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(17/09/2008 09:47:20)
La Cnil et le FDI invitent les internautes à s'exprimer sur le respect de leur vie privée
En pleine polémique sur la fourmilière d'informations qu'est le fichier Edvige, la Cnil et le Forum des droits sur Internet (FDI) se penchent sur la question de la vie privée face aux technologies de l'information. « Votre vie privée vous intéresse et vous n'êtes pas les seuls », lancent les deux organismes aux internautes, qui sont invités à participer à la consultation mise en place aujourd'hui et jusqu'au 15 janvier 2009. Ces derniers pourront exprimer leur point de vue sur les forums de discussions du FDI, organisés en quatre sections principales : puis-je contrôler mon identité et mon image sur le net, pourquoi les autres s'intéressent-ils à ma vie privée, quelle est la place de notre vie privée face à l'Etat, et comment améliorer la protection de la vie privée dans le monde numérique. A travers ces pistes de réflexion, les visiteurs exprimeront leur opinion, feront part de leurs expériences ou réagiront aux propos exprimés par les autres intervenants. A cela s'ajouteront les participations « d'experts et de personnalités », chargés d'alimenter le débat. Un rapport destiné à la CNIL et au forum des droits sur Internet A l'issue de cette vaste consultation, les contributions seront synthétisées et regroupées dans un rapport qui « contribuera aux réflexions de la Cnil (...) sur la protection des personnes physiques à l'égard des traitements de données à caractère personnel. » Les contributions des internautes serviront en outre de base aux travaux des différents groupes du FDI. L'Etat n'est donc ni commanditaire de l'étude entreprise, ni destinataire a priori de ce bilan. Néanmoins, et si la participation est conséquente, les opinions exprimées pourront inciter la Cnil à formuler des recommandations, voire à tirer des sonnettes d'alarme. In fine, le FDI ne cache pas qu'il entend voir adaptée la législation aux enjeux liés à la protection de la vie privée dans une société où les atteintes potentielles sont aussi nombreuses que variées, de Facebook à Edvige, de Google aux pass Navigo. « Seul un cadre juridique à la fois précis et capable de s'adapter aux futures technologies de surveillance peut répondre à la question», glisse ainsi le FDI dans la partie du forum intitulée « quelle place pour ma vie privée face à l'Etat ? » (...)
(17/09/2008 09:31:48)Seedcamp soutient activement les start-up Internet en Europe
Le programme Seedcamp, qui se tient à Londres jusqu'au 19 septembre, donne à vingt-trois start-up européennes l'opportunité de finaliser leur modèle économique, basé sur Internet, au contact d'acteurs reconnus de l'industrie informatique et des nouvelles technologies. Des représentants de Google, Microsoft, Mozilla et Cisco, par exemple, participent à cette initiative. Pendant une semaine, les participants à ce programme londonien vont bénéficier du regard avisé qu'une brochette d'ingénieurs et de spécialistes de la finance et du marketing portera sur leur projet. Des échanges fructueux qu'ils n'auraient jamais pu récolter dans un délai aussi court. Objectif n°1 : faire croître les talents en Europe Au milieu de start-up venant de France, d'Ukraine, de Slovénie, de Pologne, de Roumanie et du Royaume-Uni, on trouve aussi des projets d'origine américaine. Mais peu importe aux organisateurs de Seedcamp que le candidat s'engage à lancer et bâtir son activité en Europe. Car l'objectif de cette initiative, c'est bien de développer les talents en herbe de ce côté-ci de l'Atlantique, pour les conduire sur les traces de prédécesseurs européens de renom tels que MySQL ou Skype. L'initiative Seedcamp a été lancée l'an dernier par Saul Klein, ancien vice-président de Skype et partenaire de l'investisseur Index Ventures (très engagé auprès des jeunes pousses Internet), sur le constat évident que l'Europe attire moins les capitaux que les Etats-Unis. Comparée à la Silicon Valley, le « Vieux continent » est d'un abord moins facile, tant il mêle de cultures, de langues et de contextes réglementaires différents. « Pour beaucoup