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(08/11/2011 14:38:27)
Google+ ouvre enfin ses portes aux entreprises
Le réseau social de Google est maintenant prêt pour les entreprises. Après les particuliers, elles peuvent maintenant créer des pages, baptisés Pages Google + sous leur nom ou leur marque. A quoi ressemble une page sur Google+, sans grande surprise, on retrouve les ingrédients connus sur Facebook. Elle donne un moyen pour les entreprises d'être présent sur le réseau social, de dialoguer avec ses clients, partager des informations sur les prochains produits et services, répondre aux questions, et plus encore.
Les particuliers peuvent se connecter avec les entreprises et les marques qu'ils aiment. Ils peuvent affecter un +1 (l'équivalent de « J'aime » sur Facebook) aux pages Google+ et les partager avec le reste de leur réseau. Les utilisateurs peuvent intégrer les marques ou les entreprises au sein de leurs Cercles et être ainsi informés des prochaines offres produits ou services. La plupart des utilisateurs estiment que les pages ne sont ni plus ni moins qu'un profil adapté aux entreprises ou aux marques, similaires à celles connues sur Facebook.
Des différences sensibles avec les Fanpages Facebook
Un petit plus est l'intégration de la fonctionnalité Direct Connect qui permet d'indexer la page directement dans le moteur de recherche. Il suffit pour cela de rajouter + devant le nom de l'entreprise ou la marque pour être rediriger directement vers la page Google+. Cette fonction est pour l'instant en phase de déploiement. Pour suivre les activités d'une page entreprise comme d'un individu, il faut que le membre la place dans l'un de ses « cercles ». A l'inverse de Facebook, le propriétaire de la page peut également, s'il le souhaite, limiter des publications à certains « cercles ». On peut très bien imaginer que, à terme, certaines informations exclusives soient réservées à des groupes : clients, prospects... Comme pour les membres individuels, les pages Google Plus offrent également la possibilité d'utiliser les « bulles » pour avoir des conversations en webconférence face à face. Cette possibilité n'existe pas non plus sur Facebook.
Gérer la fragmentation des réseaux sociaux
Maintenant que les Pages de Google+ sont disponibles, il sera intéressant de voir si les entreprises vont aller vers ce réseau social ou si elles préfèrent s'en tenir à Facebook. Peut-être que certaines entreprises vont hésiter à être présentes sur les deux réseaux sociaux pour n'en privilégier qu'un seul par la suite. Plusieurs questions peuvent se poser, est-ce que les contenus seront adaptables sur les deux réseaux ? si on choisit Google +, existe-t-il des outils de migration depuis Facebook ? etc.
(...)(08/11/2011 10:22:31)
Une perception aléatoire de la sécurité IT par les cadres dirigeants
Les récentes technologies et pratiques sont mises en vedette dans la dernière livraison de l'étude mondiale de Ernst & Young sur la perception de la sécurité des SI par les dirigeants d'entreprises. Et cela dans un contexte des plus hostiles : 72% des répondants de l'enquête considèrent que les risques externes s'accroissent.
Mais l'insécurité n'est pas un frein à l'adoption de technologies et de pratiques. Ainsi, 80% des répondants pensent implanter des tablettes (14% l'ont déjà fait officiellement avec le support de la DSI) dans leurs organisations alors même qu'ils reconnaissent un niveau de sécurité très perfectible pour ces terminaux. D'une manière générale, seulement 47% des organisations semblent recourir à des techniques de cryptage des données sur des terminaux mobiles (portables, tablettes, smartphones...) alors même que les vols de ces objets sont très nombreux.
De la même façon, la priorité des prochains douze mois sera la sécurité dans le cloud alors même que l'adoption de l'informatique dans les nuages ne cesse de progresser. 61% des répondants déclarent ainsi utiliser ou compter utiliser le cloud dans l'année à venir. Mais plus de la moitié n'ont fait aucune analyse des risques induits par une migration dans le cloud. Et la seule réponse à cette insécurité latente est un contrôle des clauses contractuelles pour 20% des répondants. C'est certain qu'un contrat a toujours arrêté un cybercriminel. Dans 88% des cas, une accréditation par un tiers sera un plus pour accorder sa confiance, dans 45% seulement si cette accréditation se fait selon des standards reconnus.
Les réseaux sociaux inquiètent
L'une des craintes majeures des entreprises reste la pénétration des défenses par l'ingénierie sociale. Or les médias sociaux et notamment les réseaux sociaux sont analysés comme des outils facilitant ce genre d'attaque. La réponse des entreprises est donc d'en couper l'accès durant les heures de travail (53% des répondants), les collaborateurs étant donc réputés oublier toutes les informations professionnelles et ne plus se connecter aux réseaux sociaux dès qu'ils sont hors des locaux de l'entreprise.
