En clair, l'autorité sélectionnera les logiciels grâce auxquels les internautes pourront montrer patte blanche. Dans ce débat, les élus ne sont décidément pas à une contradiction près. La licence globale réapparaît A côté de ces rejets, la commission des Lois a validé un amendement visant à durcir le projet de loi. La durée minimale de la suspension, ramenée par les Sénateurs à un mois, est désormais susceptible d'être deux fois plus longue. Cette décision de la Chambre haute contribuait, selon le rapporteur, à réduire « à néant l'intérêt » pédagogique de la sanction. Enfin, sans surprise, la proposition de Patrick Bloche de mettre en place une licence globale - renommée pour l'occasion contribution créative - n'a pas convaincu les membres de la commission. Pourtant adoptée, à la faveur d'une session nocturne, par l'Assemblée lors des débats autour de la Dadvsi, puis finalement rejetée in extremis, cette licence n'est pour Franck Riester qu'un instrument remettant « fondamentalement en cause la juste rémunération des offres artistiques auxquelles le public a librement adhéré ». (...)

(20/02/2009 13:38:27)

L'Icann écoute les inquiétudes formulées autour de l'extension des noms de domaine génériques

Pour répondre aux commentaires suscités par son projet de créer et de vendre de nouveaux noms de domaine génériques -gTLD, l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) vient de modifier son calendrier sur ce dossier. Mercredi dernier, 18 février, le régulateur d'Internet a ainsi publié un document de 154 pages, détaillant et analysant les centaines de commentaires qu'il a reçus à ce propos : « New gTLD draft applicant guidebook : Analysis of public comment ». L'inquiétude suscitée par ce projet amène l'Icann à différer à décembre 2009 la date de sa mise en application prévue initialement pour septembre. Dans le document mis en ligne sur le site de l'organisme de régulation, Paul Twomey, son président, justifie ce décalage par la nécessité de prendre son temps pour résoudre des questions d'intérêt général : « la stabilité du système des noms de domaine, la protection des utilisateurs et des marques ne doivent pas être sapées par l'introduction de nouveaux noms de domaine génériques ». Différents acteurs du monde Internet ont effectivement pointé les risques d'une telle expansion. L'Icann, de son côté, avance que plusieurs pays, dont les Etats-Unis, demandent depuis presque dix ans une procédure simplifiée pour la mise en place de noms de domaines. Il y a actuellement 21 TLD génériques (.com, .org, .biz, .info, etc.), tous utilisant des caractères latins. Parmi les ouvertures prévues figurent l'arrivée d'autres caractères, chinois, par exemple, ainsi que la possibilité, sous réserve d'acceptation des dossiers, de créer des extensions géographiques, sur les noms de ville par exemple, ou thématiques (une communauté, un marché, une catégorie, un sport...). La protection des noms de marque risque de coûter très cher Parmi les appréhensions formulées autour de cette possible multiplication des TLD, plusieurs entreprises ont mis en évidence qu'il leur faudrait, si l'Icann poursuivait son projet sur les mêmes bases, enregistrer des dizaines d'adresses supplémentaires dans chaque nouveau gTLD pour protéger leur marque. Ces sociétés pourraient également se voir contraintes d'acheter leur propre gTLD, par exemple .apple ou .ibm, ce qui représenterait à chaque fois une dépense de 185 000 dollars (environ 146 000 euros), montant demandé par l'Icann pour déposer un dossier de nom de domaine personnalisé, sans compter les coûts annuels associés. Dans le document publié le 18 février, l'Icann dit étudier plusieurs solutions pour protéger les possesseurs de noms de marque. Le régulateur pourrait par exemple créer des « listes blanches » de noms de domaine qu'il ne serait pas possible d'enregistrer. Par ailleurs, il a demandé à deux de ses comités d'étudier les effets que son projet d'extension des gTLD pourrait entraîner sur la sécurité et la stabilité du système de nom de domaine (DNS). Aucune piste très précise pour l'instant, donc, pour répondre aux préoccupations légitimes de tous les acteurs concernés par les multiples points sensibles soulevés par ce dossier. D'où la nécessité, pour l'Icann, de détailler publiquement les commentaires qu'il a reçus à ce sujet. « Il y a encore beaucoup à faire » pour faire avancer ce projet, reconnaît Paul Levins, vice président de l'Icann. La prochaine réunion publique de l'organisation va se tenir à Mexico dans quelques jours, du 1er au 6 mars. Outre ce dossier délicat, elle permettra, selon l'Afnic (autorité de nommage pour les domaines de la zone .fr), d'aborder les nouvelles relations entre l'Icann et l'administration du nouveau président américain, Barack Obama. (...)

(19/02/2009 17:04:51)

Delphi et JBuilder accessibles à la demande

Les nostalgiques des outils de développement de Borland tels que Delphi ou JBuilder vont pouvoir se réjouir : Embarcadero, qui les a rachetés en mai 2008, les propose en ligne, au sein d'une offre de distribution originale. Embarcadero All-Access inclut tous les outils de développement et de gestion de bases de données de l'éditeur, l'accès à ce portefeuille (plus de quarante en comptant les éditions différentes des logiciels) étant soumis au paiement d'une seule licence. L'éditeur a prévu quatre niveaux de membres, du Bronze (pour les développeurs ou administrateurs de bases de données isolés) au Platinum (pour les architectes et autres responsables de projets d'entreprise). Selon le niveau de membre et le type de licence retenu (au développeur nommé, au jeton...), chacun pourra puiser dans ce portefeuille les produits qui le concernent. La principale innovation est cependant seulement en train de se mettre en place. Embarcadero prévoit de rendre l'ensemble de ses outils accessibles en utilisation à la demande, directement depuis le Web, grâce à sa technologie InstantOn. D'ici à fin 2009, tous les outils devraient pouvoir ainsi s'utiliser sans installation en local. Embarcadero avait obtenu Delphi, C++ Builder ou encore JBuilder lors du rachat - pour 23 M$ - de Codegear, une entité autonome où Borland avait regroupé ses outils de développement. L'éditeur de JBuilder s'était rendu à cette solution après avoir vainement tenté de les vendre en 2006. Confronté au succès grandissant d'Eclipse, Borland avait décidé de concentrer ses efforts sur le marché de la gestion du cycle de vie des applications. (...)

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