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(20/11/2008 09:17:36)

Coup d'envoi d'Europeana, la bibiothèque numérique européenne

Viviane Reding, commissaire européenne à la Société de l'information et des médias, a annoncé au Forum d'Avignon le lancement, ce 20 novembre, d'Europeana, la bibliothèque numérique européenne. Fruit d'une collaboration entre 1 000 instituts issus des 27 pays membres de l'Union, le projet tient en un site, Europeana.eu, pouvant être consulté en 21 langues. En se connectant à Europeana.eu, les internautes pourront consulter plus de deux millions de documents numérisés. Dans un premier temps, seules les oeuvres libres de droits seront accessibles. Le catalogue comprend par exemple les oeuvres de Chopin comme celles de Balzac, de Zola ou même de Rembrandt. Europeana se veut en effet le portail de toute la culture. Littérature, peinture, mais aussi patrimoine, monuments historiques, biographies des grands hommes, tout ce qui constitue une oeuvre culturelle libre de droit pourra être disponible. La France est l'un des plus gros contributeurs d'Europeana. Elle a fourni à elle seule 52% des deux millions d'objets. A ce jour, seulement 1% du contenu européen est numérisé. L'objectif est de passer à 4% d'ici 2012. (...)

(19/11/2008 17:04:16)

Capgemini utilise le 'cloud' d'Amazon pour développer des applications

Capgemini et Amazon Web Services ont noué hier un partenariat autour du 'cloud computing'. La SSII française se servira du nuage d'Amazon pour développer des applications autour de trois axes : les solutions SaaS Microsoft SharePoint, Fusion (le module ERP, progiciel de gestion intégrée, d'Oracle), ainsi que des services de test et de développement d'applications industrielles via Internet. Cette offre, expérimentée aux Etats-Unis depuis le début de l'année auprès de trois grandes sociétés, est destinée à évoluer vers d'autres secteurs, comme l'univers SAP ou l'Open Source. Capgemini se charge de développer des applications qui sont ensuite hébergées par la plateforme EC2 (Elastic Computer Cloud) d'Amazon. Ce service - fraîchement sorti de sa version bêta - permet de créer un nouveau serveur en quelques minutes, en s'affranchissant de l'achat de nouveau matériel. Capgemini et Amazon garantissent une disponibilité de 99,95%, ce qui correspond à un temps d'arrêt n'excédant pas 4 h 30 par an. La facturation se fait au cas par cas. Capgemini fournit également des services de conseil, de migration et de sauvegarde. Un pôle de compétences a même été créé à cet effet. Il est composé d'une équipe d'une cinquantaine de personnes (architectes infrastructure et consultants) situées aux Etats-Unis, en Europe (notamment en France) et en Inde. Capgemini prône la souplesse et la visibilité budgétaire Avec ce pôle de compétences, Capgemini met le pied dans le 'cloud computing' pour la première fois et compte s'y faire une place. « Je ne crois pas qu'il s'agisse d'un simple phénomène de mode organisé autour d'un buzz médiatique, explique Pascal Exertier, directeur de l'activité infogérance et président de l'activité outsourcing de Capgemini France. Nos clients éprouvent de vraies difficultés à prévoir leurs investissements et la conjoncture économique actuelle ne va pas faciliter les choses. Notre offre de 'cloud computing' leur permet d'avoir une certaine souplesse ainsi qu'une meilleure visibilité budgétaire. » (...)

