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(10/11/2008 17:33:42)

Google, Microsoft, MySpace et Facebook parlent interopérabilité

Les quatre sociétés Google, Microsoft, Facebook et MySpace ont discuté ensemble de l'ouverture de leurs plateformes aux développeurs. Si les intentions sont bonnes, les discours sont plus ou moins catégoriques en fonction des intervenants. Certains prônent le 100% ouvert, d'autres - Microsoft en tête - sont plus mesurés. A l'occasion du Web 2.0 Summit qui s'est déroulé du 5 au 7 novembre derniers à San Francisco, des dirigeants de Google, Microsoft, MySpace et Facebook se sont assis autour de la même table pour discuter interopérabilité et ouverture de leurs plateformes. D'après eux, tout le monde peut y gagner : les éditeurs, les développeurs et les utilisateurs. Et il ne faut pas considérer les développeurs comme des rivaux, mais au contraire leur apporter des outils - mais aussi des règles - pour créer de nouvelles applications,. Eliott Schrage, vice-président de la communication chez Facebook (poste qu'il occupait chez Google jusqu'en mai dernier) a déclaré que la société mettait l'accent sur la transparence avec les développeurs, en particulier en ce qui concerne les modifications de la plateforme applicative. De son côté, Amit Kapur, chef d'exploitation de MySpace (qui s'est lui aussi ouvert aux développeurs tiers) a insisté sur les directives qui doivent être « très claires entre les développeurs et les fournisseurs ». Et de fait, MySpace a procédé de manière très progressive à l'ouverture de ses API. Il a mis en place un espace sécurisé où les développeurs peuvent déployer leurs applications. Pas question pour autant de donner la clé à tous, seuls certains membres ont accès à cette plateforme, alors que chez Facebook, ce sont quelque 400 000 développeurs qui ont créé 24 000 applications à ce jour. Google : « MySpace et Facebook ne sont pas de vraies plateformes de développement, Microsoft a perdu la bataille du Web » En plus de règles très claires, les fournisseurs doivent également présenter un engagement très ferme vis-à-vis de leur plateforme, afin de favoriser la confiance des développeurs. « Nous voulons rassurer les développeurs, les investissements qu'ils font en termes de temps et de ressources sont protégés sur le long terme », a déclaré David Treadwell, vice-président des services de la plateforme Live de Microsoft. [[page]]Google, représenté par son vice-président de l'ingénierie Vic Gundotra, n'a pas manqué de mettre son grain de sel. Pour lui, ni Facebook ni MySpace ne sont des plateformes de développement, ils se contentent de proposer de développer des petites extensions « à la manière d'Office de Microsoft ». Ni plus ni moins. Vic Gundotra s'en est également pris au monopole de Microsoft, chez qui il travaillait il y a un peu plus d'un an. « Le contrôle de la plateforme par un seul fournisseur est, par définition, contraire à l'innovation ». Et de défendre les deux bébés de Google, OpenSocial, une plateforme de widgets et de services Web ouverte aux développeurs d'applications tierces lancée il y a un peu plus d'un an et Android, dont le code à récemment été mis à disposition de tous. A court d'arguments, David Treadwell a défendu Microsoft, rétorquant que certaines plateformes doivent être contrôlées par un même et unique fournisseur. Cette réflexion n'a pas ému Vic Gundotra qui a répondu « ces dix dernières années ont été marquées par la bataille entre Windows et le Web. Et c'est le Web qui a gagné ». D'ailleurs le géant de Redmond doit avoir conscience de son retard, Steve Ballmer a lui-même annoncé que Microsoft songeait à lancer sa propre boutique pour la diffusion d'applications tierces. Enfin à la question de savoir quels types d'applications ils souhaitaient voir se développer plus particulièrement, les participants à la table ronde ont mentionné les applications pour les entreprises, la santé et la mobilité. (...)