d'investisseurs, l'Europe constitue davantage une destination touristique agréable qu'une cible d'investissement », décrit Danny Rimer, d'Index Venture. Pour les fondateurs de Seedcamp, au contraire, l'Europe dispose de tous les ingrédients -environnement, talents, capitaux, modèles- pour servir de socle au développement d'acteurs technologiques de tout premier ordre. Une allocation de 50 000 euros pour cinq start-up [[page]] Lundi dernier, les start-up participant au programme 2008 de Seedcamp ont effectué l'une après l'autre une brève présentation de leurs projets. On y trouve des sites de voyage, des messageries instantanées, des solutions de développement d'applications Web, des outils analytiques pour l'iPhone... A l'issue des six jours du programme (14-19 septembre), cinq équipes seront sélectionnées. Elles recevront une allocation de 50 000 euros qui leur permettra de rester trois mois dans la capitale britannique pour engranger de façon intensive les conseils de juristes, gestionnaires, responsables produits et autres experts qui leur permettront de guider leur start-up entre les écueils jusqu'à la pleine mer. Alistair Hann, fondateur de la Britannique Zoombu, apprécie de rencontrer à Seedcamp des responsables ayant dirigé des activités très importantes. « On glane ici des retours d'expérience que l'on aurait mis plusieurs mois à recueillir autrement », reconnaît-il. Sa société de trois personnes a construit un site Web pour organiser un voyage de bout en bout en agrégeant les services de différents prestataires. Primoz Rome, lui, est responsable informatique de la société slovène Uniki. Cette start-up, qui a développé un système d'affichage interactif, rencontre des problèmes de croissance. Elle compte trouver des réponses à Londres. (...)
(16/09/2008 10:54:56)L'Arcep va contrôler les opérateurs Wimax de près
Le déploiement du Wimax dans l'hexagone est très loin des objectifs fixés. Tel est le constat du rapport édité le lundi 15 septembre par l'autorité de régulation des télécoms (l'Arcep) suite à une étude réalisée au cours de l'été. L'Arcep constate que « les déploiements [du Wimax] restent encore très modestes et sont aujourd'hui très inférieurs aux engagements pris par les titulaires d'autorisations » en juillet 2006. Si le constat est aussi sévère, c'est parce que les opérateurs avaient promis monts et merveilles lorsqu'ils s'étaient vus attribués leurs fréquences d'émission Wimax. Mais pour le moment, ils sont très loin d'avoir respecté leurs obligations. Il aurait du y avoir 3 564 sites déployés au 30 juin 2008. La réalité est que l'on compte 524 sites (dont 512 opérationnels) - c'est à dire 15% des objectifs - et environ 4 000 clients, particuliers et professionnels, à travers la France. La répartition territoriale n'est pas homogène Par ailleurs, l'Arcep regrette que la répartition sur le territoire national ne soit pas homogène. En Haute-Normandie, par exemple, la moitié des sites prévus (50 sur 100) a bien été installée et trois offres commerciales sont déjà disponibles. En revanche, dans la région Rhône-Alpes, aucun des 446 sites n'a encore été déployé remettant donc aux calendes grecques la commercialisation des huit offres stipulées dans le cahier des charges. Ces retards peuvent en partie s'expliquer par la redistribution des cartes entre les titulaires d'autorisation. De 10 titulaires à l'origine (6 conseils régionaux et 4 opérateurs privés), ils sont aujourd'hui 19 titulaires (14 collectivités et 5 opérateurs). L'Arcep note que la plupart des Conseils régionaux ont en effet cédé leurs droits aux Conseils généraux. Il serait cependant injuste de jeter la pierre aux seules collectivités locales car les industriels n'ont pas vraiment montré l'exemple. Exception faite de Nomotech qui a déployé les deux sites qui lui avaient été imposés dans le Morbihan. Un avancement inégal suivant les opérateurs [[page]] Selon le classement établi par l'Arcep, on trouve bien placé l'opérateur SHD (filiale de Neuf Cegetel et de SFR) qui a installé 86 sites sur 177 et qui gère au moins un site dans chaque département où il détient une autorisation (régions Ile-de-France et