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(10/10/2011 16:14:26)
Scott McNealy, ancien patron de Sun, crée la start-up WayIn
L'ancien co-fondateur et patron de Sun n'a jamais eu peur de donner son avis. Il aimerait maintenant que chacun en fasse autant. Scott McNealy vient de créer une société, bien éloignée de l'entreprise IT qu'il a dirigée pendant une grande partie de sa vie. Sous le nom de WayIn, il propose cette fois un jeu social qui permet à ses utilisateurs de publier une photo en ligne et de créer leur propre enquête en demandant à leurs amis de donner leur opinion, sur n'importe quel sujet : « un bel inconnu, le concert d'hier soir... », suggère WayIn sur son site web. En cliquant sur une réponse, on découvre comment les autres ont voté. On accède au service à travers une application gratuite pour les iPhone, iPad et terminaux sous Android ou à partir d'un navigateur web.
La semaine dernière, Scott McNealy a invité quelques journalistes, dont nos confrères d'IDG News Service, à un petit événement de lancement à son domicile, sur les collines surplombant la Silicon Valley. Il décrit WayIn comme un petit bout de Facebook, un petit bout de Twitter et une grosse part de SurveyMonkey. L'outil a été conçu pour être rapide, amusant et accrocheur, explique l'ancien co-fondateur de Sun. Si le grand public constitue l'audience visée en premier lieu, la véritable cible serait les grandes entreprises. Avec ce service, Scott McNealy espère amasser une vaste base de données sur les opinions des consommateurs qu'il vendrait alors aux entreprises avec les outils d'analyse pour segmenter les données, à des fins de marketing ou pour d'autres utilisations.
Une équipe composée d'anciens ingénieurs Java
Les entreprises pourraient aussi payer pour glisser leurs propres questions dans le service. Par exemple, si le constructeur automobile Ford devait choisir un design pour la calandre de sa prochaine Mustang, il pourrait publier deux photos et demander aux internautes d'indiquer celle qu'ils préfèrent. « Nous pouvons leur donner une réponse en deux heures, et elle aurait une valeur statistique significative », expose Scott McNealy.
C'est un ami qui lui a suggéré l'idée il y a un an, a relaté l'ancien patron de Sun, peu de temps après la prise de contrôle du groupe par Oracle. Scott McNealy est le président du conseil d'administration de WayIn et le principal investisseur de la société qui a levé 6,3 millions de dollars de fonds. Pour bâtir le service, il a recruté une équipe composée d'anciens ingénieurs Java de Sun.
WayIn comporte également un versant TV interactive, partie sur laquelle l'entrepreneur semble montrer le plus enthousiaste. « Nous avons résolu le problème de la TV interactive », a-t-il déclaré. Les joueurs peuvent participer à des forums où les gens discutent et répondent à des questions sur des événements en direct, tels que la cérémonie des Oscars ou une grande manifestation sportive. Cela aide les diffuseurs, selon Scott McNealy, parce que cela encourage les gens à regarder les événements en direct au lieu de les enregistrer pour les visionner plus tard et sauter les publicités. S'ils ne regardent pas en direct, ils ne peuvent pas répondre aux questions sur l'événement qui leur permettraient de gagner des points pour acheter moins cher leur place lors du prochain match, par exemple, ou bien pour bénéficier de prix réduits sur certains produits.
A droite, Scott McNealy, ancien co-fondateur de Sun, lance la start-up WayIn (crédit photo : James Niccolai, IDG News Service San Francisco)
WayIn a signé trois partenariats pour commencer (avec l'équipe de hockey LA Kings, le comité des Républicains et Playboy) et la société indique qu'elle pourra en annoncer une vingtaine de plus dans les prochaines semaines. « Je m'attends à un vote énorme pour le Frisky Friday de Playboy », s'est amusé Scott McNealy.
Les marques se battent pour gagner en valeur auprès de ceux qui les suivent sur Facebook et Twitter, a rappelé le dirigeant. « Il y a dix millions de personnes qui suivent Obama sur Twitter. Mais combien d'entre eux l'apprécient et combien le détestent ? Cela, Twitter ne le sait pas. Avec notre service, nous pouvons poser la question ». Les participants peuvent préciser leur localisation afin que WayIn puisse vendre des cartes géographiques révélatrices montrant comme les opinions se répartissent à travers le pays. Les entreprises pourraient l'utiliser en interne également, ajoute Scott McNealy.
