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(26/11/2008 12:54:59)
La SNCF s'explique sur l'indisponibilité du site voyages-sncf.com (entretien avec le directeur du pilotage du SI)
Jeudi dernier, le site Voyages-sncf.com était inaccessible. Le portail du voyagiste semble accumuler les incidents techniques depuis quelques mois déjà : ainsi, en juillet dernier, une panne serveur avait entraîné l'interruption du système de réservation en ligne pendant plus de 30 heures. Cette fois-ci, c'est à l'initiative de Voyages-sncf.com que le site aurait momentanément été interrompu. Plutôt que d'évoquer une panne, le directeur du pilotage du système d'information Voyageurs France Europe (lire notre entretien avec Didier de Nadaï) brandit une périphrase et parle d'une « défaillance de certains composants techniques entraînant une instabilité du portail ». Un incident survenu à l'occasion de la mise en ligne d'une nouvelle version du site. En réaction, Voyages-sncf.com a opté pour la fermeture de son Espace Train durant quelques heures, le temps de corriger les composants défaillants, et de ramener le système à un fonctionnement normal. (...)
(25/11/2008 15:36:47)Des spammeurs condamnés à verser 873 M$ à Facebook
Nouveau record pour Facebook : le réseau social s'est vu attribuer par un tribunal américain 873 M$ de dommages et intérêts de la part de plusieurs spammeurs ayant illégalement exploité des données personnelles de ses membres. Les pollueurs de boîtes à lettres ont été condamnés en vertu du CAN-SPAM Act, loi réprimandant le pollupostage. Depuis son vote il y a 5 ans, il s'agit du plus gros montant décidé par un tribunal. Le précédent record était détenu par MySpace, avec 230 M$. Le spammeur et ses complices avaient semble-t-il réalisé de fausses pages Facebook, afin de voler les informations de connexion des utilisateurs, pour ensuite envoyer quelque 4 millions de courriels pourris à leurs connaissances. Plus drôle, les profils des utilisateurs étaient modifiés, laissant apparaître qu'ils apportaient leur soutien aux produits miracles vantés dans les courriels, tels que les petites pilules bleues censées redonner de la vitalité à la gent masculine. Les polluposteurs interdits d'accès à Facebook Facebook et la Cour de Californie du Nord de San Jose n'ont pas goûté la plaisanterie : en vertu de la loi CAN-SPAM et de divers autres articles réprimant l'intrusion dans les systèmes d'information et préservant l'intégrité des données personnelles, les polluposteurs ont été condamnés et sont sous le coup d'une injonction leur interdisant à l'avenir d'accéder à quelque donnée que ce soit issue de Facebook. (...)
(25/11/2008 13:02:30)Twitter refuse de tomber dans le giron de Facebook
L'incontournable site de réseau social Facebook aurait vainement tenté de mettre la main sur Twitter, le service de micro-blogging créé en 2006. L'information, révélée par le blog AllThings D, spécialisé dans l'analyse d'informations liées à l'IT, a par la suite été confirmée par le Financial Times. Selon ces sources, Facebook aurait proposé 500 M$ aux dirigeants de Twitter. Une somme astronomique pour un service qui a deux ans d'existence, une audience restreinte et dont le modèle économique est « en phase de recherche », mais qui est composée intégralement d'actions Facebook. Or, le réseau social n'est pas coté ; par conséquent, la valeur de ses titres ne repose que sur une estimation. C'est ce point qui aurait conduit les dirigeants de Twitter à rejeter l'offre d'achat. Facebook surévalué, Twitter peu tenté Les 500 M$ mis sur la table par Facebook ne sont en effet qu'une extrapolation réalisée à partir de la valeur estimée de la société lorsque Microsoft est entré dans son capital. En 2007, le géant de Redmond avait investi 240 M$ pour s'offrir 1,6% des parts de Facebook, contribuant ainsi à valoriser le site de réseau social à 15 Md$. Selon Twitter, la valeur réelle de Facebook serait en réalité trois fois moindre. Par conséquent, si Facebook ne vaut « que » 5 Md$, l'offre avancée par Facebook ne saurait atteindre 500 M$, mais s'élèverait en fait à 150 M$. Voire moins, ou plus... étant donné qu'il est parfaitement impossible d'évaluer ce que vaut Facebook. Néanmoins, quelle que soit la valeur des titres proposés à Twitter, ce dernier pourrait être poussé par ses investisseurs à accepter l'offre de Facebook. Le site de micro-blogging, s'il enregistre une forte croissance du nombre de ses utilisateurs (6 millions), ne vit, depuis sa création, en 2006, que sur une levée de fonds de 20 M$. Si Facebook convertissait une partie de son offre en numéraire, Twitter pourrait être tenté de revoir sa position. A moins qu'un Google ou un Yahoo n'entre à son tour dans la danse, avec des arguments pécuniaires plus tangibles. Car maintenant qu'un acheteur potentiel s'est dévoilé, il paraît peu probable que Twitter reste longtemps indépendant. (...)
