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(13/11/2008 17:17:24)
EMC recouvre la planète d'un immense nuage de données
Chez EMC, le concept de cloud computing se concrétise sous le nom d'Atmos. En tant que numéro un mondial du stockage professionnel, EMC met l'accent sur le stockage des données. Atmos est destiné à héberger les Peta Octets des opérateurs télécoms, des hébergeurs, des sociétés multimédias et de tous les gros acteurs du Web 2.0. Atmos repose sur le concept technologique de COS, pour cloud optimized storage. Cet acronyme traduit le résultat de deux ans de recherche et développement en matière gestion des données. Le principe est simple, c'est celui d'une architecture virtualisée qui prend en charge le stockage des données pour optimiser à la fois la vitesse pour y accéder, leur sécurisation et leur duplication. Mais EMC l'applique au niveau planétaire. (...)
(13/11/2008 16:37:36)Microsoft lifte sa plateforme Windows Live à la sauce Facebook
Microsoft veut donner un coup de jeune à sa plateforme Windows Live, dont la version bêta a été lancée il y a un an. A partir du mois de décembre, elle intégrera une quinzaine de nouveaux services sur une même page, comme la messagerie instantanée, les courriels, un diaporama, un agenda partagé, la possibilité de publier des photos ou des vidéos, ou encore de télécharger des applications. Microsoft a également revu l'interface graphique de sa plateforme. Moins encombrée, elle se présente sous la forme de blocs de contenu personnalisables. Ces services comprennent également la mise à jour d'Hotmail (qui offre depuis peu de temps un espace de stockage illimité et un filtre anti-spam amélioré) et de SkyDrive, son service de stockage en ligne, dont la capacité passe de 5 Go à 25 Go. Microsoft a par ailleurs noué des partenariats avec une cinquantaine de sites comme Digg, FlickR, Pandora, Twitter ou encore Wordpress afin de créer le « Quoi de neuf », un service qui permet aux utilisateurs de Windows Live de partager des documents avec des groupes d'amis. Dès qu'une modification est publiée sur l'un des sites partenaires, la mise à jour se fait automatiquement sur Windows Live sans que l'internaute soit obligé d'intervenir manuellement. Google, AOL, Facebook et MySpace ne font pas partie des sites partenaires de Microsoft - qui a pourtant investi 240 M$ dans Facebook en octobre 2007. Seul le partage de contacts est possible avec Facebook. Les nouveaux services comprennent Windows Live Profile (qui devrait être la page d'accueil du site), Windows Live Photo, Windows Live People (contacts et carnet d'adresses), Windows Live Groupe et Windows Live FrameIT (affichage des flux RSS). Ces améliorations propulsent Microsoft en concurrence directe avec des sites communautaires comme MySpace ou Facebook (120 millions de membres). (...)
(13/11/2008 13:50:09)L'action de Google passe sous la barre des 300 $
Pour la première fois depuis trois ans, le prix de l'action de Google est inférieur à 300 $. Il est passé de 311 $ à 288 $ en l'espace d'une journée, perdant ainsi 6,6% de sa valeur. Le titre Google n'a jamais été aussi bas depuis octobre 2005, lorsqu'il est tombé à 294 $. En novembre 2007, l'action de Google effleurait les 750 $, après une hausse de 30% en un mois. Comme d'autres acteurs IT, Google souffre de la révision du plan Paulson. L'actuel secrétaire d'Etat au Trésor américain Henry Paulson a en effet annoncé que les 700 Md$ d'aides financières votées par le Congrès américain seraient distribués au compte-gouttes. Ils serviront essentiellement à recapitaliser les institutions financières, le gouvernement n'entendant pas injecter de sommes pharaoniques dans des secteurs financiers à haut risque. La sanction de Wall Street ne s'est pas fait attendre : Yahoo a perdu 9,8% de sa valeur et flirte désormais avec les 10 $ (alors que Jerry Yang réclamait 37 $ par action à Microsoft), Sun chute de 10 % à 3,6 $, Microsoft perd 4,25%... A la veille de Noël, les investisseurs sont inquiets pour le marché de la publicité en ligne Ce sont également les estimations de grands groupes bancaires qui ont fait chuter l'action de Google. Malgré de bons résultats trimestriels (chiffre d'affaires en hausse de 31%, bénéfice net de 1,35 Md$, soit une progression de 20,7% par rapport au troisième trimestre 2007), Citigroup estime par exemple que le ralentissement économique finira par avoir un impact sur Google et sur le marché de la publicité en ligne, et ce malgré l'approche des fêtes de fin d'année. Il y a quelques mois IDC tablait pourtant sur un doublement de la publicité en ligne sur Internet d'ici à 2012. Mark Mahaney, analyste chez Citigroup, a déclaré « nous avons effectué plus d'une vingtaine de contrôles avec des acteurs du SEM (Search engine marketing, processus d'optimisation des liens sponsorisés sur Internet), avec des agences de publicité en ligne et des sites de vente en ligne. Nous sommes parvenus à la conclusion qu'au quatrième trimestre la croissance du marché de la publicité en ligne serait la plus faible jamais observée. » Toujours d'après Citigroup, la tendance ne devrait pas s'inverser avant 2010. Même son de cloche chez Best Buy, une chaîne de produits informatiques. Pour eux, le climat économique ambiant est « le pire jamais rencontré depuis 42 ans ». (...)