Scott McNealy a de nombreuses relations
WayIn va devoir toutefois relever un certain nombre de défis. Il lui faut attirer des millions d'utilisateurs pour constituer sa base d'opinions. Et le service a un aspect très social ce qui signifie qu'il entre en concurrence avec Facebook et Twitter. Le petit logo bleu de WayIn apparaîtra en bas des billets de blog et sur les autres sites, a indiqué Scott McNealy, comme pour Facebook et Twitter, afin que les gens puissent se prononcer facilement sur les sujets. La partie TV interactive nécessitera d'avoir son smartphone ou son iPad près de soi et il n'est pas encore évident que les gens veuillent interagir avec les émissions qu'ils regardent, même si la technologie le facilite.
Une figure connue telle que Scott McNealy apporte beaucoup à une start-up. Figurant parmi les doyens des chefs d'entreprise de la Silicon Valley, il s'est souvent montré malin. Chacune de ses interventions contre Microsoft était suivie par la presse (même si elles n'ont finalement guère causé de tort à la société de Bill Gates). Et il a des relations : la plupart des membres du conseil d'administration, des partenaires et des investisseurs de WayIn sont des amis et des connaissances remontant à l'époque où il dirigeait Sun. « Nous avons remporté tous ces partenariats grâce à lui, reconnaît Tom Jessiman, le PDG de la société. Pour une start-up, c'est un accélérateur considérable ».
Le service est d'ores et déjà actif. Le fondateur peut être suivi à l'adresse suivante : ScottMcNealy (http://www.wayin.com/#!/ppl/b0acfeb2-541c-418e-a409-0076fd642173). Il n'a pas peur d'y donner son avis. Au cours de la même entrevue, l'ancien patron de Sun Microsystems a confié qu'il aurait accepté de prendre la direction de Hewlett-Packard si on lui avait demandé.
Une des enquêtes flash proposées par Scott McNealy avec son service WayIn
Scott McNealy : « J'aurais dirigé HP si on me l'avait demandé »
L'ancien PDG de Sun Microsystems a confié qu'il aurait accepté la direction de Hewlett-Packard si on lui avait demandé de la prendre. A 56 ans, il figurait parmi les candidats ayant été pressenti pour le poste qui est finalement revenu à Meg Whitman, ancienne dirigeante d'eBay. « On m'a demandé de venir pour un entretien et je leur ai dit que je ferais le travail s'ils ne pouvaient pas trouver de candidat approprié », a confié mercredi dernier Scott McNealy aux journalistes venus à son domicile découvrir l'activité de la start-up qu'il vient de créer, WayIn.
« Leurs bureaux sont à trois miles de chez moi. Je connais le travail, j'ai une armée de collaborateurs de Sun qui seraient venus m'aider », a-t-il ajouté. Toutefois, diriger HP ne l'emballait pas particulièrement. « J'ai abandonné un très bon travail il y a six ans, a-t-il rappelé, faisant référence à son départ du poste de PDG de Sun Microsystems en 2006. Mais j'aurais accepté le poste, en partie par loyauté vis-à-vis de la Valley ».
Le conseil d'administration de HP a essuyé des critiques pour les décisions relatives à ses choix de PDG ces dernières années. L'an dernier, il a mis dehors Mark Hurd à la suite d'une plainte pour harcèlement sexuel, puis recruté Leo Apotheker, ancien PDG de SAP, qui présentait un bilan mitigé. Le choix de Meg Whitman, qui n'a jamais dirigé de grands constructeurs, a aussi fait lever quelques sourcils. Scott McNealy l'a publiquement soutenue, malgré tout, indiquant qu'elle apporterait au poste une stabilité bien nécessaire.
Plus facile il y a un an
Scott McNealy a co-fondé Sun Microsystems en 1984, avec Andy Bechtolscheim, Vinod Khosla et Bill Joy. Il a dirigé la société pendant 22 ans, ce qui en fait l'un des plus anciens PDG de l'histoire de la Silicon Valley. Jonathan Schwartz l'a ensuite remplacé à ce poste alors que lui-même devenait président du conseil d'administration de la société qui fut ensuite rachetée par Oracle. « Je suis resté environ deux jours » après l'acquisition d'Oracle, a-t-il indiqué mercredi dernier. Scott McNealy a fait de Sun une entreprise de plusieurs milliards de dollars, profitant de la vente des serveurs Unix durant le boom des « dot.com ». Malgré tout, sous sa direction, Sun a réagi lentement aux changements du marché IT et la bonne fortune de Sun a décliné à mesure que les serveurs à base de processeurs Intel et de systèmes Open Source ont gagné en popularité.
Interrogé sur le défi que pouvait représenter le poste de PDG de HP, Scott McNealy a reconnu que « cela aurait été beaucoup plus facile il y a un an ».
Illustration : Scott McNealy, chairman de la start-up WayIn qu'il vient de créer (crédit photo : James Niccolai, IDG News Service / San Francisco) (...)
