Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 2671 à 2680.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(17/11/2008 17:34:57)
Les prémices de la politique Obama 2.0
La démocratie participative version Obama est en marche. Après une campagne électorale high tech, le futur président continue de s'appuyer sur les nouvelles technologies durant la période de transition qui va le mener jusqu'à son entrée en fonction officielle en janvier. Sur le site Web du futur gouvernement, il est déjà possible pour tout un chacun de raconter sa propre « histoire » de la campagne électorale ou de donner sa vision de la politique de la future administration. « De partout dans le pays, les gens nous écrivent pour donner leur avis sur l'administration Obama », peut-on lire sur le blog de change.gov. Ainsi Nina, mère célibataire à Pittsburgh en Pennsylvanie, qui passe un doctorat tout en exerçant un travail à temps plein, aimerait que le nouveau gouvernement encourage les entreprises à laisser leurs employés télétravailler. D'autres internautes demandent au futur président de mener à bien une politique durable d'indépendance énergétique du pays. Bientôt un CTO, en charge du Web 2.0 et de la politique participative [[page]] Bientôt un CTO, en charge du Web 2.0 et de la politique participative Barack Obama devrait bientôt choisir son CTO (Chief technology officer). Celui-ci s'occupera aussi bien des retransmissions vidéos en ligne des réunions officielles et des discours sur Youtube que de la mise à disposition des membres du gouvernement et des commissions d'outils de blog et de wiki. Il définira également la politique de commentaires en ligne des actions de la nouvelle administration. Là encore, les citoyens américains sont consultés en ligne pour mieux définir le rôle du futur CTO depuis l'accès généralisé à Internet jusqu'au respect de la vie privée en ligne. Outre la mise à disposition d'outils du Web 2.0 pour interagir avec les citoyens, le « président élu » a en effet déjà, comme le note l'International Herald Tribune, défini une politique high tech. Le quotidien américain rappelle néanmoins que, quand on évoque le pourcentage de citoyens connectés à Internet dans les pays industrialisés, les Etats-Unis ne se placent que 15e sur 30. Le candidat Obama avait ainsi promis des accès à Internet en haut débit pour tous, dans les grandes villes comme dans les petits villages, mais aussi des moyens de défense plus efficaces face à la cybercriminalité. Wait and see... (...)
(17/11/2008 16:57:00)John Wookey dirigera la stratégie on-demand de SAP pour les grandes entreprises
SAP vient de recruter John Wookey, ancien vice-président d'Oracle, pour lui confier le développement de sa stratégie dans le domaine des offres proposées 'à la demande' aux grandes entreprises. John Wookey a été pendant douze ans chargé du développement des applications chez Oracle et notamment du très stratégique chantier Fusion Applications. Dans la catégorie 'on-demand', l'éditeur allemand propose déjà une solution hébergée de gestion de la relation client (CRM), ainsi que des offres décisionnelles en ligne issues du rachat de Business Objects. En revanche, le titre du nouveau cadre dirigeant de SAP, 'executive vice president for large enterprise on-demand', semble exclure son implication sur l'offre hébergée Business ByDesign que l'éditeur allemand destine prioritairement aux PME. C'est ce qu'a confirmé Saswato Das, porte-parole de SAP, à nos confrères d'IDG News Service. Un défi de taille, mais à la mesure de John Wookey L'arrivée de John Wookey chez SAP est saluée par de nombreux observateurs. Pour Bruce Richardson, analyste pour AMR Research, son recrutement par SAP est un ticket gagnant pour les deux parties. John Wookey apporte à l'éditeur allemand et à sa stratégie SaaS (software as a service) une solide expérience, tant technique que managériale. De leur côté, Madan Sheina et Warren Wilson, d'Ovum, notent que le nouvel embauché est bel et bien chargé de développer un nouveau segment de marché, dans une période troublée. Il s'agit d'une « tâche difficile » mais c'est le genre de défi que John Wookey a l'habitude de relever. Le nouveau vice-président de SAP a quitté Oracle en octobre 2007, laissant les rênes de Fusion Applications à Chuck Rozwat, sans que l'on connaisse vraiment les raisons de son départ. (...)
