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(14/10/2011 12:32:40)
Trimestriels Google : le chiffre d'affaires a grimpé de 33%
Les résultats de Google ont dépassé les prévisions de Wall Street sur le troisième trimestre fiscal de la société qui poursuit sa croissance à un rythme fort. Les résultats ont été remarquables sur cette période, a souligné le co-fondateur et PDG, Larry Page, au cours d'une conférence téléphonique avec des analystes financiers. Le chiffre d'affaires a progressé de 33%, à 9,72 milliards de dollars, bénéficiant à la fois de l'augmentation du volume et du prix des publicités cliquables. Une fois les rétrocessions reversées aux partenaires, il s'est élevé à 7,51 milliards de dollars, alors que les estimations des analystes collectées par Thomson Reuters prévoyaient avaient prévu 7,21 milliards de dollars.
Google a dégagé un bénéfice net de 2,73 milliards de dollars, soit 8,33 dollars par action, contre 2,17 Md$ et 6,72 $ par action l'an dernier, sur son troisième trimestre 2010. Sur une base pro-forma, qui tient compte de certains éléments non récurrents, le bénéfice net s'élève à 3,18 Md$, soit 9,72 $ par action, ce qui dépasse le consensus des analystes qui prévoyait 8,74 $ (à comparer à 2,46 Md$ et 7,64 $ par action au 3e trimestre 2010).
40 millions de membres pour Google+
Google+, le réseau social lancé par la société, a réuni plus de 40 millions de membres, a indiqué Larry Page. Un résultat qui le satisfait, a-t-il commenté, car il montre que les utilisateurs ont afflué vers le site. Google+ est important pour la société car il aura un impact sur les autres produits et sur leur amélioration au fur et à mesure que ses membres s'en serviront pour partager du contenu et interagir, selon le PDG. Il reste malgré tout à voir si Google+ va attirer une masse critique d'utilisateurs. Le réseau social n'en est encore qu'à ses débuts, a rappelé Larry Page, face à un Facebook qui vient d'atteindre les 800 millions de membres.
La société de données analytiques Chitika a récemment publié les résultats d'une étude révélant que le trafic sur Google+ avait faibli, après un pic survenu à la sortie, le 20 septembre, de la version bêta limitée. À l'époque, le trafic avait bondi de plus de 1 200%, selon Experian Hitwise. Mais il est retombé au niveau où il était avant que le site ne soit ouvert à tous.
Facebook est devenu une menace pour Google sur différents fronts. C'est l'un des sites les plus connus au monde, mais la plupart de son contenu est hors de portée des robots de recherche de Google. Facebook est lui aussi un fournisseur majeur de publicité et il bénéficie d'un partenariat étroit avec Microsoft, l'un des principaux rivaux de Google. La société de Steve Ballmer obtient ainsi un accès privilégié aux données de Facebook avec son moteur de recherche Bing.
Une trésorerie de 42,6 milliards de dollars
Larry Page a également révélé que les revenus sur supports mobiles, s'étaient montés à 2,5 milliards de dollars annualisés. Les activités mobiles de Google sont actuellement sous le feu d'Oracle, qui a déposé une plainte alléguant que la plateforme Android violait ses brevets et copyrights acquis lors du rachat de Sun Microsystems.
Nikesh Arora, directeur commercial de Google a déclaré que les ventes avaient été fortes dans tous les secteurs d'activité du groupe, y compris sur son activité de base reposant sur la publicité associée à son moteur de recherche sur poste de travail, et sur des domaines émergents comme le mobile, la diffusion publicitaire (display) et les logiciels d'entreprise, parmi lesquels figurent les Google Apps.
« Nous avons réalisé un troisième trimestre phénoménal », s'est réjoui le responsable commercial. Les sites de Google ont généré 69% du chiffre d'affaires de la firme. Les activités internationales du groupe ont représenté 55% des revenus totaux. Les utilisateurs ont cliqué sur les publicités de Google 28% de plus qu'au cours du troisième trimestre 2010. Quant au prix moyen payé par les annonceurs pour chaque clic, il a augmenté de 5% d'une année sur l'autre.
Google a terminé le trimestre avec 42,6 milliards de dollars de trésorerie, en cash et en titres à court terme négociables. Son effectif global est passé à 31 353 employés, contre 28 768 collaborateurs à la fin du deuxième trimestre.
Certificat SSL : l'alternative « Convergence » fait son chemin
Les autorités habilitées à délivrer des certificats SSL, comme Comodo, dont les serveurs ont été piratés, ne sont pas digne de confiance. C'est l'avis de Moxie Marlinspike, expert en sécurité, qui met en cause un mode de fonctionnement qui concerne l'ensemble de l'industrie de la certification. A la place, le chercheur propose un projet nommé «Convergence», dont il avait tracé les grandes lignes au mois d'août dernier lors de la conférence Black Hat. Le projet semble faire son chemin. Surtout après les attaques menées par des pirates contre des certificateurs SSL comme DigiNotar, GlobalSign, Comodo et autres autorités, lesquelles se sont traduites par l'émission de faux certificats sur le web, y compris un faux certificat Google, tous révoqués depuis.
Le projet « Convergence » de Moxie Marlinspike changerait radicalement la situation actuelle. Aujourd'hui, la confiance dans tel ou tel site web repose sur un certificat SSL émis par une autorité de certification, lui-même reconnu par le navigateur de l'utilisateur. Cette reconnaissance de telle ou telle autorité de certification est, elle, programmée par les éditeurs dans leurs navigateurs Internet. L'expert estime que l'ensemble de ce système - qui génère plusieurs millions de dollars de revenus - devrait être abandonné. Pour le remplacer, celui estime que l'utilisateur doit avoir le choix de contrôler plus directement la façon dont son navigateur gère les certificats. L'idée est d'établir une base de « notaires », sorte de vigies du web, qui donnent leur avis sur la validité de telle ou telle signature électronique, sur la base d'un feedback rendant compte de ce qui se passe effectivement en ligne.
Pour fonctionner, l'utilisateur a besoin d'installer l'extension Convergence pour le navigateur Firefox, mise à disposition par le chercheur. « Au départ, j'étais le seul notaire », explique Moxie Marlinspike. « Mais aujourd'hui, nous sommes 50 notaires Convergence », dont l'Electronic Frontier Foundation et l'éditeur de solutions de sécurité Qualys. L'idée est que ces « notaires » indiquent par voie électronique à l'utilisateur si tel certificat SSL est considéré comme valide ou non, en fonctions des préférences établies par chaque utilisateur. Selon le chercheur, à ce jour, le système a séduit 30 000 utilisateurs.
Un soutien progressif
L'idée de Moxie Marlinspike commence à recueillir un certain soutien de la part de l'industrie de la sécurité informatique. Selon Ivan Ristic, directeur de l'ingénierie chez Qualys, les études réalisée par son entreprise sur Convergence montrent que l'«alternative est viable pour supplanter l'écosystème SSL tel qu'il fonctionne aujourd'hui. » Mais, pour que le projet réussisse totalement, il est nécessaire d'atteindre une masse critique. « Cela fait un certain temps que nous travaillons sur l'écosystème SSL. Nous avons d'ailleurs publié nos résultats et nos informations sur le site web SSL Labs. Il était donc normal que nous nous intéressions au projet Convergence, et à ses objectifs, qui tente de résoudre certains problèmes de sécurité liés à la façon dont la confiance est établie sur le web », a déclaré Ivan Ristic.