(19/11/2008 16:09:53)

Les réseaux sociaux, une mine d'informations pour les entreprises

Les sites communautaires ne sont pas seulement un moyen pour les professionnels ou les internautes de rester en contact, mais également une source d'informations et de business pour les entreprises elles-mêmes, d'après Anderson Analytics. Le cabinet a décortiqué les profils des utilisateurs du LinkedIn, en se basant sur un questionnaire envoyé à un panel de membres. 53 000 personnes ont répondu, sur les 30 millions de membres que compte le site. Anderson Analytics fait un premier constat intéressant. 60% des membres du réseau social jouissent de revenus relativement confortables et 66% disposent d'un pouvoir de décision au sein de l'entreprise. Selon le cabinet, les décideurs et les prescripteurs sont plus enclins à partager leurs points de vue et vont volontiers les exposer sur les réseaux sociaux. Si les entreprises veulent mieux cibler leurs clients potentiels, elles auraient donc tout intérêt à se servir des données qu'elles peuvent récolter sur les sites communautaires. « Il serait tout à fait naïf de croire que les gens viennent au fournisseur, c'est à lui d'aller dénicher le consommateur afin de lui proposer des offres correspondant à son profil », souligne Tom Anderson, fondateur et associé d'Anderson Analytics. D'après lui, les réseaux sociaux constituent un moyen pratique et économique de toucher des millions de consommateurs qui n'auraient jamais été trouvés dans des panels de recherche classique. Cette information n'a pas échappé à LinkedIn, qui envisage de proposer un service d'enquêtes pour les entreprises afin de mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Anderson Analytics conseille enfin aux entreprises de suivre de la même manière les 'Digital natives', mais sur Facebook ou MySpace cette fois. Quatre profils d'utilisateurs de LinkedIn [[page]] Pour illustrer son propos, Anderson Analytics a segmenté les utilisateurs de LinkedIn en quatre catégories, en se basant sur des critères comportementaux comme le nombre de connexions, le mode d'utilisation ou encore les centres d'intérêt. Les « pros du réseau » (9 millions de personnes) ont généralement commencé à se servir des réseaux sociaux plus tôt que les autres, ils ont un profil relativement technique, participent à plusieurs sites communautaires, se connectent en moyenne 61 fois par mois et n'utilisent pas LinkedIn uniquement pour trouver un emploi. Leurs revenus sont élevés et dans la description de leur poste on retrouve fréquemment le terme de Consultant. Viennent ensuite les « cadres supérieurs » (8,4 millions). Moins technophiles, moins assidus (31 connexions par mois), ils ont des postes à responsabilité et leurs salaires sont les plus élevés du panel. Ils utilisent LinkedIn pour se connecter à la communauté de leur entreprise. D'ailleurs en général leur première connexion fait suite à une invitation reçue de la part d'un collègue. Les « adeptes tardifs » (6,6 millions) sont les moins enclins à adopter les réseaux sociaux. Ils s'inscrivent après de multiples sollicitations d'amis et de collaborateurs. Peu techniques, ils sont aussi craintifs et ne se servent de LinkedIn que pour communiquer avec des personnes dont ils connaissent l'identité. D'ailleurs ce sont eux qui sont le moins souvent connectés (23 fois par mois en moyenne). Ils travaillent dans des secteurs comme l'enseignement, la santé ou le droit. Enfin, dernière catégorie, les « explorateurs ». Même s'ils sont déjà en poste, ils surfent volontiers sur LinkedIn, mais pas uniquement. Leur profil est assez technique et ils utilisent les réseaux sociaux à des fins à la fois professionnelles et personnelles. (...)

(19/11/2008 15:14:19)

