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(14/11/2011 16:11:26)
Logitech abandonne sa plate-forme GoogleTV
Lors d'une conférence tenue devant des analystes et des investisseurs, le CEO de Logitech Guerrino De Luca a souligné que Google TV est un bon concept, mais dont les consommateurs ne sont pas encore prêts à s'équiper. Il a en outre sévèrement jugé le produit de Google TV, notant qu'il s'agissait selon lui d'un produit peu abouti pouvant être assimilé à une «version beta» qui aura coûté au total 100 millions de dollars à Logitech. Il a donc annoncé qu'une fois les stocks déjà produits vendus, Logitech ne poursuivrait pas la production du boîtier. Logitech suit ainsi l'exemple d'Intel, qui a également pris ses distances avec ce projet.
Pour rappel, ce boîtier avait été lancé en grande pompe à l'automne 2010 au prix de 299 dollars. Toutefois, au vu du maigre volume de vente, Logitech s'était vu contraint d'abaisser le prix du boîtier à 99 dollars en juillet.
Nouveaux partenaires pour 2012Selon le site britannique «The Register», un porte-parole de Google aurait annoncé de nouveaux accords avec des fabricants de hardware pour 2012, sans toutefois nommer les nouveaux partenaires de Google dans l'aventure. Selon l'agence de presse Bloomberg, qui cite des sources anonymes, LG Electronics pourrait présenter un téléviseur équipé du logiciel de Google TV en début d'année prochaine.
ICTJournal.ch
Google fait ses emplettes pour Google+ et Chrome
Google souhaite améliorer son réseau social et a annoncé pour cela l'acquisition de la société Katango, pour un montant non communiqué. Cette dernière propose un logiciel qui trie automatiquement les amis des abonnés de Facebook et les contacts iPhone au sein de groupes. Pour cela, il utilise un algorithme analysant une multitude de données et des interactions en ligne.
La firme de Moutain View veut utiliser cette technologie pour améliorer les cercles et les rendre plus interactifs. Katango, qui a lancé son application iPhone en juillet et son application web en août, a été fondée dans le but d'automatiser le processus souvent fastidieux de créer, éditer et maintenir des listes d'amis sur les réseaux sociaux.
Bradley Horowitz, vice-président de Google a confirmé l'acquisition en écrivant « depuis le début, j'ai indiqué que nous avions de grandes ambitions pour les cercles. Etes-vous prêts à mettre un peu de magie dans vos cercles. Car ces gens sont des magiciens ». Il y aura peut-être besoin d'un peu d'intégration, car l'application Katango ne fonctionne pour l'instant pas avec Google+. Une chose est sûre, l'application Katango sur iPhone a été retirée de l'App Store pour indiquer que Google venait de la racheter.
Des plug-ins pour Chrome
Deuxième rachat pour Google, Apture, il s'agit d'une start-up spécialisée dans les plug-ins multimédias au sein des pages web. La société propose aux éditeurs de sites d'intégrer sa technologie d'informations contextuelles, nommé Apture Highlights. Ainsi, en sélectionnant un nom, une fenêtre affiche plusieurs éléments relatifs au nom, extrait de Wikipedia, YouTube, Flickr, etc. La jeune pousse a indiqué sur son site, que les équipes allaient rejoindre la division Chrome de Google pour créer une meilleure expérience utilisateur sur le web. Le montant de l'acquisition n'a pas été dévoilé.
Adobe promet des correctifs pour Flash mobile... mais pour combien de temps ?
Danny Winokur, le responsable d'Adobe en charge du développement interactif, a déclaré dans un blog que l'éditeur livrerait une ultime version de son Player Flash pour les terminaux Android et pour la tablette PlayBook de RIM avant d'arrêter son développement. La dernière version 11.1 a été livrée vendredi. Cependant, M.Winokur a promis que l'éditeur continuerait à livrer des correctifs pour le Player Flash. « Nous allons bien sûr continuer à fournir des patchs pour les vulnérabilités critiques et des mises à jour de sécurité pour les périphériques existants, » a déclaré Danny Winokur. La référence à « des bogues critiques » ne veut pas dire grand-chose, dans la mesure où Adobe qualifie généralement toutes ses mises à jour de sécurité pour Flash de « critiques ».