(10/11/2008 17:03:03)

Entreprises, préparez-vous à l'arrivée des 'Digital natives'

Les 'Digital natives', ces jeunes qui ont baigné dans le numérique et le Web depuis leur naissance, arrivent dans les entreprises, avec leurs exigences mais aussi leurs atouts. Pour mieux les décrypter, LeMondeInformatique.fr leur consacre un dossier complet. Ils se distinguent de leurs aînés, les 'digital immigrants' par leur manière de réfléchir, de fonctionner et de digérer l'information. Ils sont capables de jongler avec une multitude de tâches, sont connectés en permanence avec leurs amis, zappent très facilement d'une information à l'autre, réclament du visuel, supportent difficilement la hiérarchie mais acceptent la compétition. Aujourd'hui, ces jeunes, également appelés génération Y, font leur apparition sur le marché de l'emploi. Ils fourmillent souvent d'idées et s'attendent à retrouver en entreprise les outils collaboratifs auxquels ils sont habitués pour pouvoir exploiter leurs compétences. Beaucoup d'entreprises ignorent encore à quel point cette déferlante va changer leur manière de travailler, mais aussi de recruter. Exigeant et impatient, le 'Digital native' tourne facilement les talons s'il ne trouve pas les conditions auxquels il aspire pour exprimer sa créativité et son besoin de travailler en groupe. Dans son dossier, LeMondeInformatique.fr a brossé le portrait de ces jeunes qui vont chambouler les habitudes culturelles, hiérarchiques, organisationnelles et techniques des entreprises. Il donne également quelques pistes pour mieux cerner cette génération de bébés Google afin de les séduire, de les accueillir au mieux et de les retenir. (...)

(10/11/2008 11:08:12)

L'Icann mis au défi d'impliquer les gouvernements

L'Icann, régulateur technique d'Internet, a tenu du 2 au 7 novembre sa 33e réunion publique internationale au Caire (Egypte). Le débat sur le rôle des gouvernements au sein de l'organisation y a connu un nouveau rebondissement avec l'intervention de Hamadoun Touré, secrétaire général de l'ITU (International Telecommunications Union). Ce responsable de l'organisme intergouvernemental de normalisation pour les télécommunications a en effet qualifié d'« ornemental » le comité consultatif gouvernemental (Gac) de l'Icann. Pour lui, il s'agit d'une instance tout juste consultative puisque le régulateur peut ne pas tenir compte de son avis. « La structure est faible et j'ai déjà abordé ce sujet avec son président Janis Karklins », a-t-il commenté. Alors même que l'Icann affirme que personne n'est exclu, Hamadoun Touré juge que les gouvernements devraient être en mesure d'intervenir sur un pied d'égalité avec les autres instances de l'Icann. Mais Janis Karklins défend la position du Gac, avançant que, en tant qu'instance multipartite, le comité est différent d'une organisation comme l'ITU dans laquelle les gouvernements ont un pouvoir de décision. « Nous ne combattons pas le cyber-terrorisme de façon coordonnée » [[page]]Pour Hamadoun Touré, l'Icann et l'ITU sont complémentaires. Il estime que les deux organisations doivent travailler ensemble, en rappelant que l'ITU n'est pas concernée par la mise en oeuvre et le déploiement des technologies, mais seulement par la coordination. « Les états ne parviendront jamais à combattre le terrorisme si nous avons pas de moyens efficaces pour remonter le trafic IP. Nous ne combattons pas le cyber-terrorisme de façon coordonnée alors que les cyber-criminels sont, de leur côté, très organisés ». En attendant, le Gac a formé un comité pour discuter de son rôle au sein de l'Icann, a indiqué Maimouna Diop, responsable des technologies de la communication au ministère sénégalais des télécommunications. « Il est important de trouver un moyen d'impliquer un gouvernement sans qu'il soit nécessaire d'en faire la demande à l'Icann, avance-t-il. Nous devons trouver une façon de faire entrer dans la boucle des représentants des gouvernements de pays en développement. » Les noms de domaine personnalisés toujours à l'étude L'un des thèmes centraux de cette 33e réunion publique au Caire concernait l'élargissement des TLDs (top level domains), prélude à la création de noms de domaine personnalisés. « Depuis juin dernier, date à laquelle la décision formelle est tombée, un peu comme un coup de tonnerre, beaucoup d'intervenants ont commencé à se positionner, en tant qu'opérateurs (back-end registry), prestataires de services ou porteurs de projets », repositionne Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic, association française pour le nommage Internet. [[page]]Au Caire, Paul Twomey, PDG de l'Icann, a rappelé qu'en face des 1,5 milliards d'utilisateurs d'Internet dans le monde ne s'alignaient toujours que 21 TLDs génériques (.com, .info, .net, .org, .edu, .gouv...). « Nous sommes en train de faciliter l'élargissement le plus important apporté au système de noms de domaine depuis sa création », a-t-il souligné à propos des discussions en cours. Le millier de congressistes présents au Caire a donc contribué à faire avancer ce chantier en débattant de l'avant-projet livré par l'Icann en octobre dernier. La conférence égyptienne a également remis sur la table l'introduction des noms de domaine internationalisés. Associés aux nouveaux gTLDs, ces noms en caractères non latins pourront fournir un choix de nouvelles possibilités aux utilisateurs d'Internet. (...)

