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(24/11/2008 13:00:22)

Le Cybermonday débarque en France - à la rame

La première édition des Cybermonday a été lancée aujourd'hui en France par Catherine Barba, également fondatrice de cashstore.fr, un site d'achat sur Internet qui regroupe 500 partenaires. Populaire depuis une dizaine d'années aux Etats-Unis, le principe du Cybermonday consiste à regrouper sur un même portail un ensemble de sites proposant des promotions (jusqu'à -75%, mais de manière très anecdotique) juste avant les fêtes de fin d'année. Cybermonday.fr propose également une WebTV avec une série de conseils pour réussir ses achats. L'objectif du site : convaincre les consommateurs de faire leurs achats de Noël sur Internet, en levant les dernières craintes quant à la sécurité des transactions. Un défi qui semble mal parti. Victime de son succès, le site croule sous les demandes. En panne de serveurs capables de répondre au nombre de connexions, le site est difficilement accessible depuis ce matin. Par chance, les promotions doivent durer une semaine alors que cet événement se déroule sur une seule journée aux Etats-Unis. La France encore en retard dans le e-commerce En France, quelque 300 cybermarchands participent à cette première édition, dans des secteurs aussi variés que les produits high-tech, les vêtements, les voyages, le sport ou encore l'automobile. En tout, plus de 1000 promotions (sous forme de réductions, de cadeaux ou de frais de ports gratuits) sont proposées aux internautes. Selon GFK et la Fevad (Fédération des entreprises de vente à distance), Internet devrait générer 10% des ventes de biens techniques à Noël en France. C'est beaucoup moins que les 15% affichés par d'autres pays comme l'Allemagne ou la Grande-Bretagne. Aux Etats-Unis, les Cybermonday font régulièrement exploser les ventes sur Internet et servent également d'indicateur du marché. Selon une enquête réalisée par eHoliday pour le compte de shop.org (le site qui organise les Cybermonday outre-Atlantique), 83,7% des cybermarchands devraient participer à cet événement cette année, contre 72,2% l'an dernier. (...)

(24/11/2008 12:16:20)

Tribune libre : utiliser les conversations numériques pour trouver le bon employeur

Comment se faire une bonne idée des conditions de travail dans une entreprise, en-dehors du discours officiel de l'employeur ? En utilisant à bon escient Internet et ses multiples possibilités de conversations numériques, répondent Luc Bretones et Stéphane Dieutre, dans une tribune libre publiée dans notre Blog Experts. Ce que les auteurs ont nommé, dans une tribune précédente, « troisième âge conversationnel » s'applique aussi au recrutement : le buzz numérique permet désormais de se faire une idée très précise de ce que les collaborateurs d'une entreprise vivent en son sein. Dans le même ordre d'idées, on rappellera que les nouveaux forums LeMondeInformatique.fr contiennent des centaines de témoignages sur les conditions de travail dans les SSII et les entreprises utilisatrices. (...)

(21/11/2008 16:38:22)

Après Lively, Google abandonne SearchMash

« SearchMash has gone the way of the dinosaurs. » En français, SearchMash s'en est allé à la manière des dinosaures. Si ce trait d'humour, en guise de page d'accueil, a le mérite d'être clair, il est aussi très laconique sur les raisons qui ont incité Google à fermer son moteur de recherche expérimental, lancé en octobre 2006. Est-ce pour ne pas faire d'ombre à WikiSearch, lancé aujourd'hui ? Peut être, cette fonction de personnalisation était déjà présente sur SearchMash dès le départ, avant d'en être retirée il y a quelques mois. De plus, d'autres innovations testées sur ce moteur de recherche expérimental ont progressivement été intégrées aux sites principaux de Google, comme le bloc de données dans la colonne de droite déjà présent dans la version coréenne du site. Ou tout simplement, à l'image de l'explication donnée pour la fermeture de Lively , en cette période de crise, Google veut faire des économies en coupant les branches qui ne sont pas potentiellement rentables. D'autant plus que les ingénieurs de la société et les utilisateurs fondus de nouveautés, ont déjà une autre possibilité de jouer avec leur moteur préféré : la page Google Experimental des Google Labs. (...)