De son côté, Brad Arkin, directeur de la sécurité et de la confidentialité des produits chez l'éditeur, a renouvelé la promesse. « Adobe va continuer à livrer les mises à jour de sécurité pour le Player Flash mobile après l'ultime mise à jour, » a-t-il déclaré dans un message publié sur Twitter. Mais, ni Danny Winokur, ni Brad Arkin, n'ont précisé combien de temps la version 11 du Player Flash pour smartphones et tablettes bénéficierait de mises à jour de sécurité. Jeudi, le service des relations publiques d'Adobe a refusé de se prononcer sur un calendrier de support pour le logiciel.
Une politique de support difficile à comprendre
Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security, a trouvé étrange qu'Adobe ne dise rien à ce sujet. « Pourquoi ne nous le diraient-ils pas ? », s'est-il interrogé. « Cette absence d'information dérange tout le monde. S'ils ont décidé d'une date pour en finir avec les mises à jour, il est certain que cela incitera les utilisateurs et les développeurs à prendre leur distance avec Flash plus rapidement. » Autre hypothèse émise par le responsable de nCircle Security : peut-être qu'Adobe n'a pas encore pris de décision à ce sujet, ou que l'éditeur est lié par ses engagements auprès d'un ou plusieurs fournisseurs de services mobiles.
Les politiques de support d'Adobe ne permettent pas de savoir le temps qu'il reste à vivre à son Player Flash, contrairement à Microsoft, qui a défini un calendrier de mise à jour pour ses produits - cinq ans pour les produits grand public, dix ans pour les logiciels d'entreprise. Au lieu de cela, Adobe s'engage à assurer le support de la version en cours de ses produits et la version tout de suite en dessous. Cependant, il est arrivé qu'Adobe décide, contre toute attente, de l'arrêt rapide du support d'un produit « en raison de l'évolution du marché et de l'impact pour les clients», comme on peut le lire sur son site internet. Ainsi, en février, Player Flash 9 était mise à la retraite, alors que la version 11 du lecteur d'Adobe n'avait pas encore été livrée. Motif : l'ancienne version datait de cinq ans et sa part de marché était dérisoire, 2% seulement.
Des mises à jour nécessaire pour la sécurité
La manière dont Adobe traite son Player Shockwave apporte peut être un meilleur indice : alors que la version 11 du Player a été introduite en mars 2008, Adobe continue toujours à livrer des correctifs pour les utilisateurs, dont une toute dernièrement. Ironiquement, jeudi, Adobe a livré un correctif pour son Player Flash, non seulement une version 11.1 pour Android, mais aussi pour les navigateurs de bureau sous Windows, Mac OS X et Linux. Cette mise à jour corrige 12 failles, toutes considérées comme critiques, la plupart liées à des problèmes de corruption de mémoire.
C'était la neuvième fois cette année qu'Adobe livrait une mise à jour pour son Player Flash, soit deux fois plus qu'en 2010. Les utilisateurs exécutant des navigateurs Internet de bureau, autres que Chrome - Google a également mis à jour son navigateur jeudi, avec le patch du Player Flash - peuvent télécharger la dernière version sur le site d'Adobe. Les utilisateurs d'Android doivent passer par l'Android Market pour obtenir leur mise à jour.
(...)(14/11/2011 09:48:04)1/3 des Français utilisent leur mobile pour des opérations bancaires
Pour permettre aux consommateurs d'effectuer des opérations bancaires via leur smartphone, certaines banques ont développé des applications mobiles. Toutefois, seuls 34% des Français savent que la leur en propose une. De plus, ils ne sont que 8% à l'avoir téléchargé. Si 85% des consommateurs ne sont pas intéressés par ce genre d'innovation, c'est tout simplement parce qu'ils préférent se rendre directement dans une agence bancaire (50%) ou parce qu'ils choisissent l'ordinateur de préférence (43%). Par ailleurs, lorsqu'il est question de payer à l'aide de son smartphone, 57% des Français jugent cette solution pratique, voire innovante pour 53% de consommateurs.