(07/11/2008 17:52:46)

Microsoft reste de marbre face aux supplications de Jerry Yang

Les prières de Jerry Yang implorant Microsoft de reconsidérer une acquisition de Yahoo n'ont pas été entendues. Lassé par les manoeuvres de Jerry Yang pour échapper à une offre qu'il estimait « juste » (44,6 Md$, soit 33 $ par action), Steve Ballmer a clairement fait savoir hier qu'il n'entendait pas remettre l'affaire Yahoo sur le tapis des négociations. « Nous avons fait une [première] offre, nous avons refait une autre offre... Nous avons essayé de nouer un partenariat autour de la recherche sur Internet... tentative qui a également échoué. Nous ne souhaitons pas revenir en arrière. Franchement, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement », rapporte le Dow Jones Newswires. Steve Ballmer a toutefois ajouté qu'il était encore envisageable de trouver une manière de collaborer autour de la recherche en ligne avec Yahoo, mais pas sous forme d'acquisition. Google ne veut pas s'encombrer d'un coûteux procès ... ni d'une société en perte de vitesse De son côté, Google a expliqué au New York Times pourquoi il a renoncé à l'accord publicitaire qui le liait à Yahoo depuis le mois de juin dernier, alors que peu de temps auparavant la société clamait haut et fort que rien ne l'empêcherait d'entériner l'alliance avec Yahoo à la date convenue, pas même le DoJ (ministère de la Justice américain). [[page]]« Nous avons annulé le contrat une heure à peine avant qu'une demande de procès ne soit déposée contre notre alliance, a déclaré Eric Schmidt, PDG de Google. Après mûre réflexion, nous sommes parvenus à la conclusion qu'il n'était pas de notre intérêt de passer par un long et coûteux procès que, selon nous, Google aurait fini par gagner. » C'est du moins la version officielle. Dans les faits, Google - qui a publié des résultats trimestriels flamboyants - a également pu être refroidi par les derniers chiffres de Yahoo : CA qui stagne, bénéfice en chute de 64%. Bien lancé, le géant ne souhaite sans doute pas voir sa course ralentie par une société en perte de vitesse et où les vagues de suppression de postes se succèdent (20% des effectifs en janvier dernier et 10% en octobre). Jerry Yang ne peut que se mordre les doigts d'avoir ainsi obstinément refusé l'offre de Microsoft, un entêtement qui lui a déjà valu la colère des actionnaires de Yahoo, le milliardaire Carl Icahn en tête. En quelques mois, le cours de l'action s'est effondré jusqu'à atteindre 14 $, alors que le PDG de Yahoo en réclamait 37 $ à Microsoft. Délaissé par Google et repoussé par Microsoft, Jerry Yang devrait s'empresser de trouver une alternative pour sauver le navire s'il ne veut pas faire ses valises, à l'instar de Terry Semel, son prédécesseur. (...)