Paca). Quant à HDDR France, il atteint 170 sites sur 312 « obligations ». Altitude Wireless pour sa part a installé 212 sites sur 1796. Le bonnet d'âne revient à Bolloré Télécom qui n'a déployé que 11 sites sur 968 obligations avec un seul site départemental sur 60. Néanmoins, au cours de l'été, Bolloré a racheté, une partie des licences de HDRR. Cette transaction lui permet non seulement de devenir un opérateur quasi national avec des autorisations dans 20 régions sur 22 mais surtout, elle porte son nombre de sites installés à 140 pour 1134 obligations. Les titulaires d'autorisations mis sous surveillance L'Arcep ne s'est pas contentée de juger, elle a voulu savoir pourquoi les opérateurs privés et publics ont pris autant de retard : « le facteur principal évoqué de façon commune est le retard des équipements terminaux en termes de disponibilité et de maturité technologique » constate le régulateur. En clair, alors qu'il existait une technologique Wimax, mature et disponible (la version 802.16 d) mais pour un usage fixe, les opérateurs ont préféré se tourner vers l'autre technologie, la 802.16 e qui permet « le nomadisme, annonce de meilleure performance et des économies d'échelle » mais dont les équipements ne sont pas prêts et un Wimax qui pour « le moment ne répond pas aux performances annoncées ». Face aux manques des opérateurs, l'Arcep ne pouvait pas rester sans réagir. C'est pourquoi, tout en reconnaissant leurs difficultés technologiques, le régulateur a décidé de « mettre sous surveillance les titulaires d'autorisations et d'organiser le suivi de l'avancement de leurs déploiements ». Les opérateurs devront transmettre tous les six mois l'état d'avancement de leurs déploiements. (...)
(16/09/2008 10:09:41)Diffusion de contenus dynamiques : Adobe acquiert le Danois YaWah ApS
Adobe vient de racheter pour un montant non communiqué le Danois YaWah ApS, éditeur d'une solution destinée aux professionnels du marketing multicanal et du commerce électronique. Produit phare de YaWah ApS, le serveur d'images eRez permet en effet de gérer, d'archiver, d'échanger et de diffuser des images en haute résolution. Adobe prévoit d'intégrer ces outils à Scene7, sa plateforme hébergée de diffusion de contenus dynamiques issue du rachat du Californien Scene7 en mai 2007. Cette offre de services hébergés permet aux e-marchands de distribuer leurs vidéos publicitaires et les images de leurs catalogues. Accélérer l'adoption de Scene7 en Europe La technologie de Scene7 permet de redimensionner dynamiquement les images haute définition en fonction du contexte (zooms, vignettes, présentation des produits sous divers angles). Parmi les services proposés par Scene7 figure un configurateur de produits en ligne permettant, par exemple, de modifier la couleur et la texture des objets présentés). En rachetant YaWah ApS, l'éditeur américain compte accélérer l'adoption de sa plateforme, en particulier en Europe. (...)
(15/09/2008 15:28:05)Tim Berners-Lee annonce la création de sa fondation pour le futur du Web
Tim Berners-Lee, le père du Web, vient d'annoncer la prochaine création de sa fondation, dont les buts principaux consisteront à étendre les capacités d'Internet et à faire en sorte que le plus grand nombre puisse y avoir accès. La World Wide Web Foundation, prévue pour être lancée au début de l'année prochaine, promouvra « un Web ouvert et libre », explique Tim Berners-Lee. Elle s'attachera à la défense de la démocratie, la liberté des internautes de s'exprimer et d'accéder à tous les contenus. Parallèlement, la fondation se concentrera pour trouver des solutions afin de permettre aux 80% de la population mondiale n'ayant pas accès au Web d'y accéder. Une dotation de 5 M$ pour commencer Face à ces buts ambitieux, le père du WWW considère qu'il est important que le Web bénéficie à l'humanité dans son ensemble et pas seulement à quelques privilégiés. Première contributrice à la W3C Foundation, la Knight Foundation injectera 5 M$ pour lancer les activités. Cette dernière, focalisée sur la défense du journalisme, estime qu'Internet est un outil essentiel à la liberté d'expression et de la presse. (...)