(21/11/2008 13:04:02)

Google ouvre son moteur de recherche à la personnalisation avec WikiSearch

Il est désormais possible de personnaliser les résultats de recherche de Google, avec SearchWiki. Grâce à un ensemble de nouvelles fonctions, les internautes peuvent ajouter des informations, les trier, voire les supprimer de la page en cliquant sur un simple onglet. Il est également possible de publier une nouvelle URL, des commentaires ou de poser des questions. Ces nouveautés ne sont disponibles que sur google.com, et uniquement pour les utilisateurs connectés à leur compte Gmail. Les changements effectués ne sont visibles que pour la personne qui les a enregistrés (contrairement à Wikia, le moteur de recherche participatif de Wikipedia), mais il est possible de visionner toutes les modifications en cliquant sur le lien « Voir tous les billets pour ce SearchWiki », en bas de page. Le nom de l'internaute apparaît à côté de chaque modification qu'il exécute. Pour le moment Google n'a pas précisé s'il comptait exploiter les contributions des internautes pour améliorer la pertinence des résultats de son moteur de recherche. (...)

(21/11/2008 10:56:47)

Didier Lombard réclame une plus grosse part du gâteau Internet

Didier Lombard, PDG de France Télécom - Orange anticipe la "deuxième vie des réseaux". Auteur de l'intéressant ouvrage paru en mai "Le village numérique mondial", il se fait l'apôtre d'une redistribution des cartes de ce qu'est devenu aujourd'hui Internet. Dans une interview accordée à notre confère l'Expansion, il n'hésite pas à comparer Internet à un super-coucou qui aurait fait gratuitement son nid - et son beurre - sur les réseaux télécoms existants. Dans la foulée, il dénonce l'appropriation de la valeur générée par la couche intermédiaire des "fournisseurs de service" qui se place entre les opérateurs de réseaux (comme France Télécom) et les créateurs de contenu. Avec Google comme archétype. L'appellation englobe aussi, par exemple, les sites sociaux. Presque tous Américains, ces fournisseurs de services occupent des positions dominantes et, pour la seule Europe, vont drainer cette année 7 milliards d'euros en recette publicitaire. La somme atteindra 10 milliards dans deux ans. Des risques pour les opérateurs européens face aux géants américains Didier Lombard réclame que les opérateurs de réseaux puissent « participer au 'festin' de la couche des services ». Tout en expliquant que le déploiement nécessaire de la fibre optique pour répondre à la demande croissante de débit doit s'accompagner d'une meilleure rétribution des opérateurs réseaux, il a la finesse d'évincer élégamment le sujet sulfureux de la mise en place d'un Internet à deux vitesses. Apparemment plus visionnaire que ses prédécesseurs, Didier Lombard déplore aussi la concentration des grands datacenters entre les mains des sociétés américaines. L'Europe en manque cruellement. Jean-Michel Planche, spécialiste des technologies Internet et défenseur de la neutralité du réseau des réseaux partage une bonne partie de l'analyse de Didier Lombard. "Elle est plutôt raisonnable", constate celui qui fonda Oléane en 1989, le pionnier français de l'Internet professionnel, avant de le vendre à FT à la fin des années 90 et de fonder Witbe. Aujourd'hui, les deux hommes semblent partager une même inquiétude sur le risque des dépendances des Européens vis-à-vis des poids lourds américains du Net et de leurs infrastructures. (...)