Cette étude a été réalisée les 28 et 29 octobres 2011 auprès d'un échantillon de 1.013 individus âgés de 15 ans et plus.
Recap IT : Les Anonymous et Duqu super stars, Google + s'ouvre aux entreprises, Adobe tue Flash pour mobile
Encore une semaine amputée d'un jour, mais l'actualité IT est toujours aussi dense. Sur le plan de la sécurité, les projecteurs se sont tournés vers le collectif de hackers Anonymous. A chaque piratage de grande envergure, sites gouvernementaux, grandes entreprises ou sectes, ils sont pointés du doigt. Là en l'occurrence, ils sont fortement soupçonnés d'avoir bloqué des sites militaires israéliens, mais également d'avoir fait plier un cartel de drogue mexicain. Autre star de la semaine, Duqu qui n'en finit pas de faire parler de lui. D'un côté, Microsoft annonce un correctif partiel sur ce trojan. De l'autre, F-Secure détaille les risques liés à Duqu, alors que NSS Labs se targue d'avoir créé un outil Open Source pour détecter le malware qui est contesté par plusieurs éditeurs de solutions de sécurité.
Toujours sur la sécurité, la CIA s'intéresse aux tweets en analysant quotidiennement 5 millions de messages pour trouver des éléments criminels ou terroristes. La société Palo Alto a présenté Wildfire, un outil capable de détecter et bloquer le trafic suspect.
SAP, Fujitsu tiennent forum et Google + s'ouvre aux entreprises
Si Gartner annonce une deuxième récession dans les dépenses IT, plusieurs acteurs de l'IT ont montré lors de différents évènements qu'ils étaient dynamiques sur le plan des produits et des services. Ainsi, Fujitsu Forum se positionne clairement dans le cloud comme un acteur de bout en bout, du hardware jusqu'au logiciel en proposant en propre une solution de CRM Open Source en mode SaaS. De son côté, SAP lors de son évènement à Madrid Sapphire cible l'analyse des données à travers sa solution in memory HANA, mais reste aussi vigilant et innovant sur son coeur de métier. EMC tenait aussi son Forum à Paris avec un focus bien évidement sur le big data, mais aussi sur sa volonté d'étoffer son écosystème de partenaires.
Dans un autre registre, Google a annoncé l'ouverture de son réseau social, Google +, aux entreprises. Cela été très attendu et certains comme la Caisse d'Epargne ont rapidement annoncé leur présence. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a dénigré son concurrent en indiquant qu'avec Google +, la firme de Moutain View s'était créé un petit Facebook.
Adobe liquide Flash sur mobile et Juniper plante le web
Il aura fallu 6 minutes de panne à cause d'une mise à jour sur des routeurs edge de Juniper pour que le web américain et européen soit ralentit pendant plusieurs heures. Pour Adobe, la décision a été prise de cesser le développement de Flash Player sur les mobiles pour se focaliser sur le HTML5. Ce recentrage entraîne la suppression de 750 emplois. Steve Jobs peut sourire d'outre-tombe, lui qui avait refusé l'intégration de Flash sur les terminaux mobiles Apple. La firme de Cupertino ferraille toujours avec Samsung sur les brevets, même si la Commission européenne pourrait pousser les deux protagonistes à un compromis.
La Caisse d'Epargne ouvre ses pages Google+
Pour suivre les activités d'une page entreprise comme d'un individu, il faut que le membre la place dans l'un de ses « cercles ». A l'inverse de Facebook, le propriétaire de la page peut également, s'il le souhaite, limiter des publications à certains « cercles ». Même si la Caisse d'Epargne n'a pas fait d'annonce à ce sujet, on peut très bien imaginer que, à terme, certaines informations exclusives soient réservées à des clients ayant certains profils.
Un meilleur référencement sur Google
Comme les membres individuels, les pages Google Plus offrent la possibilité d'utiliser les « bulles » pour avoir des conversations en webconférence face à face. Cette possibilité n'existe pas non plus sur Facebook. Enfin, comme Google+ est un réseau social initié par le célèbre moteur de recherche, les billets publiés peuvent bénéficier du « +1 » des internautes pour favoriser leur référencement. A la création de la page, l'administrateur facilite ce référencement en qualifiant son entreprise (secteur, typologie...).
Piana HR Group créé un réseau social dédié au recrutement
Aujourd'hui, les réseaux professionnels sont devenus incontournables dans les processus de recrutement. Pourtant, ils ne répondent pas toujours aux attentes des candidats en termes de recherche d'emploi : une étude conduite auprès de 600 000 postulants par le cabinet français de recrutement Piana HR Group montre que 69,2 % s'y sont inscrits dans ce but mais que 80 % d'entre eux n'y trouvent pas de travail. Les raisons ? L'aspect onéreux de fonctionnalités même basiques, le manque de confidentialité et également le fait d'être contacté par des personnes non sollicitées. Ainsi, pour répondre aux attentes des candidats et des recruteurs, Piana HR Group lance PianeoJobs, un réseau social gratuit exclusivement dédié à la carrière. Alors qu'une annonce sur un site d'emploi classique coûte au minimum 500€, PianeoJobs permet de recruter à partir de 0,50 centimes d'euro par CV.
10 millions de candidats d'ici 2012
Grâce au système de cotation des CV, le coût de chaque profil est évalué en fonction de son niveau d'étude, sa formation, son expérience, et sa disponibilité. Plus un CV est consulté par des recruteurs, plus sa cote augmente (sachant que le plafond s'élève à 49 euros). « Ce système peut aider les recruteurs à cibler les profils qui leurs correspondent à moindre coût », a souligné Christophe Le Feuvre, président de Piana HR Group, lors d'un point presse. « Les entreprises bénéficient d'un accès illimité et gratuit (sans abonnement) à une base de données de 600 000 candidats et, chaque jour, 3 000 membres sont intégrés au réseau. Nous avons ainsi estimé à 3 millions le nombre de candidats présents sur le site d'ici fin 2011, chiffre qui devrait atteindre les 10 millions d'ici fin 2012 ».
PianeoJobs possède également une messagerie interne et une autre instantanée. Des forums et de groupes thématiques liés aux problématiques de chacun peuvent y être créés, de même qu'une spamlist personnalisée. Des paramètres de confidentialité permettent aux candidats de rendre leur profil invisible à une liste d'entreprises qu'ils auront sélectionnées, Il leur suffit d'un clic pour déposer leur CV grâce à une technologie qui implémente automatiquement les différentes rubriques du document. Enfin, PianeoJobs permet à ses membres, qu'ils soient candidats ou recruteurs, de développer leur réseau en Europe, mais également aux Etats-Unis, au Maroc, et bientôt en Chine.
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Pour Mark Zuckerberg, Google + est une « petite version » de Facebook
Alors que chez Google, tout le monde s'agite autour de Google+, en commençant par Larry Page, Mark Zuckerberg voit de son côté le site social comme « leur petite version de Facebook ». C'est du moins ce qu'il a déclaré au journaliste Charlie Rose lundi soir au cours de l'émission de télévision américaine PBS Show. Lorsque le journaliste a demandé si Facebook avait prévu de s'engager dans une guerre de plates-formes avec Google, Apple et Amazon au cours des 10 prochaines années, le fondateur du célèbre réseau social a répondu qu'il considérait Apple et Amazon comme des partenaires, tout en reconnaissant que Google était davantage qu'un concurrent.
