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(06/11/2008 17:14:49)

LeMondeInformatique.fr consulte ses lecteurs

Exprimez-vous ! LeMondeInformatique.fr a décidé de s'ouvrir plus largement aux contributions de ses lecteurs. Cela passe par la mise en place d'un blog accueillant des tribunes libres, l'ouverture d'un forum (qui sera activé dans les prochains jours), et par un cycle de rencontres avec la rédaction. Le 18 novembre prochain, à 8h30 précises dans nos locaux de Puteaux, l'équipe du site LeMondeInformatique.fr ouvrira ainsi ses portes à ceux d'entre vous qui se seront inscrits, pour un petit-déjeuner au cours duquel vous pourrez rencontrer l'équipe, et surtout donner votre point de vue sur le fond et la forme du site. Que vous soyez informaticien indépendant, étudiant en informatique, employé dans une administration, une SSII ou une entreprise, votre avis nous intéresse. Pour plus de renseignements, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(06/11/2008 11:30:18)

Yahoo à Microsoft : "au secours, revenez nous acheter !"

Le feuilleton Microsoft-Yahoo entamé au premier semestre de l'année a pris des allures de soap opera. Le premier a poursuivi le second afin de le racheter pour un montant de 44,6 Md$, se heurtant à des fins de non-recevoir, avant de voir partir Yahoo dans les bras d'un rival, Google en l'occurrence, pour un accord publicitaire. On croyait donc le scenario bel et bien conclu. Mais c'était sans compter sur un rebondissement post-crise économique : abandonné par Google, Jerry Yang, patron de Yahoo, a ravalé hier sa fierté pour pleurer sous le balcon du géant de Redmond. Comme il l'avait déjà fait entendre il a quelques jours, Google a fait savoir hier, 5 novembre, qu'il mettait fin à son accord de publicité avec Yahoo, suite à l'enquête du DoJ (Department of Justice, ministère de la justice américain), qui a décidé d'imposer des conditions décourageantes aux deux acteurs. Dans un communiqué, Yahoo déplore la décision de Google, estimant qu'il aurait pu choisir de défendre cet accord plutôt que de s'en retirer. Délaissé, Jerry Yang s'est empressé de se retourner vers celui qu'il a snobé durant tout le premier semestre, Steve Ballmer, patron de Microsoft. Pas à une contradiction près, Yang compte bien expliquer au géant du logiciel pourquoi il faut absolument qu'il rachète la société. A priori, Steve Ballmer n'aurait qu'un mot à dire pour que Yahoo revienne à la table des négociations. Reste à savoir si Microsoft veut remettre le couvert... Jerry Yang est moins regardant sur la somme que Microsoft pourrait proposer « A ce jour, la meilleure chose à faire pour Microsoft serait de racheter Yahoo, » a tout simplement déclaré Jerry Yang à l'occasion de la conférence Web 2.0 Summit de San Francisco. Interrogé sur le prix qu'il demanderait, le patron de Yahoo a précisé qu'il ne s'en tenait plus à ses exigences du mois de mai. Jerry Yang s'est dit prêt à vendre tout ou une partie de son activité. Microsoft avait proposé avant l'été de récupérer uniquement le moteur de recherche, puisque Yahoo ne voulait pas se vendre en totalité. [[page]] Il faut reconnaître que ces paroles désespérées correspondent à une période noire pour Yahoo. Le pionnier du Web est embarqué dans une deuxième vague de suppressions de postes, qui devrait concerner cette fois 10% des effectifs (contre 20% en janvier dernier), et affiche des résultats dans le rouge (bénéfice net en baisse de 64%). Il accuse par ailleurs un important retard dans les médias sociaux, loin derrière Facebook ou MySpace. Il y a un an, le prix de l'action Yahoo clôturait à 27 $. Aujourd'hui, le titre reste sous la barre des 14 $, ne laissant plus aucun doute sur l'intérêt financier que représentait la dernière offre de Microsoft à 33 $. Steve Ballmer a poursuivi Yahoo durant plus de trois mois, entre février et mai, alors que Jerry Yang n'a eu de cesse de repousser ses avances, trouvant les meilleurs prétextes du monde. Il a évoqué la possibilité d'un rapprochement avec MySpace, il a rencontré Time Warner pour une éventuelle fusion avec AOL , il a expliqué à ses actionnaires la dangerosité de Microsoft (la fameuse 'pilule empoisonnée'), puis il a concocté un parachute doré à ses salariés en cas de réussite de l'OPA avant de s'acoquiner avec Google, ennemi juré de Microsoft. C'est d'ailleurs cette démarche qui a fini par dégouter Microsoft d'une éventuelle acquisition. Pour le moment, le géant de Redmond n'a pas répondu aux avances de Jerry Yang. (...)