(07/11/2008 15:23:07)

Le WiFi public en passe de devenir une extension des systèmes d'information

L'usage des bornes WiFi dans les lieux publics a connu une forte croissance au cours du premier semestre 2008. Selon iPass, qui revendique 3500 entreprises clientes, le trafic professionnel (mesuré en sessions) a progressé de 46% par rapport à la période correspondante de l'année précédente. Cette statistique est tirée de la seule activité d'iPass. Mais la présence de cette société parmi les principaux prestataires auprès des entreprises qui veulent intégrer les bornes WiFi publiques dans leur système d'information permet de juger pertinents les chiffres de son étude semestrielle Mobile Broadband. En Europe, le trafic via les bornes WiFi a progressé de 89%. L'ampleur de ce succès a permis à ce continent d'atteindre 47% du trafic total mondial et de coiffer sur poteau l'Amérique du Nord (45%). Là-bas, le taux de croissance n'a été que de 17%. Selon Ipass, Avec 44% du trafic (+16%), les Etats-Unis sont toujours premiers au classement par pays. La Grande-Bretagne arrive deuxième avec 13% (+43%), suivi par l'Allemagne (12%, +133%) et la France (5% du trafic mondial, + 290%). Le trafic qui transite par les bornes WiFi installées dans les aéroports représente à lui seul 40% du trafic professionnel total. C'est celui de Chicago (O'Hare) qui arrive en tête, suivi par ceux d'Atlanta et d'Heathrow. Charles de Gaulle se place en neuvième position. Selon le cabinet d'étude Butler Group, L'utilisation professionnelle du WiFi public a aussi changé de dimension. Les professionnels, qui en usaient exclusivement pour des tâches simples comme l'envoi de courriels et la gestion d'agenda, sont de plus en plus nombreux à s'en servir pour des applications d'entreprise. Cette tendance à l'intégration des bornes WiFi dans le système d'information s'explique par une recherche de gains de productivité. Mais les répercussions techniques sont loin d'être négligeables. Parmi les difficultés à surmonter pour réussir cette intégration, le cabinet cite la gestion des risques de sécurité et la complexité. Les DSI doivent en effet intégrer une dimension supplémentaire dans leurs architectures réseau et applicative. (...)

(06/11/2008 18:31:53)

Barack Obama choisit ses responsables high-tech

Barack Obama a déjà choisi ceux qui seront en charge des nouvelles technologies dans son équipe de transition. Cette dernière accompagne le président des Etats-Unis d'Amérique fraîchement élu en attendant son entrée en fonction officielle le 20 janvier et la constitution de son gouvernement. La première des deux responsables high-tech, Sonal Shah, est une ancienne vice-présidente de Goldman Sachs. Elle travaille actuellement pour l'équipe de développement global de Google.org, la division « philanthropique » du géant du moteur de recherche. C'est cette entité qui a établi pour le candidat Obama un plan de migration des Etats-Unis vers les énergies renouvelables. Sonal Shah a expliqué à la publication indienne Rediff.com qu'elle s'occuperait entre autres de l'innovation technologique : « Nous parlons d'un gouvernement du 21e siècle, mais il faut réfléchir à la façon de le créer. » Un vétéran d'Internet aux côtés du président Selon le Washington Post, le second chargé des technologies de Barack Obama est Julius Genachowski, vétéran de longue date de l'économie Internet et de la politique technologique de Washington. Il a fait partie de ceux qui ont mis l'accent sur la high-tech dans la campagne démocrate, selon le Washington Post, et devrait aider le futur président à choisir les membres de son gouvernement. Les deux hommes se connaissent depuis les bancs de Harvard. Enfin, les équipes de Barack Obama s'attèlent déjà à la construction d'un nouveau site web appelé Change.gov. [mise à jour]Le site change.gov est déjà en ligne. (...)

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