«Les gens aiment parler de guerre », a ajouté Mark Zuckerberg « Mais il existe différentes façons de travailler ensemble pour des entreprises. Il y a de vrais domaines de concurrence. Toutefois, je ne pense pas que cela puisse se transformer en situation où une seule société rafle la mise. »
Le patron de Facebook a également déclaré que Google était d'une certaine façon plus compétitif et qu'il tentait certainement de construire sa propre petite version de Facebook. « Quand je regarde Amazon et Apple, je vois des entreprises qui sont extrêmement alignées avec notre modèle », a exposé Mark Zuckerberg. « Nous conversons beaucoup avec des personnes et avec des entreprises pour tenter de trouver des façons de collaborer davantage ensemble ».
Se concentrer sur un seul et même volet
La directrice générale de Facebook, Sheryl Sandberg, qui participait également à l'interview, a pour sa part indiqué que la firme avait développé une importante stratégie de partenariat axée sur la fourniture de technologie collaborative à de nombreux autres médias et également à des entreprises IT. Elle a précisé que Facebook avait choisi de se concentrer sur une seule et même chose, et que l'entreprise continuerait à croître selon ce modèle.
Google a lancé Google+ fin juin pour que l'entreprise dispose d'une position plus forte sur le marché des réseaux sociaux grâce à un outil unifiant les produits Google, qui possède des fonctions de partage social et qui propose une identité commune à tous les utilisateurs du moteur de recherche.
Toutefois, Google+, qui compte environ 40 millions de membres, a un long chemin à parcourir pour rattraper Facebook (800 millions de membres) qui règne actuellement sur le marché des réseaux sociaux au niveau mondial.
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La CIA surveillerait jusqu'à 5 millions de tweets par jour
Twitter et Facebook permettent à la CIA, l'agence centrale de renseignement américaine, de se faire une idée fiable, en temps réel, de l'opinion publique, au tempo de l'évolution des événements dans le monde. Selon l'Associated Press, la CIA suit jusqu'à 5 millions de tweets par jour déversés sur Twitter, Facebook et dans les blogs. La centrale du renseignement observe aussi d'autres réseaux sociaux depuis un immeuble ordinaire situé dans une zone industrielle de Virginie. Contacté au sujet de cet article par nos confrères de ComputerWorld, le porte-parole de la CIA n'a pour l'instant pas réagi.
Une équipe de la CIA composée d'une centaine de personnes environ, connues en interne comme les « bibliothécaires vengeurs », rassemble des informations en plusieurs langues pour établir une photographie en temps réel de l'état de l'opinion dans différentes régions du monde. L'analyse est « prisée au plus haut niveau de la Maison Blanche » et « les services de renseignement du Président en font un compte rendu presque quotidien, » indique l'AP, citant Doug Naquin, le directeur de l'Open Source Center de la CIA.
Analyse des tweets en arabe et en turc
Par exemple, selon l'article de l'agence de presse, le jour où un soldat des SEAL, les forces spéciales de la Navy, a tué Oussama ben Laden au Pakistan, les analystes du centre de Virginie ont surveillé Twitter pour donner à la Maison Blanche une image rapide de la réaction mondiale à l'événement. Les analystes ont pu rapidement se rendre compte que la « majorité des tweets en ourdou, la langue officielle du Pakistan, réagissaient de manière négative à l'évènement, » indique l'AP.
« Une analyse similaire du trafic en arabe et en turc sur Twitter après le discours du Président Obama sur les enjeux au Moyen-Orient, quelques semaines après le raid, avait montré que dans la région, la majorité des gens estimait que Barack Obama était favorable à Israël, alors que les tweets en hébreu exprimaient des sentiments contraires, » ajoute l'AP.
Des directives pour protéger la vie privée des américains
« Récemment, Twitter et Facebook ont fourni des ressources clés pour suivre les événements en Égypte, à Bangkok, la capitale thaïlandaise, et en Iran, » ajoute encore l'AP. « Mis en place pour répondre aux recommandations de la Commission 9/11 sur le 11 septembre, ce département de la CIA se concentre sur les opérations antiterroristes, » précise aussi l'article.
Ces informations sur les opérations de la CIA interviennent quelques jours à peine après que le Département de la Sécurité Intérieure Américain (Department of Homeland Security - DHS) ait affirmé qu'il travaillait sur des directives pour protéger la vie privée des citoyens américains.
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