(25/11/2008 11:26:52)LeMondeInformatique.fr consulte ses lecteurs
Exprimez-vous ! LeMondeInformatique.fr a décidé de s'ouvrir plus largement aux contributions de ses lecteurs. Cela passe par la mise en place d'un blog accueillant des tribunes libres, l'ouverture de forums LeMondeInformatique.fr déjà fréquentés par des centaines d'informaticiens, et par un cycle de rencontres avec la rédaction. La première édition a eu lieu le 18 novembre dernier, et a permis d'échanger à bâtons rompus sur la perception que vous pouvez avoir du site LeMondeInformatique.fr et sur vos attentes. Le 18 décembre prochain, à 8h30 précises dans nos locaux de Puteaux, l'équipe du site LeMondeInformatique.fr vous ouvrira encore une fois ses portes, pour un petit-déjeuner où vous pourrez rencontrer l'équipe, et surtout donner votre point de vue sur le fond et la forme du site. Que vous soyez informaticien indépendant, étudiant en informatique, employé dans une administration, une SSII ou une entreprise, votre avis nous intéresse. Venez, avec nous, construire le futur de votre site d'information. Pour plus de renseignements, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(24/11/2008 17:58:13)En 2007, Mozilla n'a que dépensé 33 M$ sur les 75 M$ engrangés
C'est un écureuil, et non un renard, qui pourrait être l'emblème de Firefox. Mozilla, qui édite le célèbre navigateur Web Open Source, a publié ses comptes, où il ressort que l'entreprise Mozilla est plutôt du genre économe. En 2007, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 75,1 M$, en hausse de 12,4% par rapport aux 66,8 M$ de 2006. L'ensemble des dépenses s'est élevé de son côté à 33,3 M$. Déduction faite des provisions pour taxes, cela a permis à Mozilla d'engranger quelque 24,5 M$ supplémentaires, portant son trésor de guerre à 82,3 M$. L'essentiel des revenus (68,2 M$) vient des accords passés avec les moteurs de recherche présents dans le navigateur, « et la majorité provient de Google », précise sur son blog Mitchell Baker, la CEO de Mozilla. Dans le document présentant ses résultats, Mozilla indique que Google compte pour 88% de son chiffre d'affaires (contre 85% en 2006). Néanmoins, l'éditeur se dit confiant pour l'avenir, d'autant que l'accord avec Google a récemment été prorogé jusqu'en novembre 2011. Dans le discours officiel, le fait que Google ait lancé son propre navigateur Chrome est une bonne chose, Mozilla disant aimer la diversité. Les intérêts financiers, deuxième source de revenus A noter que les revenus provenant des moteurs de recherche, comptés comme royalties, sont justement à l'origine de cette volonté de mettre de l'argent de côté : le Trésor américain n'a toujours pas déterminé si ces revenus devaient être taxés comme des revenus commerciaux normaux, auquel cas l'imposition de Mozilla serait plus élevée. Les intérêts financiers constituent la deuxième source de revenus, loin devant les ventes de produits ou l'accord passé avec Amazon. Côté dépenses (en hausse de 68,5%), Mitchell Baker indique que le paiement des salariés et des contributeurs (150 personnes à temps plein ou temps partiel) et de leur encadrement a constitué environ 80% du total. Mozilla a par ailleurs contribué à plusieurs projets Open Source, écrit Mitchell Baker, pour un montant total d'environ 1 M$. Pour l'anecdote, Mozilla a lui aussi des dépenses à faire dans le logiciel : l'éditeur y a consacré 347 007 dollars. (...)
(24/11/2008 17:11:13)Google étudie la construction d'un nouveau datacenter en Autriche
Google vient d'acquérir en Autriche un terrain de 75 hectares, dans la ville de Kronstorf, ce qui laisserait à penser que le géant d'Internet bâtirait un nouveau datacenter pour soutenir son moteur de recherche. Mais pour l'instant, le géant ne confirme ni n'infirme. Il affirme ne pas avoir encore avoir pris de décision. Rien de surprenant à cela. La société californienne n'aime guère donner de détails sur la localisation des batteries de serveurs qu'elle a installées pour indexer la toile page après page (en juillet dernier, un billet sur son blog officiel indiquait que ses systèmes qui parcourent les pages du Web au fil de leurs liens, à la recherche de nouveaux contenus, étaient parvenus à débusquer mille milliards d'URL en une seule exploration). Il y a deux ans, un pan du mystère avait été levé sur son site installé très discrètement dans l'Oregon dont une photo avait été publiée par le New York Times en juin 2006. Un site autrichien bien situé Google est sans cesse à la recherche de nouvelles solutions pour optimiser ses datacenters et les construire au plus près des centaines de millions d'utilisateurs qui utilisent ses services dans le monde. Des sites dont il cherche aussi à réduire la consommation électrique. Dans ce domaine, il étudie même un concept de datacenter flottant énergétiquement autonome. [[page]]Le site autrichien que vient de choisir Google répond quant à lui à plusieurs des critères retenus généralement par le Californien pour l'implantation de ses centres de données. Il est « bien situé, dans un environnement économique propice à mener efficacement une activité commerciale et à retenir des équipes », comme l'explique dans un communiqué Kay Oberbeck, porte-parole de Google sur ces questions. Ce dernier précise qu'à ce stade, la société compte simplement procéder à des études de faisabilité technique pour une éventuelle construction. Nul doute que Google regardera de près les capacités d'alimentation électrique de la région, ainsi que le coût de l'électricité. Les monstres de puissance qu'il installe partout dans le monde sont de gros consommateurs de MWatts. Kay Oberbeck assure que des informations complémentaires seront communiquées dès que Google aura confirmé ses projets. A suivre... (...)
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