(20/11/2008 15:53:42)

Google débranche Lively, son univers virtuel

Six petits mois et puis s'en va. Lively, l'univers virtuel lancé en juillet par Google, cessera définitivement d'exister en décembre. Alternative à Second Life, Lively était accessible directement à partir d'un navigateur. Le projet, issu des Google Labs, avait pour objectif, selon le géant du Web, d'offrir aux internautes un nouveau mode d'interactions et d'expression. Un peu comme le proposent tous les outils du Web 2.0. Abondance de bien ne nuit - théoriquement - pas sauf quand on s'aventure sur un terrain comme celui des univers virtuels, où le principal représentant - Second Life - ne suscite plus le centième du buzz dont il était l'objet il y a encore un an. De fait, seuls 10 000 internautes se connectent au moins une fois par semaine sur Lively. Bien trop peu pour justifier la survie de cet univers virtuel. Le tentaculaire éditeur se veut beau perdant. Sur le blog officiel de Google, on apprend ainsi que les dollars de Moutain View seront plus utiles en étant dépensés pour les activités plus traditionnelles du groupe : recherche, publicité, applications. « Nous avons toujours admis, qu'en prenant ce type de risques, on ne peut pas gagner à tous les coups. » Mieux, Google se fait adepte de la méthode Coué en affirmant tirer parti de cet échec : « Lively nous a appris ce que les utilisateurs aiment et ce qu'ils n'aiment pas. » Google recommande aux utilisateurs de Lively de se presser de réaliser des captures d'écran mettant en scène leurs avatars. Le 1er janvier 2009, ils auront trépassé. (...)

(20/11/2008 09:55:42)

Ballmer : « Un rachat de Yahoo c'est non, un partenariat c'est possible »

« Les discussions autour d'une acquisition [de Yahoo] sont terminées », a déclaré Steve Ballmer lors de l'assemblée annuelle des actionnaires de Microsoft qui se déroulait hier, 19 novembre. Le PDG du géant de Redmond a ainsi mis fin aux espoirs des actionnaires de la société après le départ de Jerry Yang. Pour autant, le PDG de Microsoft ne ferme pas tout à fait la porte à Yahoo. Steve Ballmer pense qu'un partenariat dans la recherche en ligne est encore possible, comme c'était déjà le cas en mai dernier. Il faut dire que Microsoft n'a pas trop le choix s'il souhaite contrer Google sur le secteur de la recherche en ligne. Le mastodonte de Mountain View détient en effet 60% de ce marché, contre à peine 3% pour Microsoft. Seul, le géant de Redmond est donc bien désarmé, il lui faut un allié auquel il pourrait s'adosser. Microsoft pourrait proposer à Yahoo un accord de coopération visant à la mise en ligne de publicités dans ses pages de recherche, un peu comme le contrat qui liait le pionnier de la recherche en ligne à Google avant de capoter lamentablement. Microsoft serre la vis pour affronter la crise [[page]] L'assemblée générale des actionnaires de Microsoft - à laquelle participait Bill Gates, retraité de la société depuis juin dernier - a également été l'occasion d'évoquer d'autres sujets, comme la sortie de Windows 7. Elle devrait avoir lieu en 2009, sans plus de précision. La crise financière était évidemment au coeur des discussions. « Notre société n'est pas à l'abri et nous examinons tous les moyens possibles pour réaliser des économies », a déclaré Steve Ballmer. Microsoft a annoncé un plan de réduction des coûts au mois d'octobre dernier. L'éditeur espère alléger ses dépenses de 500 M$ pour le reste de l'exercice en cours, qui se termine le 30 juin 2009. Il s'agit notamment de mettre un frein sur les recrutements. Microsoft ne veut pas entendre parler de « gel des embauches », les recrutements seront sous les 15% atteints l'an dernier par l'éditeur. Enfin, Microsoft a encouragé ses actionnaires à voter en faveur du Global network initiative, un code éthique signé entre l'éditeur, Google et Yahoo pour lutter contre la répression de la liberté d'expression, notamment en Chine. Cette bonne résolution est certes louable, mais au-delà de son aspect philanthropique, la démarche de Microsoft ne semble pas tout à fait désintéressée. La Chine, qui représente un formidable potentiel de marché, est aussi un pays qui enregistre l'un des plus importants taux de piraterie informatique - Windows en tête. (...)

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