(17/11/2008 16:27:29)Le gouvernement prêche la dénonciation pour le salut du Web
'La dénonciation pour les nuls'. C'est le sous-titre que le gouvernement pourrait apposer sur la page d'accueil du site qu'il vient de mettre en ligne pour offrir aux internautes la possibilité de signaler les « contenus ou comportements illicites » sur Internet. Le portail Internet-signalement.gouv.fr propose ainsi un moyen simplissime aux citoyens français pour rapporter ce qu'ils auront repéré sur le Web, et qui présenterait un caractère illégal. Un bouton 'Signaler', qui reste accessible en permanence, donne accès au formulaire de dénonciation. Il est alors possible de faire état d'un contenu ou d'un comportement « interdit et puni par une loi française ». Le gouvernement reste flou sur la description des contenus susceptibles d'être signalés : de fait, il les définit en précisant ce qu'ils ne sont pas. Il précise ainsi qu'il ne s'agit pas de mettre en lumière des propos « immoraux ou nuisibles », de régler une affaire privée ni de traiter une urgence nécessitant un appel au 17. Pour le reste, tous les contenus vraisemblablement illégaux sont les bienvenus, qu'ils aient été repérés sur un « site Internet, blog, forum », ou qu'ils prennent la forme « d'un propos sur un 'tchat' ou d'un agissement d'un 'rôdeur' anonyme sur une messagerie ». De l'escroquerie à la diffamation, en passant par la pédopornographie et le trafic d'organes, le champ des possibles est vaste. A l'issue du signalement, les informations sont traitées par la plateforme Pharos (Plateforme d'harmonisation, d'analyse, de recoupement et d'orientation des signalements) par des policiers et des gendarmes qui vérifient le caractère illégal du signalement. Ils font alors suivre le dossier aux services concernés : police ou gendarmerie nationale, DGCCRF, Interpol, etc., qui décideront éventuellement de transmettre au Parquet pour l'ouverture d'enquêtes. L'anonymat, refuge des dénonciateurs [[page]] Si le principe d'associer les internautes à la lutte contre les crimes comme la pédopornographie peut paraître légitime, la généralisation à toutes les activités illégales risque de faire grincer des dents. D'abord parce que les pouvoirs publics se déchargent d'une partie de leur mission - la constatation des infractions - sur les citoyens. Ensuite, et surtout, parce que le portail fait la part belle aux dénonciations anonymes : l'identification n'est qu'une « possibilité », « pas obligatoire » ; les signalements sont traités avec la même importance, qu'ils émanent d'une source anonyme ou nommée. Paradoxe quand, dans la rubrique 'Internet prudent', le site précise que « la prudence sur Internet, c'est aussi [...] se méfier du sentiment d'anonymat ». Une piqûre de rappel contre le téléchargement illégal Parmi les autres bons conseils distillés par le site, signalons également quelques allusions faites au téléchargement illégal. Toujours dans un souci de prudence, il est donc recommandé de « résister aux tentations du téléchargement ». Il convient aussi de se méfier du 'peer to peer', un protocole sur lequel « la plupart des films et des musiques téléchargeables sont protégés par des droits d'auteur ». Un système qui « prive les artistes du juste revenu de leur travail et nuit à la diversité de la création artistique ». Ultime conseil, adressé aux enfants : « Supprime, sans les ouvrir, les mails que tu n'as pas demandés ou qui te sont envoyés par des personnes en qui tu n'as pas confiance. » Rappelons que le mécanisme de la riposte graduée prévoit l'envoi de courriels destinés à encourager les 'pirates' à mettre fin au téléchargement illicite. Des courriels justement non sollicités... (...)
(17/11/2008 17:50:23)Exchange et SharePoint officiellement utilisables en ligne
Microsoft devrait lancer aujourd'hui les versions finalisées d'Exchange Online et SharePoint Online, après 8 mois de bêta. Les deux services en ligne, qui font partie de la suite Microsoft Online Services, seront disponibles individuellement aux Etats-Unis. Le service de messagerie sera facturé 10 $ par utilisateur et par mois, et le portail de collaboration 7,25 $ par utilisateur et par mois. Des prix à comparer avec celui de la suite complète, qui comprend aussi les offres de communications unifiées (Office Communications Online) et de webconférence (Office Live Meeting Online), pour 15 $ par utilisateur et par mois. Les offres Office Communications Online et Office Live Meeting Online devraient être commercialisées aussi de façon individuelle au début de l'année prochaine, au tarif, respectivement, de 2,50 et 4,50 $ par utilisateur et par mois. L'offre sera disponible en France début 2009 La déclinaison pour la France de cette offre en ligne est attendue pour le début 2009. L'éditeur, qui n'avait pas envie de se mettre son écosystème à dos en proposant lui-même des services en ligne, a déjà entamé des négociations avec des SSII qui proposeront l'offre aux entreprises, les revenus étant répartis entre Microsoft et ses partenaires. Certains d'entre eux pourraient d'ailleurs héberger eux-mêmes l'offre. La dernière grande offensive de Microsoft dans les services en ligne reste toutefois le lancement d'Azure, son offre de 'cloud computing'. (...)
(14/11/2008 09:03:34)Google lance l'indexation à la demande pour ses clients professionnels
Les pages des sites Web mieux indexées par Google. C'est ce que promet le géant de Mountain View aux clients de son service Site Search, une fonction permettant d'ajouter un champ de recherche sur un site, les requêtes et l'indexation étant prises en charge par les serveurs de Google. Ce dernier vient d'annoncer que les clients de Site Search auront dorénavant la possibilité d'intervenir sur la fréquence de rafraîchissement de l'indexation réalisée par Google, alors que cette étape - essentielle pour un référencement pertinent et efficace - était jusqu'alors réalisée automatiquement et périodiquement. Les éditeurs de sites Web souscrivant au service verront donc apparaître un bouton 'index now' sur la page de configuration de leur compte Site Search. « L'indexation à la demande permet à nos clients - les éditeurs de sites Internet - de venir dire à Google 'je viens d'ajouter 100 ou 1000 nouvelles pages, indexez les maintenant' », explique Nitin Mangtani, chef de produit des outils de recherche professionnelle du groupe. A l'issue d'une demande d'indexation, il ne faudrait que 24 heures pour que le nouveau contenu soit accessible à partir d'une requête. Google propose l'accès à Site Search à partir de 100 $ par an pour des sites comptant jusqu'à 5000 pages. L'addition atteint 2250 $ à partir de 100 000 pages. En dopant les capacités d'indexation de ce service, le géant du Web illustre sa volonté d'attirer à lui les entreprises pour reposer de moins en moins sur les recettes publicitaires. Une source de revenu qui devrait pâtir de la crise économique mondiale : Citigroup estime ainsi que le marché de la publicité en ligne devrait ralentir et, in fine, affecter Google. En prévision de cette éventualité, les investisseurs ont commencé à bouder les titres du pharaonique moteur de recherche : l'action Google est au plus bas depuis octobre 2005. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |