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(11/09/2008 14:34:38)

Pas de récession pour le e-commerce

Si l'économie française tourne au ralenti en cette année 2008, ce n'est pas le cas du commerce électronique. Selon la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance), les cybermarchands français ont vu leur chiffre d'affaires progresser de 30% au premier semestre 2008, pour atteindre un montant total de 10 milliards d'euros (contre 7,7 milliards à la même période en 2007). Pour expliquer ces bons résultats, la Fevad avance deux raisons. D'un côté, une augmentation de 48% du nombre de sites marchands actifs, qui étaient 43 000 en juin. De l'autre, une augmentation de la clientèle, avec 2 millions de cyberacheteurs en plus en un an. Parmi les secteurs les plus en vogue, la vente aux professionnels (+ 31 %) et le tourisme (+18 %) ont enregistré les plus fortes croissances entre le premier semestre 2007 et le premier semestre 2008. L'achat sur Internet n'est donc définitivement plus réservé à quelques livres et produits high-tech. (...)

(11/09/2008 12:14:09)

3 entreprises sur 10 seulement s'intéressent aux réseaux sociaux

En dépit du buzz entourant les réseaux sociaux depuis de nombreux mois, une majorité d'entreprises n'entend pas mettre en place ces outils collaboratifs. C'est ce que révèle une étude commandée par Avanade et réalisée par Coleman Parkes Research auprès de 541 décideurs en Amérique du Nord, Europe et dans la zone Asie-Pacifique. Premier enseignement : 69% des entreprises interrogées ne prévoient pas d'utiliser de réseau social à court terme. Les principales raisons expliquant cette réticence tiennent aux craintes pour la sécurité du SI et au sentiment que ces technologies ne sont pas totalement maîtrisées. Surtout, de la moitié des dirigeants sondés estiment qu'ils risquent une potentielle baisse de productivité parmi les salariés. Enfin, 60% des responsables n'ont simplement pas conscience des avantages susceptibles de découler des outils collaboratifs. Si l'on ferme la porte aux réseaux sociaux, ils entreront par la fenêtre Pourtant, malgré cette frilosité, les entreprises reconnaissent que, si elles ferment la porte aux réseaux sociaux, ils risquent d'entrer par la fenêtre. Plus de 75% des dirigeants interrogés indiquent ainsi que, de toute façon, les réseaux sociaux seront, de fait, utilisés par les salariés. Enfin, parmi les entreprises ayant mis en place ce type d'outils la plupart sont satisfaites des avantages qu'elles en tirent. Les deux-tiers d'entre elles rapportent en effet une augmentation de la satisfaction de leur clientèle et 64% indiquent bénéficier d'une réputation en hausse. Par ailleurs, 2 entreprises sur 5 établissent un lien de cause à effet entre l'utilisation d'outils sociaux et l'augmentation de leurs ventes. (...)

(10/09/2008 15:37:06)

Un expert antitrust se penche sur l'accord Google/Yahoo

L'accord publicitaire signé entre Google et Yahoo, alors que Microsoft cherchait encore à mettre la main sur le portail, serait-il appelé à connaître un sombre avenir ? C'est ce que les observateurs sont en droit de craindre à la lecture des informations révélées mardi par le Wall Street Journal. Selon nos confrères, le DoJ (équivalent américain du ministère de la Justice) aurait fait appel à un expert des questions antitrust pour étudier le dossier. Sanford Litvack, ancien vice-président de Walt Disney et, auparavant, en charge des problèmes d'abus de position dominante au DoJ sous la présidence de Jimmy Carter, va ainsi se pencher sur les conséquences de l'accord Google-Yahoo sur la concurrence. Rappelons que ce partenariat prévoit l'affichage de publicités issues de Google dans les pages de résultats de Yahoo. L'irruption d'un tel expert dans le dossier, les auditions de témoins et l'examen de nombreux documents pourraient, d'après le WSJ, laisser suggérer que le DoJ serait proche de faire tomber l'accord sous le coup des lois antitrust. Une position pour laquelle se bat l'Association of National Advertisers, qui regroupe les principaux annonceurs américains. Dans une missive adressée au DoJ, le groupement explique ainsi que l'association entre Google et Yahoo risque fort de nuire à la concurrence et d'entraîner une augmentation des tarifs publicitaires. De leur côté, les deux principaux intéressés se veulent rassurants. « L'accord est légal, explique Yahoo, et nous attendons avec confiance que les régulateurs le jugent favorable à la concurrence et au marché. » (...)

(09/09/2008 15:39:36)

Google ramène à neuf mois la durée de conservation des logs

Souvent montré du doigt pour le peu de cas qu'il ferait du respect de la vie privée de ses utilisateurs, le pantagruélique Google vient de faire un pas en direction de ses détracteurs. Le moteur de recherche a effet annoncé, ce lundi, qu'il ne conserverait plus désormais que pendant neuf mois les données de connexion des internautes effectuant leurs requêtes par son intermédiaire. Plus précisément, Google rendra anonyme les logs après trois trimestres de présence sur ses serveurs. Par cette initiative, Google diminue de moitié la durée de rétention des données de connexion de ses utilisateurs. En juin 2007, le géant du Web avait déjà effectué une démarche similaire, ramenant le laps de temps pendant lequel il conserve les logs de 24 à 18 mois. En ramenant à neuf mois la durée de conservation des données de connexion, Google entend mettre fin aux inquiétudes maintes fois exprimées par les instances chargées du respect de la vie privée aux Etats-Unis et en Europe. Le moteur de recherche ne se contente toutefois pas de montrer patte blanche et laisse entendre qu'en cédant aux exigences de ses observateurs le service rendu aux internautes risque de s'en trouver affecté. « Nous sommes heureux d'améliorer le respect de la vie privée, écrit Peter Fleischer, responsable des questions relatives à la vie privée chez Google, mais nous sommes également conscients qu'une potentielle diminution de la sécurité, de la qualité et de l'innovation, pourrait en résulter. » (...)

(09/09/2008 14:04:43)

Eric Besson veut doper l'accès européen à l'information

Eric Besson est sur tous les fronts. Après avoir orchestré les Assises du numérique cet été et avant de participer au Grenelle du très haut débit, le 23 septembre prochain, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique vient de présenter ses axes de réflexion censés permettre à l'Union européenne de « parachever i2010 ». Rappelons que l'initiative i2010, adoptée par les 27 en 2005, vise à développer économiquement et socialement les Etats membres grâce à l'IT. C'est, en résumé, le volet technologique de la stratégie de Lisbonne définie en 2000, qui a pour objet de faire de l'Europe l'économie la plus compétitive et la plus dynamique du monde à l'horizon 2010. L'objectif est ambitieux et ne saurait être atteint sans une mobilisation des pouvoirs publics. C'est ce qu'a rappelé aujourd'hui Eric Besson, en ouverture de la conférence 'Parachever i2010 : quels services et réseaux de demain'. Le très haut débit partout, pour tous Aux yeux du secrétaire d'Etat, le développement technologique de l'UE passe en premier lieu par le déploiement du très haut débit, fixe et mobile. Sur ce terrain, affirme-t-il, « l'Union européenne doit au minimum rattraper » le Japon et la Corée du Sud, qui ont pris une bonne longueur d'avance sur le Vieux Continent. Pour cela, les pouvoirs publics devront, outre sélectionner une norme pour le très haut débit mobile, trouver les instruments pour « concilier concurrence d'une part et promotion des investissements et de l'innovation d'autre part. » Cet accent mis sur le développement du très haut débit risque cependant de se concrétiser, comme c'est déjà le cas actuellement pour le haut débit, par des disparités régionales : certaines parties de la population européenne ayant accès à l'information pendant que d'autres en restent exclues. Cette « fracture territoriale des débits » doit être combattue, assure Eric Besson. Le secrétaire d'Etat entend, à cette fin, « initier un débat au Conseil sur la pertinence d'un droit d'accès au haut débit, à un prix raisonnable, sur l'ensemble des territoires européens ». Parmi les pistes étudiées figure l'extension du champ du service universel à la sphère du (très) haut débit. (...)

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