(13/11/2008 12:45:42)Partenariat Sun/Microsoft : la barre d'outils MSN associée à JRE
Microsoft plus gros client de Sun, qui l'eut cru ? Microsoft vient en effet de bouter la barre d'outils de Google du package distribué avec la machine virtuelle Java de Sun Microsystems. Les internautes qui téléchargeront JRE (Java Runtine Environment) pourront donc désormais installer, en remplacement, la barre d'outils MSN de Microsoft, intégrant notamment dans Internet Explorer un champ de recherche Live Search. Cette information est la conclusion du partenariat qu'ont dévoilé Microsoft et Sun en début de semaine. Jonathan Schwartz, le CEO de Sun, explique sur son blog avoir voulu remettre en jeu l'accord passé en 2005 avec Google. Un appel d'offres a donc été lancé, et « Microsoft a travaillé dur pour présenter l'offre la plus attractive ». Le groupe de Redmond, outre le chèque (le montant n'a pas été précisé) qu'il signera à Sun, s'engagerait d'après le patron de Sun à promouvoir MySQL, l'outil de gestion de bases de données de Sun pourtant concurrent de son propre SQL Server (Sam Ramji, patron de l'Open Source chez Microsoft, interrogé par LeMondeInformatique.fr, a démenti cette dernière information). Objectif de Microsoft : grignoter des parts de marché dans la recherche en ligne Le jeu en vaut la chandelle pour Microsoft, qui garde en ligne de mire les 91% de PC connectés à Internet sur lesquels est installé le moteur d'exécution Java. De quoi doper l'adoption de la barre d'outils et, surtout, du moteur de recherche de Redmond. « Avec la grande quantité d'applications Web basées sur Java qui sont téléchargées chaque mois, cet accord permettra à Live Search de toucher des millions d'internautes et d'attirer davantage d'annonceurs », explique Angus Norton, à la tête de Live Search, qui précise que les annonceurs réclament une fréquentation en hausse. L'éditeur de Windows montre, à travers ce partenariat, son impérieux besoin de relever la tête sur le terrain de la recherche en ligne, où il se fait tailler des croupières par Google. En août, selon Hitwise, 70% des recherches en ligne étaient réalisées sur Google, contre seulement 5% sur les sites Microsoft. En janvier 2007, Microsoft parvenait encore à s'arroger 10% du marché de la recherche en ligne. (...)
(12/11/2008 14:37:45)Le ministère de l'Education veille sur Internet et inquiète les enseignants
Les ministères de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur veulent « repérer les leaders d'opinion » sur Internet. A cette fin, les deux institutions lancent un appel d'offres intitulé 'Veille de l'opinion'. La ou les entreprises retenues devront, pendant un an, scruter les canaux d'informations - « en particulier Internet », précise l'appel d'offres - afin de fournir aux ministres concernés des « informations signifiantes pertinentes qui préfigurent un débat, un 'risque d'opinion' potentiel, une crise ou tout temps fort à venir ». Ce marché, attribué actuellement à la société I&E -spécialisée dans les 'stratégies d'opinion' - vise notamment à « décrypter les sources de débats et leur mode de propagation », « anticiper les risques de contagion et de crise » et « analyser le potentiel d'influence et la capacité à se constituer en réseau » des leaders d'opinion et des « lanceurs d'alertes ». Le tout portant sur une multitude de sources : sites de syndicats, de partis politiques, d'associations, forums de discussion, blogs, pages personnelles, réseaux sociaux, plateformes vidéos, etc. Syndrome Big Brother ou simple revue de presse ? Les enseignants n'ont pas manqué de réagir à cet appel d'offres, qui par voie de blog, qui par communiqué, souvent en stigmatisant la volonté de surveillance générale qu'ils reprochent au gouvernement. « C'est dans la lignée d'Edvige et du fichier base-élèves, s'insurge Nestor Maquenot, instituteur et membre de SUD éducation Paris. C'est le symbole d'une société Big Brother dans laquelle on entre petit à petit. Certes, le fait que l'Etat nous surveille n'est pas une nouveauté. Ici, le problème c'est la privatisation et la marchandisation de cette surveillance, avec les risques de perméabilité qui en découlent. » Ces craintes n'émeuvent pas le ministère de l'Education, qui rappelle que la veille de l'opinion existe depuis 2006 et que « tous les grands ministères ont un service de veille ». Les services de Xavier Darcos se défendent de vouloir ficher les enseignants : « le travail réalisé par I&E n'est qu'une analyse qualitative, une sorte de revue de presse visant à savoir comment est perçue la politique du ministre. Il ne s'agit pas de récolter des données nominatives. » Si le ministère reconnaît que la dimension Internet peut inquiéter, il précise que « les blogs et forums sont des choses publiques : il n'y a rien de scandaleux à ce que le ministre y relève ce que pensent les gens qui dépendent de lui. » (...)