Avec Decho, EMC prépare un nuage de stockage pour particuliers et PME

Cisco crée la société Decho en regroupant deux filiales, Mozy (sauvegarde en ligne), et Pi Corp (gestion en ligne des données personnelles). Pour l'heure, Decho ne commercialise que l'offre de Mozy, mais la société a vocation à proposer, avec la technologie de Pi, un cloud de stockage à valeur ajoutée pour les particuliers et les petites entreprises. EMC, qui vient d'annoncer le nuage de stockage de données Atmos à l'attention des grands comptes, semble donc vouloir, avec Decho, commercialiser un service équivalent pour répondre aux besoins des individus et des PME. Le nom de Decho, pour Digital Echo, renvoie à la quantité croissante de données numériques associées à chaque individu. Des millions d'utilisateurs à 5 $ par mois Mozy (acheté en octobre 2007), revendique une clientèle de 900 000 individus et/ou 25 000 entreprises pour le compte desquelles elle stockerait 10 millions de Go (10 Petaoctets) de données. Quant à Pi Corporation, acheté à Paul Maritz juste avant qu'il ne soit nommé à la tête de VMware en juillet dernier, elle est encore en phase de conception de ses produits. Sa vocation est de proposer un repository de metadonnées pour stocker toutes les données et informations personnelles attachées à une personne. Outre tous les fichiers appartenant à cette personne (bureautique, photos, films, musique), cela englobe des données à la fois légales (identités), bureautiques (carnets d'adresses) et économiques (relevés bancaires et factures). Decho veut proposer au plus grand nombre un stockage intelligent et fiable à cette masse déjà énorme d'information. Des millions d'utilisateurs potentiels facturés chacun 5$ par mois et par ordinateur pour toute la durée de leur vie, c'est cela que l'on appelle une rente. (...)

(18/11/2008 15:59:48)

Microsoft Store débarque en France dans les prochaines semaines

C'est sans tambour ni trompette que Microsoft vient de lancer sa boutique de vente en ligne, Microsoft Store. Dépeinte par certains observateurs comme l'équivalent de l'App Store d'Apple à la sauce Redmond, la plateforme d'e-commerce de l'éditeur se révèle nettement moins achalandée. En effet, alors que l'e-boutique d'Apple propose pléthore d'applications, dont l'essentiel provient d'éditeurs tiers, celle de Microsoft se cantonne aux produits maison. Les consommateurs américains, anglais, allemands et coréens - les seuls à pouvoir, pour l'heure, commander en ligne - se voient ainsi proposer un aperçu du catalogue logiciel et matériel de Microsoft allant de Vista à Windows Server, en passant par Office, quelques souris ou la console Xbox 360. Les consommateurs français n'auront pas à attendre longtemps avant de découvrir la version du Microsoft Store adapté à l'Hexagone. « Nous n'avons pas encore de date précise à communiquer, indique Franck Halmaert, responsable du Microsoft Store français, mais ce n'est qu'une question de semaines. » Si toutes les e-boutiques ouvertes par l'éditeur ne proposent pas les mêmes produits, Microsoft s'oriente vers une harmonisation du contenu. « Une seule équipe, à Redmond, s'occupe de toutes les boutiques, c'est un projet global, la plateforme est la même pour l'ensemble des pays. On va donc faire des choix identiques, en tenant néanmoins compte des particularités locales », précise Franck Halmaert. Des tarifs supérieurs à ceux des revendeurs Le choix de Redmond de lancer ces points de vente directe répond à trois considérations. « Il s'agit, d'une part, d'offrir un guichet unique pour l'ensemble de nos produits, explique le responsable du Store français. Jusqu'alors, nous vendions certains de nos logiciels sur des sites distincts comme Marketplace, Officepourlesetudiants.fr, etc. Nous unifions nos points de vente spécifiques dans une approche globale. D'autre part, nous offrons une fonction qui n'existe pas ailleurs en permettant à nos clients de télécharger nos logiciels. Ainsi, ils ont un accès immédiat à la technologie, bien qu'ils puissent toujours commander un DVD d'installation. On peut enfin expliquer l'ouverture des ces Stores par le fait qu'une petite partie de nos clients est davantage rassurée en achetant chez nous plutôt que chez nos revendeurs. » Les revendeurs n'apprécieront certainement que moyennement cette dernière assertion. Mais Microsoft ne cherche par à les brutaliser : « Nous proposons un service complémentaire au leur, tempère Franck Halmaert, en nous adressant uniquement aux clients qui veulent acheter chez nous et télécharger nos produits. De plus, les revendeurs sont habitués : nous vendons en ligne depuis longtemps. » Surtout, pour ne pas bousculer le réseau de revendeurs, Microsoft dégaine l'argument prix. Inutile de chercher des promotions ou des tarifs attractifs sur les Stores : « La tendance générale, c'est de proposer des tarifs supérieurs ou égaux aux prix de vente conseillés. C'est une valeur ajoutée que d'avoir accès à la technologie tout de suite, grâce au téléchargement. » (...)