Si 59% des répondants pensent accroître le budget de la sécurité, surtout pour perfectionner le PCA/PRA du reste, l'argent ne fait pas tout. Ainsi, seulement 51% admettent disposer d'une stratégie formalisée de sécurité.
KPN cesse par précaution d'émettre des certificats SSL
Décidément la Hollande devient une berezina pour les autorités de certification SSL. Après Diginotar en septembre dernier, c'est au tour de l'opérateur KPN d'arrêter de proposer ses fameux certificats. Simona Petescu, porte-parole du groupe batave, a expliqué « lors d'un audit sur le site web public, plusieurs indications ont montré que quelqu'un l'avait préparé en vue d'une attaque en déni de service (DDOS) comme il y a quatre ans ». Elle ajoute pour rassurer que, « l'infrastructure backend utilisé pour générer les certificats ne semble pas avoir été affectée, même si une enquête est en cours dont les résultats seront connus prochainement ». Selon elle, « il ne semble pas que des faux certificats SSL aient été créés, mais par précaution nous avons cessé d'émettre des certificats et averti le ministère de l'Intérieur néerlandais. »
Les autorités intermédiaires de plus en plus ciblées
La division KPN Corporate Market est connue comme une autorité intermédiaire de certification, l'une des centaines d'entreprises et d'organisations du monde entier qui peuvent délivrer des certificats SSL pour le compte des autorités principales. Ces entreprises sont particulièrement prisées par les pirates qui peuvent émettre des faux certificats pour amener les internautes vers des sites en apparence vrais, mais capables de soustraire des informations personnelles et sensibles.
La semaine dernière, une autorité intermédiaire de certification malaisienne nommée Digicert a révoqué 22 de ses propres certificats en raison de la faiblesse des clés de cryptage RSA. Dès jeudi, Mozilla et Microsoft ont supprimé tous les certificats émis par la société.
(...)
L'Internet mobile toujours en forte croissance selon Ericsson
Le trafic Internet mobile généré par les smartphones et les tablettes pourrait être multiplié par 10 entre 2011 et 2016, selon une étude de l'équipementier Ericsson. Alors que le nombre d'abonnements mobiles devrait s'établir à 900 millions fin 2011, il pourrait atteindre les cinq milliards à l'horizon 2016.
Ericsson table sur une croissance de 60% par an du trafic mobile de données, principalement dopée par la consultation de vidéos (enregistrées ou en streaming). Au final, cela correspondrait en 2016 à échanger dix fois plus de données qu'aujourd'hui, soit entre 4 000 et 5 000 petabytes (10 puissance 15 bytes) par mois. Le seul trafic lié aux smartphones pourrait tripler en 2011, par rapport à l'an dernier.
En 2016, plus de 30% de la population mondiale vivra dans des métropoles d'une densité supérieure à 1 000 habitants au km². Cela ne représente qu'environ 1% de la surface de la Terre mais générera, selon Ericsson, plus de 60% du trafic mobile global.
Cisco veut démocratiser la téléprésence
Il y a quelques semaines, lors d'un évènement à San José en Californie, Cisco a fêté le 5ème anniversaire de son offre de téléprésence qui se constitue de trois grands écrans et d'une expérience vidéo immersive en taille réelle. Il y a 5 ans, le prix d'entrée d'une salle de téléprésence était de 300 000 dollars. Aujourd'hui, Cisco veut démocratiser la téléprésence au plus grand nombre. François Moïse, responsable de l'activité collaboration et communications unifiées chez Cisco France explique « l'usage de la vidéo et de la téléprésence devient plus mature et le phénomène de consumérisation de l'IT pousse à adapter ses usages aux différents espaces de travail ». Concrètement cette démocratisation passe par le lancement d'une application nommée Jabber Video for TelePresence, qui est un client qui se télécharge sur PC ou Mac, mais aussi sur une tablette ou un smartphone. « Il est essentiel d'être multi-support, notamment dans le cadre de la mobilité » souligne François Moïse. L'application est pour l'instant en démonstration chez Cisco et devrait arriver en version beta au premier trimestre 2012. A noter que côté concurrence, il existe déjà des solutions similaires comme Vidyo par exemple.