Illustration : Moxie Marlinspike
Crédit Photo : D.R
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« Le système Convergence n'essaye pas de remédier aux faiblesses actuelles en gardant le modèle existant », a-t-il ajouté. « Il propose d'essayer quelque chose de tout à fait différent. » Qualys veut « jouer son rôle, contribuer à sa croissance, et lui donner une chance de réussir», a ajouté le responsable de Qualis. Moxie Marlinspike, lui-même CTO de Whisper Systems, a indiqué que Convergence était un projet personnel et qu'il n'avait pas d'attente sur la manière dont il pouvait générer des recettes pour son entreprise. Mais il n'approuve pas le mode de fonctionnement actuel, qui lie les éditeurs de navigateurs aux autorités de certification, en particulier les plus grands, comme VeriSign, Entrust, Thawte et Comodo. Ainsi, après le piratage de DigiNotar, Microsoft avait mis beaucoup d'énergie pour modifier son navigateur afin qu'il ne reconnaisse plus les certificats de DigiNotar. L'entreprise de certification hollandaise a été forcée de se déclarer en faillite, une répercussion directe du piratage qu'elle a subi.Redonner le pouvoir aux experts et non aux autorités
Comodo certifie entre un cinquième à un quart de tous les certificats SSL sur Internet. Si bien que, dans le cas où les navigateurs Internet ne reconnaissaient plus ses certificats, cela perturberait grandement le mode de fonctionnement actuel. Reste que, selon Moxie Marlinspike, la sécurité sous-jacente est tout simplement « illusoire ». L'expert fait remarquer que «nous avons pris le parti de faire toujours confiance à Comodo, sans savoir si oui ou non le certificateur continue à mériter cette confiance. » Il a poursuivi : « Ce qui est arrivé à DigiNotar peut se reproduire tous les jours. On n'avait encore jamais vu ce genre d'accident. Si les pirates n'avaient pas été stupides, personne ne l'aurait même remarqué. »
L'expert fait valoir que la Convergence est « totalement rétro-compatible » avec le système de certificats SSL actuels et que « l'expérience utilisateur est exactement la même. » Avec Convergence, ce sont les « notaires » qui indiquent s'ils pensent que tel certificat est valide ou non. Grâce aux multiples feedback, cette validation, obtenue de manière consensuelle, prend plus de valeur. Les entreprises peuvent toujours continuer à faire émettre des certificats et des signatures si elles le veulent, mais la validation de leurs certificats va changer, puisque ceux-ci seront aussi soumis à la validation des utilisateurs en fonction de la confiance qu'ils leur portent.
Illustration : Moxie Marlinspike
Crédit Photo : D.R
(...)(13/10/2011 12:15:23)Ebay lance sa plate-forme de développement X.commerce
Le site de e-commerce Ebay vient de dévoiler X.commerce, une plateforme de développement d'applications destinée aux e-marchands et aux développeurs. Celle-ci rassemble des outils et des fonctionnalités d'une variété de sites et de produits du groupe, y compris la place de marché eBay, le système de paiement en ligne PayPal, ainsi que des partenaires. Avec cette plate-forme, eBay entend donner aux e-marchands et aux développeurs d'applications un accès à un ensemble complet de technologies liées au commerce électronique, comme le panier d'achat, les services de paiement et de gestion des stocks.
L'idée est de fournir une large variété d'applications de e-commerce qui répondraient aux scénarios mouvants que les e-commerçants rencontrent, et qui sont notamment marqués par les interactions avec les réseaux sociaux, et le développement du commerce mobile.
Une authentification taillée pour le e-commerce
Parallèlement au lancement de X.commerce, le groupe a annoncé la sortie de PayPal Access, un système d'authentification sur lequel les commerçants peuvent s'appuyer pour que les consommateurs se servent de leur nom d'utilisateur et leur mot de passe PayPal pour s'enregistrer et se connecter à leurs sites de e-commerce.
« En s'appuyant sur PayPal Acess pour gérer l'inscription et l'identification des utilisateurs, le processus est à la fois plus sûr et plus simple », a indiqué eBay.
Cet outil paraît ressembler à ceux proposés par des géants comme Google et Facebook, mais il a été spécifiquement taillé pour les sites e-commerce.
