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(09/12/2008 18:05:51)

Le Web'08 : les à-côtés éclipsent le programme principal

De même que Stendhal écrivait pour les Happy Few, cette élite capable de lire et comprendre « De l'Amour », Le Web'08 et son thème de l'amour ont attiré à Paris un public acquis d'avance à ce genre d'événement, et seul à même d'y trouver de l'intérêt. Ouverte ce matin et partie pour deux jours, la conférence internationale sur le Web initiée par Loïc Le Meur a de fait attiré un public nombreux - malgré un tarif toujours plus élevé (les places pour les retardataires valant pas loin de 1800 euros) - et international, de nombreux Européens et Nord-Américains ayant fait le déplacement. Pari réussi, donc, de ce point de vue. En revanche, les premières heures de la conférence principale ont confirmé les craintes qu'on pouvait avoir à la suite des précédentes éditions : les interventions sur scène ressemblent essentiellement à des exercices d'autosatisfaction et d'autocongratulation, blogueurs connus, « influenceurs » et représentants de gros acteurs du Web discutant et se flattant les uns les autres entre gens de bonne compagnie, et caressant l'audience dans le sens du poil. L'amphithéâtre secondaire et le sous-sol consacrés aux start-up Heureusement, la conférence garde deux atouts majeurs. D'abord, vu qu'il s'agit du lieu où il faut être parce que les autres y sont, tout le petit monde du Web, start-up et investisseurs, s'y retrouve, avec l'espoir de faire des affaires. Ensuite, l'organisation a réservé un amphithéâtre pour le concours de start-up, leurs représentants disposant chacun de 10 minutes pour présenter leur société. Au sous-sol du 104, où se déroule l'événement, le public lassé du programme principal pouvait déambuler parmi une noria de jeunes pousses mettant en avant les services Web grand public de demain. Le Web'08 est en effet aussi l'occasion pour Sun et Microsoft de faire connaître leurs programmes dédiés aux start-up, respectivement Startup Essentials et Bizspark. Une table ronde sur le sujet est d'ailleurs au programme de la seconde journée. (...)

(09/12/2008 15:45:31)

AMD livre un portrait idéalisé de la France numérique

Trois ans après une première enquête menée en 2005, AMD, en association avec le cabinet YouFGov, étudie de nouveau les usages numériques des Européens et des Français en particulier. Le résultat est plutôt étonnant si on le compare avec d'autres études existantes. Il faut dire que l'enquête a été réalisée auprès de 5148 Européens dont seulement 1000 Français, entre le 17 et le 30 septembre dernier. Dans ce sondage, les Français interrogés se classent troisièmes en terme d'équipement numérique derrière les espagnols et les Anglais. Et 87,5 % des Français interrogés déclarent avoir un ordinateur de bureau chez eux, loin des 60,1 % annoncés par l'institut GFK en début d'année et des optimistes 66 % de taux d'équipement avancés par le Credoc. Et s'ils restent fidèles à leurs vieilles « tours », 40 % des Français sondés déclarent vouloir acheter un ordinateur portable, parmi lesquels 14 % préféreraient un netbook. Parmi eux, les habitants de Poitou-Charente (à 56 %), ceux de Champagne et d'Alsace (à 52 %) et de Provence et Languedoc Roussillon (à 50 %) sont les plus désireux de s'équiper d'un portable. Cette envie d'une solution mobile correspond également à un besoin d'être connecté à Internet. Selon cette enquête, 85 % des Français considèrent qu'avoir un accès à Internet est indispensable, contre 77 % pour une machine à laver ou 66 % une automobile. 89 % utilisent cet accès pour la messagerie instantanée, contre seulement 73 % des Européens. Parmi les autres activités préférées des Français, citons le jeu (à 76 %) et le multimédia (lecture de vidéo pour 75 % d'entre eux et mise en ligne de photos pour 68 %). (...)

(09/12/2008 16:47:47)

Damien Vincent, ancien de MySpace, prend la tête de Facebook France

Facebook vient d'ouvrir sa filiale française, comme Mark Zuckerberg l'avait annoncé en octobre dernier lors de son passage dans l'Hexagone. Cette agence est située dans le 16e arrondissement de Paris. Damien Vincent en prend la tête en tant que directeur commercial. Il occupait auparavant un poste similaire au sein de MySpace France. Il sera chargé de constituer une équipe commerciale française qui restera sous la houlette de la direction européenne, dont le siège se situe en Irlande. (...)