L'application proposée par Cisco montre aussi le travail du constructeur dans l'intégration des différentes briques collaboratives, la HD a par exemple été implantée il y a 6 mois dans Webex, l'outil de webconferencing de Cisco. John Chambers, PDG de Cisco avait résumé cette orientation « Video is new voice ».
Des idées dans les cartons
La R&D n'est pas en reste pour aller plus loin dans l'expérience vidéo. D'ores et déjà, il est possible d'enregistrer une réunion en téléprésence et repasser les interventions sur n'importe quels supports. La prochaine étape est de trouver des mots clés dits pendant la réunion ou la session vidéo et de les indexer dans une base de données mises à disposition pour les collaborateurs. « Il existe une prolifération d'informations importantes lors des réunions organisées en téléprésence et la demande est forte de pouvoir les analyser, valoriser et les partager sur des outils comme un réseau social d'entreprise par exemple » souligne François Moïse. Il existe d'autres éléments de recherches comme la réalité augmentée ou la traduction en temps réel, mais ils restent pour l'instant au stade de concept. A suivre...
L'Allemagne fait pression sur Facebook au sujet du traçage
Par Jean Elyan, avec IDG NS
« L'agence de Hambourg a publié un rapport sur la manière dont Facebook utilise les cookies, ces petits éléments stockés par le navigateur Internet, qui enregistrent des informations sur les comportements de navigation des utilisateurs, » a déclaré le chef de l'agence allemande, Johannes Caspar. Selon lui, « si les utilisateurs ne donnent pas leur consentement, Facebook a obligation de supprimer les informations qu'il a stockées, en conformité avec la réglementation européenne sur la vie privée. »
L'agence conclut que Facebook n'a pas besoin de laisser des cookies permanents sur l'ordinateur d'un utilisateur. « Or certains y résident parfois jusqu'à deux ans, même quand ceux-ci ont supprimé leurs comptes, » a ajouté Johannes Caspar. « Les conclusions de notre enquête ne permettent pas de justifier l'installation de ces cookies, » a-t-il déclaré. Le chef de l'agence chargée de la protection des données a indiqué qu'il attendait une explication de la part des techniciens de Facebook. Dans une déclaration écrite, le réseau social dit avoir fourni, avant l'écriture de ce rapport, des informations sur la manière dont il utilise les cookies. Facebook se dit aussi « surpris et déçu. » Le rapport « publié par l'Autorité pour la Protection des Données de Hambourg est incomplet, puisque l'agence dispose de toute l'information nécessaire sur les cookies, » a soutenu Facebook.
La durée de vie des cookies toujours au coeur du problème
Ce n'est pas la première fois que Facebook est mis en cause sur la façon dont le réseau social utilise les cookies. Le réseau social soutient que, quand une personne se déconnecte de son compte, les cookies qui restent ne contiennent plus d'éléments permettant d'identifier l'utilisateur. « Les cookies sont utilisés pour des raisons de sécurité, notamment pour identifier les spammeurs et s'assurer que des personnes mineures ne tentent pas de s'inscrire au service en trafiquant leur âge, » a indiqué Facebook dans un communiqué. Le réseau utilise également les cookies pour savoir si les ordinateurs sont utilisés par plusieurs personnes pour se connecter, afin de décourager l'usage de la fonction « Rester connecté » sur ces machines.
Par ailleurs, les navigateurs web permettent de supprimer facilement les cookies. Firefox par exemple offre la possibilité de supprimer les cookies chaque fois que l'on quitte le navigateur Internet, et déjoue efficacement les efforts visant à collecter des informations à partir d'un ordinateur. D'autres mesures peuvent également être utilisées pour déjouer la collecte de données. Comme le VPN (Virtual Private Networks), qui fait croire qu'un ordinateur a une adresse IP le situant en Chine ou ailleurs, alors que celui-ci se trouve en réalité au Royaume-Uni.
La reconnaissance faciale sur la sellette
L'Autorité pour la Protection des Données de Hambourg a aussi un autre différent avec Facebook. L'agence attend toujours une réponse au sujet des fonctions de reconnaissance faciale qui identifient automatiquement les amis d'une personne et suggèrent leur nom. L'agence pense que les utilisateurs doivent donner leur consentement avant que les systèmes de Facebook stockent et analysent leurs visages pour activer la fonction. L'entreprise de Mark Zuckerberg a jusqu'à lundi pour répondre à cette plainte. « Si les discussions échouent, l'Autorité pour la Protection des Données de Hambourg va prendre des mesures juridiques, » a déclaré Johannes Caspar, dont l'agence a le pouvoir d'infliger des amendes.
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