(15/09/2008 12:45:36)Free supprime presque tous les effectifs informatiques et télécoms d'Alice
Le rachat de Liberty Surf, filiale française de Telecom Italia opérant sous la marque Alice, par Iliad, maison-mère de Free, risque de se solder par un plan de restructuration drastique : lors d'un comité d'entreprise, le fournisseur d'accès Free a en effet annoncé la suppression de près de la totalité des effectifs, soit 86% du siège social parisien de Liberty Surf. «D'ici à 2009, 340 postes sur 395 seront supprimés sur une population de salariés composée aux trois quarts de cadres », précise Laurence Barma, secrétaire fédérale CFDT en charge des télécoms. Plan de réduction en deux temps Toujours d'après la CFDT, les réductions frapperont les emplois de techniciens et d'ingénieurs : une centaine à la direction des systèmes d'information et 150 environ dans les réseaux. La direction envisage d'appliquer son plan de restructuration en deux temps : un appel aux départs volontaires sera d'abord lancé entre janvier et février 2009, suivi par des départs contraints, à partir de mars 2009. Sachant que le management entend maintenir le taux de 86% de réduction d'effectifs, l'appel aux départs volontaires ne signifie pas grand chose. La CFDT rappelle donc à la direction la nécessité de mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour assurer le reclassement de ses salariés, avant la tenue du prochain CE, qui aura lieu d'ici à trois semaines. (...)
(12/09/2008 16:23:46)Paris va rebrancher ses bornes WiFi au grand dam des syndicats
Rien ne va plus entre la Ville de Paris et six syndicats, fermement opposés sur le dossier du WiFi dans les bibliothèques municipales. A la fin 2007, plusieurs agents de la ville se plaignaient de céphalées et autres malaise suite à l'installation de points d'accès à Internet sans fil dans quatre bibliothèques. En conséquence, le Comité d'hygiène et de sécurité (CHS) a décidé en novembre, la désactivation des bornes incriminées. Puis, en juin 2008, l'Hôtel de Ville a lancé une enquête pour faire la lumière sur les dangers liés aux émissions électromagnétiques des hotspots. Hier, la Mairie de Paris, se faisant l'écho des conclusions des experts, a indiqué que les relevés effectués dans les quatre bibliothèques avaient « confirmé des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au seuil règlementaire ». Le rapport exposant l'ensemble des observations doit être présenté, le 18 septembre prochain, au CHS. Mais cette réunion pourrait ne pas se tenir : les syndicats CGT, CFTC, FO, SUPAP-FSU et UNSA menacent en effet de boycotter l'événement pour protester contre la façon dont les expertises ont été conduites. Les syndicats accusent la Mairie de délit d'entrave Ils reprochent notamment à la Ville de n'avoir pas entendu les spécialistes qu'ils avaient eux-mêmes mandatés, et s'inquiètent de la prochaine remise en marché des bornes WiFi « sans concertation ». Fort courroucée, l'intersyndicale estime que Bertrand Delanoe « escamote la vérité » et l'accuse de « délit d'entrave ». En guise de réponse, la Mairie de Paris rappelle que c'est à l'initiative de l'édile qu'un « voeu à été voté par le Conseil de Paris en juillet 2008 pour la mise en place d'une conférence citoyenne consacrée au thème des ondes électromagnétiques ». (...)
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