(12/11/2008 12:47:37)Les préoccupations de l'Icann restent celles des pays développés
Les discussions au sein de l'Icann ont tendance à se focaliser sur les pays riches, faisant apparaître un décalage entre les pays développées et émergents, selon les participants de la réunion publique du Caire. « Ce n'est pas que l'Icann n'est pas concerné par l'Afrique note Paul Levins, le vice président Entreprises (corporate affairs) de l'Icann, mais les questions discutées aujourd'hui sont celles des pays développés ». Il a indiqué que l'organisation allait continuer à encourager la participation africaine, en ajoutant que les Africains avaient eux-mêmes la responsabilité de mettre plus en avant les problèmes qui les concernent. L'Afrique en est encore à définir les noms de domaine de premier niveau [[page]]« Le décalage est tout à fait évident », a confirmé Michuki Mwangi, de l'Internet Society en Afrique. Il explique que son continent reste davantage concerné par la mise en place de noms de domaine de premier niveau (comme les .com, .fr...), de serveurs racines et de points d'échange Internet (IXP), des questions que les pays développés ont déjà résolues depuis longtemps. 18 pays africains étaient représentés au Caire, mais Michuki Mwangi remarque que leurs préoccupations sont jugées élémentaires par les pays développés présents qui utilisent Internet de façon significative depuis au moins quinze ans. « Quand nous sommes en Afrique, les autres pays considèrent que le Kenya, l'Afrique du Sud et l'Egypte sont parvenus à un autre niveau technique, mais lorsque nous arrivons à l'Icann, le niveau est totalement différent : nous sommes complètement perdus. » (...)
(12/11/2008 12:30:12)Forrester Research : le web 2.0 en entreprise passe par les wikis et les réseaux sociaux
En 2013, selon Forrester Research, le marché des outils du web 2.0 en entreprise devrait peser 1,8 milliard de dollars. Dans sa nouvelle étude TechRadar, le cabinet a étudié l'ensemble des technologies 2.0 (wikis, blogs, réseaux sociaux, microblogs, widgets, RSS, mash-ups, etc.) pour identifier les plus porteurs en entreprise et ceux qui représentent le meilleur retour sur investissement. Les wikis et les réseaux sociaux arrivent largement en tête de ce palmarès. Si les premiers sont déjà plébiscités par les utilisateurs, les seconds rencontrent encore une certaine résistance culturelle. Ils permettent pourtant aux salariés de se rapprocher de leurs collègues travaillant dans les mêmes sphères d'intérêt, intensifiant ainsi le niveau de collaboration en entreprise. Selon Forrester, les blogs seuls n'arrivent pas à retenir l'attention des salariés, mais ils les intéressent davantage lorsqu'ils sont adossés à un réseau social interne. Que dire, par ailleurs, des flux RSS et autres outils du web 2.0 ? « Les sociétés ne savent pas quoi faire avec le RSS, quand bien même cette fonction est omniprésente sur le Web, affirme Gil Yehuda, analyste chez Forrester Research. Elles n'ont pas encore trouvé comment en faire un levier dans leur intérêt propre. De la même façon, les mashups et les widgets restent sous-estimés, mais ils pourraient avoir un avenir dans les entreprises à condition que celles-ci s'intègrent dans l'écosystème complet de la production et de la consommation d'informations. » En revanche, les miniblogs à la Twitter, les podcasts et les forums, s'ils plaisent au grand public, peinent à trouver leur place en entreprise. (...)
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