EBay a également annoncé l'intégration du protocole Open Graph de Facebook dans sa
plate-forme Open Source Magento, rachetée en juin dernier, et dans le logiciel de GSI Commerce afin que les développeurs puissent créer des applications qui exploitent les caractéristiques de Facebook.
(...)
Le Limousin et la Creuse dotent les lycées et collèges d'un portail web éducatif
Après les régions Ile-de-France (ENT Lilie), Rhônes-Alpes, Picardie (Educ-Accès) et les départements de la Seine-Saint-Denis (Celia) et Seine-et-Marne (Lilie), c'est au tour de la Région Limousin et du département de la Creuse, qui en fait partie, de doter les élèves sous leur responsabilité d'un ENT proposé par Logica, baptisé pour l'occasion Elie. La communauté enseignante, le personnel administratif et même les parents sont également intégrés au dispositif.
Cet environnement numérique de travail est un portail web comportant des informations personnelles (cahier de texte, agenda, notes obtenues...) et des flux d'informations générales (poussés par RSS). Ces flux peuvent concerner des informations pratiques (travaux sur les établissements, perturbations sur les transports...) ou plus générales (programmes culturels...).
La Région Limousin va donc déployer Elie pour 45 lycées et le département de la Creuse dans 18 collèges, soit un total supérieur à 30 000 élèves. Depuis la dernière rentrée, elle n'est pour l'instant disponible qu'à titre expérimental dans 6 établissements pilotes. La rentrée 2012 verra le solde du déploiement. L'objectif poursuivi est de familiariser les populations concernées avec le numérique.
Le portail web est bien sûr accessible à partir de n'importe quel navigateur. La solution proposée par Logica est en mode SaaS, ce qui en facilite le déploiement.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Google lance son langage Dart qui s'attaque à JavaScript
Google a lancé une pré-version d'un langage de programmation web appelé Dart avec lequel les ingénieurs de la société espèrent remédier à certains points faibles du très utilisé JavaScript. L'objectif est de créer « un langage structuré mais flexible pour la programmation web », explique le billet publié hier par Lars Bak, développeur de l'équipe de Dart, pour annoncer officiellement le langage.
Les capacités de Dart ressemblent à celles de JavaScript, même si Lars Bak ne mentionne pas spécifiquement ce dernier. Elles s'attellent ainsi à certains problèmes d'évolutivité et de type organisationnel qui ont été associés à JavaScript. Des fuites, provenant de mémos internes ayant circulé, ont révélé que des ingénieurs de Google avaient exprimé leurs frustrations à propos « de défauts fondamentaux qui ne peuvent pas être amendés par une simple évolution de JavaScript ».
Dart est un langage orienté objet, conçu à la fois pour bâtir rapidement de petits projets et pour développer des applications web de plus grande ampleur. Il permet aux programmeurs d'ajouter des variables sans définir leur type de données (typage dynamique), ou bien en les définissant (typage statique). La première option est mieux adaptée aux petits projets qui ont besoin d'être mis en service sans délai, tandis que le typage statique aidera à réaliser et à accélérer les programmes web plus importants.
Machine virtuelle et compilateur
La pré-version inclut un compilateur et une machine virtuelle, ainsi qu'un ensemble de bibliothèques de base. Pour que les programmes réalisés avec Dart fonctionnent sur les navigateurs, les développeurs peuvent les compiler en JavaScript en utilisant un outil fourni dans le package. A terme, Google aimerait que chaque navigateur comporte une machine virtuelle Dart, sur laquelle fonctionneraient les programmes Dart. A ce stade, même le propre navigateur de Google, Chrome, ne supportera Dart. « Nous comptons explorer cette option », a indiqué Lars Bak dans son billet.