Ciel accompagne les TPE à découvrir Google Adwords
L'éditeur de logiciels de gestion lance une campagne d'animation des ventes originale. Il s'associe en effet à Google pour proposer aux clients acquéreurs de ses ERP un crédit de 100 € sur une campagne Google Ad Words, le programme d'achat de mots clés aux enchères du moteur de recherche. « Les TPE sous-estiment encore l'impact des actions de communication en ligne pour leurs sites web. Un montant de 100 € n'est qu'un coup de pouce, mais cela leur permettra de tester le principe des adwords de Google et d'en estimer l'impact », explique Christophe Poissonnier, Directeur Marketing Communication de Ciel.
Avoir une meilleure visibilité sur le web
L'offre en question est valable jusqu'à la fin 2012 dans tous les canaux de distribution de Ciel, à la fois chez ses partenaires de la grande distribution et les 3000 revendeurs qui commercialisent plus ou moins régulièrement ses produits. « Un certains nombre de nos partenaires conçoivent eux-mêmes des sites web ou travaillent en étroite collaboration avec des agences web. Avec notre offre promotionnelle, nous leur fournissons un argument commercial supplémentaire pour amener les clients à souscrire à leurs prestations », conclut Christophe Poissonnier.
La mort de Bill Gates annoncée par erreur par le NouvelObs.com
Le site internet de l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur, tempsreel.nouvelobs.com, a attiré l'attention des twitternautes en annonçant le 6 octobre la mort de l'ancien patron de Microsoft, Bill Gates, en lieu et place de celle de Steve Jobs. La bourde était présente dans le titre d'un article recensant les hommages adressés au défunt patron d'Apple, décédé le 5 octobre. Même si le contenu de l'article faisait référence à Steve Jobs, le titre de l'article n'était autre que : "Mort de Bill Gates : Enormément d'hommages dans le monde".
Le titre a été corrigé, mais les utilisateurs de Twitter ont rapidement réagi, en propulsant la "mort de Bill Gates" parmi les sujets les plus évoqués sur le site de microblogging en France. Cette erreur en rappelle une autre qui s'est produite dans The Daily Mail cette semaine. Le quotidien britannique a publié un article prétendant qu'Amanda Knox, l'étudiante Américaine acquittée lundi du meurtre de sa colocataire après quatre ans d'emprisonnement, avait perdu son procès en appel. Mais contrairement au tollé suscité par cet article erroné, l'erreur du Nouvel Obs est devenue une blague sur Twitter.
Microsoft de nouveau sur les rangs pour racheter Yahoo
Qui va racheter Yahoo ? Après Alibaba, qui s'est dit « très intéressé » par l'éventuel rachat du portail Internet, Microsoft pourrait reconsidérer cette option, trois ans après une tentative infructueuse, révèle Reuters. Selon l'agence de presse, qui cite « un haut responsable » de Microsoft, les dirigeants de l'éditeur de Windows restent pour l'heure divisés sur le sujet et aucune décision finale n'a encore été prise Pour cette dernière, Microsoft serait également prêt à s'associer à un partenaire en vue de mettre la main sur Yahoo. Les deux groupes ont toutefois indiqué qu'ils se refusaient à tout commentaire.
« Ce rachat a du sens, dans la mesure où Microsoft s'est engagé à renforcer sa présence en ligne », a estimé Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research. D'après lui, Yahoo compte un grand nombre d'abonnés et de visiteurs réguliers, dont beaucoup ne vont pas envisager d'aller ailleurs. Ce serait donc un bon coup de pouce pour l'éditeur. De plus, en combinant le service gratuit de messagerie électronique Yahoo Mail avec son outil Hotmail, Microsoft pourrait disposer d'une très grande base d'utilisateurs.
En 2008, le moteur de recherche avait rejeté l'offre de rachat de 44,6 Md$ faite par Microsoft. Dans un communiqué, l'équipe dirigeante de Yahoo avait fait valoir que cette proposition sous-évaluait sensiblement l'entreprise de portails Web.
Les années ont passé et entre temps, Yahoo a rencontré d'importants problèmes sur le plan de son management. Il y a un mois, Carol Bartz, directrice générale du groupe, a été remerciée pour ne pas avoir su redresser l'entreprise. Suite à son départ, les analystes ont commencé à spéculer sur l'éventuelle approbation par le conseil d'administration d'une offre d'acquisition solide. Toutefois, le portail reste une organisation vaste et difficile à gérer et donc une cible d'acquisition difficile pour de nombreuses entreprises. Mais les analystes considèrent que Microsoft est une entreprise suffisamment importante pour pouvoir mener à bien le rachat.
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