(05/11/2008 12:30:35)

Pédopornographie : le FDI abat la carte du filtrage des contenus

Le Forum des droits sur Internet (FDI) vient de lancer le chantier du filtrage des contenus pédopornographiques sur Internet. A travers sa recommandation 'Les enfants du Net III', le FDI suggère ainsi une batterie de mesures visant à renforcer la protection des mineurs sur le Web, en rendant techniquement impossible la consultation de sites à caractère pédopornographique, y compris ceux hébergés à l'étranger. L'idée du FDI est « d'empêcher les accès involontaires et complexifier les accès volontaires » à ces contenus, tout en garantissant le respect de la liberté d'expression. Le Forum se défend d'agir dans un but répressif : au contraire, l'objet de ses recommandations est purement préventif puisqu'elles visent à « la préservation de l'ordre public pour faire cesser un trouble existant ». Le mécanisme imaginé par le FDI est constitué de quatre étapes. En premier lieu, les services de police et de gendarmerie sont chargés d'identifier les sites proposant du contenu pédopornographique, éventuellement après signalement par les internautes. A partir de ces données, une liste noire est ensuite constituée par l'OCLTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication), et remise à jour quotidiennement. Troisième étape, cette liste est chiffrée puis transmise, pour validation, à une autorité spécialement créée pour l'occasion. Laquelle se charge alors de la communiquer aux FAI, qui prendront les mesures techniques de leur choix pour filtrer les contenus précédemment mis en lumière. Le filtrage inefficace et dangereux pour la démocratie, dénonce La quadrature du Net [[page]] En plein débat sur le téléchargement de contenu illégal, l'apparition de la notion de filtrage risque de faire se dresser de nombreux cheveux sur les têtes des tenants des libertés individuelles. Car quand bien même son objectif est parfaitement légitime, le dispositif technique préconisé par le Forum des droits sur Internet pourrait tout aussi bien satisfaire les ayants droit, soucieux de protéger leurs oeuvres. Le FDI semble avoir conscience du risque de débordements que ses propositions peuvent entraîner : il propose en effet d'encadrer la mise en place de ce filtrage par une loi, afin d'en limiter la portée aux seuls sites pédopornographiques « sans extension du périmètre à d'autres contenus ». Reste à déterminer les méthodes de filtrage qui pourront être retenues. Le FDI, qui précise que les FAI pourront opter pour le dispositif de leur choix, rappelle qu'aucun mécanisme « ne se montre totalement imperméable par rapport à un éventuel contournement ». Pour Jérémie Zimmermann, co-fondateur de la Quadrature du Net, le filtrage est non seulement inefficace mais aussi « contre-productif et dangereux. Il entraînera obligatoirement des faux positifs, on va se retrouver à surfiltrer le Web, c'est un véritable danger démocratique. » A ses yeux, la solution la plus efficace consisterait à « faire en sorte que les accords de coopération internationale entre services judiciaires soient mis en oeuvre afin que soient retirés les contenus. » D'une façon plus générale, La quadrature du Net pointe du doigt la pertinence de la mission confiée au FDI : « Il est permis de s'interroger sur l'efficacité du Forum des droits sur Internet. S'il n'est qu'un instrument servant à légitimer une politique de contrôle et à cautionner la mise en place d'un dispositif répressif, on peut alors se questionner sur le bien-fondé de son existence. » (...)