(18/11/2008 12:49:11)

Adobe Max : Flash optimisé pour les processeurs ARM

Le jour de l'ouverture d'Adobe Max, sa conférence utilisateurs consacrée à ses solutions d'applications Internet riches (RIA), Adobe a annoncé un accord avec ARM pour permettre et optimiser le support de Flash sur les appareils équipés de processeurs ARM. Bien entendu, cette annonce rappelle à tout le monde qu'Adobe essaie vainement de faire accepter à Apple la présence d'un lecteur Flash sur l'iPhone (une fonction demandée par nombre d'utilisateurs, frustrés de ne pouvoir accéder au contenu Flash, notamment les vidéos). Le téléphone d'Apple est en effet motorisé par des composants ARM. Apple a expliqué son refus en répondant que Flash Lite, la version de Flash pour mobiles, n'était pas satisfaisante. Adobe travaille depuis à une version spécifique de son Player pour l'iPhone, et attend impatiemment le feu vert de Steve Jobs. L'accord avec ARM s'inscrit dans la stratégie de séduction entreprise par Adobe vis à vis des opérateurs de téléphonie et des fabricants de terminaux. L'éditeur a lancé le projet Open Screen Project pour se rapprocher d'eux, abolissant le système de royalties afin de diffuser le plus largement possible sa technologie. Toutefois, la collaboration prévue entre ARM et Adobe va au-delà du marché des mobiles, il comprend notamment les télévisions, vues par beaucoup d'acteurs du secteur comme le futur terminal domestique d'accès aux contenus numériques. Or Apple est lui aussi présent sur ce marché, et n'est pas pressé de voir Flash s'y imposer. (...)

(18/11/2008 12:36:29)

Après une gestion désastreuse de Yahoo, Jerry Yang quitte son poste de PDG

Jerry Yang a décidé de tirer sa révérence en tant que PDG de Yahoo, poste qu'il occupait depuis juin 2007. Il avait alors pris la place occupée par Terry Semel. Le cofondateur de Yahoo garde toutefois son siège au sein du conseil d'administration ainsi que son poste de directeur. Officiellement, Yahoo se déclare « profondément reconnaissant à Jerry Yang pour ses nombreuses contributions en tant que PDG au cours des 18 derniers mois » et « heureux qu'il envisage de continuer à participer activement [au destin] de la société ». Dans les faits, Jerry Yang traîne derrière lui pas mal de casseroles, à commencer par un fiasco retentissant, celui de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft pour un montant de 44,6 Md$. Son obstination à refuser une proposition en or lui a valu la colère de certains actionnaires, le milliardaire Carl Icahn en tête . Aujourd'hui, l'action n'atteint même plus 11$ alors qu'à l'époque Microsoft en proposait 33$. Il y a deux semaines, Jerry Yang était finalement revenu vers Microsoftpour lancer un véritable appel au secours. Peine perdue, Steve Ballmer a immédiatement fait savoir qu'il n'était pas intéressé. Le désormais ex-PDG de Yahoo a également vu lui échapper un accord prometteur avec Google dans le marché de la publicité en ligne . Ce partenariat, qui se voulait un pied de nez à Microsoft, devait permettre à Yahoo d'accroître ses revenus de 250 à 450 M$ la première année puis de générer 800 M$ par an. Google a fini par abandonner l'accord, découragé à la fois par l'enquête du DoJ (ministère de la Justice américain), décidé à imposer des contraintes dissuasives aux deux acteurs et les résultats trimestriels désastreux de Yahoo. Le chiffre d'affaires n'a gagné qu'un tout petit point et le bénéfice net est en chute libre à -64% (54 M$). Yang hors circuit, Microsoft reviendra-t-il à la charge ? [[page]] Enfin Jerry Yang est aussi à l'origine de deux imposantes vagues de suppressions de postes : 1000 postes en janvier 2008 puis entre 1000 et 3000 postes supplémentaires annoncés en octobre dernier. Aussitôt annoncé, le départ de Jerry Yang a été salué par la bourse. Le titre de Yahoo a gagné 4% hier à Wall Street. Mais ce départ suffira-t-il à faire revenir Microsoft ? Rien n'est sûr. D'après Charlène Li, analyste et fondatrice du groupe Altimètre « le conseil d'administration de Yahoo a toujours été derrière Jerry Yang, et d'ailleurs il est toujours présent au sein de la société. Je ne pense pas qu'une entente avec Microsoft soit imminente. » Yahoo a chargé le chasseur de têtes Heidrick & Struggles de dénicher la perle rare qui succédera à Jerry Yang pour redresser la barre. Des noms circulent déjà, en interne comme en externe : Sue Decker, actuelle présidente de la société, Dan Rosensweig, ancien DG adjoint ou encore Meg Whitman, ancienne présidente d'eBay. (...)