Google devra mener une campagne persuasive s'il veut vraiment que Dart remplace JavaScript à travers le Web. Dans son dernier sondage estimant la popularité des langages de programmation, Tiobe Software classe JavaScript à la dixième place des plus utilisés, tous langages confondus. Initialement développé par Netscape en 1995, JavaScript a été conçu comme un langage de script destiné à ajouter des fonctionnalités de programmation aux navigateurs web. L'année suivante, Netscape l'a soumis à l'ECMA International pour le hisser au rang de standard, ce qui a débouché sur la version standardisée appelée ECMAScript. Adobe utilise aussi une version d'ECMAScript, nommée ActionScript, pour les développeurs qui écrivent pour son lecteur Flash.
Dart n'est pas la première tentative de Google pour créer un langage de programmation susceptible de combler les faiblesses de ceux qui sont disponibles. En 2009, la société avait démarré Go, que ses ingénieurs avaient créé comme alternative aux complexités C++, Java et d'autres langages traditionnels.
La conférence GoTo Software, au cours de laquelle Lars Bak a présenté Dart (hier), se tient à Aarhus, au Danemark, jusqu'au 12 octobre.
Illustration : montage LMI - en photo Lars Bak, ingénieur chez Google (crédit : D.R.)
Facebook s'empare de la start-up friend.ly
Facebook vient de s'emparer de friend.ly, une start-up dont les applications permettent aux membres du réseau de poser ou de répondre à des questions sur le site.
Le service permet de nouer davantage de contacts en ligne et aide les utilisateurs à mieux connaître leurs amis.
Les équipes de friend.ly ont annoncé le rachat dans un billet de blog posté ce lundi, sans toutefois dévoiler les conditions financières de la transaction. La jeune pousse a précisé qu'elle rejoindrait les équipes de Facebook, mais qu'elle continuerait à fonctionner comme un service séparé.
Une dizaine de salariés chez friend.ly
«L'esprit de friend.ly s'aligne bien avec la vision de Facebook, et nous sommes ravis de nous joindre à une entreprise innovante », s'est félicité la start-up sur son blog, en ajoutant qu'elle se concentrerait sur les futurs projets développés par le réseau social.
Créée il y deux ans et située à Moutain View, friend.ly compte une dizaine d'employés. On ignore encore si l'ensemble de ses collaborateurs seront intégrés dans les équipes de Facebook. «Nous admirons les performances des équipes de friend.ly depuis un certain temps déjà, et nous sommes impatients de l'impact que cette acquisition aura sur la façon dont des millions de membres interagissent les uns avec les autres sur notre site », a commenté une porte-parole de Facebook dans un courriel adressé à nos confrères de Computerworld.
(...)
Palmarès 2011 de la presse professionnelle : LMI élu meilleur site pro de l'année
Comme tous les ans, les principaux acteurs de la presse professionnelle se sont réunis pour récompenser les meilleures réalisations de l'année, dans les univers traditionnel et numérique. LeMondeInformatique.fr qui concourait dans la catégorie « Meilleur support en ligne » s'est donc vu décerner le prix du jury. Cette récompense vient saluer le travail de refonte progressive entrepris depuis trois ans : création de rubrique (Le Monde du cloud), renforcement des dossiers thématiques, lancement de nouvelles newsletters (Emploi, Sécurité, Stockage), développement des versions mobile et iPhone...
Et le mois dernier, selon le classement des audiences certifiées de l'OJD, LeMondeInformatique.fr a connu la plus forte progression en visites toutes catégories confondues des sites B2B. Le groupe IT News Info, éditeur du Monde Informatique, de Distributique, de CIO et de Réseaux & Telecoms, est toujours le seul groupe média IT Pro à disposer d'audiences certifiées et contrôlées.
Le Palmarès de la presse professionnelle a été lancé en 1999 à l'initiative de Presse Pro (Association pour la promotion de la presse professionnelle), présidée par Fabrice Deschamps.
Illustration principale : Didier Barathon, Hélène Fily, Sandrine Gaultier, Aromi Rajon, Adrien Morisse, Serge Leblal, Francis Raison , Clément Mulot, Maryse Gros, Véronique Arène, Jacques Cheminat et Jean Royné (de gauche à droite).
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