(09/12/2008 14:43:01)

Microsoft prêt à ne conserver les données de connexion des internautes que six mois

Microsoft pourrait diminuer la durée pendant laquelle il conserve les données de connexion des utilisateurs de ses outils de recherche en ligne en Europe, mais pas à n'importe quelle condition. L'éditeur de Redmond vient ainsi d'annoncer son intention de ramener de 18 mois à 6 mois la durée de rétention des logs, des données recueillies lors de chaque recherche qui, associées à des adresses IP, permettent de bâtir des profils précis basés sur les requêtes des internautes. Mais cela ne sera pas fait sans contrepartie, précise tout de go l'éditeur : « Nous pourrions aller jusqu'à six mois, a confirmé l'éditeur à l'AFP, mais quand les autres le feront aussi et s'ils rendent [les logs] anonymes » au-delà de ce laps de temps. Les autres, évoqués par le géant de Redmond, sont Yahoo et Google. Le premier conserve les données de connexion de ses utilisateurs pendant 13 mois. Quant à Google, il a réduit cette durée à 9 mois, contre 24 mois avant juin 2007. Microsoft estime que si ses deux principaux concurrents refusent de suivre le chemin qu'il semble prêt à emprunter, cela ne pourrait qu'aboutir sur un désavantage compétitif qui l'handicaperait à coup sûr. Les conséquences des travaux du groupe de l'Article 29 Les avancées que semble prêt à faire Microsoft ne découlent cependant pas uniquement de sa bonne volonté. Elles s'inscrivent en effet dans le respect des recommandations faites par le groupe de travail de l'Article 29, composé des représentants des Cnil européennes. Dans un avis publié en avril, celui-ci indiquait qu'« au vu des explications initiales données par les fournisseurs de moteurs de recherche au sujet des finalités possibles de la collecte de données à caractère personnel, le groupe de travail ne voit pas de raison d'étendre le délai de conservation au-delà de six mois. » Une position que Microsoft affirme partager mais qu'il entend voir « uniformément respectée ». Ses concurrents pourraient d'ailleurs y être contraints : si les principes posés par l'Article 29 n'ont qu'une valeur consultative, ils sont néanmoins susceptibles d'influencer la Commission européenne, qui pourrait décider d'intervenir en l'absence d'avancées significatives des acteurs du Web. En 2007, les Cnil des 27 avaient ainsi admonesté Google, lui reprochant de conserver les logs pendant deux ans. Dans la foulée, le géant du Web avait ramené cette durée à 18 mois puis, un an plus tard, à neuf mois. (...)

(09/12/2008 14:41:20)

Microsoft fournit un moteur de blog développé en ASP.NET MVC

Avec la mise à disposition d'Oxite sur CodePlex, son site consacré aux projets Open Source, Microsoft propose un « échantillon » de moteur de blog écrit en ASP.NET MVC, afin de fournir un exemple de fonctions réutilisables. Selon l'éditeur, si le fonctionnement des blogs est bien compris des développeurs, le jeu de fonctions de base requis (les liens inter-blogs -trackbacks, les fils RSS ou encore les commentaires) est en revanche assez complexe à mettre en oeuvre. Pour Microsoft, Oxite a aussi valeur d'exemple car il s'agit d'un échantillon de code écrit avec ASP.NET MVC. Ainsi, sur Codeplex, les créateurs d'Oxite expliquent qu'ils ont développé ce code dans le cadre de la construction du site MIX Online, communauté destinée aux designers Web et aux développeurs. Au-delà du simple blog, ils présentent Oxite comme une plateforme de gestion de contenu qui peut servir à mettre en oeuvre des sites Web plus importants. (...)

(08/12/2008 18:00:02)

Salesforce interface son Force.com avec l'App Engine de Google

Salesforce.com devrait annoncer qu'il interface sa plateforme de développement Force.com avec celle de Google, App Engine. Cette information que le PDG Marc Benioff devrait détailler à l'occasion d'une conférence à New York, suit un accord semblable signé récemment par l'éditeur avec Amazon autour de son cloud EC2 et de son Simple Storage Service (S3). L'App Engine de Google, qui reste en mode 'preview' est destiné aux développeurs qui souhaitent écrire rapidement et facilement des applications Web évolutives alors que Amazon Web Service (AWS) se positionne plutôt comme une plateforme d'infrastructure flexible pour servir tous types de programmes. Quant à Force.com, il fournit une base de données, un langage 'Java-like', des outils d'intégration, des capacités de workflow et des outils de conception d'interface utilisateurs pour créer des applications d'entreprise sur l'infrastructure de 'cloud' de Salesforce. Des applications à la frontière entre entreprise, front-office, réseaux sociaux... « Il faudra cependant attendre encore avant de voir le résultat de cet interfaçage entre les deux plateformes de développement », avertit Adam Gross, vice-président du marketing développeur de Salesforce. Mais dans une déclaration, Google estime, lui, que cette intégration va « encourager la création de nouvelles applications et démontrer encore davantage la puissance du Web en tant que plateforme. » « Nous parlons d'inventer des applications qui n'existent pas encore, et qui se placeront à la frontière des applications d'entreprise et des applications de front office, explique Denis Pombriant, dirigeant du cabinet Beagle Research. Ou entre ces dernières et des réseaux sociaux. Cela ouvre la porte à de véritables innovations. » Cette annonce est la dernière étape en date du partenariat entre Salesforce et Google - qui a aussi donné lieu à une intégration entre Salesforce et Google Apps - et pourrait relancer les rumeurs d'un possible rachat de Salesforce par le géant du moteur de recherche. Mais pour Denis Pombriant, ce ne serait pas une bonne idée. « Il est essentiel que les deux entreprises restent indépendantes, explique-t-il. Nous ne verrons pas arriver une vraie ère du cloud computing si tous les 'clouds' appartiennent à la même société. » (...)

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