(05/11/2008 12:31:13)

Runmyprocess.com mixe BPM, Saas et 'cloud'

S'il existait des recettes magiques pour lancer des start-up et assurer leur succès, cela se saurait. Néanmoins, Runmyprocess.com semble avoir mis toutes les chances de son côté. Ce jeune éditeur de logiciels français a choisi d'aborder le marché du BPM (business process management, gestion des processus métier) sous l'angle du Saas (Software as a service, service applicatif en ligne). Matthieu Hug, jeune PDG de la société (lire l'interview), présentait le concept lors du dernier salon du BPM, à Paris. « Le modèle économique du Saas repose sur un abonnement mensuel - donc il n'y a pas de surprise - avec un train de versions chaque mois. » Ainsi, à partir de 500 euros par mois, un utilisateur de RunMyProcess.com a accès à toutes les fonctions du produit pour créer ses processus (avec une limite à 5000 processus par mois). Une interface simple, avec notation BPML, offre d'orchestrer des tâches, qui peuvent être des services accessibles sur le Web, des événements (envoyer un courriel, déclencher un autre processus, etc.), des tâches manuelles... D'ores et déjà, la base de l'outil recense plus de 300 services disponibles sur le Web, payants ou gratuits, auxquels l'utilisateur pourra ajouter ceux de son choix - notamment ceux de son entreprise, à partir du moment où ils disposent d'une méthode d'invocation en ligne. L'activité des processus peut être surveillée à l'aide de flux RSS [[page]]Parmi les services recensés, Matthieu Hug cite ceux d'Amazon, Salesforce.com, Flickr, Dassault Systèmes, Microsoft, Orange... Et insiste sur l'intérêt des services gratuits, toujours dans le souci de ne pas réinventer la roue, « comme le calculateur de taux de change fourni par la banque centrale européenne ». L'éditeur, fort d'une dizaine de personnes, en est encore à ses débuts. Ainsi, les outils de reporting ou de gestion du cycle de vie des processus sont encore frustes. Mais la start-up ne manque pas d'ambition et d'idées modernes. Ainsi, toutes les informations générées par l'outil sont disponibles via des flux RSS. On peut ainsi s'abonner à un flux indiquant des processus en erreur. Et il est tout à fait possible, dit Matthieu Hug, de se servir de l'outil pour « faire des processus qui surveillent les processus de supervision ». (...)

(05/11/2008 09:09:51)

Elections américaines : l'utilisateur de Blackberry le plus célèbre du monde l'emporte

Du point de vue de la société de l'information, l'élection de Barack Obama au poste de 44e président des Etats-Unis d'Amérique représente une certaine victoire. Le candidat démocrate est en effet crédité d'être un utilisateur patenté des moyens modernes de technologies de l'information et de la communication. On le dit inséparable de son Blackberry, à l'aise avec les ordinateurs, et son équipe a réussi à mobiliser des soutiens partout dans le pays grâce à Internet. Sans oublier que le patron de Google, Eric Schmidt, était un de ses conseillers économiques durant la campagne électorale. Le candidat Obama avait promis plus de moyens à la FTC pour lutter contre le spam et le phishing Son opinion sur le secteur des NTIC est quant à elle exposée dans la section Technology de son site BarackObama.com. Les trois points mis en avant concernent la neutralité d'Internet, l'accès des Américains au haut débit et la protection des entreprises et des chercheurs opérant sur ce secteur. Le prochain président des Etats-Unis (qui prendra ses fonctions en janvier) voudrait par ailleurs que les agences de régulation trouvent « des façons plus intelligentes, plus efficaces et plus imaginatives » d'utiliser les spectres de fréquences radio qu'elles gèrent, que l'agence de régulation du commerce (FTC, Federal trade commission) édicte des règles plus strictes en matière d'utilisation des données personnelles et combatte davantage le pollupostage (spam), le hameçonnage (phishing) et autres cybercrimes (ses moyens seraient alors réévalués). Barack Obama envisage aussi de supprimer les allègements fiscaux aux entreprises externalisant leurs emplois hors des Etats-Unis. Le nombre de ses partisans sur Facebook avoisine les deux millions et demi. Le site de campagne, myBarackObama.com, aurait de son côté attiré plus d'un million et demi d'inscrits, et suscité 600 M$ de dons. (...)

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