(18/11/2008 12:15:14)

Adobe Max : CoCoMo rappelle la stratégie S+S de Microsoft

Adobe a entamé hier sa série de conférences utilisateurs Adobe Max à San Francisco en lançant une bêta publique de CoCoMo, une offre de services applicatifs en ligne apportant des fonctionnalités de collaboration à ajouter aux applications développées avec Flex. La technologie avait déjà été évoquée lors d'Adobe Max 2007, comme une extension de la plateforme Connect. Flex est la technologie proposée par Adobe pour bâtir des applications métier en ligne dont l'interface tourne sur le Player Flash. CoCoMo propose de son côté des services collaboratifs, de type voix sur IP, visioconférence, partage de fichiers, tableau blanc, etc. Directeur technique d'Adobe, Kevin Lynch a expliqué que cette offre entrait dans la stratégie d'Adobe visant à mêler les développements sur les postes clients et les offres applicatives en ligne, disponibles dans les nuages ('cloud computing'). « Pour nous, il devrait y avoir un équilibre entre les deux, a-t-il dit. Pas totalement sur le client, et pas totalement dans le cloud. » Un discours tenu également par le grand adversaire d'Adobe, Microsoft, qui tente d'imposer sa propre technologie de client riche Silverlight. Microsoft appelle cela le S+S, pour software plus services. Un premier cas d'utilisation Kevin Lynch a présenté un cas d'application de CoCoMo : la startup Acesis, qui a eu accès à une bêta privée, a réalisé une application permettant à des médecins répartis sur plusieurs sites distants de discuter du cas d'un patient, en partageant son dossier médical et en recourant à de la VoIP et de la visioconférence. Adobe n'a pas voulu donner de précisions sur la date de sortie ou la tarification de CoCoMo. « Je pense que vous verrez cela en 2009, a indiqué Kevin Lynch lors d'une conférence de presse à l'issue de son intervention sur scène. Nous verrons quel modèle de tarification utiliser, y compris la souscription ou le paiement à l'acte, en fonction des retours que nous aurons. » Le 'cloud computing' et les applications sociales en ligne de mire Selon Kevin Lynch, CoCoMo répond déjà à deux des trois objectifs de développement fixés par Adobe : le 'cloud computing' et les applications sociales. Le troisième concerne la prolifération des smartphones et autres appareils mobiles d'accès à Internet (MID, mobile Internet devices) pour lesquels Adobe a supprimé les versements de royalties. « Nous souhaitons offrir une expérience identique quelle que soit la taille de l'écran, du téléphone portable au PC », a expliqué Kevin Lynch. Pour l'heure, les smartphones doivent se contenter de Flash Lite - qui n'offre pas toutes les fonctionnalités du Player Flash - voire refusent tout simplement d'afficher le Flash, comme l'iPhone (malgré l'insistance d'Adobe auprès d'Apple). L'édition européenne d'Adobe Max aura lieu à Milan, début décembre. (...)

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